A trois ... enfin plutôt à six
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
A trois ... enfin plutôt à six
Je l’avais invitée à souper au resto. Resto branché de Barcelone sur la place Royale. Il était tard. En Catalogne on soupe tard.
Elle était bien belle, blonde dans les lumières du resto et de la place. Son blond vénitien s’accordait aux lumières diverses, du lampadaire municipal en fer forgé à sa gauche, du grand lustre de terrasse du resto et de la petite lampe de chevet avec abat-jour blanc posée sur la nappe de notre table.
Moi je la matais concupiscieusement et j’étais tout séduit de sa beauté presque ibérique de teint mat sombre étonnement éclairée de cheveux très clairs à la française.
Je pensais, aura-t-elle cette couleur en concordance, aussi, entre les cuisses ?
Faut dire que moi je suis un voyou qui ne pense qu’à ça. Sans vergogne aucune.
Je m’interrogeais sur le naturel ou non de cette couleur et sur l’opportunité qui me serait peut être bientôt donnée de le vérifier. J’avais fait petit investissement de repas dans un resto classe en vue, exclusivement, de la sauter en suivant.
On est comme ça, nous les mecs, avec des idées, plein d’idées, derrière la tête...
C’était une fille rieuse et je me régalais du moment passé avec elle sur cette place Réal de Barcelone.
Nos voisins de tablée, deux couples d’authentiques Catalans qui parlaient l’idiome local à toute allure comme vrais Espagnols, nous avaient fait l’honneur d’engager conversation et de faire compagnie. Nous bavardions en sabir franco castillan catalan de choses et d’autres en reluquant les chemisiers bien tendus de nos copines respectives.
Lesquelles faisaient les fières, mentons haut et poumons bien gonflés.
Manifestement ma copine plaisait bien aux deux voisins qui bichaient à l’idée de se faire, peut-être, une petite Française. Plus tard dans la nuit … si opportunité.
J’avoue que j’avais alors en tête de me faire en contre-partie deux petites Espagnoles. Brunes aux chevelures épaisses et lourdes. Et probablement épaisses, en concordance, de touffe sombre entre les cuisses.
D’autant que la mienne n’était pas encore mienne, alors que les leurs paraissaient être en main depuis belle lurette... Une occasion d’échange gratifiant.
Pour moi. Deux contre une, je ne perdrais pas au change.
Comme souvent en Catalogne, nous fûmes invités à finir la soirée, tard passé minuit, en l’hacienda de l’un des senors, le plus beau des deux Catalans. À proximité disait-il...
Encore des sornettes. Le chemin qui menait à son home était à peine carrossable et je pensais que le Catalan inviteur devrait nous offrir, après les digestifs, l’hospitalité.
Il eût été inconvenant qu’il en fût autrement vu la complexité du dédale de petites routes menant à l’hacienda, totalement inextricable dans la nuit noire.
Néanmoins je m’interrogeais sur la suite des événements après le Xérès au salon d’été en bord de piscine dans de grands verres genre armagnac. Aurions-nous chacun une chambre d’ami, leurs copains catalans et nous Français ou bien nous serait-il proposé une autre formule, un peu plus conviviale ?
Et bien oui, c’est exactement cela qui nous fut proposé.
L’étape intermédiaire était d’évidence le bain de minuit, à poil bien sûr vu qu’aucun d’entre nous n’avait prévu de maillot pour se rendre à cette invitation impromptue de fin de repas gastro. Étape qui avait le goût la couleur l’odeur forte du préliminaire.
Au sortir du bain tout mouillés moitié séchés des grandes serviettes qui nous drapaient, on a suivi nos hôtes au « solarium » Dans la pénombre vu qu’il faisait nuit noire soleil couché depuis longtemps qui ne se lèverait d’aube que bien plus tard.
Moi, j’étais mouillé mais déjà bien bandé et matais les petites fesses ibériques dansantes devant moi. Et je pensais, je leur laisse le beau postère de ma Française. Généreux je suis, comme toujours.
