A LA PLAGE 01
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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A LA PLAGE 01
A LA PLAGE 01
Avec Denis on n'osait pas. Tout est là !
Denis c'est mon doudou. Il travaille dans une salle de sport et à la suite de je ne sais quel problème avec un employé qui jouait les voyeurs, à ce qu'on m'a dit, tout le personnel masculin doit porter un dispositif de chasteté. Et mon doudou tout comme ses camarades n'aura le droit de le retirer que le jour de son départ de l'entreprise, démission ou départ en retraite … On ne m'a pas tout raconté comme je vous le disais, si vous voulez avoir plus de détails vous devriez lire le texte '' Sous la douche ''.
Ça m'avait bien excité sont histoire surtout que moi aussi j'en portais un. Mais j'avais pas voulu investir dans un truc comme le sien, il est de grande marque mais c'est pas donné et c'est pas toujours adapté … Bein oui c'est que je chausse large moi ! Toutefois je suis bricoleur et après quelques essais j'étais parvenu à fabriquer un dispositif perso qui me valait des commentaires encourageants, et même des félicitations.
Il m'avait contacté à cause des mes histoires. Si vous ne voyez pas de quoi je parle, demandez-vous seulement ce que vous êtes en train de lire en ce moment … Il aimait bien mes histoires et par le biais de la boite au lettres du site de publication on discutait et on faisait connaissance. Il habitait la région, il n'habitait même pas à trente kilomètres de chez moi, on a donc décidé de se rencontrer. Je vous raconterai un jour cette histoire, ce n'est pas de ça qu'il s'agit aujourd'hui.
On se connaissait maintenant depuis quelques temps et on s'amusait bien ensemble, la tendresse se mélangeait à la frustration mais finalement ça nous allait bien. Mon dispositif a été conçu pour pouvoir être porté en permanence, il m'est possible de décalotter et de glisser un doigt à l'intérieur ( le plus petit ), quand je ne bande pas, ça passe juste mais ça passe. Il ne faudrait pas moins large ! Je peux ainsi passer sous la douche sans le retirer. Le sien est un modèle de marque, en titane, la PK ça vous dit quelque chose sans doute, il est superbe je ne vous dis pas … Mais son prix aussi ...
L'été approchait et comme je le disais plus haut … On n'osait pas !
On n'osait pas se montrer à poil comme ça sur la plage, même sur la plage naturiste qui se trouve dans la région, il y en a une grande … C'est une plage sauvage, il n'y a pas grand monde. Pour y aller il faut d’abord traverser la forêt, la dune, il n'y a aucune installation touristiques et des rochers par endroit nous garantissent une certaine discrétion. Et c'est pas du luxe car si mon dispositif est tout à fait fonctionnel, il n'est pas discret. En PVC blanc ivoire en plein soleil on le voit de loin. L'autre jour je regardais Denis sortir de l'eau, la plage était presque déserte, il portait le bouclier blanc ivoire sur son dispositif ce qui fait que de loin il ressemble au mien, j'étais sur la dune et de loin je voyait très clairement une silhouette sombre qui se dessinait devant l'étendue d'eau éblouissante de lumière mais rapidement je devinais un point blanc en haut de ses cuisses.
Il s'éloignait de l'eau, se rapprochait des rochers et on ne remarquais plus que ça. On se demandait ce que ça pouvait bien être, bon moi je savais de quoi il s'agissait mais si on ne sait pas …
Mais il faut bien dire que ça nous fait bien rire tout ça. On cherche toutefois à ne pas trop se faire remarquer, mais bon c'est facile il n'y a presque personne. Et quand on se retrouve avec plein de monde autour on garde un maillot de bain si on veut vraiment être discrets, le dispositif est alors totalement invisible. Je dis, on garde un maillot de bain mais, enfin, on n'en est encore jamais arrivé là !
Mais on a trouvé un coin tranquille.
La saison commençait à peine, il y avait un peu plus de touriste et ça se voyait sur la plage. Cette plage n'est jamais couverte de monde, mais il y en avait un peu plus que pendant tout le mois de Juin ou il faut dire, c'était vraiment très calme.
