À la découverte du côté chaud d'une innocente étudiante étrangère - histoire érotique

Venir en France m’a ouvert de nombreuses portes, notamment celles liées aux interactions personnelles avec les filles. J'ai toujours été une personne timide. Dans mon pays, je n'avais qu'une petite amie et un ou deux baisers avec certaines filles, car il m'est difficile de faire le premier pas quand une femme me plaît.

Bon, d’abord laissez-moi me décrire : je mappele Sebastian, je mesure 1,74 m, j'ai la peau blanche pour un Latino mais cannelle pour un Européen, un corps mince, un peu athlétique et des cheveux châtain clair. Je me considère comme étant d'une beauté moyenne, un peu au-dessus de la moyenne je dirais, je n'ai pas mal réussi avec les filles quand j'ai surmonté ma timidité.

Enfin, mes premières interactions avec les filles européennes ont été compliquées, à cause de ma timidité et de la langue. Cependant, à travers des échecs, j'ai pu commencer à maîtriser la langue anglaise et surtout à me montrer tel que je suis, à dire ce que je pense et il semble que ma personnalité et ma façon de penser les intéressent. Donc, c'est l'une des histoires qui sont arrivées à une fille Erasmus.

Elle s’appelait Diana, elle était de nationalité albanaise, originaire d’un pays de gens et de culture intéressantes. Son regard, son visage, sa façon de parler et de penser étaient comme une drogue pour moi. Ses yeux étaient ce qui m'attirait le plus, ils etaient grands, au milieu d'un beau visage, des yeux qui exprimaient de la tendresse, qui reflétaient que sa vie n'avait pas été facile. En plus, ils avaient une certaine innocence, mais ils montraient aussi une femme qui pouvait bouleverser ton monde en un instant. Pour la décrire, elle mesurait 1m65, avait les cheveux noirs jusqu'au milieu du dos, était de corpulence moyenne pour une fille de 21 ans, avait la peau foncée, un grand rire et portait toujours des robes qui lui arrivaient aux genoux et ne révélaient pas ses courbes jusqu'à ce moment-là.

Nous avons discuté pour la première fois lors d'une soirée Erasmus à Toulouse, la ville où j'ai effectué une partie de mes études. La nuit s'est déroulée avec des questions sur son pays d'origine, ses études, ses amis, sa famille, bref, des questions qui permettent de connaître quelqu'un et d'apprécier sa compagnie. Nous avons beaucoup discuté cette nuit-là et j'ai finalement réussi à obtenir ses coordonnées.

Nous avons commencé à parler et nous sommes devenus amis. Après quelques jours, je lui ai révélé qu'elle me plaisait, et elle m'a simplement répondu que c'était réciproque, mais qu'elle ne cherchait rien ici « qu'elle était concentrée sur ses études ». Comme j'appréciais son amitié et que je ne cherchais rien de sérieux, je m'en fichais et nous avons continué, avec des conversations pleines de flirt et de rires.

Un jour, après quelques insistances, elle a accepté de me confier un de ses réseaux sociaux. En arrivant, j'ai pu regarder ses photos et je n'ai pas été surprise de constater qu'elle avait un copain, mais aussi qu'elle avait des photos où elle montrait un côté plus sensuel, dans des tenues de sport qui mettaient en valeur ses courbes, ses longues jambes et ses fesses très bien définies.

Les jours ont passé et son anniversaire est arrivé, je l'ai invitée à boire un verre et à marcher le long de la rivière. C'était le début de l'été avec des journées chaudes, venteuses et des nuits tardives, très typiques de juin, ce qui lui faisait porter une robe courte très collé. Après quelques bières au bord de la rivière, nous nous sommes rendu compte qu'il était très tard, et qu'elle ne voulait pas rentrer seule à la maison. Très gentiment, je lui ai proposé un endroit où séjourner, en échange de rien (pour vrai), la vérité est qu'elle me connaissait et savait que je ne lui ferais rien, alors elle a accepté de rester.

Dans ma chambre, nous avons ouvert une bouteille de vin et avons commencé à discuter. À un moment donné, je lui ai proposé de mieux la connaître en répondant à des questions où, si elle refusait de répondre elle devrai réaliser un défi.

