Aber deine Frau
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Aber deine Frau
Au Club Med, faut venir en couple. Sinon on paye tarif plein pot de mec célibataire. Alors tous depuis toujours on s’arrange avec un copain ou mieux une copine pour faire coloc et prendre chambre commune à tarif de couple.
Ce qui ne signifie aucunement que l’on soit « ensemble » à la colle concubins pacsés ou même pire, mariés.
Au club Med faut venir l’esprit libre, c’est mieux. Et puis, c’est plus fructueux.
Mais enfin, nous tous on préfère comme colocataires des copines sexfriends part’naires plutôt que de simples camarades ou même pire des collègues...
Maintenant il ne faut pas que la copine en question s’y croye et fasse capoter les ouvertures exogènes.
Alors, nous on s’organise. On annonce la couleur d’entrée quand on fait proposition à une fille de séjour ski à la montagne au Club Med. Non seulement on partagera les frais mais encore on ne baisera ensemble que quand ni l’un ni l’autre n’aura trouvé pour la nuit chaussure à son pied dans le cheptel local du chalet du club.
Faut savoir que toujours le Club Med est riche de multiples opportunités.
Alors la fille te dit en riant aux éclats, mieux vaudra baiser avant de partir, ce sera plus sûr. Et puis ça nous mettra dans l’ambiance. Comme qui dirait façon de préliminaires.
Moi je double les chances en organisant une réservation carrée, deux copains deux copines et on s’inscrit à Saint-Moritz en Suisse comme deux couples bien sérieux mariés quasiment suisses pas matrimoniaux mais presque. Dans deux chambres contiguës. Communiquantes en sus.
Je ne vous dis pas les combinaisons selon les opportunités locales...
Ce séjour-là, le premier jour fut pour moi un éblouissement de jeune femme suisse blonde aux yeux turquoise et ronds fort saillants sous le pull de laine compliqué de dessins de rouge de vert de sapins de montagnes. Rèche en sus la laine.
J’ai chopé sa main et elle m’a dit, aber deine Frau...
Mais elle souriaitJ’ai compris que l’affaire de ma Frau lui importait peu.
Et cela me convenait bien.
Cela commençait bien.
On a choisi d’être dans le même groupe de ski le lendemain pour carver ensemble, elle et moi.
Et vu que le premier jour au Club il n’y a pas d’activité de ski organisée, on s’est retrouvés tout naturellement au sauna hamam du sous-sol. Chaussures fournies par le club, sortes de soques jaunes, genre tongs avec marqué en lettres bleues Club Med. Et puis peignoir blanc éponge pour circuler dans les couloirs et l’ascenseur, à poil de rigueur en dessous.
En tombant le peignoir au hamam elle a dit encore aber deine Frau ? Et puis elle a empaumé mon paquet sans attendre réaction à sa question.
Déjà elle était à genoux ma bite flacide à fond de gosier mes deux mains dans sa chevelure doucement caressantes.
On était subitement devenus copains.
Elle était Suissesse. Les filles de Suisse sont bonnes. Voyez Ursula Andress dans le premier James Bond. Docteur No. Son bikini profondément moulé de vulve fendue ouverte à faire bander tous les spectateurs du film. Surtout sortant de l’eau son coquillage en mains et son sourire ... engageant.
Très engageant, le sourire.
Et cette Suissesse là d’ici était du même acabit ... surtout dans les vapeurs moites du hamam et le flou de sa touffe blonde qui cachait mal un dindon compliqué de fille des Alpes.
Elle parlait seulement allemand et a trés vite dégurgité mon bitos devenu trop grand immense suite aux douces malaxations de son fond de glotte. Elle a dit, en allemand dans le texte, kolossal.
Je n’étais pas peu fier.
Elle s’est retournée, bras croisés sur le banc de céramique chaude, krouppe haute, sa tête blonde posée sur ses deux bras potelés de dondon germanique. Les deux fesses cambrées largement ouvertes sur une parenthèse charnue velue en blonditude dégoulinante de vilosités roses aux reflets nacrés.
Je n’ai absolument pas hésité et ai aussitôt enfilé mon braquemart dans les vilosités trempées qui m’étaient présentées. Elle reculait de grands coups de reins pour mieux l’emmancher, plus à fond plus profond.
Elle a levé haut sa tête, cou tordu en arrière comme symétrie de la lordose de son bassin et a crié, aber deine Frau...
Cela a été le signal déclenchant de notre orgasme commun, comme une résonnance. Moi déchargeant mes quinze centimètres cubes de foutre lourd au fin fond de son ventre à grand hoquets, elle subitement convulsée en danse de Saint Guy malaxant tige et gland pour en tirer toute la substantifique moelle comme fermière à la traie.