J'étais allongé à l'abri d'un gros rocher, Denis allongé également avait posé sa tête sur mon ventre, je lui caressait doucement le torse en pensant à autre chose. On prenait le soleil et nous étions déjà largement bronzés. Le dispositif que nous portions faisait encore plus contraste, blanc sur la peau ambrée.
On sursautait quand on a entendu un '' Salut ! '', bien fort, bien ferme, bien audible, bien proche … On relevait la tête, c'était un groupe de quatre mecs, un petit blanc, un beau black, un grand métisse et un large arabe. Je n'avais même pas le réflexe de dissimuler mon dispositif, j'avais des étoiles dans les yeux, ils étaient de toutes les couleurs et en plus il étaient tous très beaux.
Denis : On fait quoi là Charly ?
Moi : Rien, qu'est-ce que tu veux faire.
Denis : Je sais pas, ils vont voir notre dispositif de chasteté.
Moi : Je crois qu'ils l'ont déjà vu. Je crois même que c'est pour ça qu'ils se sont installés juste là.
Je devais avoir un grand sourire béat sur la figure, et je ne pouvais plus les lâcher des yeux, ils étaient tellement beaux.
Moi : Salut !
Le black : Sympa votre truc les mecs.
Les trois autres nous regardaient avec un large sourire, et acquiesçaient de la tête. Ils se déshabillaient tranquillement. Le petit blanc était assez musclé mais mince, le black me faisait rêver ses muscles étaient tellement bien dessinés, le mec métissé avait un visage carré qui inspirait la force et le mec arabe avait une peau mat que j'avais déjà envie de caresser. En plus les trois derniers étaient particulièrement bien membrés.
Je sentais ma queue dans sa cage, elle prenait rapidement toute la place disponible.
Le black s'approchait, plus il s'approchait plus il était beau.
Lui : Moi c'est François, vous êtes du coin ?
Le premier contact était établi, les trois autres s'approchaient et on faisait connaissance. Il y avait Clic, c'était le petit blanc, bonne tête, musculature fine mais ferme, petite bite, enfin normale en longueur mais large. Un peu comme moi. Le second c'était Alain, père nord africain, mère suédoise … Je ne vous dis pas comment ce genre de mélange ça le fait. Le troisième, David, venait de la région parisienne. Et le black donc qui s'était déjà présenté , François.
Ils avaient tous un visage souriant et franc. Ils balançaient une bite de très belle taille, chacun en avait une belle et ils en étaient fiers. Les quatre étaient circoncis mais c'est vrai que Clic se démarquait, c'était le plus petit, et je ne parle pas seulement de la taille de sa bite.
David s'était approché avec sa serviette dans la main et tout naturellement il s'installait juste à côté de nous. Je vous garantis que ni Denis ni moi n'avions l'idée de le chasser. Les autres en faisaient de même et on faisait connaissance.
Clic : Dis moi Charly, ton truc, je ne savais pas qu'on pouvait le trouver dans le commerce.
Denis : Pourquoi tu dis ça ?
Clic : Je l'ai vu sur l'Internet, le gars qui l'a fabriqué avait des problèmes de taille, il disait … Pas en longueur mais en largeur … J'ai le même problème …Denis : Et le mien alors …Clic : Le tien on voit qu'il est moins large !
Moi : Mais c'est que tu as l’œil toi ! En fait on ne le trouve pas dans le commerce, c'est un modèle unique …Clic : Alors c'est toi le célèbre … Charly … !
Moi : Célèbre ? Tu n'exagères pas un peu là ?
Il rigolait.
On continuait à discuter et quand ils se sont levé pour aller tâter la température de l'eau on les suivait. Pour une fois on ne pensait pas à cacher notre dispositif, même pas un tout petit peu. Je sentais une pression maximum dans ma cage, un peu comme le matin quand je me réveille et que mon corps veux s'exprimer. Oh comment que je dis bien les choses … '' Mon corps veux s'exprimer '' ! Je jetais un œil en direction de mon camarade Denis et je voyais qu'il était dans le même état que moi.
L'eau était bonne, on a joué un bon moment, on s'arrosait, on se poussait, on plongeait, sous l'eau un passait entre les jambes de l'autre … Bref quand on remontait de l'eau Denis et moi étions les seuls à ne pas bander. Déjà que au repos ils étaient impressionnants en érection je ne vous dis pas. Ma queue bandait tellement dans sa cage que des petits bourrelets de peau ressortaient par les trous d'aération. J'étais habitué à porter mon truc mais là j'avais du mal.
