À la découverte d'un nouveau club
Récit érotique écrit par Cher Tamis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 55 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Cher Tamis ont reçu un total de 170 328 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2025 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 674 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
À la découverte d'un nouveau club
Dimanche 29 septembre 2024
La fraîcheur de ce midi d’automne nous a conduits, ma complice et moi, dans un accueillant restaurant du centre de Paris. C’est ainsi que, comme de vieux amis, nous devisons autour de notre bon repas et qu’elle me conte par le détail, ses fredaines avec des hommes qui lui ont procuré du plaisir et auxquels elle l’a bien rendu.
Ses beaux yeux noirs rayonnent au récit qu’elle m’en fait et, déjà, l’émotion lui gagne le ventre, le sexe, au souvenir de ses abandons récents par-ci, par là. Peu de gens peuvent se douter que, derrière son aspect de mignonne quinquagénaire bourgeoise, se dissimule une libertine expérimentée, toujours prête à tenter l’aventure, le cas échéant. Elle aime jouer sur ce double aspect de sa personnalité et m’en confier les épisodes, toujours excitants.
— J’imagine que ces histoires te donnent des envies, maintenant que tu m’en parles ? Lui demandé-je en souriant.
— Évidemment ! Tu me connais, toi. Rien que de t’en parler, je sens ma chatte mouiller et devenir toute chaude…
Et, joignant le geste à la parole, elle glisse discrètement sa fine main sous la nappe et va recueillir un peu de sa liqueur, puis me l’offre du bout des doigts.
— Humm... C'est un mon délicieux dessert ?… Ou c'est une mise en bouche ? ?
—Plutôt une mise en appétit, fait-elle, nous devrions aller explorer le nouveau club dont tu m’as parlé, puisqu’il n’est pas loin d’ici. J’ai vraiment trop envie de me faire mettre par des mecs... Tu es d’accord ?
— Je suis toujours ton chevalier servant, ma chère... Et je suis toujours... À la disposition de ma princesse !
L’excellent repas terminé, nous nous dirigeons donc vers ce lieu nouveau dont les renseignements nous ont paru plutôt engageants. Ouvert de préférence aux couples, il accepte parcimonieusement des hommes seuls triés d’après leur aspect «respectable», ce qui ouvre bien des possibilités à ma coquine adorée.
L’émotion au ventre, l’impatience de découvrir l’inconnu aussi, nous nous présentons à l’entrée et sommes accueillis agréablement par un aimable monsieur qui observe ma compagne avec un large sourire.
Lui, au moins, sait évaluer les qualités d’une femme libertine à partir de sa frimousse, les traits de son visage d'ange coquin et de son allure générale, sans qu’il soit besoin d’en rajouter !
Il nous débarrasse de nos manteaux puis nous guide vers le bar.
Caline évolue légèrement comme si elle marchaitsur des nuages, mince dans sa robe souple en tissu gris clair, qui laisse deviner les courbes de sa jolie poitrine, de ses hanches et de son «joli petit cul», comme j’aime le qualifier. Dressées sur d’élégants escarpins noirs, ses fines chevilles et ses jambes attirent déjà le regard de deux ou trois hommes intéressés par cette arrivée prometteuse.
Sans quitter son sourire charmant, elle fait comme si elle n’avait pas remarqué les observations des coquins à l’affût et m’invite à l’accompagner sur une confortable banquette à proximité du bar.
Nous reprenons notre conversation entamée au restaurant et elle poursuit le récit d’une rencontre qu’elle a faite récemment avec un correspondant découvert sur internet et qui lui a laissé un souvenir… Très ému, si j’en juge par la chaleur qui émane de son entrecuisse que j’explore d’une main discrète.
Mes doigts s’aventurent sur ses bas autofixants qu’ils quittent pour glisser enfin sur la peau fine et si douce, du haut de ses cuisses ; elle continue à me raconter son histoire, comme si de rien n’était, non sans avoir vérifier, par de rapides coups d’œil, l’effet produit par la scène sur les hommes qui continuent à l’observer.
