Abdel est chaud bouillant - histoire érotique

L’autre soir, je rentrais à l’appart après une journée passée au magasin. En cherchant une place pour me garer dans la rue, je vis que notre appart du troisième était éclairé. Chouette ! Abdel devait être là – il avait une clef depuis le début -. D’ailleurs, je le vis accoudé à la rambarde du balcon. En me voyant, il m’envoya un baiser de sa main.
J’eus à peine le temps de refermer la porte de l’appart que, déjà, il me sautait dessus. Lui était en slip – un cK vermillon et gris, superbe, super renflé -. Il glissait déjà ses mains sous mes vêtements, cherchant littéralement à me dépiauter de mes fringues.
« -Aaaaaah ! J’ai trop trop envie ! J’ai envie de ta bite, de ton cul, de toi… !
-Je vois ça… Tout de suite ou après ou ET après ?
-Tout de suite, après et encore après si tu veux !
-OK ! Si tu le dis… »Déjà il m’a tout enlevé – sauf le slip -. Il sait qu’on adore se le faire enlever à la dernière seconde et le plus sensuellement possible, Paulo comme moi. Il m’a collé contre le mur du couloir, s’est collé à moi et me dévore la bouche. J’ai glissé mes mains dans son slip et je malaxe son cul en le tirant vers moi -« T’as l’air chaud, Abdel…-Oui, c’est le petit nouveau – il est en deuxième année de STAPS -, aujourd’hui, il a pas arrêté de me draguer, sérieux. En plus, l’aprème on a eu lutte et, bien sûr, il a voulu se mettre avec moi. Direct, j’ai senti sa bite toute raide contre mon ventre. Du coup, la mienne aussi….Le prof a sûrement dû s’en apercevoir ! Surtout avec les combinaisons de lutte en lycra moulantes, ça pardonne pas… Les copains, ils rigolaient bien. A la fac, tout le monde sait que je suis homo, mais quand même !
-Il est beau au moins ?
-Ouais, c’est un rebeu comme moi. Pas mal quand même- Abdel, tu sais qu’ici, on est très libre avec ça, t’as compris quand même ?
-Bien sûr, je sais. En fait, je sais pas encore si j’ai envie de lui ou pas…-Tu es libre Abdel. »Toute cette conversation l’a fait retomber un peu mais il n’a pas changé d’avis pour autant. Alors, il reprend possession de ma bouche, en me griffant le dos. Puis il m’entraîne vers la cuisine… Il s’allonge sur la table et me demande de le sucer. J’entrebaille son slip et glisse ma bouche dedans. J’arrive direct sur son gland hyper mouillé. Je le lèche consciencieusement ...Il souffle.
« -Wallla ! C’est bon ! Vas y ! »J’y vais, j’y vais. J’en profite pour lui malaxer les couilles en glissant mes mains par les jambes. Elles sont toujours aussi douces parce que rasées de près, par contre, Abdel a décidé de laisser un peu repousser sa toison, ce qui ne devrait pas trop tarder vu la vitesse à laquelle sa barbe pousse. Je le doigte aussi un peu. Il s’est arcbouté sur la table, comme sous l’effet d’une décharge électrique. J’essaie de gober doucement ses couilles mais une à la fois seulement car elles sont trop grosses pour prendre les deux en bouche en même temps. Ses mains ne restent pas inactives bien sûr et me caressent copieusement le slip, dessus, dessous. Du coup, je viens lui offrir, moi aussi, ma bite à sucer. Ce qu’il fait sans se faire prier. Au bout d’un temps, il me dit :« Tu me godes, s’il te plaît ?
-No problem, fils. »Je reviens très vite avec une série de trois. Un peu de gel … Je le retourne sur le ventre, lui fait poser les jambes écartées à terre, juste en bord de table et je glisse le gode sur le côté du slip, sans le baisser. Direct, j’appuie sur sa rondelle pour le forcer. Aussitôt, je le fais coulisser lentement.
« -Wouuaaah ! Trop bon ! Continue ! Continue !! »Je vois Abdel qui se frotte la bite, en cadence, contre la table, au rythme de mes allées et venues. Je passe assez vite aux autres godes pour finir par le plus gros, celui du moulage de la bite de Paulo – à défaut de celle de Tim -.
« -Oooooh ! Tu veux bien me prendre ?