On s'est fait sécher sur la serviette.
François : Dites les gars, ça vous dérangerais si je regarde votre truc de plus prêt.
On le laissait faire, et quelques instants plus tard il me tripotait les couilles. J'étais aux anges, je le laissais faire. Je suppose que c'est par distraction si ma main se glissait entre ses cuisses, remontait doucement jusqu'à ses couilles, il bandait ferme quand j'y arrivais.
François : C'est bien ce que tu fais là !
Moi : Il y a eu beaucoup d'essais avant d'y arriver.
François : Non je parlais de ce que tu me fais là.
On éclatait de rire, et puisque l'ambiance était à la détente je penchais ma tête et faisais ce que j'avais envie de faire depuis le début, je lui suçais la queue. Il repliait une jambe pour m'aider et me massait doucement les couilles puis glissait un doigt entre mes fesses.
On est resté là un moment à l’abri des rochers. Avec Denis on s'est fait peloter, on à sucé tout le monde. Enfin les quatre queues que la providence nous avait apporté. On ne cherchait pas les faire juter, juste le plaisir du toucher, de la caresse. C'étaient des grosse queues, bien fermes, bien raides, bien dures. Le petit Clic devait avoir la même taille que moi.
Ils étaient au camping, on leur proposait de faire un barbecue chez Denis, il a un grand jardin, l'idée leur plaisait et le temps de faire un détour au supermarché on se retrouvait tous là bas. Le jardin était très grand et sans vis-à-vis, on se retrouvait vite à poil. Je ne sais pas qui a pris en main la préparation du repas.
François m'a pris la main et m'a entraîné dans un coin. J'étais comme hypnotisé par la finesse de ses muscles et la douceur de sa peau. Il me tendait ses lèvres, je le prenais dans mes bras. Il m'embrassait dans le cou, je le serrais fort contre moi. Il me caressait le corps, de la main je lui caressais la bite. Je l'avais vu à la plage, il en avait une belle, plus de vingt centimètres et là ça commence à faire long.
Je me mettais à genoux devant lui, il semblait me retenir avec deux mains posées de chaque côté de mon visage et m'embrassait. Ensuite il me caressait les cheveux et m'encourageait quand je lui caressait le gland avec la langue. Il poussait quelques gémissements de plaisir et appuyait tout doucement sur ma tête.
Il était d'une grande douceur et j'ai aimé ça. Je le masturbais avec passion, je passait ma langue sur toute la longueur de sa queue, elle me faisait presque peur. Puis je lui gobait les couilles, je le sentais se contracter, ça fait ça quelquefois au mec quand ses deux couilles rentrent dans la bouche. Je le sentais se tortiller sur lui même. Je retirais mon visage et dans le mouvement suivant je lui gobais la queue en une fois, sur toute sa longueur.
De nouveau je le sentais se contracter, il ne s'y attendait pas. Son gland s'écrasait contre le fond de ma gorge, il me tenait le visage avec fermeté mais il ne m'obligeait pas à avaler sa queue, il me tenait mais ne me retenait pas.
Je lui caressais les cuisses, mes mains remontaient jusqu'à ses fesses et je glissais un doigt entre ses fesses.
François : Ne, ne, ne, c'est moi qui te défonce le cul pas toi.
Lui il ne prenait rien dans le cul mais bon, c'est pas grave, il a ce qu'il faut pour te dilater la rondelle et pour moi, ça me suffit. Je lui caressais les fesses mais ne m'approchais plus de son cul.
De nouveau je prenais sa queue dans la bouche, je ne sais pas comment je faisais, je me surprenais moi-même mais je parvenais à la faire entrer en entier. Par moment je le tirais vers moi, j'avais mes mains sur ses fesses et derrière ses cuisses et quand il sentais que je le tirais vers moi, il avançait son bassin avec un mouvement ferme mais contrôlé. Il était vraiment tout en douceur, sa peau était douce, ses mouvement étaient doux, ses caresses étaient douces et j'en redemandais . J'aime bien quand c'est doux moi !