Tout comme moi, elle adore ce genre de situation, être à la fois discrète et libertine, être à la limite de la bienséance et de l’abandon… Cet abandon qui viendra bientôt, à n’en pas douter.
Du bout de mes doigts j’ai commencé à effleurer son clito, sous le mince string déjà humide et chaud et je l’agace par des caresses brèves et appuyées, que Caline accueille par de lents mouvements de son bassin.
Elle me tend alors sa bouche en dardant sa petite langue si agile et m’offre un baiser d’amour et d’envie alors que, manifestement, une première jouissance, jaillit dans son ventre. Elle poursuit son baiser en suçant ma langue, puis m’avoue qu’elle rêve d’en faire autant sur un gland...
Or, son abandon n’a pas échappé à l’un de ses admirateurs qui s’approche lentement de nous et demande respectueusement s’il peut nous rejoindre sur la banquette.
Ma coquine lui fait volontiers de la place à ses côtés et l’accueille d’un grand sourire engageant. L’homme, dans la quarantaine, se présente et nous demande si nous connaissions déjà ce nouveau club.
Devant notre réponse négative, il nous explique qu’il y vient depuis l’ouverture et qu’il apprécie d’y rencontrer des gens comme nous, résolument libertins, mais sans vulgarité et avec élégance.
Tout en devisant, il effleure légèrement la cuisse de ma douce, et en apprécie la rondeur et la souplesse à travers la fine robe. Alors que Caline dialogue avec lui innocemment, elle masse lentement ma queue, bandée depuis quelques minutes déjà, par-dessus mon pantalon.
Son voisin a bien vu la manœuvre mais il n’en profite pas trop vite et poursuit la conversation. Sa main est juste remontée lentement jusqu’à la courbe des seins de la belle aux cheveux noirs, dont il découvre la sensibilité évidente des tétons, déjà bien durcis par l’épisode précédent.
En même temps, ma complice accentue ses pressions sur mon sexe et glisse son autre main à la découverte de celui de l’autre homme. Bientôt, la tête rejetée en arrière sur le dossier de la banquette, elle laisse ses deux mains agir à leur guise sur nos bites.
Il est vite évident que les choses vont évoluer et Caline, expérimentée en la matière par bien des années de libertinage, sait prendre l’initiative qui convient.
— Voulez-vous me faire découvrir le club, puisque vous le connaissez déjà ? Demande-t-elle à l’homme, tout en lui massant lentement la queue à travers le pantalon.
— Bien sûr, si votre compagnon m’y autorise, je vous guiderai bien volontiers !
— Il est forcément d’accord, répond-elle en souriant ; et il sera enchanté de m’attendre un moment…
Devant mon approbation intéressée, il se lève en prenant élégamment la main de ma chérie et l’entraîne lentement vers les autres pièces.
Finalement, j’opte plutôt pour les suivre à distance afin de profiter du spectacle qu’ils ne vont pas manquer d’offrir. De toute façon, ma coquine m’aurait tout raconté ensuite, alors, autant déguster la scène en direct, d’autant plus que Caline adore que je ne sois pas loin d’elle lorsqu’elle s’envoie en l’air avec des inconnus.
Quelques couples, accompagnés ou pas d’autres hommes, sont déjà installés et partage des caresses voire beaucoup plus…
Au fil des coins câlins parcourus par le couple improvisé, l’homme a passé un bras derrière le dos de ma belle et sa main apprécie la douceur du tissu de la robe, sur la hanche, puis autour d’une fesse vite dénudée pour mieux en apprécier la rondeur.
Elle, la tête posée sur l’épaule de son guide, le tien aussi par la taille afin de l’inviter à poursuivre plus avant la visite des lieux… Et de son corps.
Ils s’approchent ainsi d’une petite pièce un peu sombre, juste occupée par une sorte de haut matelas sur lequel un couple de trentenaires a débuté une scène comme deux amoureux qu’ils semblent bien être.
