Acheter un gode anal dans un sex-shop
Récit érotique écrit par Effrontée [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Acheter un gode anal dans un sex-shop
En m’approchant du sex-shop, j’avais les jambes qui tremblaient. Je suis passée devant plusieurs fois sans me décider. Un gros rideau rouge empêchait de voir à l’intérieur. A un moment j’ai vu deux hommes de type arabe entrer. J’ai pris peur. J’ai attendu presque une demi heure qu’ils ressortent. Je me suis dit « quand ils sortent j’y vais ». Mais d’autres sont entrés, un black et un couple. En fait il y avait des va et viens incessants dans cette boutique. Je regrettais déjà d’avoir accepté d’obéir à cet inconnu sur le net, en cachette de mon mari, mais en même temps, cela m’excitait encore plus. J’ai cherché un autre sex-shop plus discret. J’en ai trouvé un autre dans une petite rue. Et là j’ai pris mon élan, j’ai écarté le rideau et je suis entrée.
Derrière le comptoir, un black. Et personne. Je suis un peu rassurée. On échange une bonjour et un sourire, il est plutôt sympathique, dans les 30 ans. Je passe devant lui et regarde les rayons. Rien que des images hard, des revues, des DVD, des objets de toutes sortes à la destination sans équivoque. Je jette un œil vers le black, il téléphone et ne s’occupe pas de moi. Je m’arrête devant les godes. Je regarde les boites comme pour choisir et me faire une idée. Soudain, une porte dans le fond s’ouvre. Un gros mec libidineux, au moins 60 ans rentre dans la boutique et vient vers moi. Me salue. Je lui réponds d’une voix toute intimidée. Il me demande ce qui m’intéresse. Je n’ose lui répondre, j’ai les jambes coupées, j’imagine que je dois être toute rouge tant la chaleur a envahit mon visage. Il insiste et dit qu’il veut simplement m’aider. Je lui dis que c’est la première fois que je viens dans ce genre de boutique et que je suis très impressionnée. Il me propose d’enlever la petite veste d’été légère vu la chaleur qu’il fait dans le magasin. Sans attendre ma réponse il me l’enlève. J’avais mis dessous une très légère robe en coton bleu, très souple et très lâche en bas avec des fines bretelles ficelles qui dégagent largement mes épaules nues. Elle est boutonnée sur le devant avec une ceinture à la taille. Ce tissu épouse mes formes. Je vois qu’il mate au niveau de ma poitrine car j’ai déjà les seins qui pointent. D’ailleurs en ôtant la veste, il n’a pas manqué pas de frotter sa main sur mes pointes. C’est très discret mais bien fait! Je tremble, il se rend compte de mon trouble, je lui semble sans défenses. Surtout qu’il vient de se rendre compte que je ne porte pas de soutien gorge. Je finis par lui dire d’une voix tremblotante et mal assurée, que mon amant voudrait que je porte un sexe toy anal et que je n’y connaissais rien. Il me dit alors qu’il y a plein de modèles et que ce sont des plugs. Il me prend par les épaules et m’emmène au fond de la boutique. Il ouvre une vitrine et me présente trois modèles dont un avec vibration et me dit qu’il faut les essayer. Il me conduit à une cabine et ferme le rideau en me disant de me déshabiller. Je remarque qu’il a gardé les objets avec lui. Je n’ose pas le faire. Sur le fond de la cabine il y a un miroir qui couvre entièrement le mur. J’ouvre quand même deux boutons du bas de ma robe et deux autres au dessus. D’un seul coup le rideau s’ouvre et le bonhomme est là devant moi qui me regarde. Il me dit que je suis jolie et qu’il va m’aider à choisir. Dans le fond de la boutique j’aperçois deux clients qui regardent dans notre direction. Comme il a ouvert complètement le rideau sans rien me demander, d’autorité, il défait la ceinture et les derniers boutons de ma robe. Interdite je n’ose rien lui dire. Il ricane et me dit que je suis bien inspirée de ne pas porter de culotte. Il me demande de me tourner vers le miroir le cul vers la salle et il enlève ma robe. Puis il m’oblige à mettre les mains sur un banc dans la cabine et de me pencher en avant. Je reste quelques instants dans cette position, exposée, je le sais, aux clients au fond de la salle. Il passe ses mains sur le côté et se met à me peloter les seins qui pendent sous moi. En même temps il me dit des mots salaces : « alors petite bourgeoise, on est mal baisée, on a envie de se faire mettre ».
