Abdel
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Abdel
Courant septembre, je me suis rendu, un matin, dans une grande surface d’articles de sport où j’ai mes habitudes.
Irrésistiblement, quand je suis dans ce genre de magasin, je suis attiré par le rayon natation, et plus particulièrement celui des slips de bain. Ce n’est pas qu’on soit en manque de maillots de bain à l’appart - bien au contraire -, mais je pense que c’est lié à mes premières expériences sexuelles qui ont eu lieu, en maillot de bain. Faudra que je vous raconte ça, un jour.
En me dirigeant vers le rayon, je croise un jeune vendeur qui installe des articles de natation. Il me salue comme un lui a recommandé de la faire, sans doute. De toute façon, on pourrait difficilement passer à côté de lui sans le remarquer. Jeune - dans les vingt ans, je dirais -, jean délavé déchiré, cul très rebondi – comme souvent les Arabes, signe d’un bon coup de reins -, taillé en V, tee shirt blanc, une gueule d’ange surmontée d’une chevelure noire bouclée, avec un beau sourire franc, une barbe de hipster de trois jours. Je ne l’avais jamais remarqué celui là. Ca doit être un vacataire qu’ils ont embauché pour la période d’été.
Je me dirige vers les slips de bain. De temps à autre, nos regards se croisent. On se sourit. Au bout d’un moment, il s’approche.
« -Je peux vous aider ?
-…Oui, si vous voulez. Je regarde vos nouveaux modèles.
-Alors, je peux vous conseiller celui-ci. Un caleçon slippé ! Il vient de sortir. Très près du corps. Il souligne très bien les formes.
-Les formes ? La bite ?
- Le cul aussi ! ». Il rigole.
« -Je préfère les formes plus slippées.
-Moi aussi ! »« -Si vous voulez, vous pouvez le passer, je vous dirais s’il vous va…-OK. »Sympa le mec. Comme quoi, le look du vendeur est hyper important. On se laisse faire beaucoup plus facilement. Tout bénef pour la boite, ça.
Je passe en cabine. Très très peu de monde à cette heure matinale. Je me déshabille entièrement car, quand j’essaie un maillot, j’aime bien savoir ce qu’il rend dans les conditions réelles.
« -Ca vous va ? Il vous va ?
-Faut voir…- Ouvrez moi, je vous dirai… »J’ouvre et, aussitôt, il s’engouffre dans la cabine en me fixant droit dans les yeux et en me posant sa main sur la bouche. Pour m’empêcher de protester sans doute. Gonflé le mec. Car, s’il est découvert, il risque probablement sa place. La fougue de la jeunesse, sans doute.
Déjà, il est à genoux et promène sa joue contre mon slip de bain qui se met à gonfler, gonfler… Surprenant, mais agréable ! Il passe ses doigts fins sous le tissu, de chaque côté de l’aine et commence à me caresser la hampe. Trop bon. Ma bite s’est instantanément dressée au garde à vous. Il glisse doucement le slip vers le bas, découvre mon gland mouillé de cyprine et se met à le titiller du bout de sa langue. Trop bien. Et le voilà qui me gobe le gland du bout de ses lèvres et qui descend doucement le long de ma pine. Je mets mes mains dans ses cheveux et appuie légèrement sur sa tête pour qu’il s’enfonce plus encore….Il ne perd pas de temps le gars. Faut croire qu’il en a pas beaucoup non plus peut être.
C’est à ce moment là précis qu’on entendit, au bout de l’allée, un voix qui disait :« « -Il est où encore Abdel. Il est jamais dans son rayon ! »Aussitôt, Abdel se releva en disant :« -C’est bon. Je ramasse les trucs que les gens laissent dans les cabines. J’arrive ! »Il me prend un maillot, un petit bisou sur la bouche et…je lui montre l’énorme bosse qui déforme son jean. J’en profite pour la lui tâter. Bien dure. Il retire son tee shirt de son pantalon et le fait passer au dessus. Puis il ouvre la porte et referme aussitôt derrière lui. Je les entends s’éloigner. Ouf ! moins une !
Je me rhabille et repasse par le rayon, espérant le revoir…Ce qui ne tarde pas. A voix basse, on discute.
« -C’était chaud !
-Oui mais excitant, non ?
-Carrément !
« -J’étai sûr et certain que ça allait le faire avec toi ! J’adore les beaux mecs comme toi. Je ne peux pas résister!