La jeune brune, nue (sauf ses bas) et plutôt bien roulée, a la tête posée sur le ventre de son homme et, le regard tourné vers la porte où le couple s’est arrêté, elle suce allègrement le braquemart dressé qu’elle tient d’une main ferme. Son compagnon parcourt d’une main plus discrète l’agréable fessier de la dame en s’égarant manifestement entre ses fesses et un peu plus bas.
De mon poste d’observation, à quelques mètres derrière, je m’aperçois toutefois qu’une main de Caline est passée devant le ventre de son amant du jour et qu’elle doit être partie à l’aventure, déjà excitée par les lieux et le tableau qui s’offre à ses yeux. Pendant quelques instants, les deux couples s’observent tout en poursuivant leurs caresses, dans l’attente de l’instant où l’un d’entre d’eux esquissera le geste décisif pour la suite.
C’est, bien entendu, ma chérie qui le fait et cela ne m’étonne pas vu son esprit de décision quand il s’agit de libertinage !
Elle s’approche à pas lents de la couche et pose une main légère sur une cheville de la fille, alors que l’homme qui l’accompagne reste en arrière, les mains sur ses hanches ainsi offertes. La main de ma cochonne remonte en de longues caresses, le long de la jambe qui s’écarte doucement, offrant la chatte de la suceuse aux doigts de ma coquine.
Toujours comme dans un rêve, elle ouvre un peu plus le compas des cuisses et entreprend un lent léchage de la peau de la dame et ne résiste pas longtemps à la tentation de lui goûter les grandes lèvres qu’elle écarte du bout de sa petite langue agile. Caline a découvert, depuis bien longtemps, le plaisir à faire jouir une femme et elle a derrière elle une liste de complices qui n'ont pas pu résister longtemps à ses talents saphiques.
À voir comment la jeune femme agite soudain son ventre pour le cogner à la bouche qui l’aspire, il n’y a pas de doute quant à l’efficacité du traitement qu’elle subit ! Elle en lâche même, la bite de son partenaire de jeu, pour tenir à deux mains la tête de ma complice et lui jouir sur la bouche, geignant de plaisir.
Très maîtresse d’elle-même, la lécheuse avance un peu plus le long du corps qu’elle vient d’émouvoir et elle remplace la femme dans son entreprise de pompage du dard, que celle-ci a lâché.
En même temps, son guide de ces lieux, remonte ses deux mains le long de ses flancs et vient délicatement faire glisser la fermeture Éclair de la robe grise. Bientôt, Caline ne porte plus que sa guêpière noire et rouge et ses bas, toujours dressée de manière si sexy sur ses élégants escarpins.
Loin d’être perturbée par le déshabillage qu’elle subit volontiers, elle invite la fille à rapprocher son sexe de celui de son mari, son jule, et, de la main et de la bouche, elle les réunit pour qu’ils copulent sous ses yeux. Déjà, le membre a pénétré profondément dans la chatte offerte et ma chérie laisse sa langue glisser dessus au rythme imposé par le couple.
Sans doute a-t-elle passé discrètement une main sous les fesses de la femme car on devine qu’elle accompagne le coït en branlant le cul de la belle avec un ou deux doigts glissés dans l’anus.
C’en est trop pour l’homme qui accompagne ma coquine, qui en tour de bras, s’est dénudé et s’est penché sur les reins qui s’offrent à lui, pour parcourir la raie des fesses de sa langue, puis de son gland recouvert de l’inévitable préservatif.
Le jeu des deux couples dure ainsi quelques minutes et leur excitation va grandissant comme, en attestent, les mouvements des hanches de Caline pour provoquer encore plus d’action de la part de son séducteur du jour. Qui a bien compris qu’il le peut et il le fait.
Lentement, avec beaucoup de précaution et d’attention, il pose sa queue sur le petit trou (comme aime le nommer ma chérie) qui se présente à lui et force résolument le passage. En quelques instants et après des mouvements d’accompagnement de l’enculée, sa bite est bien plantée au fond de la dame et il entame de doux allers-retours, selon le rythme qu’elle donne elle-même avec ses hanches.