Faut dire que celle-ci avait de quoi satisfaire la main de l’homme et même pire de deux d’entre-eux. Deux magnifiques cotylédons callipyges ouverts cambrés sur la craque comme invite irrésistible. Profonde, l’invite… Et manifestement généreusement poilue et trempée.
J’avais pour ma part une petite Catalane à chaque bras, mes mains à leur tailles fines dures et musclées. Les filles riaient. Elles avaient compris que leurs mecs étaient en grande vadrouille avec la Française et qu’elles devraient, elles, se rabattre sur le Français. Elles rigolaient et cela ne semblait pas leur déplaire.
Le solarium était garni de très larges matelas et j’ai décidé que l’un seulement suffirait à nos ébats à trois.
Les serviettes étaient tombées au sol et les filles toutes nues se roulaient contre moi, moi aussi nu comme un ver, dans la chaleur de l’été catalan.
Je sentais leurs touffes épaisses racler contre mes cuisses. Elles se frottaient, humides et ouvertes. Elles cherchaient. Moi je pensais que ces Catalanes avaient bon esprit et je les serrais toutes deux dans mes bras avec tendresse et amitié.
Bien entendu, ce qui devait arriver arriva, et je me suis retrouvé planté au fond de l’une d’elles, étroite et profonde, gluante de sucs d’amour. L’autre n’a marqué aucune jalousie et me caressait les fesses avec une certaine tendance, ardente, indécente à vouloir visiter mon cul.
Et j’étais, étonnamment, plus intéressé par ce doigt inquisiteur qui parcourait mon périnée que par le fourreau serré qui accueillait ma bite.
Encore que les deux sensations complémentaires m’emmenaient en paradis.
A côté de nous, sur le large matelas symétrique du solarium, les trois acolytes s’adonnaient dans la sombre obscurité à des jeux érotiques similaires. Et la Française chantait.
L’archet ramonait langoureusement ses intérieurs et elle disait en mélopée son bonheur.
Les deux Espagnols avaient manifestement trouvé le mode d’emploi de la jolie blonde et, soit l’un seul à la manoeuvre, soit à quatre mains, ils faisaient chanter la belle sur les hauteurs de Barcelone au milieu des lauriers roses de l’hacienda.
Quand les trilles s’interrompirent nous avons compris tous trois qu’elle n’en pouvait, bouche pleine.
Les Catalans criaient des mots de bucherons canadiens et, au moment de leur aboutissement, ont lâché les hurlements de leur satisfaction simultanée.
La fille française semblait apaisée et ronronnait comme un chat en sieste, boule de poils au soleil.
Enfin, c’est ce que nous pensions, mes deux copines et moi, emmêlés sur le matelas d’à côté.
L’une contractait son ventre en cadence pour me donner à penser. Et je pensais effectivement que la vie était belle ici à Barcelone serré amoureusement contre le corps chaud et musclé de la petite Catalane.
L’autre avait trouvé la porte étroite et, après l’avoir longuement pourléchée de salive gluante, m’avait enfilé son “major” jusqu’à la garde. Ma prostate en délire s’épanouissait sous la poussée du charnu tandis que mon gland cherchait par ailleurs le dur du col de l’autre petite.
Moi aussi j’ai chanté et mes trilles valaient bien celles de ma conquête de resto de la place Réal.
La fille espagnole, celle au doigt inquisiteur, a sagement attendu qu’apaisement se finisse. Elle a dit vois, tu n’es maintenant plus réfractaire et elle m’a alors engoulé subrepticement d’un coup d’un seul, jusqu’à la glotte. A fond. Sans crier gare.
Du matelas de solarium d’à côté plus aucun son ne nous parvenait pour dire une éventuelle activité. On eût pu croire que les protagonistes s’étaient endormis.
Alors j’ai accepté l’offrande de ce gosier profond et de ces glandes amygdales végétations muqueuses trempées nappant mon gland de viscosités accueillantes. Et les mouvements de déglutition qui malaxaient comme trayeuse de ferme laitière normande.
J’ai pensé, maintenant on dort. Sinon les deux Catalans vont venir en visite sur ton matelas te sodomiser.
