A la recherche de Clytia
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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A la recherche de Clytia
L'Odyssée de La Belle Hélène – A la recherche de Clytia -
Hélène avait longuement chevauché, n'accordant aucun repos à sa monture, pas plus qu'Elle ne s'en accordait à Elle, malgré les élancements et les douleurs d’engourdissement qu’elle ressentait après des heures et des heures en selle. La Belle Hélène voulait parvenir au plus tôt dans les environs d'Olympie. Elle devrait s'y montrer discrète mais perspicace afin de retrouver Clytia, Son esclave ! Certes, Elle pensait aussi à Endymion, mais avec nettement moins d'acuité car pour l’instant, c'était Sa femelle qui occupait toutes Ses Pensées. Cette jeune femme, cette aristocrate élevée pour évoluer au sommet de la société grecque et qui avait renoncé à tout pour Hélène... Même à la couche du Roi de Sparte ! Hélène se sentait un devoir (de Domination) envers la jeune femme... Et La Maîtresse ne pouvait se cacher qu'Elle avait aussi ouvert Ses Sens aux plaisirs lesbiens qu'Elle prenait avec Clytia, dressée pour Lui prodiguer tellement de plaisirs, par leurs ébats physiques comme par l'abandon sincère dont elle savait faire preuve lorsque La Maîtresse la livrait à d'autres... Bref ! Hélène voulait Clytia, presque autant que Clytia ne pouvait vivre sans Hélène... La relation entre-elles était devenue si fusionnelle que La plus Belle Femme du Monde Grec voulait retrouver Son esclave, la sentir auprès d'Elle, éprouver sans concession l'engagement total de l'esclave qui Lui avait voué son insignifiante existence…
La nuit tombait lorsqu'enfin Hélène parvint dans les faubourgs de la Cité Sacrée. L'endroit grouillait d'une faune plus que douteuse. Brigands de grands chemins, putains de bas étage, mendiants estropiés, trafiquants des produits les plus divers... Hélène fronça le nez de dégoût à la vue de cette humanité. Le chemin de terre parfaitement damée avait cédé la place à une espèce de boue gluante, mélange de terre humide, de déchets, d'excréments, sur lequel la jument épuisée peinait à préserver sa stabilité. Hélène calma sa monture, puis démonta menant la jument par la bride. Les regards se posaient sur Elle, plus collants que les mouches qui bourdonnaient un peu partout. Hélène avançait d'un bon pas, s'éloignant promptement de ces lieux aussi malsains qu'insalubres, pour gagner une partie plus agréable de cette ville sortie spontanément de terre à l'approche des Jeux sacrés les plus célèbres du monde. Ici, l'ambiance était nettement plus calme. Certes Hélène repéra plusieurs bâtiments destinés à abriter des plaisirs tarifés, remarquables aux nombreuses femmes vêtues légèrement de tuniques pourpres et outrageusement maquillées de colorations à base de fleurs et d’argile et qui allaient et venaient à proximité battre la rue à défaut de trottoirs. Hélène repéra l'une des bâtisses qui lui semblait les mieux tenues. On avait manifestement utilisé les ruines d'un ancien temple pour ériger une maison de plaisirs assez accueillante. Elle alla d'abord confier sa monture à un maréchal-ferrant, puis se rendit vers ce bordel…
Rares étaient les femmes libres comme Elle. La plupart de celles qui évoluaient par ici portaient la tunique rouge des prostituées... d'autres n'étaient que des esclaves, quelques-unes les épouses de riches voyageurs. Ces dernières se remarquaient à la gêne qu'exprimaient leurs visages, comme leurs corps manifestement crispés. Il est vrai qu'une Citoyenne de qualité quittait fort rarement sa demeure, préférant le luxe de l’époque de la petite bourgeoisie grecque. Et que la découverte d'un tel endroit du vice, devait en effrayer plus d'une. Mais il n'y avait pas là de quoi inquiéter Hélène qui s'engagea d'un pas décidé à l'intérieur, passant entre les deux colonnes doriques de l'entrée pour pénétrer dans un lieu sombre et bruyant, au son mal accordé de piteux instruments à cordes et tambours d'un orchestre composé de musiciens aveugles, zigzaguant entre les hommes titubants, les esclaves femelles à demi nues et les putains aux tuniques rouges plus ou moins ajustées... Un vin douteux y coulait à flot tout droit sorti de volumineuses amphores… Forte de l'expérience accumulée lorsqu'Elle n'était que êta, la pornaï du port, l'esclave amnésique, (lire le tome 1, Les douze servitudes d’Hélène) Hélène se dirigea directement vers un homme d'allure massive, à la tête joufflue, au regard pervers et aux doigts ornés de bagues... Il avait l’air du parfait maquereau surveillant ses catins. Hélène vint se planter face à lui... Il la fixa avec envie, scruta les formes de cette femme à l'allure si noble, aux formes moulées dans une tunique aussi courte que suggestive...
