A la découverte du plaisir 3
Récit érotique écrit par Ziza G [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2019 dans la catégorie Pour la première fois
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A la découverte du plaisir 3
Des jours étaient passées, depuis notre dernière rencontre. Je passais mon temps, à fantasmer, à idéaliser, ces moments fabuleux de luxure.
Je savais que viendrait le moment fatidique, où je perdrai ma virginité. Oui, ma virginité, vous savez ce truc entre les jambes d'une femme, qu'on dit être si précieux. Au point où dans certaines cultures, les femmes n'ont surtout pas le droit de perdre ce bijoux, si elles ne veulent pas mourir ou être des parias.
Moi, du haut de mes... j'ai décidé de foutre en l'air ce bijoux !
Je ne me demandais pas si je devais le donner, car pour ma part, il ne s’agissait nullement d'un don. Pour moi, il s'agissait enfin d'ouvrir la boite à trésor. Il en avait la clé.
Enfin je pourrai donner libre cours à mes envies, à mes désirs, à mes fantasmes.
Je crois que je peux dire, que dans ma vie, mon plus grand amour, a été le sexe. D'abord, le sexe par le bien de la masturbation, puis le sexe par la verge d'un homme. Encore, aujourd’hui, je suis totalement amoureuse du sexe. Je saurai baiser un mec qui ne me plaît pas, juste pour le sexe, lui même. On dit souvent que les femmes « font L'AMOUR à leur partenaire ». Moi,e fais L'AMOUR au sexe, lui-même.
Malgré tout, j’ai passé des jours à me demander, si je devais passer à l'acte. Si, c’était bien ou mal. Il était hors de question que j'en parle à mes parents et même à mes amis. Il s'agissait de mon secret, un secret inavoué.
Je me rappelle des longues masturbations que j'ai pu avoir, dans l'espoir d'élargir au maximum ma chatte pour ne pas avoir mal, la première fois. Aussi incroyable que cela puisse paraître, j'ai pu m'enfiler pas mal de choses dans l'entrejambe, sans que je ne perde le bijoux.
Mon copain de l'époque avait une bite démesurée. Quelque chose, dans les environs de 25 centimètres. Je m’en souviens très bien car je n'en ai plus jamais revue, d'aussi longue et grosse de ma vie. Ma première bite, était une bite de "compétition", le genre à donner des frissons, à prendre ses jambes à son cou.
Je me souviens très bien de ce jour. On était chez lui, dans cette petite pièce près du salon, à regarder des hentaï ( mangas pornographique). Pour la jeune fille que j'étais, un dessin animé sexuel c’était le top du top !
J'étais devenue complètement fan de ce type de porno. Je regardais du porno, depuis déjà bien longtemps. Mais le hentai ! Plus que du porno c’était du porno fantastique, dépassant les limites du réels.
Mon mec était assis sur une chaise, moi, j'étais assise sur lui pendant qu'on regardait ces vidéos. A mesure de la progression du film, je sentais sa bite gonflée sur mes fesses. Elle devenait de plus en plus dure. J'ai donc pris l'initiative de m'agenouiller et de lui sucer le membre pendant que j'entendais les gémissements du manga. Il me caressait les cheveux. Il aimait me voir aussi docile, à genoux, à astiquer sa longue bite.
Elle était si longue qu'il m'était impossible de tout mettre dans ma bouche. Elle était si grosse qu'une seule main ne suffisait pas à la tenir correctement. J'arrivais péniblement à mettre la moitié de cette queue dans la bouche. C'était un beau jouet. Une délicieuse banane que j'avais si hâte de m'enfiler.
Contrairement à ce que vous pourriez croire, j'étais amoureuse, profondément amoureuse d'un jeune homme qui était également profondément amoureux de moi. Il me traitait comme une princesse, une princesse qui suçait très bien sa queue, contenu du fait qu'elle manquait d’expérience.
Ce jeune homme était loin d'être bien plus expérimenté que moi. Il avait selon lui eu une seule aventure avant moi. Avec le recul, je pense que c'était également sa première fois.