En vrai gentleman, j’ai commencé par lui demander ce qu’elle aimait chez son copain. Sa réponse a été très brève et elle m’a dit “son romantisme" « il est très tendre avec moi ». C'était sa réponse, avec un visage qui disait qu'il manquait quelque chose dans leur relation. à son tour, elle m'a surpris avec sa question :

D- As-tu déjà fantasmé sur le fait de faire l'amour avec moi ?
S- Oui, plusieurs fois, plusieurs fois j'ai imaginé ton corps nu à côté du mien, sentant le goût de ta peau brune et en touchant tout ton corps. Et toi, tu as fantasmé sur moi ?
D- Non, je te trouve très attirant mais je ne suis excitée que lorsque j'ai une connexion dans le « monde réel » avec un homme, et nous n'avons presque jamais sortis ensemble. À mon tour, quelle partie de mon corps t'attire le plus ?
S- Tes fesses, on remarque que tu fais du sport, tes jambes sont longues et musclées.
D- Oui, dans mon pays je pratique le volley-ball.
S- Ça se voit, ça se voit vraiment.
D- Et mes seins ne t'attirent pas ?
S- Bon, la vérité c'est que je ne les ai pas beaucoup remarqués, tu essaies toujours de les cacher.
D- Hahahaha bien sûr.

À ce moment-là, elle s'est levé sous prétexte d'aller aux toilettes, et quelques secondes plus tard, j'ai reçu un message ; Quand j'ai ouvert le message, j'ai vu que c'était elle qui m'a écris et le message était accompagné d'une photo jointe, sur laquelle elle me montrait ses seins. Je garde ça photo encore dans un lieu très caché. Ses seins étaient tendres, typiques d’une fille de 21 ans. Peau foncée avec des mamelons bruns. Le message disait, tu ne les remarques toujours pas ?

Elle est sorti de la salle de bain et a dit :
« On continue ? Mais donne-moi d’abord plus de vin». On a bu du vin et on a continué.

S- C'est mon tour. Ton partenaire, te satisfait-il sur le lit ?
D- La vérité c'est qu'il est très tendre avec moi. Je ne me plains pas mais je dois avouer que j'en ai connu de meilleurs. Je l'aime tellement.... Et toi, comment tu te considèrs au lit ? Es-tu bon avec tes filles ?
S- Bien sûr, je me concentre toujours sur le fait de donner le meilleur de moi-même. C'est addictif de voir le visage de plaisir de mon partenaire ressentir un plaisir maximal grâce à moi et à ma bite. Sentir ses mouvements, entendre ses gémissements et ses orgasmes, cela m'excite plus que de finir. Les emmener dans des endroits ou limits qu’elles n’auraient jamais imaginés.
D- Donc? Tu penses avoir le talent nécessaire pour inciter à une femme à faire ce qu’elle n’aurait jamais cru possible? Hahahaha, eh bien c'est à ton tour Monsieur charmant.
S- Quel est ton fantasme sexuel ?
D- Le faire dans un lieu public, ça m'excite de porter des vêtements très courts parfois, et de voir les visages des hommes. J'aime jouer avec eux et je pense que si quelqu'un a le courage ou la pensée de venir me parler sans vergogne et de mots sales, évidemment je lui dirais d'aller au diable mais j'aime ça. Et toi, quelle est la chose la plus excitante que tu as fait ?
S- Jusqu’à ce moment, un trio avec mon ex-copine et son amie, la situation et le moment m'excitent encore en m'en souvenant. Bon, à mon tour, as-tu trompé ton partenaire ?
D- C'est un secret.
S- Mais si tu ne réponds pas, tu vas payer….
D- Je sais, comme je n'ai pas répondu, je suppose que je dois relever un défi.
S- En effet
D- Propose-en un.
S- Es-tu sûre? Tu peux le regretter plus tard.
D- Je suis une femme de parole, “Shoot”.
S- Je veux que tu fasses une danse très sensuelle, explicite, qui m'excite mais sans enlever ta robe, mais seulement à la fin je veux que tu enlèves tes sous-vêtements et je veux que tu me les donnes.
D- Euh, j'aime ça, c'est bon.