J’ai honte, mais je sens que je mouille terriblement, je perds vite la tête quand on me touche les seins. Il me fait écarter les cuisses, je sens qu’il glisse un doigt le long de ma raie, écarte mes lèvres et pénètre mon minou. Il me dit qu’il aime les chattes avec quelques poils mais avec les lèvres dégagées. Je mouille et il s’en aperçoit immédiatement, ça le fait rire. Il sort son doigt et me le donne à sucer, il me fouille la bouche. Son doigt sent ma mouille et je sens que je mouille encore plus. Je sais déjà que je ne pourrais plus rien lui refuser, je suis comme hypnotisée par cet homme vicieux, vieux et bedonnant.
Son autre main me caresse les fesses, doucement pour en apprécier la douceur de la peau. Un doigt écarte mes globes et frôle mon petit trou. Il me dit qu’il faut le préparer un peu avant d’essayer le Plug. Il tourne autour et d’un seul coup le fait entrer. Et commence un va et vient qui me rend folle. Je ne peux m’empêcher de gémir et cela le met en confiance. Il me traite de salope, de cochonne et ces mots m’excitent. Dans la glace je vois que les deux autres clients se sont approchés, leur bite à la main, ils se branlent en matant. Le noir de l’entrée les a rejoint. J’entends le vieux souffler dans mon cou tout en me doigtant le cul et la bouche. Il finit par dire que mon cul est bien dilaté maintenant et qu’on va pouvoir essayer les petits joujoux. Il écarte mes fesses pour exposer mon trou et m’enfile un Plug dans le cul. Je le sens qui pousse pour le mettre bien au fond. Je pousse un petit cri et je me mets à gémir. Je sens une résistance, il pousse encore, le fait tourner à l’entrée. Il me dit de me relâcher, de pousser comme pour faire mes besoins. Il le ressort, le porte à ma bouche et me demande de le mouiller avec ma salive. Puis il le porte à nouveau dans mon cul. Il entre plus facilement et pousse pour franchir sa partie la plus large. D’un seul coup mon cul cède et le Plug est comme avalé dans mon fondement. Je sens que je jouis, surtout que tous rigolent et me traitent de pute mal baisée. Une fois bien au fond, il donne une tape sur les fesses et me demande de me relever et d’aller marcher à poil dans la boutique. Comme un automate je passe entre les rayons. A chaque pas, mes fesses ondulent et excitent mes muqueuses qui me brûlent. Je sens la chaleur m’envahir, le plaisir est insupportable. Les deux clients m’entourent et commencent à me toucher les seins et à me mettre leurs doigts dans la chatte. Ils s’aperçoivent très vite que je mouille. Ils me traitent encore de salope, me font me courber pour mater mon anus encombré du Plug. Le black est là aussi. Il a sorti sa bite et me la donne à sucer. Je le fais. Derrière je sens qu’on essaye de me pénétrer la chatte, et d’un seul coup je suis baisée. C’est le gros, le patron. Il ne s’est pas protégé et je sens la chaleur de sa bite qui chauffe mes chairs. En très peu de temps, il se vide en moi. Je jouis alors que le black décharge dans ma bouche, il sort alors que je finis à peine d’avaler toute sa semence. Ils sont aussitôt remplacés par les deux autres, un dans la bouche, l’autre dans la chatte. Sans protection également, ils me liment et me font jouir à nouveau. Ils déchargent leur foutre et dans mon ventre et dans ma bouche. Je dégouline de sperme entre les cuisses, sur le visage, les seins. Je suis épuisée, les jambes en coton.