- Si tu cherches un emploi, je peux m'occuper de toi, dit-il avec un sourire carnassier...
- Tu n'en aurais pas les moyens, s'amusa Hélène, mais si tu me rends service, je peux quelque chose pour toi...
L'homme se redressa, il était encore plus grand et large, malgré son apparente bedaine... Il posa une main large comme un battoir sur l'épaule d’Hélène
- Tu es belle, il n’y a pas à en douter... Mais ici c'est d'abord la quantité qui compte. Mais puisque tu es entrée ici, je crois que je vais te garder, après tout, qui te réclamerait ?
Comme il se penchait sur Hélène, celle-ci d'un geste prompt attira la tête de l'homme vers Elle et brandit un fin et brillant stylet à la lame très effilée, qu'elle posa tout contre l'oreille libre de ce visage qui reposait contre son sein... Elle murmura...
- Si j'enfonce cette lame dans ton oreille, tu es mort. Et je serai loin avant que l'on se doute de ce qui t'est arrivé...
- Euh... calme ... du calme, que… que veux-tu ? bafouilla l'homme, saisi par la vivacité avec laquelle il était passé du statut de prédateur à celui de proie et craignant de passer plus vite encore de vie à trépas...
- J'ai besoin de renseignements, toi et tes putains allez me les fournir... et puis je te récompenserai... je vais te donner un acompte de ce que tu peux espérer. Mais un acompte seulement... Portes moi là où on peut être tranquille sans y être dérangé, et pas de mauvais geste, la lame ne demanderai qu’à s’enfoncer dans ton crâne… ordonna-t-Elle.
Le colosse obéit et la prit dans ses bras, sentant toujours la pointe du stylet prête à percer sa tempe. Il la porta jusqu'à l'arrière du bâtiment, là où étaient installés ses appartements. Une sorte de vaste pièce à la décoration du pire mauvais goût, où trois putains attendaient lascivement la bonne volonté de leur Maître. Hélène lui fit congédier les trois femelles qui reçurent l'ordre d'aller contenter quelques clients et Hélène se dégagea, forçant toujours sous la menace de sa pointe effilée l'homme à s'allonger. Contre un mur un énorme et lourd tonneau de vin trônait avec quelques cordes posées sur son dessus, certainement pour aider à le déplacer. La Belle s’en saisit et elle fit asseoir l’homme à terre, à s’adosser contre le tonneau puis elle l’attacha solidement à ce fut de vin et arracha sa tunique. L'homme dénudé ne tarda pas à montrer un sexe dressé... Hélène approcha sa fine lame des parties avec un sourire cruel... L'homme tressaillit et son sexe fondit à vue d'oeil.
- Ne crains rien, dit Hélène en rangeant son arme. Je t'ai dit que j'allais t'offrir un acompte, alors détends toi...
Après lui avoir attaché également les chevilles, Elle s'assit à califourchon face à lui sur les cuisses de l'homme et saisit la verge devenue flasque entre ses doigts. Lentement, Elle commença à imprimer un mouvement de va et viens au sexe qui se tendit rapidement. Hélène agissait lentement, sa main se promenait le long de la verge, libérant le gland épais. Le maquereau prisonnier bandait fort sous cette lente branlette, il gémissait de plaisir sous la douce caresse de cette main experte. Hélène contemplait cet homme qui était en Son Pouvoir... Elle sentait la verge palpiter sous ses doigts, Elle savait précisément comment le mener jusqu'au bord de la jouissance, sans pour autant la lui accorder. Le maquereau s'agitait, en demandait plus... Hélène soudain retira Sa Main.
- Suffit, parlons affaires maintenant, dit-Elle...
- Quoi ! rugit sa victime. Mais... tu ne peux pas me laisser ainsi ! Fais-moi jouir salope !