Déjà, la jeune femme a joui à nouveau sous les caresses de Caline et des coups de reins de son homme et elle s’allonge à leurs côtés, repue, pour l’instant.
Mais elle n’a pas fait gicler le dard qui la pénétrait et celui-ci reste, luisant et dressé, à la disposition de ma douce. Il n’en faut pas plus pour que celle-ci, de la bouche, déroule rapidement et habilement une capote sur le mât qu’elle tient fermement, puis rampe sur l’homme en évitant de faire sortir son baiseur de ses fesses toujours emplies... Caline est d'une adresse quand elle veut jouir.
Avec un talent inégalable, elle s’empale sur la bite qu’elle a préparée tout en gardant au fond de son anus, l’autre homme qui l’accompagne dans son installation. Puis, lentement, lascivement, elle roule son ventre entre les deux mâles, les invitant à coordonner leurs propres mouvements avec les siens.
Le trio offre alors un spectacle des plus séduisants avec cette jolie quinquagénaire, qui se retrouve entre deux corps qui la pénètrent à tel point que je n’y tiens plus et je me rapproche de la couche pour les admirer de plus près, ma propre bite tendue au creux de ma main.
Caline m’accueille avec ce fameux sourire coquin et m’invite de la main à m’allonger auprès d’elle, entre les jambes ouvertes de la jeune femme qui parcourt de ses mains la poitrine de la baiseuse.
La tentation est irrésistible et je m’enfonce rapidement dans le con trempé et brûlant de la belle alors qu’elle s’amuse à titiller et à pincer les tétons de ma maîtresse.
Le trio nous accompagne dans notre baise et, vite maintenant, tous nous jouissons les uns des autres, les uns dans les autres, dans un flot de gémissements et de plaisir.
Ma chérie se penche alors vers moi et, dans un baiser au goût de foutre, me remercie de lui avoir permis, une fois encore, de vivre une nouvelle aventure dans un lieu favorable à la satisfaction de son tempérament libertin.
À la prochaine aventure de notre couple libertin...
La fraîcheur de ce midi d’automne nous a conduits, ma complice et moi, dans un accueillant restaurant du centre de Paris. C’est ainsi que, comme de vieux amis, nous devisons autour de notre bon repas et qu’elle me conte par le détail, ses fredaines avec des hommes qui lui ont procuré du plaisir et auxquels elle l’a bien rendu.
Ses beaux yeux noirs rayonnent au récit qu’elle m’en fait et, déjà, l’émotion lui gagne le ventre, le sexe, au souvenir de ses abandons récents par-ci, par là. Peu de gens peuvent se douter que, derrière son aspect de mignonne quinquagénaire bourgeoise, se dissimule une libertine expérimentée, toujours prête à tenter l’aventure, le cas échéant. Elle aime jouer sur ce double aspect de sa personnalité et m’en confier les épisodes, toujours excitants.
— J’imagine que ces histoires te donnent des envies, maintenant que tu m’en parles ? Lui demandé-je en souriant.
— Évidemment ! Tu me connais, toi. Rien que de t’en parler, je sens ma chatte mouiller et devenir toute chaude…
Et, joignant le geste à la parole, elle glisse discrètement sa fine main sous la nappe et va recueillir un peu de sa liqueur, puis me l’offre du bout des doigts.
— Humm... C'est un mon délicieux dessert ?… Ou c'est une mise en bouche ? ?
—Plutôt une mise en appétit, fait-elle, nous devrions aller explorer le nouveau club dont tu m’as parlé, puisqu’il n’est pas loin d’ici. J’ai vraiment trop envie de me faire mettre par des mecs... Tu es d’accord ?
— Je suis toujours ton chevalier servant, ma chère... Et je suis toujours... À la disposition de ma princesse !
L’excellent repas terminé, nous nous dirigeons donc vers ce lieu nouveau dont les renseignements nous ont paru plutôt engageants. Ouvert de préférence aux couples, il accepte parcimonieusement des hommes seuls triés d’après leur aspect «respectable», ce qui ouvre bien des possibilités à ma coquine adorée.