Le vieux patron me demande de lui montrer mon Plug. Il me l’enlève et m’en introduit un autre plus gros. Il me branle le cul devant les clients hilares. Je suis morte de honte mais je me laisse faire, je suis un jouet entre ses mains. Je jouis encore une fois. Le patron me dit que je suis une bonne salope et qu’il m’offre le Plug à la condition que je rentre chez moi avec, enfoncé dans mon derrière. Je n’ose même pas refuser et je suis rentrée comme cela. Chez moi, en montant les escaliers, j’ai senti la jouissance m’envahir et j’ai joui une autre fois.
Voilà, j’ai mon joujou en place pendant que j’écris ces lignes.
Chantal
Derrière le comptoir, un black. Et personne. Je suis un peu rassurée. On échange une bonjour et un sourire, il est plutôt sympathique, dans les 30 ans. Je passe devant lui et regarde les rayons. Rien que des images hard, des revues, des DVD, des objets de toutes sortes à la destination sans équivoque. Je jette un œil vers le black, il téléphone et ne s’occupe pas de moi. Je m’arrête devant les godes. Je regarde les boites comme pour choisir et me faire une idée. Soudain, une porte dans le fond s’ouvre. Un gros mec libidineux, au moins 60 ans rentre dans la boutique et vient vers moi. Me salue. Je lui réponds d’une voix toute intimidée. Il me demande ce qui m’intéresse. Je n’ose lui répondre, j’ai les jambes coupées, j’imagine que je dois être toute rouge tant la chaleur a envahit mon visage. Il insiste et dit qu’il veut simplement m’aider. Je lui dis que c’est la première fois que je viens dans ce genre de boutique et que je suis très impressionnée. Il me propose d’enlever la petite veste d’été légère vu la chaleur qu’il fait dans le magasin. Sans attendre ma réponse il me l’enlève. J’avais mis dessous une très légère robe en coton bleu, très souple et très lâche en bas avec des fines bretelles ficelles qui dégagent largement mes épaules nues. Elle est boutonnée sur le devant avec une ceinture à la taille. Ce tissu épouse mes formes. Je vois qu’il mate au niveau de ma poitrine car j’ai déjà les seins qui pointent. D’ailleurs en ôtant la veste, il n’a pas manqué pas de frotter sa main sur mes pointes. C’est très discret mais bien fait! Je tremble, il se rend compte de mon trouble, je lui semble sans défenses. Surtout qu’il vient de se rendre compte que je ne porte pas de soutien gorge. Je finis par lui dire d’une voix tremblotante et mal assurée, que mon amant voudrait que je porte un sexe toy anal et que je n’y connaissais rien. Il me dit alors qu’il y a plein de modèles et que ce sont des plugs. Il me prend par les épaules et m’emmène au fond de la boutique. Il ouvre une vitrine et me présente trois modèles dont un avec vibration et me dit qu’il faut les essayer. Il me conduit à une cabine et ferme le rideau en me disant de me déshabiller. Je remarque qu’il a gardé les objets avec lui. Je n’ose pas le faire. Sur le fond de la cabine il y a un miroir qui couvre entièrement le mur. J’ouvre quand même deux boutons du bas de ma robe et deux autres au dessus. D’un seul coup le rideau s’ouvre et le bonhomme est là devant moi qui me regarde. Il me dit que je suis jolie et qu’il va m’aider à choisir. Dans le fond de la boutique j’aperçois deux clients qui regardent dans notre direction. Comme il a ouvert complètement le rideau sans rien me demander, d’autorité, il défait la ceinture et les derniers boutons de ma robe. Interdite je n’ose rien lui dire. Il ricane et me dit que je suis bien inspirée de ne pas porter de culotte. Il me demande de me tourner vers le miroir le cul vers la salle et il enlève ma robe. Puis il m’oblige à mettre les mains sur un banc dans la cabine et de me pencher en avant. Je reste quelques instants dans cette position, exposée, je le sais, aux clients au fond de la salle. Il passe ses mains sur le côté et se met à me peloter les seins qui pendent sous moi. En même temps il me dit des mots salaces : « alors petite bourgeoise, on est mal baisée, on a envie de se faire mettre ».