Une gifle, deux... répondirent à l'insulte. L'homme tirait sur les liens, en vain. Hélène posa une Main sur le sexe encore dressé, mais se contenta de le serrer fortement, enfonçant lentement ses ongles dans la tige de chair, jusqu'à obtenir un cri ! Comme le maquereau l'insultait encore, une nouvelle série de gifles le fit taire... Puis Hélène se redressa, se mettant debout au-dessus de lui ... Elle inspira longuement, un pied de chaque côté du corps assis de l’homme attaché, elle écarta ses jambes, s’appuyant de ses mains sur le rebord du tonneau et se mit à lui pisser dessus... le flot était abondant et il coulait sur le visage et le corps de l'homme qui secouait la tête sans pouvoir y échapper...
- C'est moi qui décide et moi seule, est-ce clair ? imposa Hélène... Pour le moment je suis, très gentille... mais je pourrai changer d'attitude, dit La Belle en souriant, tu comprends ça, mâle stupide ? demanda-Elle en posant Son Pieds sur le sexe, appuyant ainsi de plus en plus fort...
Dans un souffle, le maquereau montra qu'il avait (enfin) compris.
- Oui ! oui, bel… belle Dame, dite-moi ce que je dois faire, souffla-t-il vaincu.
- AAhh ! Dommage, j'allais bien m'amuser, dit Hélène... Bien, écoute, je suis à la recherche d'une esclave, une très jolie esclave facile à reconnaître car elle a le crâne rasé... Tu dois pouvoir savoir où la trouver, car je suppose qu’une esclave de sa qualité n’a pas dût passer inaperçue ici dans cette Cité, où j’imagine aisément que tout ce qui ne passe pas inaperçu est vite ébruité dans chaque bordel, dans chaque quartier… Alors dis-moi comment faire et je consentirai à achever ma besogne- D'accord, oui je vais t'aider, mais avant tu peux me détacher, répondit le maquereau.
Hélène sourit, l'homme le prenait décidément pour une idiote. Elle se retint de le frapper encore, alors, elle sortit simplement une petite fiole d'une bourse dissimulée sous sa tunique et força l'homme à boire... En un instant, il était inconscient, le soporifique agissant avec une rapidité foudroyante. Hélène allait pouvoir s'occuper de lui...
Tandis que sa Maîtresse la recherchait, Clytia était livrée aux pervers assauts de l'assemblée des Sages d'Olympie. Ces vieillards lubriques savaient qu'ils ne disposaient que de quelques semaines pour assouvir tous leurs bas instincts sur cette délicieuse esclave, cette chienne puisque nulle femme ne pouvait être admise dans la Cité. Dans un mois, environ, Praxitèle et Phryné la réclameraient comme parfait modèle à la réalisation d’une sculpture d’Aphrodite de Cnide. D'ici là, les Sages pouvaient disposer de l'esclave pour tous leurs pervers plaisirs. Et chacun d'entre eux nourrissait ses pensées des exigences les plus vicieuses ! Clytia était enchaînée dans une pièce, où le seul meuble était une couche toute simple, dénuée de draps... Ses bras relevés aux poignets joints par la fine chaîne qui était reliée à un unique pilier auquel la chaîne était fixée par un anneau au-dessus de l’esclave. Elle était ainsi nue en permanence exposée et offerte et les Sages venaient la visiter au gré de leurs disponibilités, certains venaient plusieurs fois par jour se soulager les testicules, d'autres pour les plus anciens et moins vigoureux, de loin en loin. Mais de jour en jour, rares étaient les moments où un, voire plusieurs de ses orifices n'étaient pas remplis par un sexe plus ou moins vigoureux. Ils se succédaient en permanence, certains lassés d'attendre leur tour venant prendre part aux plaisirs de leur prédécesseur. Clytia se pliait docilement à toutes les turpitudes dont elle était l'objet. Elle subissait tout avec ardeur et application, offrant un plaisir maximum à tous, y compris à deux d'entre eux qui jouissaient de pouvoir savourer tout ce que produisait son corps, qui n'était jamais détaché de cette couche... Et il était visiblement évident de constater tous les plaisirs jouissifs qu’elle prenait avec chacun de ses geôliers qui n’avaient pour sagesse que le nom usurpés de ‘’Sages’’. Sous les assauts des uns et les attouchements des autres, Clytia se montrait la plus dévouée des servantes ne manquant jamais un orgasme, n’omettant jamais de jouir de son corps et de sa condition même si ses pensées étaient tournées en permanence vers La Belle Hélène... Les Sages d'Olympie étaient si désireux de la saillir qu'ils en oubliaient presque l'organisation des Jeux Sacrés !