L’émotion au ventre, l’impatience de découvrir l’inconnu aussi, nous nous présentons à l’entrée et sommes accueillis agréablement par un aimable monsieur qui observe ma compagne avec un large sourire.
Lui, au moins, sait évaluer les qualités d’une femme libertine à partir de sa frimousse, les traits de son visage d'ange coquin et de son allure générale, sans qu’il soit besoin d’en rajouter !
Il nous débarrasse de nos manteaux puis nous guide vers le bar.
Caline évolue légèrement comme si elle marchaitsur des nuages, mince dans sa robe souple en tissu gris clair, qui laisse deviner les courbes de sa jolie poitrine, de ses hanches et de son «joli petit cul», comme j’aime le qualifier. Dressées sur d’élégants escarpins noirs, ses fines chevilles et ses jambes attirent déjà le regard de deux ou trois hommes intéressés par cette arrivée prometteuse.
Sans quitter son sourire charmant, elle fait comme si elle n’avait pas remarqué les observations des coquins à l’affût et m’invite à l’accompagner sur une confortable banquette à proximité du bar.
Nous reprenons notre conversation entamée au restaurant et elle poursuit le récit d’une rencontre qu’elle a faite récemment avec un correspondant découvert sur internet et qui lui a laissé un souvenir… Très ému, si j’en juge par la chaleur qui émane de son entrecuisse que j’explore d’une main discrète.
Mes doigts s’aventurent sur ses bas autofixants qu’ils quittent pour glisser enfin sur la peau fine et si douce, du haut de ses cuisses ; elle continue à me raconter son histoire, comme si de rien n’était, non sans avoir vérifier, par de rapides coups d’œil, l’effet produit par la scène sur les hommes qui continuent à l’observer.
Tout comme moi, elle adore ce genre de situation, être à la fois discrète et libertine, être à la limite de la bienséance et de l’abandon… Cet abandon qui viendra bientôt, à n’en pas douter.
Du bout de mes doigts j’ai commencé à effleurer son clito, sous le mince string déjà humide et chaud et je l’agace par des caresses brèves et appuyées, que Caline accueille par de lents mouvements de son bassin.
Elle me tend alors sa bouche en dardant sa petite langue si agile et m’offre un baiser d’amour et d’envie alors que, manifestement, une première jouissance, jaillit dans son ventre. Elle poursuit son baiser en suçant ma langue, puis m’avoue qu’elle rêve d’en faire autant sur un gland...
Or, son abandon n’a pas échappé à l’un de ses admirateurs qui s’approche lentement de nous et demande respectueusement s’il peut nous rejoindre sur la banquette.
Ma coquine lui fait volontiers de la place à ses côtés et l’accueille d’un grand sourire engageant. L’homme, dans la quarantaine, se présente et nous demande si nous connaissions déjà ce nouveau club.
Devant notre réponse négative, il nous explique qu’il y vient depuis l’ouverture et qu’il apprécie d’y rencontrer des gens comme nous, résolument libertins, mais sans vulgarité et avec élégance.
Tout en devisant, il effleure légèrement la cuisse de ma douce, et en apprécie la rondeur et la souplesse à travers la fine robe. Alors que Caline dialogue avec lui innocemment, elle masse lentement ma queue, bandée depuis quelques minutes déjà, par-dessus mon pantalon.
Son voisin a bien vu la manœuvre mais il n’en profite pas trop vite et poursuit la conversation. Sa main est juste remontée lentement jusqu’à la courbe des seins de la belle aux cheveux noirs, dont il découvre la sensibilité évidente des tétons, déjà bien durcis par l’épisode précédent.
En même temps, ma complice accentue ses pressions sur mon sexe et glisse son autre main à la découverte de celui de l’autre homme. Bientôt, la tête rejetée en arrière sur le dossier de la banquette, elle laisse ses deux mains agir à leur guise sur nos bites.