-Merci ! T’es vraiment pas mal non plus, tu sais. En plus, j’adore les Arabes !
-Si tu veux, on peut se voir le soir, à l’extérieur ?
--Pourquoi pas… -Je vais à la piscine après vingt heures ?
-Ok »En passant en caisse- finalement, pour lui faire plaisir, je lui ai pris le modèle qu’il m’avait recommandé -, il me dit, en rigolant :« -Excellent choix ! Vous verrez, il vous fera beaucoup d’usage. On en vend énormément ! ».
Le soir même, je le retrouvais à la piscine. Ca tombait bien, c’était nocturne ce soir là. Moi avec son « caleçon slippé », lui avec un mini tanga rose fluo. Au moins, il annonce la couleur, franco ! Un fin duvet recouvre tout son torse et son ventre si bien qu’on ne distingue pas sa ligne de poils. J’adore aussi ce look. Trop beau ! Une bombe !
On aligna les longueurs. Slimane, l’œil brillant, me demanda comment je faisais pour rencontrer de tels mecs. Il était super affuté question nage. C’était vraiment son truc. Au bout d’une bonne heure intensive, on remonta se doucher. Direct, on se mit dans la même cabine. On se colla l’un à l’autre sous le jet, s’embrassant furieusement, bite contre bite. Puis, il s’agenouilla et me caressa vigoureusement le maillot qu’il fit glisser assez vite pour me pomper somptueusement.
Ca pour sucer, il savait sucer ! Un expert ! Assez vite, malheureusement, je jouis. Il récupéra tout sur son visage que je lui léchais jusqu’à la dernière goutte. Je ne voulais pas être en reste et je plongeais mes mains dans son slip pour deviner une superbe bite, entièrement rasée qui vibrait sous ma main. Je le branlais jusqu’à ce qu’il se vide – assez rapidement, à ma surprise -, dans son slip.
Après, on se nettoie en se savonnant mutuellement tout en discutant à voix basse. C’est à ce moment là que je peux l’admirer dans toute sa splendeur de jeune mâle rebeu. Il avait le torse et le ventre couvert de poils bruns assez courts. Une sorte de duvet très joli. Une longue bite fine, droite, circoncise, avec un très beau gland, un peu plus brune que la couleur mate de sa peau. Ce qui était rigolo c’est qu’à quelques centimètres sous le nombril, au niveau de l’élastique du slip, tout était entièrement rasé : le ventre, la bite, les couilles. Ca faisait un sacré contraste. Deux belles couilles bien resserrées en dessous, de beaux abdos, bien dessinés qui trahissent la fréquentation régulière de la salle de gym, un cul super rebondi, deux globes fessiers magnifiques, une raie large – comme celle de Paulo – Une très très belle bête – de sexe ?-.
« -On va fermer ! Tout va bien –Oui Slimane, merci. Tout est OK. »Abdel ouvre de grands yeux. Je lui dis que je connais Slimane. Et qu’il n’a pas eu besoin de regarder sous la porte pour savoir qu’il y avait quatre pieds dans la cabine de douche !
« -Il a deviné ?
-Ben oui. Il est homo, lui aussi.
-Tu le connais…bien ?
-Oui. On a baisé ensemble il y a longtemps.
-Décidément ! Tu ne fais que dans les Arabes…-Ne crois pas ça. Je fais aussi dans les brésiliens et les français… !
-Les brésiliens ? Tu vois, lui, j’aurais pas cru. »Après la piscine, on s’arrête pour boire un verre dans un bar. On se met en terrasse, au fond, face à la rue. A discuter, je le trouve trop sympa. Très joyeux et positif. Pas du tout macho, avec beaucoup d’humour et, en même temps, très décidé. C’est sûr qu’il allait beaucoup plaire à Rémi et à Paulo. Sous la table, nos jambes nues se collaient, se caressaient. Heureusement qu’il y avait une grande nappe ! J’étais certain qu’il rebandait déjà. Je vérifiais en le tâtant…Gagné ! Il me demanda s’il pouvait faire un selfie de nous deux.
« -C’est pour ta collec ? » On rigole.
Il veut tout savoir de moi. Alors, je lui parle de Rémi qui vient de nous quitter et aussi de Paulo. De notre façon de vivre.
-Wow ! C’est comme ça que je voudrais vivre ! Mais, avec ma famille, ça va être compliqué. Alors, en attendant, je papillonne…-Tu papillonnes même très bien, à la piscine » On rigole.