Je me relevais lentement en embrassant chaque muscle de son ventre, chaque muscle de son torse, je mordillais doucement ses tétons, il m'écrasait le visage contre, il m'écrasait mais toujours avec cette douceur, cette force, cette virilité. À la moindre résistance de ma part je sentais ses muscles se détendre, prêts à me laisser libre de mes mouvements.
Il me prenait dans ses bras, je me retournais et lui offrais mon cul. Je me penchais en avant. Je savais qu'il pouvait faire mal mais je savais aussi, je sentais que je pouvais lui faire confiance, en effet il m'a pénétré avec douceur. Il me lubrifiait longuement le cul et il m'a pénétré.
J'ai senti cette pression contre mon anus, une pression qui augmentait jusqu'au moment ou mon anus cédait et se dilatait. Là j'ai poussé un cri, je le sentais s'introduire lentement, je respirait fort. Il y allait tout doucement, il se penchait sur mon épaule pour s'assurer que tout allait bien pour moi et il en profitait pour me donner quelques baisers, et me mordiller le cou. Je me tortillais et mon anus se détendait un peu plus, il s'enfonçait encore un peu.
Mes gémissements devenaient plus forts, je me retournais vers mes camarades. J'apercevais Clic et David qui s'affairaient autour du barbecue, ça fumait et ça sentait bon. François s'enfonçait encore un peu, je fermais les yeux et penchais la tête en avant. C'était terrifiant mais c'était bon et comme je m'en doutait il était d'une douceur incroyable.
Il poussait une dernière fois et son ventre appuyait sur mes fesses. Je manquais d'air, relevais la tête et respirait bien à fond. Il me tirait contre lui, il passait un bras par dessus mon épaule, j'étais debout dans ses bras, sa queue bien plantée dans mon cul. Nos deux souffles se synchronisaient et c'est avec des mouvements lents et parfaitement contrôlés qu'il appuyait son ventre contre mes fesses puis se retirait légèrement. Je sentais sa queue au fond de mon ventre, c'était bon, tellement bon.
Je parcourais du regard le jardin tout autour de moi et je finissais par apercevoir mon camarade Denis, il était allongé sur le gazon, le visage à moitié dans l'herbe il se faisait défoncer le cul lui aussi par … Ah je ne sais plus comment il s'appelle lui … enfin le suédois ! ( ou presque )
François restait très concentré sur mes réactions, il retirait maintenant sa bite presque en entier, puis revenait bien à fond. Il poussait doucement contre mes fesses puis reprenait. Mes gémissements devenaient de vraies plaintes.
Quand il penchait son visage sur mon oreille … '' Ça va ? C'est bon ? ''… Il était merveilleux, terriblement attentionné, il restait avant tout concentré sur mes réactions et n'accélérait que si je manifestais un encouragement, un geste et il se retenait, et là je devinais qu'il était prêt à se retirer. C'est aussi ça qui a provoqué cette monté de plaisir qui m'a envahi. Tout mon corps s'est mis à trembler, je me suis mis à gémir, à sangloter.
C'est sans doute ce qui à provoqué chez lui ces contraction musculaires, il se retenait toujours mais je sentais que quelque chose lui échappait. Brusquement il m'a serré très fort, il s'est enfoncé très fort, c'est le seul instant ou il ne s'est pas contrôlé. Il a joui dans mon cul, j'ai joui avec mon cul et avec ma queue aussi. Je n'ai pas juté mais j'ai joui.
Il me tenait serré contre lui, nos deux cœur battaient fort parfaitement synchronisés, nos respirations étaient fortes. Nous ne bougions plus.
Au bout de quelques instants on se calmait et il se retirait. Au moment ou il s'est totalement retiré de mon cul, un nouveau plaisir m'envahissait de nouveau, je jouissais de nouveau et de ma cage le sperme coulait sans vouloir s'arrêter. Il ne giclait pas il coulait doucement, longuement.
François me donnait un baiser dans le dos, entre les omoplates. Ça chatouille, j'adore, puis me prenant par le bras il m'invitait à rejoindre le barbecue. On passait à côté de Denis et de Alain. Denis était allongé sur le sol et Alain allongé sur Denis. Ils ne bougeaient plus.
Moi : Ça va Denis ?
Denis relevait une main, un pouce en l'air …
Denis : Ça va fort !
Ils nous retrouvaient quelques instants plus tard, il y avait de quoi manger et je commençais à avoir faim moi.
