A une comédie musicale
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
A une comédie musicale
Dans la file d'attente elle ressentait bien les effleurements sur ses fesses, s'accrochant au bras de son mari elle faisait mine de ne pas s'en rendre compte.
Elle savait bien que sa robe, hyper moulante, mettait ses fesses en exergue. Elle aimait bien être désirée, et pour cela elle portait toujours des vêtements un tant soi peu provoquants. C'était soit des robes hyper moulantes, soit des micro-jupes avec des hauts souvent transparents.
Là, sa robe moulante était relativement longue (légèrement au-dessus du genoux) et recouvrait des bas auto fixant. La finesse du tissu lui avait fait renoncer à tout sous-vêtement pour éviter les surépaisseurs révélatrices. Son mari aimait bien qu'elle soit l'objet de désirs; ancien boxeur de haut niveau il n'avait pas un physique de "bel homme", et à cause de cela il était fier d'être au bras d'une belle femme que les autres lui enviaient. Les effleurements étaient devenus des caresses et ce n'était plus le dos d'une main qui caressait ses fesses, mais bien la paume d'une main et des doigts.
Elle était excitée par la situation et son sexe commençait à s'humidifier. Pour partager la situation avec son mari elle lui murmura "j'ai un contact!", il comprit immédiatement la situation et pour lui indiquer que le jeu pouvait être intéressant il se pencha vers elle pour l'embrasser à pleine bouche.
Elle se livrait avec ardeur à ce baiser un tout petit peu excessif en public... et les mains se mirent à malaxer ses deux fesses. La file d'attente avançait lentement, profitant que son mari venait d'avancer de deux pas, elle fit mine de chercher dans son sac à main, se penchant légèrement en avant, et, se faisant, offrait encore plus ses fesses aux mains inconnues.
Du coup l'une des deux mains se fit exploratrice et se glissa entre son sac et son pubis, caressant avec précision son mont de vénus. Elle fit durer sa recherche fictive dans son sac, la cyprine envahissait ses grandes lèvres, elle aurait voulu plus, mais la situation n'était pas pratique.
Ils parvinrent enfin à la caisse où son mari régla les deux places et récupéra les billets, c'étaient deux places dont une en bord d'allée.
Elle entendit nettement la voix derrière elle dire: "la place à côté!". Dés cet instant elle sut que l'homme serait assis à côté d'elle, car elle venait de décider que son mari serait en bordure d'allée, et dans le même temps elle regretta d'avoir une robe aussi longue, même assise le fait qu'elle soit aussi moulante ferait qu'elle ne remonterait pas bien haut; par contre pour compenser elle défit deux boutons de plus à son chemisier.
Elle avait une petite poitrine, ce qui lui permettait de se passer de soutien gorge (ce qui était le cas ce soir là) et de fait le chemisier s'entrouvrait jusqu'au bas du sternum.
En s'asseyant son mari s'aperçut de la profondeur du décolleté et, satisfait, y glissa une main pour caresser un sein et en pincer la pointe. Il se pencha vers elle pour lui murmurer à l'oreille: "salope!"La place à côté d'elle restait vide alors que la salle se remplissait progressivement, elle en était étonnée (et déçue) s'attendant à ce que l'individu qui lui avait caressé les fesses vienne s'y installer.
Ce n'est que lorsque les lumières s'éteignirent que l'individu se présenta au bout de la rangée de fauteuils, il s'y engagea en faisant des pas de côté, face à la rangée de fauteuils, arrivé devant elle il faillit (volontairement ou pas) perdre l'équilibre et se faisant, il posa une main sur un de ses seins, immédiatement il s'exclama "excusez moi, j'ai perdu l'équilibre!"Et ce fut son mari qui, amusé, répondit "il n'y a pas de mal..."Le spectacle, une comédie musicale, faisait que la salle était dans la quasi obscurité alors que la scène était baignée de lumière.
Elle était sagement assise, tenant à deux mains son sac posé sur ses cuisses, si ce n'était son chemisier transparent au décolleté excessif, rien ne la distinguait d'un modèle BCBG.
L'homme laissa tomber un porte-clef, il se pencha pour le ramasser...
Elle senti la main lui caresser la cheville, puis le mollet... elle glissa volontairement son bassin vers l'avant du fauteuil, le sac toujours posé sur ses cuisses, la main était parvenue en haut des bas et s'attardait sur sa peau nue. La robe était trop serrée pour lui permettre d'écarter les cuisses, seul un doigt parvint à lui titiller le clitoris...
Son mari, conscient de ce qui se passait se pencha vers elle pour l'embrasser à pleine bouche en lui caressant un sein à même la peau. Avec ce doigt sur son clitoris, cette main sur son sein et cette langue dans sa bouche elle se mit à jouir en poussant des gémissements étouffés par la bouche de son mari. Il est probable que certains spectateurs se soient rendu compte de ce qui se passait.
A la sortie son mari lui dit "alors, c'était bien?" et elle répondit "il faudra revenir, j'ai loupé une partie du spectacle et je n'ai pas vu J... C... tout nu... mais j'ai eu un trés bel orgasme, mais ma robe est trempée !"