Il est vite évident que les choses vont évoluer et Caline, expérimentée en la matière par bien des années de libertinage, sait prendre l’initiative qui convient.
— Voulez-vous me faire découvrir le club, puisque vous le connaissez déjà ? Demande-t-elle à l’homme, tout en lui massant lentement la queue à travers le pantalon.
— Bien sûr, si votre compagnon m’y autorise, je vous guiderai bien volontiers !
— Il est forcément d’accord, répond-elle en souriant ; et il sera enchanté de m’attendre un moment…
Devant mon approbation intéressée, il se lève en prenant élégamment la main de ma chérie et l’entraîne lentement vers les autres pièces.
Finalement, j’opte plutôt pour les suivre à distance afin de profiter du spectacle qu’ils ne vont pas manquer d’offrir. De toute façon, ma coquine m’aurait tout raconté ensuite, alors, autant déguster la scène en direct, d’autant plus que Caline adore que je ne sois pas loin d’elle lorsqu’elle s’envoie en l’air avec des inconnus.
Quelques couples, accompagnés ou pas d’autres hommes, sont déjà installés et partage des caresses voire beaucoup plus…
Au fil des coins câlins parcourus par le couple improvisé, l’homme a passé un bras derrière le dos de ma belle et sa main apprécie la douceur du tissu de la robe, sur la hanche, puis autour d’une fesse vite dénudée pour mieux en apprécier la rondeur.
Elle, la tête posée sur l’épaule de son guide, le tien aussi par la taille afin de l’inviter à poursuivre plus avant la visite des lieux… Et de son corps.
Ils s’approchent ainsi d’une petite pièce un peu sombre, juste occupée par une sorte de haut matelas sur lequel un couple de trentenaires a débuté une scène comme deux amoureux qu’ils semblent bien être.
La jeune brune, nue (sauf ses bas) et plutôt bien roulée, a la tête posée sur le ventre de son homme et, le regard tourné vers la porte où le couple s’est arrêté, elle suce allègrement le braquemart dressé qu’elle tient d’une main ferme. Son compagnon parcourt d’une main plus discrète l’agréable fessier de la dame en s’égarant manifestement entre ses fesses et un peu plus bas.
De mon poste d’observation, à quelques mètres derrière, je m’aperçois toutefois qu’une main de Caline est passée devant le ventre de son amant du jour et qu’elle doit être partie à l’aventure, déjà excitée par les lieux et le tableau qui s’offre à ses yeux. Pendant quelques instants, les deux couples s’observent tout en poursuivant leurs caresses, dans l’attente de l’instant où l’un d’entre d’eux esquissera le geste décisif pour la suite.
C’est, bien entendu, ma chérie qui le fait et cela ne m’étonne pas vu son esprit de décision quand il s’agit de libertinage !
Elle s’approche à pas lents de la couche et pose une main légère sur une cheville de la fille, alors que l’homme qui l’accompagne reste en arrière, les mains sur ses hanches ainsi offertes. La main de ma cochonne remonte en de longues caresses, le long de la jambe qui s’écarte doucement, offrant la chatte de la suceuse aux doigts de ma coquine.
Toujours comme dans un rêve, elle ouvre un peu plus le compas des cuisses et entreprend un lent léchage de la peau de la dame et ne résiste pas longtemps à la tentation de lui goûter les grandes lèvres qu’elle écarte du bout de sa petite langue agile. Caline a découvert, depuis bien longtemps, le plaisir à faire jouir une femme et elle a derrière elle une liste de complices qui n'ont pas pu résister longtemps à ses talents saphiques.
À voir comment la jeune femme agite soudain son ventre pour le cogner à la bouche qui l’aspire, il n’y a pas de doute quant à l’efficacité du traitement qu’elle subit ! Elle en lâche même, la bite de son partenaire de jeu, pour tenir à deux mains la tête de ma complice et lui jouir sur la bouche, geignant de plaisir.