…
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Avec Denis on n'osait pas. Tout est là !
Denis c'est mon doudou. Il travaille dans une salle de sport et à la suite de je ne sais quel problème avec un employé qui jouait les voyeurs, à ce qu'on m'a dit, tout le personnel masculin doit porter un dispositif de chasteté. Et mon doudou tout comme ses camarades n'aura le droit de le retirer que le jour de son départ de l'entreprise, démission ou départ en retraite … On ne m'a pas tout raconté comme je vous le disais, si vous voulez avoir plus de détails vous devriez lire le texte '' Sous la douche ''.
Ça m'avait bien excité sont histoire surtout que moi aussi j'en portais un. Mais j'avais pas voulu investir dans un truc comme le sien, il est de grande marque mais c'est pas donné et c'est pas toujours adapté … Bein oui c'est que je chausse large moi ! Toutefois je suis bricoleur et après quelques essais j'étais parvenu à fabriquer un dispositif perso qui me valait des commentaires encourageants, et même des félicitations.
Il m'avait contacté à cause des mes histoires. Si vous ne voyez pas de quoi je parle, demandez-vous seulement ce que vous êtes en train de lire en ce moment … Il aimait bien mes histoires et par le biais de la boite au lettres du site de publication on discutait et on faisait connaissance. Il habitait la région, il n'habitait même pas à trente kilomètres de chez moi, on a donc décidé de se rencontrer. Je vous raconterai un jour cette histoire, ce n'est pas de ça qu'il s'agit aujourd'hui.
On se connaissait maintenant depuis quelques temps et on s'amusait bien ensemble, la tendresse se mélangeait à la frustration mais finalement ça nous allait bien. Mon dispositif a été conçu pour pouvoir être porté en permanence, il m'est possible de décalotter et de glisser un doigt à l'intérieur ( le plus petit ), quand je ne bande pas, ça passe juste mais ça passe. Il ne faudrait pas moins large ! Je peux ainsi passer sous la douche sans le retirer. Le sien est un modèle de marque, en titane, la PK ça vous dit quelque chose sans doute, il est superbe je ne vous dis pas … Mais son prix aussi ...
L'été approchait et comme je le disais plus haut … On n'osait pas !
On n'osait pas se montrer à poil comme ça sur la plage, même sur la plage naturiste qui se trouve dans la région, il y en a une grande … C'est une plage sauvage, il n'y a pas grand monde. Pour y aller il faut d’abord traverser la forêt, la dune, il n'y a aucune installation touristiques et des rochers par endroit nous garantissent une certaine discrétion. Et c'est pas du luxe car si mon dispositif est tout à fait fonctionnel, il n'est pas discret. En PVC blanc ivoire en plein soleil on le voit de loin. L'autre jour je regardais Denis sortir de l'eau, la plage était presque déserte, il portait le bouclier blanc ivoire sur son dispositif ce qui fait que de loin il ressemble au mien, j'étais sur la dune et de loin je voyait très clairement une silhouette sombre qui se dessinait devant l'étendue d'eau éblouissante de lumière mais rapidement je devinais un point blanc en haut de ses cuisses.
Il s'éloignait de l'eau, se rapprochait des rochers et on ne remarquais plus que ça. On se demandait ce que ça pouvait bien être, bon moi je savais de quoi il s'agissait mais si on ne sait pas …
Mais il faut bien dire que ça nous fait bien rire tout ça. On cherche toutefois à ne pas trop se faire remarquer, mais bon c'est facile il n'y a presque personne. Et quand on se retrouve avec plein de monde autour on garde un maillot de bain si on veut vraiment être discrets, le dispositif est alors totalement invisible. Je dis, on garde un maillot de bain mais, enfin, on n'en est encore jamais arrivé là !
Mais on a trouvé un coin tranquille.
La saison commençait à peine, il y avait un peu plus de touriste et ça se voyait sur la plage. Cette plage n'est jamais couverte de monde, mais il y en avait un peu plus que pendant tout le mois de Juin ou il faut dire, c'était vraiment très calme.
J'étais allongé à l'abri d'un gros rocher, Denis allongé également avait posé sa tête sur mon ventre, je lui caressait doucement le torse en pensant à autre chose. On prenait le soleil et nous étions déjà largement bronzés. Le dispositif que nous portions faisait encore plus contraste, blanc sur la peau ambrée.