Alors, je lui demande de me parler, s’il veut bien, de ses aventures sexuelles. Il veut bien. Il me dit qu’il a commencé, « assez tôt » avec les filles et, qu’assez vite, il a été attiré par les garçons – peut être depuis toujours, d’ailleurs -. J’ai senti que j’avais trouvé ma voie avec eux. Et ça marche pas trop mal – vu sa belle gueule, ça ne m’étonne pas -. Aujourd’hui, il ne sort qu’avec des garçons. Par contre, l’autre fois, au magasin, c’est pas du tout lui ça. Il ne sait pas ce qui lui a pris. Il devait être sous pression – ça faisait cinq jours qu’il n’avait pas baisé – et, quand il m’a vu, il m’a sauté dessus. Nos voisins de table – trois jeunes – écoutent avec intérêt ce que raconte Abdel… Par contre, il me dit aussi qu’il aimerait bien savoir comment faire pour jouir moins vite. Il est d’une sincérité désarmante, touchante même. Là où ça ne va pas le faire du tout c’est avec ma famille. C’est la honte intégrale d’être homo. Je ne sais pas du tout comment faire pour leur dire. Je crois que mon plus jeune frère a commencé à s’en douter quand il a découvert mes strings roses dans ma chambre…Tout en parlant, il pose, lui aussi, sa main sur mon paquet qui a commencé à grossir tout seul avec tout ce qu’il me raconte. Il est impatient de rencontrer Rémi et Paulo. Il veut aussi venir au magasin.
Bref, il entre dans ma vie. A toute vitesse.
On se quitta en se promettant de se revoir.
Bien sûr, je me devais d’en parler à Paulo. Ce que je fis aussitôt. Il le demanda une photo de lui. Après avoir reçu le selfie, Paulo se montra très enthousiaste et m’ encouragea à nouer plus de contacts avec lui. Dont acte.
Le lendemain, je reçois un SMS d’Abdel si je veux aller courir avec lui . On commence à courir. Abdel est vraiment à croquer dans son mini short bleu, son débardeur blanc et ses skets roses fluo. J’ai a du mal à le suivre, tant il est physique, en tout. Une heure durant, je m’évertue à courir derrière le beau cul affolant d’Abdel. Ca motive, c’est sûr. Le temps est superbe, chaud, ensoleillé. Au bout du compte, on est en nage, on ruisselle. Alors, je propose qu’on aille se rafraîchir dans un petit ruisseau pas loin d’ici - haut lieu de certains de nos ébats -.
Arrivés au ruisseau - complètement isolé en plein bois -, petite mousse, tache de soleil : idyllique, on se désape. Abdel m’ apparaît en mini slip rose fluo sa couleur préférée ? – très très échancré, pour le coup. Genre slip brésilien. Superbe ! Aussitôt, on se glisse dans l’eau fraîche du ruisseau, en s’éclaboussant comme des gamins - que nous sommes restés -. On voit nettement le paquet d’Abdel enfler, malgré l’eau froide. Qui va faire le premier pas ?
Je commence à me rapprocher d’Abdel qui ne demande que ça, je suppose. Je commence à lui caresser les pecs, lui agacer les tétons, la ligne de poils. Je le regarde, amusé. Assez vite, je suis sur son slip, bien trop petit pour contenir la bite raide d’Abdel qui déborde largement de l’élastique. Abdel se laisse faire, ravi de cette nouvelle expérience. Avec son accord, je prends quelques photos. Joli ! Je plonge ma bouche vers ce sucre d’orge qui me tente trop. Abdel s’arcboute, tremblant de désir. Ses mains se font pressantes sur mon slip .
« -Walla ! C’est la première fois que je fais ça en plein air !
-Eh ben moi, tu vois, ce serait plutôt notre spécialité !
-Faut que je te dise… J’ai plutôt tendance à jouir assez vite , comme tu as du le remarquer et j’aimerais aussi beaucoup te prendre, si tu veux bien sûr--Tu sais que j’en ai terriblement envie. J’adore les nouvelles bites. »Abdel fait alors glisser mon slip et se met à me doigter doucement en trempant son majeur dans l’eau.
« -Attends, j’ai tout prévu ! » . Et je sors de la poche de mon short une petite fiole de gel.
« -Tu sais, je n’ai pas de capote mais je suis clean !