J’ai honte, mais je sens que je mouille terriblement, je perds vite la tête quand on me touche les seins. Il me fait écarter les cuisses, je sens qu’il glisse un doigt le long de ma raie, écarte mes lèvres et pénètre mon minou. Il me dit qu’il aime les chattes avec quelques poils mais avec les lèvres dégagées. Je mouille et il s’en aperçoit immédiatement, ça le fait rire. Il sort son doigt et me le donne à sucer, il me fouille la bouche. Son doigt sent ma mouille et je sens que je mouille encore plus. Je sais déjà que je ne pourrais plus rien lui refuser, je suis comme hypnotisée par cet homme vicieux, vieux et bedonnant.
Son autre main me caresse les fesses, doucement pour en apprécier la douceur de la peau. Un doigt écarte mes globes et frôle mon petit trou. Il me dit qu’il faut le préparer un peu avant d’essayer le Plug. Il tourne autour et d’un seul coup le fait entrer. Et commence un va et vient qui me rend folle. Je ne peux m’empêcher de gémir et cela le met en confiance. Il me traite de salope, de cochonne et ces mots m’excitent. Dans la glace je vois que les deux autres clients se sont approchés, leur bite à la main, ils se branlent en matant. Le noir de l’entrée les a rejoint. J’entends le vieux souffler dans mon cou tout en me doigtant le cul et la bouche. Il finit par dire que mon cul est bien dilaté maintenant et qu’on va pouvoir essayer les petits joujoux. Il écarte mes fesses pour exposer mon trou et m’enfile un Plug dans le cul. Je le sens qui pousse pour le mettre bien au fond. Je pousse un petit cri et je me mets à gémir. Je sens une résistance, il pousse encore, le fait tourner à l’entrée. Il me dit de me relâcher, de pousser comme pour faire mes besoins. Il le ressort, le porte à ma bouche et me demande de le mouiller avec ma salive. Puis il le porte à nouveau dans mon cul. Il entre plus facilement et pousse pour franchir sa partie la plus large. D’un seul coup mon cul cède et le Plug est comme avalé dans mon fondement. Je sens que je jouis, surtout que tous rigolent et me traitent de pute mal baisée. Une fois bien au fond, il donne une tape sur les fesses et me demande de me relever et d’aller marcher à poil dans la boutique. Comme un automate je passe entre les rayons. A chaque pas, mes fesses ondulent et excitent mes muqueuses qui me brûlent. Je sens la chaleur m’envahir, le plaisir est insupportable. Les deux clients m’entourent et commencent à me toucher les seins et à me mettre leurs doigts dans la chatte. Ils s’aperçoivent très vite que je mouille. Ils me traitent encore de salope, me font me courber pour mater mon anus encombré du Plug. Le black est là aussi. Il a sorti sa bite et me la donne à sucer. Je le fais. Derrière je sens qu’on essaye de me pénétrer la chatte, et d’un seul coup je suis baisée. C’est le gros, le patron. Il ne s’est pas protégé et je sens la chaleur de sa bite qui chauffe mes chairs. En très peu de temps, il se vide en moi. Je jouis alors que le black décharge dans ma bouche, il sort alors que je finis à peine d’avaler toute sa semence. Ils sont aussitôt remplacés par les deux autres, un dans la bouche, l’autre dans la chatte. Sans protection également, ils me liment et me font jouir à nouveau. Ils déchargent leur foutre et dans mon ventre et dans ma bouche. Je dégouline de sperme entre les cuisses, sur le visage, les seins. Je suis épuisée, les jambes en coton.
Le vieux patron me demande de lui montrer mon Plug. Il me l’enlève et m’en introduit un autre plus gros. Il me branle le cul devant les clients hilares. Je suis morte de honte mais je me laisse faire, je suis un jouet entre ses mains. Je jouis encore une fois. Le patron me dit que je suis une bonne salope et qu’il m’offre le Plug à la condition que je rentre chez moi avec, enfoncé dans mon derrière. Je n’ose même pas refuser et je suis rentrée comme cela. Chez moi, en montant les escaliers, j’ai senti la jouissance m’envahir et j’ai joui une autre fois.