Après lui avoir gentiment bien nettoyé le manche, à coup de langue, on a décidé d'aller dans sa chambre.
Ça y est le grand jour était arrivé. Le jour ou j'allais selon moi devenir une femme à part entière.
On s'est embrassé, il m'a déshabillé, il m'a caressé tout le corps. Il me trouvait si belle, si ferme, si jeune.
Mes seins durcissaient d’excitation. Mon ventre se contractait de désir. Sa main glissait entre ma fente. Il aimait me mettre des doigts et j'adorais qu'il m'en mettent. Il avait les doigts longs et épais comme un autre de ses membres.
Il était doux, câlin, affectueux mais aussi fougueux, désireux et vicieux ?
Je me rappelle de son regard devant noir sous l’effet des allers et venus de ses doigts et de moi qui gigotait de plaisir. Plus je jouissais, plus son regard devenait obscur.
Il décidait alors de me lécher la chatte et à ce jeux, il était fort. Il avait les dents du bonheur et une de ses spécialités consistait, à placer mon clito entre ces deux dents.
Aussi marrant que cela puisse être, je peux vous assurer que c'est surtout très excitant. Je mouillais tellement qu'on se décide à enfin passer à l'action.
Ça y est le grand jour était arrivé et j’étais prête !
Il a enfilé un préservatif et s'est présenté à la porte de princesse ! Mais voilà, contre toute attente, son pénis ne rentrait pas. Malgré tous mes entraînements !
Pourtant, j'étais dans de bonnes conditions, lubrification au max, dilatation au points de faire rentrer plusieurs doigts, une très forte envie, une excitation intense. Toute les conditions optimales, à une première fois réussie étaient présentes, mais sa bite ne voulait pas rentrer ou plutôt ma chatte ne voulait pas que sa bite rentre.
Il a réessayé encore et encore, rien n'y fait. J'ai mal à en pleurer mais ça ne veut toujours pas. Le feu du désir brûle en moi et j'ai sacrément envie de me prendre cette bite aujourd'hui !
Je prends le taureau par les cornes. Je lui grimpe dessus et décide de m'enfiler cette verge, toute seule, dans cette fente capricieuse. Contre toute attente, je la vois glisser dans mon con. Je la sens comme je n'ai jamais rien ressenti auparavant dans ma vie. Elle est grosse, dure, chaude. J'ai la moitie de la bite dans mon intérieur. Ça y est, elle est rentrée. Ça y est, je ne suis plus vierge.
Mais, je suis surtout incapable de bouger. Dès qu'il bouge j'ai mal. On arrête de bouger, un moment que je me détende, en s'embrassant, en se câlinant, en s'aimant. Il était très gentil ce garçon, très respectueux de ma personne.
On commence des petits va et vient accompagnés de baisers langoureux. J’étais plus détendue. Mais, je ne comprenais pas trop quoi ressentir. Je ne savais pas ce que je devais ressentir. C'était si différent de la masturbation. Je prenais tellement plus de plaisir avec mes doigts que je ne comprenais pas pourquoi, on faisait tout un fouet avec une bite dans la chatte.
Non seulement, ça faisait mal mais en plus mes orgasmes à la main était bien plus fort et plus intense que sa bite dans ma chatte.
J'étais déçue ou perdue, dans ce que je pouvais ressentir. Heureusement ça n'a pas duré si longtemps et très rapidement il a éjaculé. Enfin , il m'a mis des doigts et m'a fait jouir à la main.
Autre détail, n'étant pas des moindre, je m'attendais à voir un tas de sang après ces ébats, et non. Je me suis demandée si jetais toujours vierge ! Je ne comprenais pas trop, mon copain m'a également demandé pourquoi je ne saignais pas et je ne savais pas quoi répondre. Quoiqu'il en soit, ça ne gênait personne de ne pas voir ce sang.
Après être restée au lit, allongée un long moment, je me suis décidée à aller me doucher et là le sang était là !