Elle est restée peu de temps réfractaire calme et apaisée et très vite s’est retournée pour un petit bisou sur mes lèvres. Elle a dit jetz gehen wir zum Sauna.
J’ai compris qu’elle voulait aller à côté, au sauna.
Je croyais qu’elle ferait petite halte à la douche, mais non, elle gardait, en marchant pieds nus sur les carreaux du couloir qui menait du hamam au sauna, sa main en coque sur sa touffe et me souriait. J’ai compris qu’elle voulait tout garder.
Elle riait et j’ai entendu son rire, aber deine Frau...
Le sauna était occupé. Deux gars et une fille. On voyait qu’ils étaient à point, corps rougeauds et grosse transpiration. Les paquets des mecs étaient totalement avachis, la motte de la fille dégorgeait de sueur mouille coulette et autres exsudations du meilleur effet.
En Suisse les gens ne sont pas prudes et tout le monde vit sans complexes exhibant ses parties génitales en toutes circonstances de convivialité. En particulier dans les activités sportives.
Les Suisses se sont poussés un peu pour nous faire petite place sur les clayettes de bois.
Ils parlaient français. L’un des deux mecs, un barbu, matait effrontément la vulve de ma copine. La fille qui était avec eux a vu le regard du gars et a maté elle aussi. Le troisième a fait de même et moi bien entendu itou.
La fille était allongée sur sa serviette, nuque posée sur une sorte d’oreiller en bois. Elle regardait les lattes de bois blond du plafond et prenait avec plaisir forte chaleur en son corps pour son bien être.
Ses jambes à peine ouvertes, ses cuisses à peine relevées.
De son ventre sourdait doucement mon sperme, blanc laiteux fluide abondant.
Le sourire de la fille était éloquent, aber deine Frau...
C’est l’autre fille qui a rampé sur les planches puis qui est venue au seau et a déversé une louchée sur les pierres brûlantes. Dans la vapeur, elle est revenue à nous, ses beaux nibars lourds et denses balançants. Elle a bisé chacun des deux garçons, ses copains, chastement sur les lèvres puis est venue au creux de mon amie en intention de pourlécher sa fente et boire mon offrande.
Son regard en biais vers moi disait clairement qu’elle savait l’origine des mets qu’elle allait déguster.
Elle était bien faite et son petit cul serré au creux étroit de deux fesses d’ado me faisait saliver. Ses fesses portaient la marque du maillot et l’on voyait qu’elle était fille bien sérieuse qui bronze textile sur des plages familiales et non pas dévergondée à traîner à l’Espiguette avec des nudistes de Camargue.
Je suis resté coi en pensant que quand elle aurait épuisé la première source elle saurait probablement trouver seconde étape en félage de mon organe perso. Pour trouver l’original.
Vu qu’elle était toute concentrée les fesses en l’air à déguster la chatte de ma copine, le nez dans le haut de touffe, les lèvres à bouffer le papillon, le menton dans le cul suintant de moiteurs transpirantes. Vu qu’elle était ainsi, sa croupe étroite ouverte, eh bien je n’ai pas hésité et prenant ses hanches élastiques à pleines mains, j’ai plongé sur son petit soleil, écartant les fesses pour l’ouvrir plus encore et plonger de ma langue dure en ses intérieurs.
Elle poussait et ses entrailles s’ouvraient. Ma salive venait à son encontre et emplissait son ampoule.
Nous avons alors tous deux compris que le moment était propice.
Nos corps étaient tout transpirants des chaleurs intenses du sauna, elle était tête entre cuisses à boire au creux de mon amie, le cul ouvert et cambré haut, à genoux sur l’étagère de bois. J’avais croché ses hanches de mes deux mains et j’ai présenté mon gland tout décalotté de bandaison extrême à l’orée de son petit trou qui baillait d’attente.
Les deux gars à côté étaient toute ouïe et n’en perdaient pas une miette. Ils ont vu ma longue verge fine entrer sans coup férir dans l’anus étroit de la jeune fille, comme aspirée.
Elle avait la bouche collée aux grandes lèvres de l’autre fille et se régalait de bouffer les peaux compliquées et goûteuses qui faisaient l’accueil du vagin.
J’ai un peu lutiné pour mettre en ambiance puis je suis resté sage, calme serein.
Les deux filles avaient trouvé le bonheur et moi je n’étais pas mal non plus, abuté du gland au col du colon, en silence. Je pensais que le club Med était vraiment lieu de multiples opportunités malgré l’extrême chaleur de ce sauna de Saint Moritz.