-T’inquiète. Nous aussi on est clean. Viens ! »Je viens me mettre en levrette devant Abdel, au milieu du ruisseau. Je lui tends la fiole de gel. Il se met à me doigter vigoureusement puis il présente son gland. Très - trop ? – vite il a passé son gland assez fin et circoncis.
« -Vas-y ! Bourre moi à fond, Abdel ! »Il ne se fait pas prier. Très vite il est au fond et commence à me pistonner sérieusement. Quel beau spectacle de voir la belle croupe d’Abdel onduler dans le soleil au gré de son va et vient. De temps en temps, c’est moi qui me mets à coulisser sur sa pine. Je sens que je vais me régaler avec cette nouvelle bite. Dire qu’il y a vingt quatre heures, je ne le connaissais pas. De temps en temps, je me retourne et cherche sa bouche.
« -Aaaah ! Elle est trop bonne ta bite Abdel ! Mets la moi fort !! » -Et moi j’aime trop ma bite dans ton ventre ! »P….n ! C’est trop bien de faire ça ici ! Trop cool ! »Pour rigoler, je prends un peu d’eau dans le creux de ma main et la verse sur la bite d’Abdel quand il se recule.
« - ????
-C’est pour éviter la surchauffe ! » On rigole.
Avant d’exploser littéralement, Abdel a le temps de se déchaîner dans mon cul avec une vigueur très très impressionnante. Je suis chahuté comme jamais mais j’ en redemande. Abdel est en nage et… il explose dans mon cul avec un rugissement de lion. Pour quelqu’un qui « jouit vite », je trouve que c’est pas si mal que ça !
Abdel s’est retiré et se met à plat dos pour moi. J’apprécie. Il lève et écarte ses longues jambes et vient les poser sur mes épaules. Bien qu’il vienne de jouir, on sent qu’il a encore envie de sexe. C’est aussi à ça qu’on reconnaît les vrais accrocs… Pour cette première véritable fois avec Abdel, je veux qu’il en garde un bon souvenir et moi, je veux me régaler aussi. J’adore découvrir un nouveau cul, un nouveau fourreau. C’est plein de petites découvertes, de nouvelles sensations…Je sens que je vais prendre mon pied… Je l’embroche doucement en le dévorant des yeux. Je me baisse sur son visage et déguste sa bouche doucement. Il m’a agrippé les fesses et me tire vers lui, en lui. Je remue doucement. Il me serre encore plus fort. Je recule légèrement ma tête et le regarde intensément. Ses yeux brillent et me sourient. Je veux remuer ma bite mais il me tient fermement le cul et il a contracté son sphincter Délicieux. On est trop bien ainsi. Puis il enlève ses mains de mon cul pour venir les poser sur mes épaules et me tirer à lui. J’en profite pour commencer à le limer de toute la longueur de ma pine.
En fait, à cet instant, j’ai tout ce que j’aime le plus au monde. Un beau garçon sous moi à qui je fais vraiment l’amour pour la première fois, un endroit idyllique en pleine nature où nous sommes nus sous le chaud soleil d’automne …. Tout est là. Abdel me sourit de toutes ses dents blanches et m’encourage à le pilonner sans réserve.
« -Vas- y ! Walla ! A fond ! J’aime ta bite ! Elle est bonne ! J’aime la sentir ! Déchire moi ! »Alors, je vais me mettre à le pistonner avec une régularité de métronome. Bien sûr, j’aimerais bien réussir à le faire jouir du cul mais ça, c’est pas gagné à chaque fois… En attendant je le tape bien à fond à chaque fois. Il me dit qu’il aime quand il entend claquer mes couilles contre son cul. Ca m’excite. Je me sens super bien dans son ventre. Son fourreau me serre bien. Il est chaud, doux. Il écarte encore davantage ses jambes relevées au plus haut. Il s’offre à mes coups de bite. J’accélère encore et encore. Ma bite est en feu. Je glisse à toute vitesse dans son trou. Je perds mon souffle. Je sens une vague de chaleur partir de mon ventre et m’envahir complètement. Je vibre, je tremble, je me raidis et me déverse en lui. Un, deux, trois, quatre jets. Il hulule de plaisir.
Repus on s’accorde un temps de repos, allongés sur la mousse, dans la tache de soleil. Trop bien. J’ai posé ma tête sur la bite gluante d’Abdel et je la sens déjà frémir à nouveau. Puis on se lave dans le ruisseau, on se rhabille et on rejoint, en marchant cette fois, la voiture.