On sursautait quand on a entendu un '' Salut ! '', bien fort, bien ferme, bien audible, bien proche … On relevait la tête, c'était un groupe de quatre mecs, un petit blanc, un beau black, un grand métisse et un large arabe. Je n'avais même pas le réflexe de dissimuler mon dispositif, j'avais des étoiles dans les yeux, ils étaient de toutes les couleurs et en plus il étaient tous très beaux.
Denis : On fait quoi là Charly ?
Moi : Rien, qu'est-ce que tu veux faire.
Denis : Je sais pas, ils vont voir notre dispositif de chasteté.
Moi : Je crois qu'ils l'ont déjà vu. Je crois même que c'est pour ça qu'ils se sont installés juste là.
Je devais avoir un grand sourire béat sur la figure, et je ne pouvais plus les lâcher des yeux, ils étaient tellement beaux.
Moi : Salut !
Le black : Sympa votre truc les mecs.
Les trois autres nous regardaient avec un large sourire, et acquiesçaient de la tête. Ils se déshabillaient tranquillement. Le petit blanc était assez musclé mais mince, le black me faisait rêver ses muscles étaient tellement bien dessinés, le mec métissé avait un visage carré qui inspirait la force et le mec arabe avait une peau mat que j'avais déjà envie de caresser. En plus les trois derniers étaient particulièrement bien membrés.
Je sentais ma queue dans sa cage, elle prenait rapidement toute la place disponible.
Le black s'approchait, plus il s'approchait plus il était beau.
Lui : Moi c'est François, vous êtes du coin ?
Le premier contact était établi, les trois autres s'approchaient et on faisait connaissance. Il y avait Clic, c'était le petit blanc, bonne tête, musculature fine mais ferme, petite bite, enfin normale en longueur mais large. Un peu comme moi. Le second c'était Alain, père nord africain, mère suédoise … Je ne vous dis pas comment ce genre de mélange ça le fait. Le troisième, David, venait de la région parisienne. Et le black donc qui s'était déjà présenté , François.
Ils avaient tous un visage souriant et franc. Ils balançaient une bite de très belle taille, chacun en avait une belle et ils en étaient fiers. Les quatre étaient circoncis mais c'est vrai que Clic se démarquait, c'était le plus petit, et je ne parle pas seulement de la taille de sa bite.
David s'était approché avec sa serviette dans la main et tout naturellement il s'installait juste à côté de nous. Je vous garantis que ni Denis ni moi n'avions l'idée de le chasser. Les autres en faisaient de même et on faisait connaissance.
Clic : Dis moi Charly, ton truc, je ne savais pas qu'on pouvait le trouver dans le commerce.
Denis : Pourquoi tu dis ça ?
Clic : Je l'ai vu sur l'Internet, le gars qui l'a fabriqué avait des problèmes de taille, il disait … Pas en longueur mais en largeur … J'ai le même problème …Denis : Et le mien alors …Clic : Le tien on voit qu'il est moins large !
Moi : Mais c'est que tu as l’œil toi ! En fait on ne le trouve pas dans le commerce, c'est un modèle unique …Clic : Alors c'est toi le célèbre … Charly … !
Moi : Célèbre ? Tu n'exagères pas un peu là ?
Il rigolait.
On continuait à discuter et quand ils se sont levé pour aller tâter la température de l'eau on les suivait. Pour une fois on ne pensait pas à cacher notre dispositif, même pas un tout petit peu. Je sentais une pression maximum dans ma cage, un peu comme le matin quand je me réveille et que mon corps veux s'exprimer. Oh comment que je dis bien les choses … '' Mon corps veux s'exprimer '' ! Je jetais un œil en direction de mon camarade Denis et je voyais qu'il était dans le même état que moi.
L'eau était bonne, on a joué un bon moment, on s'arrosait, on se poussait, on plongeait, sous l'eau un passait entre les jambes de l'autre … Bref quand on remontait de l'eau Denis et moi étions les seuls à ne pas bander. Déjà que au repos ils étaient impressionnants en érection je ne vous dis pas. Ma queue bandait tellement dans sa cage que des petits bourrelets de peau ressortaient par les trous d'aération. J'étais habitué à porter mon truc mais là j'avais du mal.