Très maîtresse d’elle-même, la lécheuse avance un peu plus le long du corps qu’elle vient d’émouvoir et elle remplace la femme dans son entreprise de pompage du dard, que celle-ci a lâché.
En même temps, son guide de ces lieux, remonte ses deux mains le long de ses flancs et vient délicatement faire glisser la fermeture Éclair de la robe grise. Bientôt, Caline ne porte plus que sa guêpière noire et rouge et ses bas, toujours dressée de manière si sexy sur ses élégants escarpins.
Loin d’être perturbée par le déshabillage qu’elle subit volontiers, elle invite la fille à rapprocher son sexe de celui de son mari, son jule, et, de la main et de la bouche, elle les réunit pour qu’ils copulent sous ses yeux. Déjà, le membre a pénétré profondément dans la chatte offerte et ma chérie laisse sa langue glisser dessus au rythme imposé par le couple.
Sans doute a-t-elle passé discrètement une main sous les fesses de la femme car on devine qu’elle accompagne le coït en branlant le cul de la belle avec un ou deux doigts glissés dans l’anus.
C’en est trop pour l’homme qui accompagne ma coquine, qui en tour de bras, s’est dénudé et s’est penché sur les reins qui s’offrent à lui, pour parcourir la raie des fesses de sa langue, puis de son gland recouvert de l’inévitable préservatif.
Le jeu des deux couples dure ainsi quelques minutes et leur excitation va grandissant comme, en attestent, les mouvements des hanches de Caline pour provoquer encore plus d’action de la part de son séducteur du jour. Qui a bien compris qu’il le peut et il le fait.
Lentement, avec beaucoup de précaution et d’attention, il pose sa queue sur le petit trou (comme aime le nommer ma chérie) qui se présente à lui et force résolument le passage. En quelques instants et après des mouvements d’accompagnement de l’enculée, sa bite est bien plantée au fond de la dame et il entame de doux allers-retours, selon le rythme qu’elle donne elle-même avec ses hanches.
Déjà, la jeune femme a joui à nouveau sous les caresses de Caline et des coups de reins de son homme et elle s’allonge à leurs côtés, repue, pour l’instant.
Mais elle n’a pas fait gicler le dard qui la pénétrait et celui-ci reste, luisant et dressé, à la disposition de ma douce. Il n’en faut pas plus pour que celle-ci, de la bouche, déroule rapidement et habilement une capote sur le mât qu’elle tient fermement, puis rampe sur l’homme en évitant de faire sortir son baiseur de ses fesses toujours emplies... Caline est d'une adresse quand elle veut jouir.
Avec un talent inégalable, elle s’empale sur la bite qu’elle a préparée tout en gardant au fond de son anus, l’autre homme qui l’accompagne dans son installation. Puis, lentement, lascivement, elle roule son ventre entre les deux mâles, les invitant à coordonner leurs propres mouvements avec les siens.
Le trio offre alors un spectacle des plus séduisants avec cette jolie quinquagénaire, qui se retrouve entre deux corps qui la pénètrent à tel point que je n’y tiens plus et je me rapproche de la couche pour les admirer de plus près, ma propre bite tendue au creux de ma main.
Caline m’accueille avec ce fameux sourire coquin et m’invite de la main à m’allonger auprès d’elle, entre les jambes ouvertes de la jeune femme qui parcourt de ses mains la poitrine de la baiseuse.
La tentation est irrésistible et je m’enfonce rapidement dans le con trempé et brûlant de la belle alors qu’elle s’amuse à titiller et à pincer les tétons de ma maîtresse.
Le trio nous accompagne dans notre baise et, vite maintenant, tous nous jouissons les uns des autres, les uns dans les autres, dans un flot de gémissements et de plaisir.
Ma chérie se penche alors vers moi et, dans un baiser au goût de foutre, me remercie de lui avoir permis, une fois encore, de vivre une nouvelle aventure dans un lieu favorable à la satisfaction de son tempérament libertin.
À la prochaine aventure de notre couple libertin...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Cher Tamis
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Belle histoire Tamis bien écrite avec de superbes descriptions