C’est pas que je sois bégueule mais côté cul je suis plutôt sur la retenue…
Elle était bien belle, blonde dans les lumières du resto et de la place. Son blond vénitien s’accordait aux lumières diverses, du lampadaire municipal en fer forgé à sa gauche, du grand lustre de terrasse du resto et de la petite lampe de chevet avec abat-jour blanc posée sur la nappe de notre table.
Moi je la matais concupiscieusement et j’étais tout séduit de sa beauté presque ibérique de teint mat sombre étonnement éclairée de cheveux très clairs à la française.
Je pensais, aura-t-elle cette couleur en concordance, aussi, entre les cuisses ?
Faut dire que moi je suis un voyou qui ne pense qu’à ça. Sans vergogne aucune.
Je m’interrogeais sur le naturel ou non de cette couleur et sur l’opportunité qui me serait peut être bientôt donnée de le vérifier. J’avais fait petit investissement de repas dans un resto classe en vue, exclusivement, de la sauter en suivant.
On est comme ça, nous les mecs, avec des idées, plein d’idées, derrière la tête...
C’était une fille rieuse et je me régalais du moment passé avec elle sur cette place Réal de Barcelone.
Nos voisins de tablée, deux couples d’authentiques Catalans qui parlaient l’idiome local à toute allure comme vrais Espagnols, nous avaient fait l’honneur d’engager conversation et de faire compagnie. Nous bavardions en sabir franco castillan catalan de choses et d’autres en reluquant les chemisiers bien tendus de nos copines respectives.
Lesquelles faisaient les fières, mentons haut et poumons bien gonflés.
Manifestement ma copine plaisait bien aux deux voisins qui bichaient à l’idée de se faire, peut-être, une petite Française. Plus tard dans la nuit … si opportunité.
J’avoue que j’avais alors en tête de me faire en contre-partie deux petites Espagnoles. Brunes aux chevelures épaisses et lourdes. Et probablement épaisses, en concordance, de touffe sombre entre les cuisses.
D’autant que la mienne n’était pas encore mienne, alors que les leurs paraissaient être en main depuis belle lurette... Une occasion d’échange gratifiant.
Pour moi. Deux contre une, je ne perdrais pas au change.
Comme souvent en Catalogne, nous fûmes invités à finir la soirée, tard passé minuit, en l’hacienda de l’un des senors, le plus beau des deux Catalans. À proximité disait-il...
Encore des sornettes. Le chemin qui menait à son home était à peine carrossable et je pensais que le Catalan inviteur devrait nous offrir, après les digestifs, l’hospitalité.
Il eût été inconvenant qu’il en fût autrement vu la complexité du dédale de petites routes menant à l’hacienda, totalement inextricable dans la nuit noire.
Néanmoins je m’interrogeais sur la suite des événements après le Xérès au salon d’été en bord de piscine dans de grands verres genre armagnac. Aurions-nous chacun une chambre d’ami, leurs copains catalans et nous Français ou bien nous serait-il proposé une autre formule, un peu plus conviviale ?
Et bien oui, c’est exactement cela qui nous fut proposé.
L’étape intermédiaire était d’évidence le bain de minuit, à poil bien sûr vu qu’aucun d’entre nous n’avait prévu de maillot pour se rendre à cette invitation impromptue de fin de repas gastro. Étape qui avait le goût la couleur l’odeur forte du préliminaire.
Au sortir du bain tout mouillés moitié séchés des grandes serviettes qui nous drapaient, on a suivi nos hôtes au « solarium » Dans la pénombre vu qu’il faisait nuit noire soleil couché depuis longtemps qui ne se lèverait d’aube que bien plus tard.
Moi, j’étais mouillé mais déjà bien bandé et matais les petites fesses ibériques dansantes devant moi. Et je pensais, je leur laisse le beau postère de ma Française. Généreux je suis, comme toujours.
Faut dire que celle-ci avait de quoi satisfaire la main de l’homme et même pire de deux d’entre-eux. Deux magnifiques cotylédons callipyges ouverts cambrés sur la craque comme invite irrésistible. Profonde, l’invite… Et manifestement généreusement poilue et trempée.