-Bien sûr que oui, mon petit Abdel ! »Moi aussi, je passe ma bite sur le côté de son slip. Je suis tout de suite au fond et je me mets à le limer consciencieusement. J’ai deviné, sans le lui demander, qu’il voulait me faire subir le même sort, en alternance avec lui. Ca ne manque pas. Il me propose d’échanger nos places. Il commence d’abord par me goder soigneusement puis il me pénètre de toute la longueur de sa pine. Quel délice ! Je la sens parfaitement bien se faufiler en moi, centimètre par centimètre. Elle est dure comme du bois et chaude comme de la braise.
On va ainsi se chauffer pendant un bon moment, en échangeant nos places régulièrement. Puis Abdel va me proposer de conclure dans le lit.
‘-Tu viens, on va au lit ? J’en peux plus d’attendre ta bite… » me souffle-t-il, la voix chavirée.
C’est moi qui commencerai en premier. Mais, je prendrai quand même largement mon temps. Je vais le déguster sous toutes les coutures, mon petit Abdel. Je sens que je commence à m’attacher à lui de plus en plus et lui à moi… Je sais qu’il adore le sexe, alors, je ne vais pas le priver d’un plaisir quand même. Et moi, donc. Je vais le fourrer dans toutes les positions possibles et imaginables. Plus il va gémir, plus ça va m’exciter et m’inciter à en trouver une nouvelle. Pendant un sacré bout de temps, je vais le limer doucement, lui sous moi, jambes largement ouvertes, moi en lui, nos corps peau contre peau, sentant superbement bien son doux fourreau autour de ma queue. Il va couiner sans arrêter, de plus en plus fort. Il va m’encourager de la voix à lui faire ceci ou cela. Ca m’excite super grave. Je vais me noyer dans ses yeux, dans sa bouche, dans son ventre. A un moment, je vais même emprunter l’anneau vibrant de Paulo que j’enfilerai sur ma bite jusqu’en bas pour lui faire ressentir de petites vibrations sur son périnée. Il va aimer ça. Je finirai par exploser en lui après l’avoir soulevé et enserré autour de ma taille en le secouant comme un prunier. Puis, je m’offrirai à lui…Lui va me faire le grand jeu. Il va déployer toute sa palette. J’adore le voir ainsi sur moi, me surplomber, appuyé sur ses avants bras, me serrer, m’embrasser, me lécher, me mordiller, puis se relever tout en continuant à me pilonner doucement, se laissant admirer – son torse, ses pecs, ses abdos, son bas ventre…-. Trop beau mon Abdel. Et il le sait et il en joue – un peu -. Je peux – et je dois – lui demander tout ce que j’aimerais qu’il me fasse, il le fera sur le champ. Il adore quand je lui dis des mots doux dans ces moments là. Il est face à moi, à genoux, je suis sur le dos, il m’a empoigné le cul et soulève mon bassin vers lui tout en me pistonnant grave.
« -Aaaaah, Abdel ! C’est bon ta bite ! Mets la moi à fond !
-Wallaaa ! Ouuui ! C’est trop cool ! J’adore ! »Depuis qu’on se connait, Abdel a fait des progrès, question endurance avant de jouir. Il a retenu et appliqué les conseils de Rémi. Pour notre plus grand plaisir. C’est fou comme j’aime sa bite, la sentir bouger en moi, la sentir me caresser, la sentir glisser, la sentir me remplir. Sentir ses reins se creuser pour m’enfoncer, son cul se durcir à chacun de ses coups de bite, sa respiration se faire plus courte, son torse, son bas ventre et le creux de ses reins se couvrir d’une fine pellicule de sueur, ses gémissements et ses paroles crues….Tout ça me chavire au plus haut point. Cette fois, il se donne à fond. Il veut conclure. Il accélère encore. Il a perdu son souffle. Sa bouche s’ouvre, ses yeux s’agrandissent, il tremble de partout, il gicle, il gicle, il gicle. Je suis plein de son foutre brûlant. Il commence à ralentir sa cadence jusqu’à l’arrêter et retomber sur moi, vidé dans tous les sens du terme.
Je le serre contre moi. Je ne veux pas qu’il sorte tout de suite. Il le sait. Je vais le garder en moi, de côté et on va comater ainsi pendant quelques heures. Au cours de la nuit, il honorera la deuxième partie de sa promesse en me reprenant à nouveau. Moins sauvagement cette fois mais ce sera tout aussi agréable.