À tes anciens princes charmants
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2016 dans la catégorie A dormir debout
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Couleur du fond :
À tes anciens princes charmants
À Toi.
A Toi, chanson de Joe Dassin, chanteur de variété de notre adolescence.
Epoque bénie just'après l'invention de la pilule. Le sexe avait les couleurs de l'amour et Joe Dassin en était l'ambassadeur en habit de scène blanc. Il chantait la tendresse des amitiés amoureuses blottis l'un contre l'autre dans les draps propres.
Epoque étrange que celle de notre jeunesse, contes de fée enchaînés les uns derrière les autres, filles de tous horizons que l'on a tant aimées.
On n'était pas faits pour vivre ensemble
Ça n'suffit pas toujours de s'aimer bien
On s'est aimés comme on se quitte
Tout simplement sans penser à demain
C'est pas facile de se dire adieu...
Ces histoires dans nos mémoires méritent-elles qu'on les écrive ici sur HDS ? Sont-elles suffisamment de sexe ?
Trop de tendresse attachée à chacune de ces filles qui ont partagé un bout de notre vie. C'était pas du cul, non, c'était bien plus. En tous cas ça nous a laissé comme un florilège de bonheurs en nostalgie aux heures apaisées de l'âge.
Aujourd'hui, je les entends qui causent plan cul.
Nous on disait pas ça. On ne le pensait même pas. Nous, on était amoureux à chaque fois et nos fiancées itou. On les baisait à couilles rabattues, oui, mais pour la bonne cause, pour l'Amourrr comme disait alors Johnny, notre maître à penser à tous.
Qu'est-ce qui a changé en trente ans ?
Excuse-me Lady, à d'autres mais pas à moi...
N'allez pas croire des choses, qu'on aurait été des gamins, des oies blanches. Non, nous, garçons filles, tout pareil, on a forniqué intensément.
Mais Bob Dylan, à l'époque, nous expliquait des choses qu'on comprenait comme évidences. Et qu'aujourd'hui plus personne n'arrive à saisir. Tout ce que tu m'as dit vieux Bob Dylan maudit, c'était menti.
En fait, en réalité non. Nous on commençait par jouer les amoureux, à fond. Regards en dessous et timidité, fausse timidité de simulacre. On savait faire ces trucs-là de coup de foudre simulé. Mais vous savez pas combien c'est bon de simuler un coup de foudre même si c'est pas totalement vrai.
En fait, comme ils disent, c'est caïman si bon de le vivre en vrai que de le simuler.
En fait, comme on dit, c'est quasiment pareil. Surtout dans le cœur.
Et puis après dans les bras de l'aimée, on s'y croit tant qu'on y est, on baise comme des anges et quand on s'éclate, c'est paradis.
Tout ça pour vous dire que chez HDS sont petits joueurs les mecs qui nous racontent leur boxers gonflés de bite géante au gland dégagé comme crâne à Jupé, suppositoire egghead.
Souchon chantait, rien ne vaut la vie
Quand je tiens tiens dans mes mains épanouies les petits seins de mon amie...
A Toi, chanson de Joe Dassin, chanteur de variété de notre adolescence.
Epoque bénie just'après l'invention de la pilule. Le sexe avait les couleurs de l'amour et Joe Dassin en était l'ambassadeur en habit de scène blanc. Il chantait la tendresse des amitiés amoureuses blottis l'un contre l'autre dans les draps propres.
Epoque étrange que celle de notre jeunesse, contes de fée enchaînés les uns derrière les autres, filles de tous horizons que l'on a tant aimées.
On n'était pas faits pour vivre ensemble
Ça n'suffit pas toujours de s'aimer bien
On s'est aimés comme on se quitte
Tout simplement sans penser à demain
C'est pas facile de se dire adieu...
Ces histoires dans nos mémoires méritent-elles qu'on les écrive ici sur HDS ? Sont-elles suffisamment de sexe ?
Trop de tendresse attachée à chacune de ces filles qui ont partagé un bout de notre vie. C'était pas du cul, non, c'était bien plus. En tous cas ça nous a laissé comme un florilège de bonheurs en nostalgie aux heures apaisées de l'âge.
Aujourd'hui, je les entends qui causent plan cul.
Nous on disait pas ça. On ne le pensait même pas. Nous, on était amoureux à chaque fois et nos fiancées itou. On les baisait à couilles rabattues, oui, mais pour la bonne cause, pour l'Amourrr comme disait alors Johnny, notre maître à penser à tous.
Qu'est-ce qui a changé en trente ans ?
Excuse-me Lady, à d'autres mais pas à moi...
N'allez pas croire des choses, qu'on aurait été des gamins, des oies blanches. Non, nous, garçons filles, tout pareil, on a forniqué intensément.
Mais Bob Dylan, à l'époque, nous expliquait des choses qu'on comprenait comme évidences. Et qu'aujourd'hui plus personne n'arrive à saisir. Tout ce que tu m'as dit vieux Bob Dylan maudit, c'était menti.
En fait, en réalité non. Nous on commençait par jouer les amoureux, à fond. Regards en dessous et timidité, fausse timidité de simulacre. On savait faire ces trucs-là de coup de foudre simulé. Mais vous savez pas combien c'est bon de simuler un coup de foudre même si c'est pas totalement vrai.
En fait, comme ils disent, c'est caïman si bon de le vivre en vrai que de le simuler.
En fait, comme on dit, c'est quasiment pareil. Surtout dans le cœur.
Et puis après dans les bras de l'aimée, on s'y croit tant qu'on y est, on baise comme des anges et quand on s'éclate, c'est paradis.
Tout ça pour vous dire que chez HDS sont petits joueurs les mecs qui nous racontent leur boxers gonflés de bite géante au gland dégagé comme crâne à Jupé, suppositoire egghead.
Souchon chantait, rien ne vaut la vie
Quand je tiens tiens dans mes mains épanouies les petits seins de mon amie...
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