Voilà, j’ai mon joujou en place pendant que j’écris ces lignes.
Chantal
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20 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
EXITANT AU POSSIBLE.
Oui, tu as raison Florence, mais c'est tout de même très excitant pour un premier texte - Bravo !
Excellent texte, mais il serait tellement plus agréable à lire si les paragraphes étaient plus "aérés" !
J'ai lu cette adorable histoire il y a quelque temps, et cela m'a donné envie de le réaliser sur mon épouse. Certes mon épouse est très coquine mais pas assez pour s’exhiber naturellement. J'ai profité d'une grosse bêtise de sa part pour avoir un moyen de pression suffisant.
Cela a pu se faire, car elle savait que je la suivais de loin. Cela la rassurait autant qu’elle cela la contraignait à aucune échappatoire.
J’ai vu son hésitation avant d’entrée dans le sex-shop, le principal elle est entrée vêtue d’une simple robe d’été rien d’autre. J’ai attendu plusieurs minutes pour voir si elle ne ressortait trop rapidement. Cela s’éternisait alors je suis entré.
Il y avait beaucoup de monde, je ne voyais pas mon épouse, mais une autre femme habillée d’une simple petite culotte. Plusieurs l’investiguaient à lui faire tomber se dernier rempart. Elle la perdit par arrachage. Puis je la perdis de vu, car entourer de trop de mecs.
Je suis allé au comptoir pour demander s’il n’avait pas vu une femme habillée en robe bleu. Il me sortir derrière le comptoir la robe de mon épouse. Pour me dire comme celle-ci. Il m’indiqua l’attroupement de mecs au fond de la boutique.
Elle était bien là, dans une posture que je pensais possible dans mon imagination. Il y avait une file de mecs avec des plug anal de toutes sortes. Mon épouse était vautrée sur le ventre d’une table les jambes écartées au gros plug dans le cul et un mec en train de la baiser. En se retirant, j’ai vu qu’il retenait la capote d’une main pour qu’elle reste pratiquement à l’intérieure de sa chatte. Puis lui retire le plug de son cul pour l’enfoncer dans la chatte. La capote pleine disparait pour rester au fond.
Le suivant lui enfonce au nouveau plug dans le cul, puis la prends sans capote.
Elle me voit, mais elle ne peut se soustraire à l’emprise. Je lui envoie un sourire pour la rassurer parce que je ne cherche pas à m’opposer et éviter une émeute. Je continue cependant à regarder se faire remplir.
Je me retire de la file pour la laisser se faire mettre à la chaine, je vais vers l’autre attroupement pour voir comment l’autre fille s’en tire. Elle a des pinces aux bouts des seins et pratique une fellation. Au culot je vais vers elle, lui soulève le popotin, je baisse mon pantalon et je la prends par la chatte sans protection. Elle se laisse faire. Je jouis dans ce minou comme jamais je n’ai jouis. En me retirant de beau grumeau de mon foutre ressort.
Je suis revenu à mon épouse toujours dans la même position, elle semble épuisée. Je repars vers la caisse pour prendre possession de sa robe. Là je suis interpelé par le gérant : « Mon salaud, tu as baisé ma fille », Il me fait un cinéma et réclame un dédommagement, il réclame que je lui ramène mon épouse une fois par mois pour la soirée gang bang. Il me montre les caméras, pour me faire comprendre le chantage. Je fini par récupérer ma salope.
Cela a pu se faire, car elle savait que je la suivais de loin. Cela la rassurait autant qu’elle cela la contraignait à aucune échappatoire.
J’ai vu son hésitation avant d’entrée dans le sex-shop, le principal elle est entrée vêtue d’une simple robe d’été rien d’autre. J’ai attendu plusieurs minutes pour voir si elle ne ressortait trop rapidement. Cela s’éternisait alors je suis entré.
Il y avait beaucoup de monde, je ne voyais pas mon épouse, mais une autre femme habillée d’une simple petite culotte. Plusieurs l’investiguaient à lui faire tomber se dernier rempart. Elle la perdit par arrachage. Puis je la perdis de vu, car entourer de trop de mecs.
