Accident de course
Récit érotique écrit par Kasiope [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2009 dans la catégorie Fétichisme
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Couleur du fond :
Accident de course
Je vais courir tous les samedis le long des dunes. J'ai atteint un bon niveau et je tiens facilement 2heures de footing à vive allure. Toutes les semaines, depuis le printemps, je rencontre une jeune fille qui cour sur le même parcours. Elle est rousse aux longs cheveux, les jambes fuselées, l'allure athlétique. Cette fois, alors que j'étais en train de la doubler, elle fait un écart et trébuche sur le sable. Je m'arrête pour voir si tout va bien. Elle pousse un petit cri alors qu'elle pose le pied par terre. Elle semble en effet s'être foulée la cheville. Je suis confus. Je ne voulais pas lui faire peur. Je lui proposais de regarder. Me voilà donc à genou en train de lui retirer sa basket. Elle n'avait pas de chaussettes. Son pied blanc était adorable, long et étroit qui se terminait par de tous petits orteils. Hélas, il commençait déjà à gonfler.
« Je crois que vous vous êtes tordue la cheville.
Mince, je ne vais pas pouvoir conduire pour rentrer chez moi, c'est malin.
Je m'en veux de vous avoir fait peur.
Vous n'y êtes pour rien, dit-elle les larmes aux yeux embués par la douleur. »
Je ne savais pas trop quoi faire. Je lui proposais de l'aider et de la ramener chez elle. Je l'aidais à marcher, mais elle avait beaucoup de mal. C'est alors que je la pris dans mes bras comme si je conduisais une mariée dans sa nouvelle maison. Elle était obligée de m'enlacer. En se collant à moi, je pouvais sentir ses seins contre moi tout doux. La situation m'excitait beaucoup. Je commençais à bander. Ma queue se dressait dans mon collant de course au point de toucher ses fesses. J'étais gêné mais elle ne disait rien. Quand je la posais dans ma voiture, elle me dit :
« tu as l'air d'être en forme
Je cours beaucoup.
Ce n'est pas ce que je voulais dire, dit-elle en riant.
Heu, je suis gêné.
J'espère bien. C'est un peu facile de profiter de la situation. »
La conversation commençait à déraper. Bizaremment, elle semblait la prendre à la rigolade, ce qui me détendit. Je la raccompagnais donc chez elle. Une fois à l'intérieur, je lui proposais de regarder à nouveau sa cheville. Elle avait déjà commencé à désenfler. Finalement, l'entorse était légère. J'admirais toujours son pied en le caressant. Je lui enlevais son autre basket et lui massais l'autre pied.
« Celui-là n'a rien, me dit-elle.
Si tu veux j'arrête, excuse moi.
Non, ce n'est pas ce que je voulais dire. On dirait que tu aimes mes pieds !!! Dit-elle en riant.
Ben, heu, ouais.
C'est marrant. Pour moi, ils ne sont rien, et toi tu bandes. »
Je n'avais même pas eu conscience de ma nouvelle érection. Mais, il est vrai que mon sexe avait repris des proportions honorables. En riant, elle approcha son pied valide de mon collant et appuya directement sur mon gland.
« Hum, c'est bien dure gloussa-t-elle, tu me fais voir ? »
Je ne savais pas où me mettre. Mais j'obéis en baissant mon collant et mon caleçon. Mon sexe s'échappa de son étau et alla directement taper sa plante de pied comme un aimant. Elle rit à nouveau et commença à me masser avec son pied. C'était divin. « C'est marrant, je suis sure que je peux te faire éjaculer avec mon pied ! » Sur ces paroles elle coinça ma verge entre ses orteils et la plaqua sur mon ventre. Je pris appui sur son pied et elle le fit coulisser.
« Toi, mon petit, je vais te faire jouir dans pas longtemps. » Le ton de sa voix m'excitait, bien qu'elle semblait me prendre pour une lopette. Je commençais à haleter. « C'est bien, continue, ton gland rougis. Il ne faut pas avoir honte tu sais. Tu es en mon pouvoir, tu ne peux rien faire sauf jouir... »
Effectivement, de longues giclées de sperme vinrent arroser mon ventre et ma poitrine avant de retomber sur son pied. « Lèche le pied de maman maintenant. » Tout penaud, j'obéis et continuais en lui suçant les orteils. A ma grande surprise, j'étais dominé : aux anges...
« Je crois que vous vous êtes tordue la cheville.
Mince, je ne vais pas pouvoir conduire pour rentrer chez moi, c'est malin.
Je m'en veux de vous avoir fait peur.
Vous n'y êtes pour rien, dit-elle les larmes aux yeux embués par la douleur. »
Je ne savais pas trop quoi faire. Je lui proposais de l'aider et de la ramener chez elle. Je l'aidais à marcher, mais elle avait beaucoup de mal. C'est alors que je la pris dans mes bras comme si je conduisais une mariée dans sa nouvelle maison. Elle était obligée de m'enlacer. En se collant à moi, je pouvais sentir ses seins contre moi tout doux. La situation m'excitait beaucoup. Je commençais à bander. Ma queue se dressait dans mon collant de course au point de toucher ses fesses. J'étais gêné mais elle ne disait rien. Quand je la posais dans ma voiture, elle me dit :
« tu as l'air d'être en forme
Je cours beaucoup.
Ce n'est pas ce que je voulais dire, dit-elle en riant.
Heu, je suis gêné.
J'espère bien. C'est un peu facile de profiter de la situation. »
La conversation commençait à déraper. Bizaremment, elle semblait la prendre à la rigolade, ce qui me détendit. Je la raccompagnais donc chez elle. Une fois à l'intérieur, je lui proposais de regarder à nouveau sa cheville. Elle avait déjà commencé à désenfler. Finalement, l'entorse était légère. J'admirais toujours son pied en le caressant. Je lui enlevais son autre basket et lui massais l'autre pied.
« Celui-là n'a rien, me dit-elle.
Si tu veux j'arrête, excuse moi.
Non, ce n'est pas ce que je voulais dire. On dirait que tu aimes mes pieds !!! Dit-elle en riant.
Ben, heu, ouais.
C'est marrant. Pour moi, ils ne sont rien, et toi tu bandes. »
Je n'avais même pas eu conscience de ma nouvelle érection. Mais, il est vrai que mon sexe avait repris des proportions honorables. En riant, elle approcha son pied valide de mon collant et appuya directement sur mon gland.
« Hum, c'est bien dure gloussa-t-elle, tu me fais voir ? »
Je ne savais pas où me mettre. Mais j'obéis en baissant mon collant et mon caleçon. Mon sexe s'échappa de son étau et alla directement taper sa plante de pied comme un aimant. Elle rit à nouveau et commença à me masser avec son pied. C'était divin. « C'est marrant, je suis sure que je peux te faire éjaculer avec mon pied ! » Sur ces paroles elle coinça ma verge entre ses orteils et la plaqua sur mon ventre. Je pris appui sur son pied et elle le fit coulisser.
« Toi, mon petit, je vais te faire jouir dans pas longtemps. » Le ton de sa voix m'excitait, bien qu'elle semblait me prendre pour une lopette. Je commençais à haleter. « C'est bien, continue, ton gland rougis. Il ne faut pas avoir honte tu sais. Tu es en mon pouvoir, tu ne peux rien faire sauf jouir... »
Effectivement, de longues giclées de sperme vinrent arroser mon ventre et ma poitrine avant de retomber sur son pied. « Lèche le pied de maman maintenant. » Tout penaud, j'obéis et continuais en lui suçant les orteils. A ma grande surprise, j'étais dominé : aux anges...
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