On s'est fait sécher sur la serviette.
François : Dites les gars, ça vous dérangerais si je regarde votre truc de plus prêt.
On le laissait faire, et quelques instants plus tard il me tripotait les couilles. J'étais aux anges, je le laissais faire. Je suppose que c'est par distraction si ma main se glissait entre ses cuisses, remontait doucement jusqu'à ses couilles, il bandait ferme quand j'y arrivais.
François : C'est bien ce que tu fais là !
Moi : Il y a eu beaucoup d'essais avant d'y arriver.
François : Non je parlais de ce que tu me fais là.
On éclatait de rire, et puisque l'ambiance était à la détente je penchais ma tête et faisais ce que j'avais envie de faire depuis le début, je lui suçais la queue. Il repliait une jambe pour m'aider et me massait doucement les couilles puis glissait un doigt entre mes fesses.
On est resté là un moment à l’abri des rochers. Avec Denis on s'est fait peloter, on à sucé tout le monde. Enfin les quatre queues que la providence nous avait apporté. On ne cherchait pas les faire juter, juste le plaisir du toucher, de la caresse. C'étaient des grosse queues, bien fermes, bien raides, bien dures. Le petit Clic devait avoir la même taille que moi.
Ils étaient au camping, on leur proposait de faire un barbecue chez Denis, il a un grand jardin, l'idée leur plaisait et le temps de faire un détour au supermarché on se retrouvait tous là bas. Le jardin était très grand et sans vis-à-vis, on se retrouvait vite à poil. Je ne sais pas qui a pris en main la préparation du repas.
François m'a pris la main et m'a entraîné dans un coin. J'étais comme hypnotisé par la finesse de ses muscles et la douceur de sa peau. Il me tendait ses lèvres, je le prenais dans mes bras. Il m'embrassait dans le cou, je le serrais fort contre moi. Il me caressait le corps, de la main je lui caressais la bite. Je l'avais vu à la plage, il en avait une belle, plus de vingt centimètres et là ça commence à faire long.
Je me mettais à genoux devant lui, il semblait me retenir avec deux mains posées de chaque côté de mon visage et m'embrassait. Ensuite il me caressait les cheveux et m'encourageait quand je lui caressait le gland avec la langue. Il poussait quelques gémissements de plaisir et appuyait tout doucement sur ma tête.
Il était d'une grande douceur et j'ai aimé ça. Je le masturbais avec passion, je passait ma langue sur toute la longueur de sa queue, elle me faisait presque peur. Puis je lui gobait les couilles, je le sentais se contracter, ça fait ça quelquefois au mec quand ses deux couilles rentrent dans la bouche. Je le sentais se tortiller sur lui même. Je retirais mon visage et dans le mouvement suivant je lui gobais la queue en une fois, sur toute sa longueur.
De nouveau je le sentais se contracter, il ne s'y attendait pas. Son gland s'écrasait contre le fond de ma gorge, il me tenait le visage avec fermeté mais il ne m'obligeait pas à avaler sa queue, il me tenait mais ne me retenait pas.
Je lui caressais les cuisses, mes mains remontaient jusqu'à ses fesses et je glissais un doigt entre ses fesses.
François : Ne, ne, ne, c'est moi qui te défonce le cul pas toi.
Lui il ne prenait rien dans le cul mais bon, c'est pas grave, il a ce qu'il faut pour te dilater la rondelle et pour moi, ça me suffit. Je lui caressais les fesses mais ne m'approchais plus de son cul.
De nouveau je prenais sa queue dans la bouche, je ne sais pas comment je faisais, je me surprenais moi-même mais je parvenais à la faire entrer en entier. Par moment je le tirais vers moi, j'avais mes mains sur ses fesses et derrière ses cuisses et quand il sentais que je le tirais vers moi, il avançait son bassin avec un mouvement ferme mais contrôlé. Il était vraiment tout en douceur, sa peau était douce, ses mouvement étaient doux, ses caresses étaient douces et j'en redemandais . J'aime bien quand c'est doux moi !
