Achat d'une belle allemande... - histoire érotique

Je suçais Ali depuis 20 bonnes minutes déjà dans sa voiture, cet après midi là j’avais hâte qu’il décharge car j’avais un rendez vous pour acheter une voiture allemande ;maintenant que pour l‘assurance je n’étais plus considéré comme jeune conducteur j’avais décidé de me faire plaisir et la description que m’en avait faite le propriétaire m’avait convaicu d’aller l’essayer.

Ali était le frère ainé de 7 frères et sœurs dont un était mon meilleur ami, il ne vivait plus chez ses parents depuis longtemps déjà et depuis deux mois environ c’était mon amant mais je me contentais de l’embasser et de le sucer car il voulait me baiser dans sa voiture et il en était hors de question pour moi qui était encore puceau je lui avais dit que dés qu’il aurait trouvé une chambre je lui appartiendrait, en été encore on pouvait le faire dans les champs mais en février ce n’était même pas la peine d’y penser,,,,Bref, une fois qu’il m’eut envoyé de longues giclées de son sperme au fond de la gorge tout en me traitant de salope je me suis dirigé vers mon rendez vous automobile.
Pierre-Jean avait la cinquantaine, beau mec, il m’attendait devant l’entrée de son parking et j’ai pu constater que la voiture correspondait bien aux photos et descriptions que j’avais reçu. Aprés un essai d’une vingtaine de minutes j’ai donné mon accord pour l’acheter, j’ai donc versé un acompte et copié les données pour l’assurance et on s’est donné rendez vous 3 jours après pour conclure la vente, pendant ce temps il ferait remplacer le système électrique du lève vitre défectueux.

Le jour venu je suis monté à son appartement pour terminer la vente et il ma proposé de m’asseoir sur le divan pendant qu’il servait deux whisky coca, on parlait de tout et de rien, il nous a reservi puis a allumé la télé, en fait il s’agissait d’une vidéo porno ou une femme se faisait partouzer par trois ou quate types,
En rigolant il me dit : «  Zut, j’ai oublié de me remettre en TV, ça ne te choque pas au moins » ma réponse négative l’a rassuré puis en se touchant les couilles il s’écria : «  Putain ça m’excite! » puis, aussitôt il me mit la main sur les couilles en souriant et me dit : « Putain, tu bandes aussi !» ce qui n’était pas le cas, puis en me regardant dans les yeux «  Allez, on se branle ? On est entre hommes ! » et il se dégraffa sa ceinture, baissa son pantalon et sortit un bel engin , comme je tardais à m »exécuter, tellement j’étais gêné et surpris il m’aida à me défaire, me prit le sexe dans ses mains et commença à me branler, puis sa bouche remplaça ses mains, c’était la première fois qu’on me suçait et je ne tardais pas à jouir puis il se leva et me présenta sa queue que j’engloutis avidemement et commencait à le pomper, je la sentai gonfler er durcir dans ma bouche , j’aimais ça, cette situation imprévue m’ excitait comme jamais je ne l’avais été, il me mit ses deux mains sur la tête pour accélérer le mouvement et il déchargea un temps qui me parut interminable dans ma bouche qui ne put tout absorber et qui rejaillit sur mes joues et glissa le long de mon ventre, Il revint s’asseoir prés de moi et nous embrassames fougueusement, il me murmura que dés qu’il m’avait vu il avait eu envie de moi. Il me dit qu’il vivait seul depuis son divorce et qu’il aimait les mecs et qu’il aimerait bien avoir une relation continue plutôt que de chercher en permanence un amant d’un soir. Pour ma part je lui dit que j’étais puceau, je lui racontais ma liaison récente avec Ali et pourquoi il ne m’avait pas encore baisé. Puis, on s’est caressé et embrassé à nouveau, il m’ a demandé de rester manger avec lui et ensuite si j’étais d’accord il me baiserait avec toute la délicatesse nécessaire pour la première fois.
J’étais excité comme jamais mais angoissé aussi malgré la gentillesse et la douceur de Piere-Jean, et je souhaite à tous les puceaux de rencontrer un mec comme celui là pour leur dépucelage, j’en garde un souvenir impérissable et merveilleux. Il m’a lubrifé avec sa langue, ses doigts enduits de lubrifiant qu’il s’est passé aussi sur sa queue, il m’a surélevé sur un oreiller puis est entré doucement en moi, je sentais que je m’ouvrais sous ses poussées, puis il se retirait un peu pour mieux me pénétrer ensuite a bout d’un moment il était au fond de moi, je sentais ses couilles me fouetter les fesses, je gémissais de plaisir, je lui disais de continuer et je n’avais pas honte, je l’entendais me dire «  je savais que ça te plairait… tu es à moi maintenant,,,,tu es ma salope ! » et je ne faisais que lui répondre « ouiiiii »et lorsqu’il a joui en moi j’ai cru perdre connaissance , je me voyais courir dans les champs, j’entendais des cloches sonner , il me semblait que je m’envolais...Lorsque je revins à la réalité j’avais toujours sa queue en moi, son sperme dégoulinait de mes fesses, son sorps était collé au mien et il souflait fort.
« Je ne te demande pas si ça t’a plu, » me dit il en souriant pendant qu’il se retirait de moi, et pour toute réponse je le pris contre moi et l’embrassait fougueusement, amoureusement.

Nous nous sommes endormi, j’étais heureux, j’étais bien . Au milieu de la nut je me réveillais en sentant sa queue bien raide contre mes fesses, je commençais à le branler puis je le pris dans ma bouche pour une longue fellation qui m’excitait autant qu’à lui dans son sommeil je l’entendis murmurer, « Putain, qu’est ce que tu suces bien , tu me régales» et comme récompense je reçu tout son foutre que j’avalais jusquà la dernière goutte.
Au petit matin je fus réveillé par deux doigts qui me massait mon petit trou et qui m’enduisait à nouveau de lubrifiant, j’avais envie de répéter la scéance d’hier soir et à ma grande surprise il me mit sur le dos leva mes jambes sur ses épaules et entra en moi avec autant de précautions que la veille, je pouvais voir son visage, ses yeux et ses expressions et ça m’excitait encore plus il accéléra les va et vient je l’accompagnais, je ne voulais pas que ça s’arrête j’étais fou de plaisir et de désir, il s’en aperçut et disait que j’étais fait pour être à lui, pour qu’il m’inonde de plaisir avec sa queue et tout comme la veille, au moment ou il a déchargé j’étais sur une autre planète, j’étais ailleurs, je prenais un pied comme jamais ! J’appris par la suite, que je criais fort au moment de l’orgasme, j’avais un peu honte mais il me dit que ça l’excitait encore plus et qu’il n’avait jamais baisé un mec qui jouissait ainsi, je le pris comme un compliment...

Voilà plus de deux ans qu’on se connaît, on passe toutes les fins de semaine et les fêtes ensemble, nos ébats sont toujours aussi intenses et merveilleux. Quelques mois après notre rencontre Pierre Jean m’a convaincu de faire un trio avec Ali, cela fera l’objet d’un autre récit, si vous le voulez bien...