Voilà. C’est ainsi qu’Abdel est rentré dans nos vies. Pour notre plus grand plaisir. Et le sien.
Irrésistiblement, quand je suis dans ce genre de magasin, je suis attiré par le rayon natation, et plus particulièrement celui des slips de bain. Ce n’est pas qu’on soit en manque de maillots de bain à l’appart - bien au contraire -, mais je pense que c’est lié à mes premières expériences sexuelles qui ont eu lieu, en maillot de bain. Faudra que je vous raconte ça, un jour.
En me dirigeant vers le rayon, je croise un jeune vendeur qui installe des articles de natation. Il me salue comme un lui a recommandé de la faire, sans doute. De toute façon, on pourrait difficilement passer à côté de lui sans le remarquer. Jeune - dans les vingt ans, je dirais -, jean délavé déchiré, cul très rebondi – comme souvent les Arabes, signe d’un bon coup de reins -, taillé en V, tee shirt blanc, une gueule d’ange surmontée d’une chevelure noire bouclée, avec un beau sourire franc, une barbe de hipster de trois jours. Je ne l’avais jamais remarqué celui là. Ca doit être un vacataire qu’ils ont embauché pour la période d’été.
Je me dirige vers les slips de bain. De temps à autre, nos regards se croisent. On se sourit. Au bout d’un moment, il s’approche.
« -Je peux vous aider ?
-…Oui, si vous voulez. Je regarde vos nouveaux modèles.
-Alors, je peux vous conseiller celui-ci. Un caleçon slippé ! Il vient de sortir. Très près du corps. Il souligne très bien les formes.
-Les formes ? La bite ?
- Le cul aussi ! ». Il rigole.
« -Je préfère les formes plus slippées.
-Moi aussi ! »« -Si vous voulez, vous pouvez le passer, je vous dirais s’il vous va…-OK. »Sympa le mec. Comme quoi, le look du vendeur est hyper important. On se laisse faire beaucoup plus facilement. Tout bénef pour la boite, ça.
Je passe en cabine. Très très peu de monde à cette heure matinale. Je me déshabille entièrement car, quand j’essaie un maillot, j’aime bien savoir ce qu’il rend dans les conditions réelles.
« -Ca vous va ? Il vous va ?
-Faut voir…- Ouvrez moi, je vous dirai… »J’ouvre et, aussitôt, il s’engouffre dans la cabine en me fixant droit dans les yeux et en me posant sa main sur la bouche. Pour m’empêcher de protester sans doute. Gonflé le mec. Car, s’il est découvert, il risque probablement sa place. La fougue de la jeunesse, sans doute.
Déjà, il est à genoux et promène sa joue contre mon slip de bain qui se met à gonfler, gonfler… Surprenant, mais agréable ! Il passe ses doigts fins sous le tissu, de chaque côté de l’aine et commence à me caresser la hampe. Trop bon. Ma bite s’est instantanément dressée au garde à vous. Il glisse doucement le slip vers le bas, découvre mon gland mouillé de cyprine et se met à le titiller du bout de sa langue. Trop bien. Et le voilà qui me gobe le gland du bout de ses lèvres et qui descend doucement le long de ma pine. Je mets mes mains dans ses cheveux et appuie légèrement sur sa tête pour qu’il s’enfonce plus encore….Il ne perd pas de temps le gars. Faut croire qu’il en a pas beaucoup non plus peut être.
C’est à ce moment là précis qu’on entendit, au bout de l’allée, un voix qui disait :« « -Il est où encore Abdel. Il est jamais dans son rayon ! »Aussitôt, Abdel se releva en disant :« -C’est bon. Je ramasse les trucs que les gens laissent dans les cabines. J’arrive ! »Il me prend un maillot, un petit bisou sur la bouche et…je lui montre l’énorme bosse qui déforme son jean. J’en profite pour la lui tâter. Bien dure. Il retire son tee shirt de son pantalon et le fait passer au dessus. Puis il ouvre la porte et referme aussitôt derrière lui. Je les entends s’éloigner. Ouf ! moins une !
Je me rhabille et repasse par le rayon, espérant le revoir…Ce qui ne tarde pas. A voix basse, on discute.
« -C’était chaud !
-Oui mais excitant, non ?
-Carrément !
« -J’étai sûr et certain que ça allait le faire avec toi ! J’adore les beaux mecs comme toi. Je ne peux pas résister!
-Merci ! T’es vraiment pas mal non plus, tu sais. En plus, j’adore les Arabes !