Quelques jours plus tard, je l'ai quitté pour me mettre avec mon meilleur ami mais ça, ça sera une autre histoire.:D
Je savais que viendrait le moment fatidique, où je perdrai ma virginité. Oui, ma virginité, vous savez ce truc entre les jambes d'une femme, qu'on dit être si précieux. Au point où dans certaines cultures, les femmes n'ont surtout pas le droit de perdre ce bijoux, si elles ne veulent pas mourir ou être des parias.
Moi, du haut de mes... j'ai décidé de foutre en l'air ce bijoux !
Je ne me demandais pas si je devais le donner, car pour ma part, il ne s’agissait nullement d'un don. Pour moi, il s'agissait enfin d'ouvrir la boite à trésor. Il en avait la clé.
Enfin je pourrai donner libre cours à mes envies, à mes désirs, à mes fantasmes.
Je crois que je peux dire, que dans ma vie, mon plus grand amour, a été le sexe. D'abord, le sexe par le bien de la masturbation, puis le sexe par la verge d'un homme. Encore, aujourd’hui, je suis totalement amoureuse du sexe. Je saurai baiser un mec qui ne me plaît pas, juste pour le sexe, lui même. On dit souvent que les femmes « font L'AMOUR à leur partenaire ». Moi,e fais L'AMOUR au sexe, lui-même.
Malgré tout, j’ai passé des jours à me demander, si je devais passer à l'acte. Si, c’était bien ou mal. Il était hors de question que j'en parle à mes parents et même à mes amis. Il s'agissait de mon secret, un secret inavoué.
Je me rappelle des longues masturbations que j'ai pu avoir, dans l'espoir d'élargir au maximum ma chatte pour ne pas avoir mal, la première fois. Aussi incroyable que cela puisse paraître, j'ai pu m'enfiler pas mal de choses dans l'entrejambe, sans que je ne perde le bijoux.
Mon copain de l'époque avait une bite démesurée. Quelque chose, dans les environs de 25 centimètres. Je m’en souviens très bien car je n'en ai plus jamais revue, d'aussi longue et grosse de ma vie. Ma première bite, était une bite de "compétition", le genre à donner des frissons, à prendre ses jambes à son cou.
Je me souviens très bien de ce jour. On était chez lui, dans cette petite pièce près du salon, à regarder des hentaï ( mangas pornographique). Pour la jeune fille que j'étais, un dessin animé sexuel c’était le top du top !
J'étais devenue complètement fan de ce type de porno. Je regardais du porno, depuis déjà bien longtemps. Mais le hentai ! Plus que du porno c’était du porno fantastique, dépassant les limites du réels.
Mon mec était assis sur une chaise, moi, j'étais assise sur lui pendant qu'on regardait ces vidéos. A mesure de la progression du film, je sentais sa bite gonflée sur mes fesses. Elle devenait de plus en plus dure. J'ai donc pris l'initiative de m'agenouiller et de lui sucer le membre pendant que j'entendais les gémissements du manga. Il me caressait les cheveux. Il aimait me voir aussi docile, à genoux, à astiquer sa longue bite.
Elle était si longue qu'il m'était impossible de tout mettre dans ma bouche. Elle était si grosse qu'une seule main ne suffisait pas à la tenir correctement. J'arrivais péniblement à mettre la moitié de cette queue dans la bouche. C'était un beau jouet. Une délicieuse banane que j'avais si hâte de m'enfiler.
Contrairement à ce que vous pourriez croire, j'étais amoureuse, profondément amoureuse d'un jeune homme qui était également profondément amoureux de moi. Il me traitait comme une princesse, une princesse qui suçait très bien sa queue, contenu du fait qu'elle manquait d’expérience.
Ce jeune homme était loin d'être bien plus expérimenté que moi. Il avait selon lui eu une seule aventure avant moi. Avec le recul, je pense que c'était également sa première fois.
Après lui avoir gentiment bien nettoyé le manche, à coup de langue, on a décidé d'aller dans sa chambre.