(A suivre…)
Hélène avait longuement chevauché, n'accordant aucun repos à sa monture, pas plus qu'Elle ne s'en accordait à Elle, malgré les élancements et les douleurs d’engourdissement qu’elle ressentait après des heures et des heures en selle. La Belle Hélène voulait parvenir au plus tôt dans les environs d'Olympie. Elle devrait s'y montrer discrète mais perspicace afin de retrouver Clytia, Son esclave ! Certes, Elle pensait aussi à Endymion, mais avec nettement moins d'acuité car pour l’instant, c'était Sa femelle qui occupait toutes Ses Pensées. Cette jeune femme, cette aristocrate élevée pour évoluer au sommet de la société grecque et qui avait renoncé à tout pour Hélène... Même à la couche du Roi de Sparte ! Hélène se sentait un devoir (de Domination) envers la jeune femme... Et La Maîtresse ne pouvait se cacher qu'Elle avait aussi ouvert Ses Sens aux plaisirs lesbiens qu'Elle prenait avec Clytia, dressée pour Lui prodiguer tellement de plaisirs, par leurs ébats physiques comme par l'abandon sincère dont elle savait faire preuve lorsque La Maîtresse la livrait à d'autres... Bref ! Hélène voulait Clytia, presque autant que Clytia ne pouvait vivre sans Hélène... La relation entre-elles était devenue si fusionnelle que La plus Belle Femme du Monde Grec voulait retrouver Son esclave, la sentir auprès d'Elle, éprouver sans concession l'engagement total de l'esclave qui Lui avait voué son insignifiante existence…
La nuit tombait lorsqu'enfin Hélène parvint dans les faubourgs de la Cité Sacrée. L'endroit grouillait d'une faune plus que douteuse. Brigands de grands chemins, putains de bas étage, mendiants estropiés, trafiquants des produits les plus divers... Hélène fronça le nez de dégoût à la vue de cette humanité. Le chemin de terre parfaitement damée avait cédé la place à une espèce de boue gluante, mélange de terre humide, de déchets, d'excréments, sur lequel la jument épuisée peinait à préserver sa stabilité. Hélène calma sa monture, puis démonta menant la jument par la bride. Les regards se posaient sur Elle, plus collants que les mouches qui bourdonnaient un peu partout. Hélène avançait d'un bon pas, s'éloignant promptement de ces lieux aussi malsains qu'insalubres, pour gagner une partie plus agréable de cette ville sortie spontanément de terre à l'approche des Jeux sacrés les plus célèbres du monde. Ici, l'ambiance était nettement plus calme. Certes Hélène repéra plusieurs bâtiments destinés à abriter des plaisirs tarifés, remarquables aux nombreuses femmes vêtues légèrement de tuniques pourpres et outrageusement maquillées de colorations à base de fleurs et d’argile et qui allaient et venaient à proximité battre la rue à défaut de trottoirs. Hélène repéra l'une des bâtisses qui lui semblait les mieux tenues. On avait manifestement utilisé les ruines d'un ancien temple pour ériger une maison de plaisirs assez accueillante. Elle alla d'abord confier sa monture à un maréchal-ferrant, puis se rendit vers ce bordel…
Rares étaient les femmes libres comme Elle. La plupart de celles qui évoluaient par ici portaient la tunique rouge des prostituées... d'autres n'étaient que des esclaves, quelques-unes les épouses de riches voyageurs. Ces dernières se remarquaient à la gêne qu'exprimaient leurs visages, comme leurs corps manifestement crispés. Il est vrai qu'une Citoyenne de qualité quittait fort rarement sa demeure, préférant le luxe de l’époque de la petite bourgeoisie grecque. Et que la découverte d'un tel endroit du vice, devait en effrayer plus d'une. Mais il n'y avait pas là de quoi inquiéter Hélène qui s'engagea d'un pas décidé à l'intérieur, passant entre les deux colonnes doriques de l'entrée pour pénétrer dans un lieu sombre et bruyant, au son mal accordé de piteux instruments à cordes et tambours d'un orchestre composé de musiciens aveugles, zigzaguant entre les hommes titubants, les esclaves femelles à demi nues et les putains aux tuniques rouges plus ou moins ajustées... Un vin douteux y coulait à flot tout droit sorti de volumineuses amphores… Forte de l'expérience accumulée lorsqu'Elle n'était que êta, la pornaï du port, l'esclave amnésique, (lire le tome 1, Les douze servitudes d’Hélène) Hélène se dirigea directement vers un homme d'allure massive, à la tête joufflue, au regard pervers et aux doigts ornés de bagues... Il avait l’air du parfait maquereau surveillant ses catins. Hélène vint se planter face à lui... Il la fixa avec envie, scruta les formes de cette femme à l'allure si noble, aux formes moulées dans une tunique aussi courte que suggestive...