J’avais pour ma part une petite Catalane à chaque bras, mes mains à leur tailles fines dures et musclées. Les filles riaient. Elles avaient compris que leurs mecs étaient en grande vadrouille avec la Française et qu’elles devraient, elles, se rabattre sur le Français. Elles rigolaient et cela ne semblait pas leur déplaire.
Le solarium était garni de très larges matelas et j’ai décidé que l’un seulement suffirait à nos ébats à trois.
Les serviettes étaient tombées au sol et les filles toutes nues se roulaient contre moi, moi aussi nu comme un ver, dans la chaleur de l’été catalan.
Je sentais leurs touffes épaisses racler contre mes cuisses. Elles se frottaient, humides et ouvertes. Elles cherchaient. Moi je pensais que ces Catalanes avaient bon esprit et je les serrais toutes deux dans mes bras avec tendresse et amitié.
Bien entendu, ce qui devait arriver arriva, et je me suis retrouvé planté au fond de l’une d’elles, étroite et profonde, gluante de sucs d’amour. L’autre n’a marqué aucune jalousie et me caressait les fesses avec une certaine tendance, ardente, indécente à vouloir visiter mon cul.
Et j’étais, étonnamment, plus intéressé par ce doigt inquisiteur qui parcourait mon périnée que par le fourreau serré qui accueillait ma bite.
Encore que les deux sensations complémentaires m’emmenaient en paradis.
A côté de nous, sur le large matelas symétrique du solarium, les trois acolytes s’adonnaient dans la sombre obscurité à des jeux érotiques similaires. Et la Française chantait.
L’archet ramonait langoureusement ses intérieurs et elle disait en mélopée son bonheur.
Les deux Espagnols avaient manifestement trouvé le mode d’emploi de la jolie blonde et, soit l’un seul à la manoeuvre, soit à quatre mains, ils faisaient chanter la belle sur les hauteurs de Barcelone au milieu des lauriers roses de l’hacienda.
Quand les trilles s’interrompirent nous avons compris tous trois qu’elle n’en pouvait, bouche pleine.
Les Catalans criaient des mots de bucherons canadiens et, au moment de leur aboutissement, ont lâché les hurlements de leur satisfaction simultanée.
La fille française semblait apaisée et ronronnait comme un chat en sieste, boule de poils au soleil.
Enfin, c’est ce que nous pensions, mes deux copines et moi, emmêlés sur le matelas d’à côté.
L’une contractait son ventre en cadence pour me donner à penser. Et je pensais effectivement que la vie était belle ici à Barcelone serré amoureusement contre le corps chaud et musclé de la petite Catalane.
L’autre avait trouvé la porte étroite et, après l’avoir longuement pourléchée de salive gluante, m’avait enfilé son “major” jusqu’à la garde. Ma prostate en délire s’épanouissait sous la poussée du charnu tandis que mon gland cherchait par ailleurs le dur du col de l’autre petite.
Moi aussi j’ai chanté et mes trilles valaient bien celles de ma conquête de resto de la place Réal.
La fille espagnole, celle au doigt inquisiteur, a sagement attendu qu’apaisement se finisse. Elle a dit vois, tu n’es maintenant plus réfractaire et elle m’a alors engoulé subrepticement d’un coup d’un seul, jusqu’à la glotte. A fond. Sans crier gare.
Du matelas de solarium d’à côté plus aucun son ne nous parvenait pour dire une éventuelle activité. On eût pu croire que les protagonistes s’étaient endormis.
Alors j’ai accepté l’offrande de ce gosier profond et de ces glandes amygdales végétations muqueuses trempées nappant mon gland de viscosités accueillantes. Et les mouvements de déglutition qui malaxaient comme trayeuse de ferme laitière normande.
J’ai pensé, maintenant on dort. Sinon les deux Catalans vont venir en visite sur ton matelas te sodomiser.
C’est pas que je sois bégueule mais côté cul je suis plutôt sur la retenue…
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