Ça y est le grand jour était arrivé. Le jour ou j'allais selon moi devenir une femme à part entière.
On s'est embrassé, il m'a déshabillé, il m'a caressé tout le corps. Il me trouvait si belle, si ferme, si jeune.
Mes seins durcissaient d’excitation. Mon ventre se contractait de désir. Sa main glissait entre ma fente. Il aimait me mettre des doigts et j'adorais qu'il m'en mettent. Il avait les doigts longs et épais comme un autre de ses membres.
Il était doux, câlin, affectueux mais aussi fougueux, désireux et vicieux ?
Je me rappelle de son regard devant noir sous l’effet des allers et venus de ses doigts et de moi qui gigotait de plaisir. Plus je jouissais, plus son regard devenait obscur.
Il décidait alors de me lécher la chatte et à ce jeux, il était fort. Il avait les dents du bonheur et une de ses spécialités consistait, à placer mon clito entre ces deux dents.
Aussi marrant que cela puisse être, je peux vous assurer que c'est surtout très excitant. Je mouillais tellement qu'on se décide à enfin passer à l'action.
Ça y est le grand jour était arrivé et j’étais prête !
Il a enfilé un préservatif et s'est présenté à la porte de princesse ! Mais voilà, contre toute attente, son pénis ne rentrait pas. Malgré tous mes entraînements !
Pourtant, j'étais dans de bonnes conditions, lubrification au max, dilatation au points de faire rentrer plusieurs doigts, une très forte envie, une excitation intense. Toute les conditions optimales, à une première fois réussie étaient présentes, mais sa bite ne voulait pas rentrer ou plutôt ma chatte ne voulait pas que sa bite rentre.
Il a réessayé encore et encore, rien n'y fait. J'ai mal à en pleurer mais ça ne veut toujours pas. Le feu du désir brûle en moi et j'ai sacrément envie de me prendre cette bite aujourd'hui !
Je prends le taureau par les cornes. Je lui grimpe dessus et décide de m'enfiler cette verge, toute seule, dans cette fente capricieuse. Contre toute attente, je la vois glisser dans mon con. Je la sens comme je n'ai jamais rien ressenti auparavant dans ma vie. Elle est grosse, dure, chaude. J'ai la moitie de la bite dans mon intérieur. Ça y est, elle est rentrée. Ça y est, je ne suis plus vierge.
Mais, je suis surtout incapable de bouger. Dès qu'il bouge j'ai mal. On arrête de bouger, un moment que je me détende, en s'embrassant, en se câlinant, en s'aimant. Il était très gentil ce garçon, très respectueux de ma personne.
On commence des petits va et vient accompagnés de baisers langoureux. J’étais plus détendue. Mais, je ne comprenais pas trop quoi ressentir. Je ne savais pas ce que je devais ressentir. C'était si différent de la masturbation. Je prenais tellement plus de plaisir avec mes doigts que je ne comprenais pas pourquoi, on faisait tout un fouet avec une bite dans la chatte.
Non seulement, ça faisait mal mais en plus mes orgasmes à la main était bien plus fort et plus intense que sa bite dans ma chatte.
J'étais déçue ou perdue, dans ce que je pouvais ressentir. Heureusement ça n'a pas duré si longtemps et très rapidement il a éjaculé. Enfin , il m'a mis des doigts et m'a fait jouir à la main.
Autre détail, n'étant pas des moindre, je m'attendais à voir un tas de sang après ces ébats, et non. Je me suis demandée si jetais toujours vierge ! Je ne comprenais pas trop, mon copain m'a également demandé pourquoi je ne saignais pas et je ne savais pas quoi répondre. Quoiqu'il en soit, ça ne gênait personne de ne pas voir ce sang.
Après être restée au lit, allongée un long moment, je me suis décidée à aller me doucher et là le sang était là !
Quelques jours plus tard, je l'ai quitté pour me mettre avec mon meilleur ami mais ça, ça sera une autre histoire.:D
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