La Suissesse me regardait par dessus la fille qui lui bouffait les intimités. Elle m’a parlé, en allemand.
Aber deine Frau...
Ce qui ne signifie aucunement que l’on soit « ensemble » à la colle concubins pacsés ou même pire, mariés.
Au club Med faut venir l’esprit libre, c’est mieux. Et puis, c’est plus fructueux.
Mais enfin, nous tous on préfère comme colocataires des copines sexfriends part’naires plutôt que de simples camarades ou même pire des collègues...
Maintenant il ne faut pas que la copine en question s’y croye et fasse capoter les ouvertures exogènes.
Alors, nous on s’organise. On annonce la couleur d’entrée quand on fait proposition à une fille de séjour ski à la montagne au Club Med. Non seulement on partagera les frais mais encore on ne baisera ensemble que quand ni l’un ni l’autre n’aura trouvé pour la nuit chaussure à son pied dans le cheptel local du chalet du club.
Faut savoir que toujours le Club Med est riche de multiples opportunités.
Alors la fille te dit en riant aux éclats, mieux vaudra baiser avant de partir, ce sera plus sûr. Et puis ça nous mettra dans l’ambiance. Comme qui dirait façon de préliminaires.
Moi je double les chances en organisant une réservation carrée, deux copains deux copines et on s’inscrit à Saint-Moritz en Suisse comme deux couples bien sérieux mariés quasiment suisses pas matrimoniaux mais presque. Dans deux chambres contiguës. Communiquantes en sus.
Je ne vous dis pas les combinaisons selon les opportunités locales...
Ce séjour-là, le premier jour fut pour moi un éblouissement de jeune femme suisse blonde aux yeux turquoise et ronds fort saillants sous le pull de laine compliqué de dessins de rouge de vert de sapins de montagnes. Rèche en sus la laine.
J’ai chopé sa main et elle m’a dit, aber deine Frau...
Mais elle souriaitJ’ai compris que l’affaire de ma Frau lui importait peu.
Et cela me convenait bien.
Cela commençait bien.
On a choisi d’être dans le même groupe de ski le lendemain pour carver ensemble, elle et moi.
Et vu que le premier jour au Club il n’y a pas d’activité de ski organisée, on s’est retrouvés tout naturellement au sauna hamam du sous-sol. Chaussures fournies par le club, sortes de soques jaunes, genre tongs avec marqué en lettres bleues Club Med. Et puis peignoir blanc éponge pour circuler dans les couloirs et l’ascenseur, à poil de rigueur en dessous.
En tombant le peignoir au hamam elle a dit encore aber deine Frau ? Et puis elle a empaumé mon paquet sans attendre réaction à sa question.
Déjà elle était à genoux ma bite flacide à fond de gosier mes deux mains dans sa chevelure doucement caressantes.
On était subitement devenus copains.
Elle était Suissesse. Les filles de Suisse sont bonnes. Voyez Ursula Andress dans le premier James Bond. Docteur No. Son bikini profondément moulé de vulve fendue ouverte à faire bander tous les spectateurs du film. Surtout sortant de l’eau son coquillage en mains et son sourire ... engageant.
Très engageant, le sourire.
Et cette Suissesse là d’ici était du même acabit ... surtout dans les vapeurs moites du hamam et le flou de sa touffe blonde qui cachait mal un dindon compliqué de fille des Alpes.
Elle parlait seulement allemand et a trés vite dégurgité mon bitos devenu trop grand immense suite aux douces malaxations de son fond de glotte. Elle a dit, en allemand dans le texte, kolossal.
Je n’étais pas peu fier.
Elle s’est retournée, bras croisés sur le banc de céramique chaude, krouppe haute, sa tête blonde posée sur ses deux bras potelés de dondon germanique. Les deux fesses cambrées largement ouvertes sur une parenthèse charnue velue en blonditude dégoulinante de vilosités roses aux reflets nacrés.
Je n’ai absolument pas hésité et ai aussitôt enfilé mon braquemart dans les vilosités trempées qui m’étaient présentées. Elle reculait de grands coups de reins pour mieux l’emmancher, plus à fond plus profond.
Elle a levé haut sa tête, cou tordu en arrière comme symétrie de la lordose de son bassin et a crié, aber deine Frau...
Cela a été le signal déclenchant de notre orgasme commun, comme une résonnance. Moi déchargeant mes quinze centimètres cubes de foutre lourd au fin fond de son ventre à grand hoquets, elle subitement convulsée en danse de Saint Guy malaxant tige et gland pour en tirer toute la substantifique moelle comme fermière à la traie.