À ce moment-là, elle a mis de la musique, elle s'est levée et a éteint encore plus les lumières, il ne nous restait plus que la lumière d'une petite lampe et elle a commencé à danser.

Elle s'est approchée de moi, a commencé à bouger ses fesses sur mon entrejambe, parlant dans sa langue dans des murmures qui m'excitaient. Elle savait bouger et elle savait que j'étais excité, elle sentait mon excitation et faisait semblant de sursauter comme si je la pénétrais. Me souvenir de ce cul m'excite encore trop. J’ai la bite très dure maintenant.

Puis elle s'est levée et, me tournant le dos, elle a sorti son string, il était de couleur vin et pendant qu'elle le retirait, je pouvais voir les coins de ce beau cul. Je l'ai touché mais elle m'a dit :

D- NON, tu sais que j'ai un petit ami.
S- Je suis sûre que ton petit ami ne joue pas avec toi comme je le fais. Il te traite probablement comme une princesse au lit. Il a peur de te traiter comme tu le souhaites, de quelqu'un qui te parle sale, de quelqu'un qui te fait jouer dans le sexe jusqu'arriver à explorer des endroits que tu ne peux pas imaginer. Tu sais que tu veux un homme qui te domine.
D- Tu ne sais pas de quoi tu parles, tu ne me connais pas. Je suis très bien comme je suis.
S- Bien sûr? Et alors pourquoi es-tu dos à moi en train de sentir ma bite dans ton cul ?

À ce moment-là, j'ai commencé à l'embrasser, dos à moi. Je caressais ses seins, tandis que j’écoutait sa respiration s'accélérer. Puis j'ai baissé ma main et j'ai caressé son clitoris. Elle m'a dit que “j'ai un petit ami, ça ne lui plairait pas”, à ce moment j'ai commencé à m'éloigner et j'ai juste baissé un peu mon pantalon, j'ai une bite normale 15 cm mais je sais comment l'utiliser. Elle m'a vu et s'est approchée de moi et m'a dit :

D- Es-tu sûr de pouvoir me contrôler ? (Tout en serrant fort ma bite).
S- Oui. Tu verras que si.

Nous avons commencé à nous embrasser plus profondément, pendant que nous nous masturbions ensemble. Je lui ai juste soulevé sa robe et je suis descendu pour lui toucher les fesses et aprèes les mordres avec ma bouche, ces fesses que j'aimais tant. Puis j'ai ouvert un peu ses jambes pour lui lécher son vagin. Sentir le goût de ce vagin était incroyable. Pendant que je la léchais, elle m'a dit : « Je veux que tu me pénètres, que tu me fasses tienne. »

S- Veux-tu être ma pute aujourd'hui ?
D- Oui, je suis une pute, tu crois que tu seras la première à me faire l'amour en France ?
S- Tu l'as déjà fait avec quelqu'un d'autre ?
D- Qu'en penses-tu?

À ce moment-là, mon excitation a dépassé les limites et je l'ai jetée sur le lit. Pendant que je lui léchais le vagin, j'ai mis le préservatif et je suis lentement remonté, léchant son corps, jusqu'à ce que mon pénis soit à la hauteur de son vagin et je l’ai pénétré. Elle m'a dit “ton souhait enfin est devenu réalité”.

Je l'ai pénétrée doucement au début, explorant chaque espace de son vagin. Je mettais et sortais ma bite.

S- C'est comme ça que ton copain te baise ? Je lui ai demandé, alors que je commençais à la pénétrer plus fort.
D- Non, c'est pour ça que j'ai été avec deux autres étudiants Erasmus pendant mon séjour en France.