- Si tu cherches un emploi, je peux m'occuper de toi, dit-il avec un sourire carnassier...
- Tu n'en aurais pas les moyens, s'amusa Hélène, mais si tu me rends service, je peux quelque chose pour toi...
L'homme se redressa, il était encore plus grand et large, malgré son apparente bedaine... Il posa une main large comme un battoir sur l'épaule d’Hélène
- Tu es belle, il n’y a pas à en douter... Mais ici c'est d'abord la quantité qui compte. Mais puisque tu es entrée ici, je crois que je vais te garder, après tout, qui te réclamerait ?
Comme il se penchait sur Hélène, celle-ci d'un geste prompt attira la tête de l'homme vers Elle et brandit un fin et brillant stylet à la lame très effilée, qu'elle posa tout contre l'oreille libre de ce visage qui reposait contre son sein... Elle murmura...
- Si j'enfonce cette lame dans ton oreille, tu es mort. Et je serai loin avant que l'on se doute de ce qui t'est arrivé...
- Euh... calme ... du calme, que… que veux-tu ? bafouilla l'homme, saisi par la vivacité avec laquelle il était passé du statut de prédateur à celui de proie et craignant de passer plus vite encore de vie à trépas...
- J'ai besoin de renseignements, toi et tes putains allez me les fournir... et puis je te récompenserai... je vais te donner un acompte de ce que tu peux espérer. Mais un acompte seulement... Portes moi là où on peut être tranquille sans y être dérangé, et pas de mauvais geste, la lame ne demanderai qu’à s’enfoncer dans ton crâne… ordonna-t-Elle.
Le colosse obéit et la prit dans ses bras, sentant toujours la pointe du stylet prête à percer sa tempe. Il la porta jusqu'à l'arrière du bâtiment, là où étaient installés ses appartements. Une sorte de vaste pièce à la décoration du pire mauvais goût, où trois putains attendaient lascivement la bonne volonté de leur Maître. Hélène lui fit congédier les trois femelles qui reçurent l'ordre d'aller contenter quelques clients et Hélène se dégagea, forçant toujours sous la menace de sa pointe effilée l'homme à s'allonger. Contre un mur un énorme et lourd tonneau de vin trônait avec quelques cordes posées sur son dessus, certainement pour aider à le déplacer. La Belle s’en saisit et elle fit asseoir l’homme à terre, à s’adosser contre le tonneau puis elle l’attacha solidement à ce fut de vin et arracha sa tunique. L'homme dénudé ne tarda pas à montrer un sexe dressé... Hélène approcha sa fine lame des parties avec un sourire cruel... L'homme tressaillit et son sexe fondit à vue d'oeil.
- Ne crains rien, dit Hélène en rangeant son arme. Je t'ai dit que j'allais t'offrir un acompte, alors détends toi...
Après lui avoir attaché également les chevilles, Elle s'assit à califourchon face à lui sur les cuisses de l'homme et saisit la verge devenue flasque entre ses doigts. Lentement, Elle commença à imprimer un mouvement de va et viens au sexe qui se tendit rapidement. Hélène agissait lentement, sa main se promenait le long de la verge, libérant le gland épais. Le maquereau prisonnier bandait fort sous cette lente branlette, il gémissait de plaisir sous la douce caresse de cette main experte. Hélène contemplait cet homme qui était en Son Pouvoir... Elle sentait la verge palpiter sous ses doigts, Elle savait précisément comment le mener jusqu'au bord de la jouissance, sans pour autant la lui accorder. Le maquereau s'agitait, en demandait plus... Hélène soudain retira Sa Main.
- Suffit, parlons affaires maintenant, dit-Elle...
- Quoi ! rugit sa victime. Mais... tu ne peux pas me laisser ainsi ! Fais-moi jouir salope !