-Si tu veux, on peut se voir le soir, à l’extérieur ?
--Pourquoi pas… -Je vais à la piscine après vingt heures ?
-Ok »En passant en caisse- finalement, pour lui faire plaisir, je lui ai pris le modèle qu’il m’avait recommandé -, il me dit, en rigolant :« -Excellent choix ! Vous verrez, il vous fera beaucoup d’usage. On en vend énormément ! ».
Le soir même, je le retrouvais à la piscine. Ca tombait bien, c’était nocturne ce soir là. Moi avec son « caleçon slippé », lui avec un mini tanga rose fluo. Au moins, il annonce la couleur, franco ! Un fin duvet recouvre tout son torse et son ventre si bien qu’on ne distingue pas sa ligne de poils. J’adore aussi ce look. Trop beau ! Une bombe !
On aligna les longueurs. Slimane, l’œil brillant, me demanda comment je faisais pour rencontrer de tels mecs. Il était super affuté question nage. C’était vraiment son truc. Au bout d’une bonne heure intensive, on remonta se doucher. Direct, on se mit dans la même cabine. On se colla l’un à l’autre sous le jet, s’embrassant furieusement, bite contre bite. Puis, il s’agenouilla et me caressa vigoureusement le maillot qu’il fit glisser assez vite pour me pomper somptueusement.
Ca pour sucer, il savait sucer ! Un expert ! Assez vite, malheureusement, je jouis. Il récupéra tout sur son visage que je lui léchais jusqu’à la dernière goutte. Je ne voulais pas être en reste et je plongeais mes mains dans son slip pour deviner une superbe bite, entièrement rasée qui vibrait sous ma main. Je le branlais jusqu’à ce qu’il se vide – assez rapidement, à ma surprise -, dans son slip.
Après, on se nettoie en se savonnant mutuellement tout en discutant à voix basse. C’est à ce moment là que je peux l’admirer dans toute sa splendeur de jeune mâle rebeu. Il avait le torse et le ventre couvert de poils bruns assez courts. Une sorte de duvet très joli. Une longue bite fine, droite, circoncise, avec un très beau gland, un peu plus brune que la couleur mate de sa peau. Ce qui était rigolo c’est qu’à quelques centimètres sous le nombril, au niveau de l’élastique du slip, tout était entièrement rasé : le ventre, la bite, les couilles. Ca faisait un sacré contraste. Deux belles couilles bien resserrées en dessous, de beaux abdos, bien dessinés qui trahissent la fréquentation régulière de la salle de gym, un cul super rebondi, deux globes fessiers magnifiques, une raie large – comme celle de Paulo – Une très très belle bête – de sexe ?-.
« -On va fermer ! Tout va bien –Oui Slimane, merci. Tout est OK. »Abdel ouvre de grands yeux. Je lui dis que je connais Slimane. Et qu’il n’a pas eu besoin de regarder sous la porte pour savoir qu’il y avait quatre pieds dans la cabine de douche !
« -Il a deviné ?
-Ben oui. Il est homo, lui aussi.
-Tu le connais…bien ?
-Oui. On a baisé ensemble il y a longtemps.
-Décidément ! Tu ne fais que dans les Arabes…-Ne crois pas ça. Je fais aussi dans les brésiliens et les français… !
-Les brésiliens ? Tu vois, lui, j’aurais pas cru. »Après la piscine, on s’arrête pour boire un verre dans un bar. On se met en terrasse, au fond, face à la rue. A discuter, je le trouve trop sympa. Très joyeux et positif. Pas du tout macho, avec beaucoup d’humour et, en même temps, très décidé. C’est sûr qu’il allait beaucoup plaire à Rémi et à Paulo. Sous la table, nos jambes nues se collaient, se caressaient. Heureusement qu’il y avait une grande nappe ! J’étais certain qu’il rebandait déjà. Je vérifiais en le tâtant…Gagné ! Il me demanda s’il pouvait faire un selfie de nous deux.
« -C’est pour ta collec ? » On rigole.
Il veut tout savoir de moi. Alors, je lui parle de Rémi qui vient de nous quitter et aussi de Paulo. De notre façon de vivre.
-Wow ! C’est comme ça que je voudrais vivre ! Mais, avec ma famille, ça va être compliqué. Alors, en attendant, je papillonne…-Tu papillonnes même très bien, à la piscine » On rigole.