Elle savait bien que sa robe, hyper moulante, mettait ses fesses en exergue. Elle aimait bien être désirée, et pour cela elle portait toujours des vêtements un tant soi peu provoquants. C'était soit des robes hyper moulantes, soit des micro-jupes avec des hauts souvent transparents.
Là, sa robe moulante était relativement longue (légèrement au-dessus du genoux) et recouvrait des bas auto fixant. La finesse du tissu lui avait fait renoncer à tout sous-vêtement pour éviter les surépaisseurs révélatrices. Son mari aimait bien qu'elle soit l'objet de désirs; ancien boxeur de haut niveau il n'avait pas un physique de "bel homme", et à cause de cela il était fier d'être au bras d'une belle femme que les autres lui enviaient. Les effleurements étaient devenus des caresses et ce n'était plus le dos d'une main qui caressait ses fesses, mais bien la paume d'une main et des doigts.
Elle était excitée par la situation et son sexe commençait à s'humidifier. Pour partager la situation avec son mari elle lui murmura "j'ai un contact!", il comprit immédiatement la situation et pour lui indiquer que le jeu pouvait être intéressant il se pencha vers elle pour l'embrasser à pleine bouche.
Elle se livrait avec ardeur à ce baiser un tout petit peu excessif en public... et les mains se mirent à malaxer ses deux fesses. La file d'attente avançait lentement, profitant que son mari venait d'avancer de deux pas, elle fit mine de chercher dans son sac à main, se penchant légèrement en avant, et, se faisant, offrait encore plus ses fesses aux mains inconnues.
Du coup l'une des deux mains se fit exploratrice et se glissa entre son sac et son pubis, caressant avec précision son mont de vénus. Elle fit durer sa recherche fictive dans son sac, la cyprine envahissait ses grandes lèvres, elle aurait voulu plus, mais la situation n'était pas pratique.
Ils parvinrent enfin à la caisse où son mari régla les deux places et récupéra les billets, c'étaient deux places dont une en bord d'allée.
Elle entendit nettement la voix derrière elle dire: "la place à côté!". Dés cet instant elle sut que l'homme serait assis à côté d'elle, car elle venait de décider que son mari serait en bordure d'allée, et dans le même temps elle regretta d'avoir une robe aussi longue, même assise le fait qu'elle soit aussi moulante ferait qu'elle ne remonterait pas bien haut; par contre pour compenser elle défit deux boutons de plus à son chemisier.
Elle avait une petite poitrine, ce qui lui permettait de se passer de soutien gorge (ce qui était le cas ce soir là) et de fait le chemisier s'entrouvrait jusqu'au bas du sternum.
En s'asseyant son mari s'aperçut de la profondeur du décolleté et, satisfait, y glissa une main pour caresser un sein et en pincer la pointe. Il se pencha vers elle pour lui murmurer à l'oreille: "salope!"La place à côté d'elle restait vide alors que la salle se remplissait progressivement, elle en était étonnée (et déçue) s'attendant à ce que l'individu qui lui avait caressé les fesses vienne s'y installer.
Ce n'est que lorsque les lumières s'éteignirent que l'individu se présenta au bout de la rangée de fauteuils, il s'y engagea en faisant des pas de côté, face à la rangée de fauteuils, arrivé devant elle il faillit (volontairement ou pas) perdre l'équilibre et se faisant, il posa une main sur un de ses seins, immédiatement il s'exclama "excusez moi, j'ai perdu l'équilibre!"Et ce fut son mari qui, amusé, répondit "il n'y a pas de mal..."Le spectacle, une comédie musicale, faisait que la salle était dans la quasi obscurité alors que la scène était baignée de lumière.
Elle était sagement assise, tenant à deux mains son sac posé sur ses cuisses, si ce n'était son chemisier transparent au décolleté excessif, rien ne la distinguait d'un modèle BCBG.
L'homme laissa tomber un porte-clef, il se pencha pour le ramasser...
Elle senti la main lui caresser la cheville, puis le mollet... elle glissa volontairement son bassin vers l'avant du fauteuil, le sac toujours posé sur ses cuisses, la main était parvenue en haut des bas et s'attardait sur sa peau nue. La robe était trop serrée pour lui permettre d'écarter les cuisses, seul un doigt parvint à lui titiller le clitoris...
Son mari, conscient de ce qui se passait se pencha vers elle pour l'embrasser à pleine bouche en lui caressant un sein à même la peau. Avec ce doigt sur son clitoris, cette main sur son sein et cette langue dans sa bouche elle se mit à jouir en poussant des gémissements étouffés par la bouche de son mari. Il est probable que certains spectateurs se soient rendu compte de ce qui se passait.
A la sortie son mari lui dit "alors, c'était bien?" et elle répondit "il faudra revenir, j'ai loupé une partie du spectacle et je n'ai pas vu J... C... tout nu... mais j'ai eu un trés bel orgasme, mais ma robe est trempée !"
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