Une gifle, deux... répondirent à l'insulte. L'homme tirait sur les liens, en vain. Hélène posa une Main sur le sexe encore dressé, mais se contenta de le serrer fortement, enfonçant lentement ses ongles dans la tige de chair, jusqu'à obtenir un cri ! Comme le maquereau l'insultait encore, une nouvelle série de gifles le fit taire... Puis Hélène se redressa, se mettant debout au-dessus de lui ... Elle inspira longuement, un pied de chaque côté du corps assis de l’homme attaché, elle écarta ses jambes, s’appuyant de ses mains sur le rebord du tonneau et se mit à lui pisser dessus... le flot était abondant et il coulait sur le visage et le corps de l'homme qui secouait la tête sans pouvoir y échapper...
- C'est moi qui décide et moi seule, est-ce clair ? imposa Hélène... Pour le moment je suis, très gentille... mais je pourrai changer d'attitude, dit La Belle en souriant, tu comprends ça, mâle stupide ? demanda-Elle en posant Son Pieds sur le sexe, appuyant ainsi de plus en plus fort...
Dans un souffle, le maquereau montra qu'il avait (enfin) compris.
- Oui ! oui, bel… belle Dame, dite-moi ce que je dois faire, souffla-t-il vaincu.
- AAhh ! Dommage, j'allais bien m'amuser, dit Hélène... Bien, écoute, je suis à la recherche d'une esclave, une très jolie esclave facile à reconnaître car elle a le crâne rasé... Tu dois pouvoir savoir où la trouver, car je suppose qu’une esclave de sa qualité n’a pas dût passer inaperçue ici dans cette Cité, où j’imagine aisément que tout ce qui ne passe pas inaperçu est vite ébruité dans chaque bordel, dans chaque quartier… Alors dis-moi comment faire et je consentirai à achever ma besogne- D'accord, oui je vais t'aider, mais avant tu peux me détacher, répondit le maquereau.
Hélène sourit, l'homme le prenait décidément pour une idiote. Elle se retint de le frapper encore, alors, elle sortit simplement une petite fiole d'une bourse dissimulée sous sa tunique et força l'homme à boire... En un instant, il était inconscient, le soporifique agissant avec une rapidité foudroyante. Hélène allait pouvoir s'occuper de lui...
Tandis que sa Maîtresse la recherchait, Clytia était livrée aux pervers assauts de l'assemblée des Sages d'Olympie. Ces vieillards lubriques savaient qu'ils ne disposaient que de quelques semaines pour assouvir tous leurs bas instincts sur cette délicieuse esclave, cette chienne puisque nulle femme ne pouvait être admise dans la Cité. Dans un mois, environ, Praxitèle et Phryné la réclameraient comme parfait modèle à la réalisation d’une sculpture d’Aphrodite de Cnide. D'ici là, les Sages pouvaient disposer de l'esclave pour tous leurs pervers plaisirs. Et chacun d'entre eux nourrissait ses pensées des exigences les plus vicieuses ! Clytia était enchaînée dans une pièce, où le seul meuble était une couche toute simple, dénuée de draps... Ses bras relevés aux poignets joints par la fine chaîne qui était reliée à un unique pilier auquel la chaîne était fixée par un anneau au-dessus de l’esclave. Elle était ainsi nue en permanence exposée et offerte et les Sages venaient la visiter au gré de leurs disponibilités, certains venaient plusieurs fois par jour se soulager les testicules, d'autres pour les plus anciens et moins vigoureux, de loin en loin. Mais de jour en jour, rares étaient les moments où un, voire plusieurs de ses orifices n'étaient pas remplis par un sexe plus ou moins vigoureux. Ils se succédaient en permanence, certains lassés d'attendre leur tour venant prendre part aux plaisirs de leur prédécesseur. Clytia se pliait docilement à toutes les turpitudes dont elle était l'objet. Elle subissait tout avec ardeur et application, offrant un plaisir maximum à tous, y compris à deux d'entre eux qui jouissaient de pouvoir savourer tout ce que produisait son corps, qui n'était jamais détaché de cette couche... Et il était visiblement évident de constater tous les plaisirs jouissifs qu’elle prenait avec chacun de ses geôliers qui n’avaient pour sagesse que le nom usurpés de ‘’Sages’’. Sous les assauts des uns et les attouchements des autres, Clytia se montrait la plus dévouée des servantes ne manquant jamais un orgasme, n’omettant jamais de jouir de son corps et de sa condition même si ses pensées étaient tournées en permanence vers La Belle Hélène... Les Sages d'Olympie étaient si désireux de la saillir qu'ils en oubliaient presque l'organisation des Jeux Sacrés !
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