Alors, je lui demande de me parler, s’il veut bien, de ses aventures sexuelles. Il veut bien. Il me dit qu’il a commencé, « assez tôt » avec les filles et, qu’assez vite, il a été attiré par les garçons – peut être depuis toujours, d’ailleurs -. J’ai senti que j’avais trouvé ma voie avec eux. Et ça marche pas trop mal – vu sa belle gueule, ça ne m’étonne pas -. Aujourd’hui, il ne sort qu’avec des garçons. Par contre, l’autre fois, au magasin, c’est pas du tout lui ça. Il ne sait pas ce qui lui a pris. Il devait être sous pression – ça faisait cinq jours qu’il n’avait pas baisé – et, quand il m’a vu, il m’a sauté dessus. Nos voisins de table – trois jeunes – écoutent avec intérêt ce que raconte Abdel… Par contre, il me dit aussi qu’il aimerait bien savoir comment faire pour jouir moins vite. Il est d’une sincérité désarmante, touchante même. Là où ça ne va pas le faire du tout c’est avec ma famille. C’est la honte intégrale d’être homo. Je ne sais pas du tout comment faire pour leur dire. Je crois que mon plus jeune frère a commencé à s’en douter quand il a découvert mes strings roses dans ma chambre…Tout en parlant, il pose, lui aussi, sa main sur mon paquet qui a commencé à grossir tout seul avec tout ce qu’il me raconte. Il est impatient de rencontrer Rémi et Paulo. Il veut aussi venir au magasin.
Bref, il entre dans ma vie. A toute vitesse.
On se quitta en se promettant de se revoir.
Bien sûr, je me devais d’en parler à Paulo. Ce que je fis aussitôt. Il le demanda une photo de lui. Après avoir reçu le selfie, Paulo se montra très enthousiaste et m’ encouragea à nouer plus de contacts avec lui. Dont acte.
Le lendemain, je reçois un SMS d’Abdel si je veux aller courir avec lui . On commence à courir. Abdel est vraiment à croquer dans son mini short bleu, son débardeur blanc et ses skets roses fluo. J’ai a du mal à le suivre, tant il est physique, en tout. Une heure durant, je m’évertue à courir derrière le beau cul affolant d’Abdel. Ca motive, c’est sûr. Le temps est superbe, chaud, ensoleillé. Au bout du compte, on est en nage, on ruisselle. Alors, je propose qu’on aille se rafraîchir dans un petit ruisseau pas loin d’ici - haut lieu de certains de nos ébats -.
Arrivés au ruisseau - complètement isolé en plein bois -, petite mousse, tache de soleil : idyllique, on se désape. Abdel m’ apparaît en mini slip rose fluo sa couleur préférée ? – très très échancré, pour le coup. Genre slip brésilien. Superbe ! Aussitôt, on se glisse dans l’eau fraîche du ruisseau, en s’éclaboussant comme des gamins - que nous sommes restés -. On voit nettement le paquet d’Abdel enfler, malgré l’eau froide. Qui va faire le premier pas ?
Je commence à me rapprocher d’Abdel qui ne demande que ça, je suppose. Je commence à lui caresser les pecs, lui agacer les tétons, la ligne de poils. Je le regarde, amusé. Assez vite, je suis sur son slip, bien trop petit pour contenir la bite raide d’Abdel qui déborde largement de l’élastique. Abdel se laisse faire, ravi de cette nouvelle expérience. Avec son accord, je prends quelques photos. Joli ! Je plonge ma bouche vers ce sucre d’orge qui me tente trop. Abdel s’arcboute, tremblant de désir. Ses mains se font pressantes sur mon slip .
« -Walla ! C’est la première fois que je fais ça en plein air !
-Eh ben moi, tu vois, ce serait plutôt notre spécialité !
-Faut que je te dise… J’ai plutôt tendance à jouir assez vite , comme tu as du le remarquer et j’aimerais aussi beaucoup te prendre, si tu veux bien sûr--Tu sais que j’en ai terriblement envie. J’adore les nouvelles bites. »Abdel fait alors glisser mon slip et se met à me doigter doucement en trempant son majeur dans l’eau.
« -Attends, j’ai tout prévu ! » . Et je sors de la poche de mon short une petite fiole de gel.
« -Tu sais, je n’ai pas de capote mais je suis clean !
-T’inquiète. Nous aussi on est clean. Viens ! »Je viens me mettre en levrette devant Abdel, au milieu du ruisseau. Je lui tends la fiole de gel. Il se met à me doigter vigoureusement puis il présente son gland. Très - trop ? – vite il a passé son gland assez fin et circoncis.