Cela, m'a excité de savoir que ce petit ange était une femme de feu. Je l'embrassais et embrassais ses seins pendant que je la pénétrais. Puis je me suis arrêté un instant et je lui ai ordonné de se mettre à genoux. Elle l'a fait immédiatement, j'ai enlevé le préservatif pour qu'elle puisse me sucer la bite et je lui ai demandé de mordre doucement mon gland. Elle l'ai fait normalement, mais cela m'a excité; de la voir à genoux, pendant que je sortais ma bite et lui frottais le visage avec ma bite, et cela l'excitait encore plus.

Alors je lui ai ordonné de se mettre à quatre pattes, j'ai sorti un autre préservatif et j'ai continué mes pénétrations, la fessant fort. Son vagin était serré, serré et humide. Elle demandait des fessées plus dures et je le faisais. Je la pénétrais doucement puis une pénétration dure suivie de plusieurs pénétrations rapides. Nous transpirions de plaisir.

Pendant que je la pénétrais, je tirais ses cheveux juste assez pour que ce soit excitant et non douloureux. J'ai commencé à jouer avec son anus avec mon petit doigt et je lui ai dit que “j'aimerais que son petit ami voie comment je la faisais mienne”. Ce à quoi pendant que je la pénétrais, elle a pris son téléphone et me l'a donné. Elle m'a demandé de l'enregistrer. Dans cette vidéo, elle me dissait qu'elle était ma pute, qu'elle voulait que je la pénètre plus fort. Oui, ce fut un moment de gros mots, de pénétrations dures, de fessées et d'un plaisir indescriptible pour moi.

Je ne voulais pas finir, je voulais sentir son vagin encore plus, et l'entendre gémir. Je lui ai ordonné de remettre sa robe et nous avons ensuite quitté la pièce un instant. Je voulais lui faire l'amour dans le couloir de la résidence et je voulais ressentir l'adrénaline que quelqu'un puisse nous voir et peut-être nous rejoindre. Cela lui a beaucoup excité, elle m'a dit qu'elle ne voulait pas tromper son copain mais qu'elle ne pouvait pas résister quand quelqu'un savait comment l'exciter, qu'elle ne pouvait pas contenir son envie d'être pénétrée et possédée.

Je la pénétrais et je l'embrassais, je lui mordais les lèvres et je lui dissais qu'elle était à moi et qu'elle devait faire tout ce que je lui disais de faire. Elle était tellement excitée qu'elle a eu un orgasme, hurlant au milieu de sons aigus essayant de contenir le bruit, ce que j'ai adoré. Malheureusement personne n'est venu, alors après quelques minutes nous sommes retournés dans la chambre, j'étais prêt à finir, et c'est ainsi que, pendant qu'elle était allongée sur le dos, je lui ai ordonné d'ouvrir ses fesses pour moi, elle l'a fait docilement et j'ai pénétré son vagin, j'étais au-dessus d'elle avec des pénétrations profondes et sentant la rondeur de son cul quand j'ai terminé, j'ai rempli mon préservatif de sperme.

Nous nous sommes allongés quelques minutes, ma bite toujours dure en elle. Je voulais plus, mais je voulais aussi créer une connection avec elle. Alors j'ai décidé de la prendre dans mes bras et nous nous sommes caressés pendant de longues minutes jusqu'à ce que nous finissions par nous endormir. Le lendemain, nous nous sommes réveillés, nous nous sommes préparés et je l'ai accompagnée jusqu'à son station. Tenant la main comme un couple, nous avons marché en direction de la station et à un moment donné, j'ai soulevé un peu sa robe au milieu de la rue et j'ai caressé ses fesses, alors que nous continuions à marcher, je l'ai doucement poussée dans une rue pas très fréquentée et je suis descendu pour embrasser ces fesses et lécher son vagin une fois de plus.
Finalement, en nous disant au revoir, nous nous sommes embrassés et je lui ai rappelé que je garderais son string comme mon souvenir. Ce fut le début d’une « relation » de sexe, d’amitié, très fugace, mais passionnée, une ralation destinée à mourir bientôt avec son retour.

J'espère que cela vous plaira, ne soyez pas dur, c'est ma première confession, et c’est pa ma langue maternell. Si quelqu'un veut discuter, échanger des histoires ou tenter le destin pour voir ce que cela pourrait nous apporter, n'hésitez pas à m'écrire.