Je me relevais lentement en embrassant chaque muscle de son ventre, chaque muscle de son torse, je mordillais doucement ses tétons, il m'écrasait le visage contre, il m'écrasait mais toujours avec cette douceur, cette force, cette virilité. À la moindre résistance de ma part je sentais ses muscles se détendre, prêts à me laisser libre de mes mouvements.
Il me prenait dans ses bras, je me retournais et lui offrais mon cul. Je me penchais en avant. Je savais qu'il pouvait faire mal mais je savais aussi, je sentais que je pouvais lui faire confiance, en effet il m'a pénétré avec douceur. Il me lubrifiait longuement le cul et il m'a pénétré.
J'ai senti cette pression contre mon anus, une pression qui augmentait jusqu'au moment ou mon anus cédait et se dilatait. Là j'ai poussé un cri, je le sentais s'introduire lentement, je respirait fort. Il y allait tout doucement, il se penchait sur mon épaule pour s'assurer que tout allait bien pour moi et il en profitait pour me donner quelques baisers, et me mordiller le cou. Je me tortillais et mon anus se détendait un peu plus, il s'enfonçait encore un peu.
Mes gémissements devenaient plus forts, je me retournais vers mes camarades. J'apercevais Clic et David qui s'affairaient autour du barbecue, ça fumait et ça sentait bon. François s'enfonçait encore un peu, je fermais les yeux et penchais la tête en avant. C'était terrifiant mais c'était bon et comme je m'en doutait il était d'une douceur incroyable.
Il poussait une dernière fois et son ventre appuyait sur mes fesses. Je manquais d'air, relevais la tête et respirait bien à fond. Il me tirait contre lui, il passait un bras par dessus mon épaule, j'étais debout dans ses bras, sa queue bien plantée dans mon cul. Nos deux souffles se synchronisaient et c'est avec des mouvements lents et parfaitement contrôlés qu'il appuyait son ventre contre mes fesses puis se retirait légèrement. Je sentais sa queue au fond de mon ventre, c'était bon, tellement bon.
Je parcourais du regard le jardin tout autour de moi et je finissais par apercevoir mon camarade Denis, il était allongé sur le gazon, le visage à moitié dans l'herbe il se faisait défoncer le cul lui aussi par … Ah je ne sais plus comment il s'appelle lui … enfin le suédois ! ( ou presque )
François restait très concentré sur mes réactions, il retirait maintenant sa bite presque en entier, puis revenait bien à fond. Il poussait doucement contre mes fesses puis reprenait. Mes gémissements devenaient de vraies plaintes.
Quand il penchait son visage sur mon oreille … '' Ça va ? C'est bon ? ''… Il était merveilleux, terriblement attentionné, il restait avant tout concentré sur mes réactions et n'accélérait que si je manifestais un encouragement, un geste et il se retenait, et là je devinais qu'il était prêt à se retirer. C'est aussi ça qui a provoqué cette monté de plaisir qui m'a envahi. Tout mon corps s'est mis à trembler, je me suis mis à gémir, à sangloter.
C'est sans doute ce qui à provoqué chez lui ces contraction musculaires, il se retenait toujours mais je sentais que quelque chose lui échappait. Brusquement il m'a serré très fort, il s'est enfoncé très fort, c'est le seul instant ou il ne s'est pas contrôlé. Il a joui dans mon cul, j'ai joui avec mon cul et avec ma queue aussi. Je n'ai pas juté mais j'ai joui.
Il me tenait serré contre lui, nos deux cœur battaient fort parfaitement synchronisés, nos respirations étaient fortes. Nous ne bougions plus.
Au bout de quelques instants on se calmait et il se retirait. Au moment ou il s'est totalement retiré de mon cul, un nouveau plaisir m'envahissait de nouveau, je jouissais de nouveau et de ma cage le sperme coulait sans vouloir s'arrêter. Il ne giclait pas il coulait doucement, longuement.
François me donnait un baiser dans le dos, entre les omoplates. Ça chatouille, j'adore, puis me prenant par le bras il m'invitait à rejoindre le barbecue. On passait à côté de Denis et de Alain. Denis était allongé sur le sol et Alain allongé sur Denis. Ils ne bougeaient plus.
Moi : Ça va Denis ?
Denis relevait une main, un pouce en l'air …
Denis : Ça va fort !
Ils nous retrouvaient quelques instants plus tard, il y avait de quoi manger et je commençais à avoir faim moi.
…
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