« -Vas-y ! Bourre moi à fond, Abdel ! »Il ne se fait pas prier. Très vite il est au fond et commence à me pistonner sérieusement. Quel beau spectacle de voir la belle croupe d’Abdel onduler dans le soleil au gré de son va et vient. De temps en temps, c’est moi qui me mets à coulisser sur sa pine. Je sens que je vais me régaler avec cette nouvelle bite. Dire qu’il y a vingt quatre heures, je ne le connaissais pas. De temps en temps, je me retourne et cherche sa bouche.
« -Aaaah ! Elle est trop bonne ta bite Abdel ! Mets la moi fort !! » -Et moi j’aime trop ma bite dans ton ventre ! »P….n ! C’est trop bien de faire ça ici ! Trop cool ! »Pour rigoler, je prends un peu d’eau dans le creux de ma main et la verse sur la bite d’Abdel quand il se recule.
« - ????
-C’est pour éviter la surchauffe ! » On rigole.
Avant d’exploser littéralement, Abdel a le temps de se déchaîner dans mon cul avec une vigueur très très impressionnante. Je suis chahuté comme jamais mais j’ en redemande. Abdel est en nage et… il explose dans mon cul avec un rugissement de lion. Pour quelqu’un qui « jouit vite », je trouve que c’est pas si mal que ça !
Abdel s’est retiré et se met à plat dos pour moi. J’apprécie. Il lève et écarte ses longues jambes et vient les poser sur mes épaules. Bien qu’il vienne de jouir, on sent qu’il a encore envie de sexe. C’est aussi à ça qu’on reconnaît les vrais accrocs… Pour cette première véritable fois avec Abdel, je veux qu’il en garde un bon souvenir et moi, je veux me régaler aussi. J’adore découvrir un nouveau cul, un nouveau fourreau. C’est plein de petites découvertes, de nouvelles sensations…Je sens que je vais prendre mon pied… Je l’embroche doucement en le dévorant des yeux. Je me baisse sur son visage et déguste sa bouche doucement. Il m’a agrippé les fesses et me tire vers lui, en lui. Je remue doucement. Il me serre encore plus fort. Je recule légèrement ma tête et le regarde intensément. Ses yeux brillent et me sourient. Je veux remuer ma bite mais il me tient fermement le cul et il a contracté son sphincter Délicieux. On est trop bien ainsi. Puis il enlève ses mains de mon cul pour venir les poser sur mes épaules et me tirer à lui. J’en profite pour commencer à le limer de toute la longueur de ma pine.
En fait, à cet instant, j’ai tout ce que j’aime le plus au monde. Un beau garçon sous moi à qui je fais vraiment l’amour pour la première fois, un endroit idyllique en pleine nature où nous sommes nus sous le chaud soleil d’automne …. Tout est là. Abdel me sourit de toutes ses dents blanches et m’encourage à le pilonner sans réserve.
« -Vas- y ! Walla ! A fond ! J’aime ta bite ! Elle est bonne ! J’aime la sentir ! Déchire moi ! »Alors, je vais me mettre à le pistonner avec une régularité de métronome. Bien sûr, j’aimerais bien réussir à le faire jouir du cul mais ça, c’est pas gagné à chaque fois… En attendant je le tape bien à fond à chaque fois. Il me dit qu’il aime quand il entend claquer mes couilles contre son cul. Ca m’excite. Je me sens super bien dans son ventre. Son fourreau me serre bien. Il est chaud, doux. Il écarte encore davantage ses jambes relevées au plus haut. Il s’offre à mes coups de bite. J’accélère encore et encore. Ma bite est en feu. Je glisse à toute vitesse dans son trou. Je perds mon souffle. Je sens une vague de chaleur partir de mon ventre et m’envahir complètement. Je vibre, je tremble, je me raidis et me déverse en lui. Un, deux, trois, quatre jets. Il hulule de plaisir.
Repus on s’accorde un temps de repos, allongés sur la mousse, dans la tache de soleil. Trop bien. J’ai posé ma tête sur la bite gluante d’Abdel et je la sens déjà frémir à nouveau. Puis on se lave dans le ruisseau, on se rhabille et on rejoint, en marchant cette fois, la voiture.
Voilà. C’est ainsi qu’Abdel est rentré dans nos vies. Pour notre plus grand plaisir. Et le sien.
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