Je suis allé au comptoir pour demander s’il n’avait pas vu une femme habillée en robe bleu. Il me sortir derrière le comptoir la robe de mon épouse. Pour me dire comme celle-ci. Il m’indiqua l’attroupement de mecs au fond de la boutique.
Elle était bien là, dans une posture que je pensais possible dans mon imagination. Il y avait une file de mecs avec des plug anal de toutes sortes. Mon épouse était vautrée sur le ventre d’une table les jambes écartées au gros plug dans le cul et un mec en train de la baiser. En se retirant, j’ai vu qu’il retenait la capote d’une main pour qu’elle reste pratiquement à l’intérieure de sa chatte. Puis lui retire le plug de son cul pour l’enfoncer dans la chatte. La capote pleine disparait pour rester au fond.
Le suivant lui enfonce au nouveau plug dans le cul, puis la prends sans capote.
Elle me voit, mais elle ne peut se soustraire à l’emprise. Je lui envoie un sourire pour la rassurer parce que je ne cherche pas à m’opposer et éviter une émeute. Je continue cependant à regarder se faire remplir.
Je me retire de la file pour la laisser se faire mettre à la chaine, je vais vers l’autre attroupement pour voir comment l’autre fille s’en tire. Elle a des pinces aux bouts des seins et pratique une fellation. Au culot je vais vers elle, lui soulève le popotin, je baisse mon pantalon et je la prends par la chatte sans protection. Elle se laisse faire. Je jouis dans ce minou comme jamais je n’ai jouis. En me retirant de beau grumeau de mon foutre ressort.
Je suis revenu à mon épouse toujours dans la même position, elle semble épuisée. Je repars vers la caisse pour prendre possession de sa robe. Là je suis interpelé par le gérant : « Mon salaud, tu as baisé ma fille », Il me fait un cinéma et réclame un dédommagement, il réclame que je lui ramène mon épouse une fois par mois pour la soirée gang bang. Il me montre les caméras, pour me faire comprendre le chantage. Je fini par récupérer ma salope.
hummm, quel régal !
Lionel
Lionel
En lisant je me godais et j'ai joui en lisant cette histoire
j'ai adoré je vourais bien qu'un homme me touche ma chatte et m'enfonce sa bite dans ma chatte. je me masturbe oh oui
Bravo Chantal je ne sais pas si j'arriverai a faire comme toi. Bise Sandy
super(be histoire sur hds merci
hmmm j adore tes aventures chantal j adorerais te faire vivre des moments aussi intenses
. Jean philippe
. Jean philippe
Décidément très agréable à lire...
Un peu forcé le trait là...!
Continue Chantal...
Un peu forcé le trait là...!
Continue Chantal...
Magnifique de vice et de soumission ! Ton amant a de la chance et une salope douée et
bandante... Raconte nous encore tes fantasmes et tes perversion... Tu le fais avec brio
!!!!
bandante... Raconte nous encore tes fantasmes et tes perversion... Tu le fais avec brio
!!!!
super :)
courage & keep going !!!
courage & keep going !!!
Histoire très excitante. Bravo
Que tu dois etre chaude pour te donner comme cela, j'aurais bien voulus faire partie de
ces clients , bon tant pis, en attendant tu me fait bien bander il vas falloir me
soulager, si il y a une suite je veut la lire
ces clients , bon tant pis, en attendant tu me fait bien bander il vas falloir me
soulager, si il y a une suite je veut la lire
Coquine cette Effrontée. Et docile semble-t-il !
As tu raconté cette belle fable à ton homme ?
As tu raconté cette belle fable à ton homme ?
Magnifique récit très bien écrit.
Très bon ; j'aime !
Vous êtes terriblement excitante Chantal, j'aurai aimé assister et meme participer à vos
perversions.
perversions.
Merci pour ton récit je bande comme un fou et même navrer de décharger mon foutre dans
le vide alors qu'une salope comme toi pourrai en faire bonne usage!!
le vide alors qu'une salope comme toi pourrai en faire bonne usage!!