A la chaine - histoire érotique

Son pseudo sur un célèbre site libertin était « Boutdumonde ». Il n’habitait pas si loin de Paris, dans une banlieue quelconque, dans une grande maison, et y organisait très souvent de belles soirées. Par un beau mois de mai nous nous y étions rendus. Pour l’occasion Chrystèle portait une robe noire très courte, lacée sur le devant, qui laissait deviner son 95C, ses immenses jambes sur son mètre 75, ses fesses de déesse grecque, enfin tout ce qui rendait fou d’amour et de désir son compagnon, Léopold, 30 ans, deux ans de plus qu’elle, assez quelconque, 1m80, mince, du charme néanmoins pour peu qu’il puisse l’exprimer verbalement. Mais difficile de rivaliser avec les mâles aux sexes impressionnants qu’il savait devoir rencontrer ce soir-là avec sa belle.
Ah oui. Nous sommes dans une soirées couples, femmes seules et hommes seuls. Ce qui signifie beaucoup d’hommes seuls, quelques femmes seules et des couples qui savent que c’est pour madame que la fête sera belle, les maris étant plus spectateurs, candaulistes ou pas mais tous en admiration devant la capacité de leurs femmes à s’éclater avec de beaux mâles.
Mais là Léopold hallucinait réellement. Sous les injonctions de « Boutdumond », Chrystèle s’était positionnée en levrette et sept ou huit hommes attendaient que le maître des lieux leur dise de prendre son tour. « Ca te plairait de te faire prendre par dix mecs à la chaine », lui avait demandé Boutdumonde après un début de soirée déjà bien chaud où il l’avait prise debout, dans la cuisine, devant le frigo, après seulement quelques verres de champagne. « Viens, je vais te montrer la cuisine que j’ai moi-même montée, ça pourrait vous donner des idées. » En fait d’idées, il l’avait tout simplement plaquée contre le frigo, relevé sa jupe, constaté qu’elle ne portait pas de culotte et pénétrée d’un sexe assez moyen tout en s’emparant de ses seins. Chrystèle aimait les hommes entreprenants, elle était servie. Elle aimait s’exhiber. Ils étaient au moins huit dans la cuisine à admirer la détermination de Boutdumonde, un peu petit néanmoins pour bien profiter de la belle – 1 m 80 avec ses talons – qui s’acharnait à la prendre de plus en plus vite.

Leur exhibition fut interrompue par un fâcheux incident. Une engueulade sévère avait éclaté dans la cour de sa maison, heureusement éloignée de toute autre habitation. En l’occurrence un homme refusait que le mari de sa conquête d’un soir les filme pendant leurs ébats. Et le dit mari, un énorme mec deux fois épais comme lui, n’appréciait pas du tout qu’il prétende baiser sa femme, très belle blonde, sans accepter la caméra. Une bagarre menaçait d’éclater et Boutumonde eut tout le mal du monde à les faire se séparer. Finalement le couple pris ses cliques et ses claques et Chrystèle et Léopold entreprirent de rassurer l’impétrant : « Il est dingue ce mec !
- Oui j’ai cru qu’il allait vraiment me frapper. Mais non je ne veux pas être filmé ! » Celui qui parle avec Chrystèle et Léopold est un grand habitué de toutes les soirées libertines parisiennes. Très entreprenant sans être absolument canon, un sexe bien accroché sans être exceptionnel, il est très apprécié de la gent féminine pour son endurance. Mais là un peu tourneboulé. Chrystèle entreprend de le détendre : « Viens je vais m’occuper de toi » Quelques minutes après ils sont dans la cave de la maison, aménagée avec de nombreux « coins câlins », et elle lui administre une fellation comme elle seule sait les faire, douce, sa bouche s’activant, sa langue sur le méat, tout en flattant ses testicules. Il apprécie, lui caresse les cheveux. A côté d’eux Léopold se contente d’être masturbé tout en admirant le paysage.
Après quelques instants de ce traitement, jugeant que le sexe de leur ami a pris la dimension et la vigueur attendus, Chrystèle relève sa robe et se met à quatre pattes : « Viens finir ce que Boutdumonde a commencé. » Il ne se fait pas prier. Il enfourne d’un seul coup son sexe dans celui de Chrystèle, empoigne ses hanches, lui met quelques claques et la baise avec vigueur. Devant elle Léopold s’est installé et en profite pour se faire sucer. Pas très longtemps, elle se concentre sur sa jouissance, ses longs cheveux blonds tombent sur ses yeux.
Mais leur ami est décidément troublé par la bagarre qui a failli l’opposer au mari. Il s’excuse, laissant Chrystèle très dépitée, les fesses offertes. C’est là que Boutumonde fait sa proposition. Elle acquiesce. « Ne bouge pas, je reviens. »Elle ne bouge pas. Totalement offerte. A peine cinq minutes passent avant que leur hôte arrive. « J’ai quelques amis qui vont te remonter le moral et te démonter le cul. Voyons : Christian, passe en premier ».
Christian est un grand mec, la trentaine. Signe particulier : il est tatoué, une sorte d’aigle sur le côté droit. Signe du moment : il bande comme un taureau et prend Chrystèle. Son style est différent du précédent. Moins heurté. Pas de claque. Il a pris les pieds de Chrystèle et les a positionnés au niveau de ses fesses. Une attention qu’elle apprécie. Comme ses coups de bite et ses testicules qui tapent contre son clitoris. Elle commence à prendre son pied, entre dans une sorte de brouillard érotique.
Christian en a fini et passe le relais à Dai. Un minuscule vietnamien chez qui tout n’est pas proportionné. Après Dai c’est Victor, un musculeux body buildé aux cheveux gras et frisés. Après Victor arrive Xavier, un immense black bien monté comme il se doit qui enfile ses 22 centimètres comme dans du beurre et va la faire hurler. Après ils ne se sont plus présentés mais ils furent huit en tout.
« Tu t’étais déjà faite prendre par autant de mecs ? », lui demande plus tard Boutumonde devant le buffet où ils prennent une nouvelle coupe de champagne.
« Non, jamais. Combien ?
- Ce soir dix en tout. Moi, notre ami si entreprenant et huit autres qui t’ont prise à la chaine. Ca ta plu ?
- C’était incroyable. Le seul truc c’est que je ne peux pas les remercier pudique je ne les ai pas vus.
- Tu sais eux non plus, ils ont essentiellement vu ton cul ! »