Elle est restée peu de temps réfractaire calme et apaisée et très vite s’est retournée pour un petit bisou sur mes lèvres. Elle a dit jetz gehen wir zum Sauna.
J’ai compris qu’elle voulait aller à côté, au sauna.
Je croyais qu’elle ferait petite halte à la douche, mais non, elle gardait, en marchant pieds nus sur les carreaux du couloir qui menait du hamam au sauna, sa main en coque sur sa touffe et me souriait. J’ai compris qu’elle voulait tout garder.
Elle riait et j’ai entendu son rire, aber deine Frau...
Le sauna était occupé. Deux gars et une fille. On voyait qu’ils étaient à point, corps rougeauds et grosse transpiration. Les paquets des mecs étaient totalement avachis, la motte de la fille dégorgeait de sueur mouille coulette et autres exsudations du meilleur effet.
En Suisse les gens ne sont pas prudes et tout le monde vit sans complexes exhibant ses parties génitales en toutes circonstances de convivialité. En particulier dans les activités sportives.
Les Suisses se sont poussés un peu pour nous faire petite place sur les clayettes de bois.
Ils parlaient français. L’un des deux mecs, un barbu, matait effrontément la vulve de ma copine. La fille qui était avec eux a vu le regard du gars et a maté elle aussi. Le troisième a fait de même et moi bien entendu itou.
La fille était allongée sur sa serviette, nuque posée sur une sorte d’oreiller en bois. Elle regardait les lattes de bois blond du plafond et prenait avec plaisir forte chaleur en son corps pour son bien être.
Ses jambes à peine ouvertes, ses cuisses à peine relevées.
De son ventre sourdait doucement mon sperme, blanc laiteux fluide abondant.
Le sourire de la fille était éloquent, aber deine Frau...
C’est l’autre fille qui a rampé sur les planches puis qui est venue au seau et a déversé une louchée sur les pierres brûlantes. Dans la vapeur, elle est revenue à nous, ses beaux nibars lourds et denses balançants. Elle a bisé chacun des deux garçons, ses copains, chastement sur les lèvres puis est venue au creux de mon amie en intention de pourlécher sa fente et boire mon offrande.
Son regard en biais vers moi disait clairement qu’elle savait l’origine des mets qu’elle allait déguster.
Elle était bien faite et son petit cul serré au creux étroit de deux fesses d’ado me faisait saliver. Ses fesses portaient la marque du maillot et l’on voyait qu’elle était fille bien sérieuse qui bronze textile sur des plages familiales et non pas dévergondée à traîner à l’Espiguette avec des nudistes de Camargue.
Je suis resté coi en pensant que quand elle aurait épuisé la première source elle saurait probablement trouver seconde étape en félage de mon organe perso. Pour trouver l’original.
Vu qu’elle était toute concentrée les fesses en l’air à déguster la chatte de ma copine, le nez dans le haut de touffe, les lèvres à bouffer le papillon, le menton dans le cul suintant de moiteurs transpirantes. Vu qu’elle était ainsi, sa croupe étroite ouverte, eh bien je n’ai pas hésité et prenant ses hanches élastiques à pleines mains, j’ai plongé sur son petit soleil, écartant les fesses pour l’ouvrir plus encore et plonger de ma langue dure en ses intérieurs.
Elle poussait et ses entrailles s’ouvraient. Ma salive venait à son encontre et emplissait son ampoule.
Nous avons alors tous deux compris que le moment était propice.
Nos corps étaient tout transpirants des chaleurs intenses du sauna, elle était tête entre cuisses à boire au creux de mon amie, le cul ouvert et cambré haut, à genoux sur l’étagère de bois. J’avais croché ses hanches de mes deux mains et j’ai présenté mon gland tout décalotté de bandaison extrême à l’orée de son petit trou qui baillait d’attente.
Les deux gars à côté étaient toute ouïe et n’en perdaient pas une miette. Ils ont vu ma longue verge fine entrer sans coup férir dans l’anus étroit de la jeune fille, comme aspirée.
Elle avait la bouche collée aux grandes lèvres de l’autre fille et se régalait de bouffer les peaux compliquées et goûteuses qui faisaient l’accueil du vagin.
J’ai un peu lutiné pour mettre en ambiance puis je suis resté sage, calme serein.
Les deux filles avaient trouvé le bonheur et moi je n’étais pas mal non plus, abuté du gland au col du colon, en silence. Je pensais que le club Med était vraiment lieu de multiples opportunités malgré l’extrême chaleur de ce sauna de Saint Moritz.
La Suissesse me regardait par dessus la fille qui lui bouffait les intimités. Elle m’a parlé, en allemand.
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