Acte 2 (trio) - Notre entrée dans le libertinage - histoire érotique

Reprenons la suite de notre récit, les 15 jours passent et enfin la deuxième rencontre arrive.
Organisation : pour rappel, je vous rappelle que Benoît est marié, grand sportif, il est cadre à la SNCF.
Le rendez-vous est fixé chez nous, en milieu de semaine, en début d’après-midi. Pour pouvoir s’absenter de chez lui sans éveiller les soupçons, un soir par téléphone, tous les trois, nous mettons en place un petit scénario. En fait, il va faire croire à sa femme qu’il doit se rendre à Dijon pour effectuer un réglage spécifique sur l’un de ses vélos pour une prochaine compétition. La ville se situe à une heure de chez lui comme pour chez nous et la distance est à peu près la même. De plus, il a des sponsors dans cette ville, il va donc en profiter pour en voir quelques-uns.

Ça y est le scénario est mis en place, sa femme ne pose pas plus de question et le laisse partir seul, la rencontre est donc possible. Il arrivera vers 15 heures et repartira vers 17 heures pour être rentré chez lui à 18 heures.

Ma femme s’est également préparé pour cette rencontre, coiffeur, esthéticienne pour une nouvelle épilation intégrale, vernis à ongles. Elle n’en avait pas vraiment besoin, mais elle voulait être irréprochable. Des photos de tous ces petits préparatifs sont envoyées à Benoît avec quelques petits sextos…

Le grand jour est arrivé !!! Le matin grand ménage, nous coquinerons au salon sur notre très grand canapé. Elle s’active pour éviter de penser à cet après-midi. Le repas arrive, elle ne mange pratiquement rien. Je lui demande si elle sait comment elle va s’habiller, elle me répond que ce serait une surprise.
Elle va dans la salle de bain pour se préparer, douche, maquillage, coiffure, dernière vérification de l’épilation par mes soins ainsi que de son état d’excitation en lui introduisant un doigt dans sa chatte. Il rentre tout seul, sa chatte ruisselle de plaisir. Je commence à le bouger, elle me dit d’arrêter, car elle était prête à flaquer. 2 ou 3 aller-retour et elle était prête à flaquer, pour être excités, elle était vraiment excitée. Elle me demande de sortir pour finir de se préparer et de s’habiller.
Elle me jette dehors de la salle de bain pour se faire belle pour un autre homme, elle ne me demande même pas mon avis pour sa tenue et elle est prête à flaquer en deux coups de doigt. Cette rencontre promet et la situation m’excite énormément.
C’est donc la bite en érection que je vais me doucher dans la deuxième salle bain.
En sortant, elle n’est pas encore sortie de la salle de bain, plus d’une heure de préparatifs. Elle sort enfin.
Elle me regarde avec un regard coquin et me demande comme je trouve sa tenue.
Rien d’extravagant, je m’attendais à autre chose, mais je ne l’avais pas vue de près et lorsqu’elle se rapproche, je comprends mieux.
Description de sa tenue : nous allons commencer par le bas, petite chaussure plate de couleur noire, Dim-Up de couleur noir, minijupe en jean et chemisier blanc. La minijupe à la bonne longueur ne laissant pas voir le haut de ses Dim-Up et le chemisier qui comporte 6 boutons, n’en avait que 3 d’attachés. L’ouverture du chemisier permet de voir qu’elle ne porte pas de soutien-gorge sans laisser paraître un seul sein.
Elle s’approche de moi, se baisse pour venir m’embrasser laissant dévoiler sa poitrine, puis elle se retourne et se penche en avant les jambes tendues, découvrant dans un premier temps le haut de ses Dim-Up puis dans un second ses fesses. Je constate également qu’elle ne porte rien d’autre sous sa mini-jupe.
C’est vraiment ce que j’appelle une vraie tenue de salope. Pas un seul sous-vêtement, des fringues qui ne laisse rien paraître au premier coup d’œil. Elle était prête à se faire toucher sans se soucier de retirer quoi que ce soit.
Je vous ai mis des photos de sa tenue à la suite du récit. Dites-moi ce que vous en pensez.
Je suis fier de cette tenue et bizarrement, nous sommes chez nous et j’ai du mal à imaginer qu’elle est fait cela pour un autre homme. Le maquillage est parfait, sans trop ni trop peu.
On s’installe dans le canapé regardant la télé en attendant son arrivée. Quelques minutes plus tard, quelqu’un toque à la porte. C’est lui, ma femme se lève et me dit toute excitée, vas ouvrir moi je ne peux pas, je vais me cacher dans la salle de bain, je ferai genre que je finis de me préparer. Je vois la réaction d’une adolescente dont son premier rendez-vous galant vient la chercher et qui dit à son père d’aller ouvrir la porte.
Elle va dans la salle de bain, je vais ouvrir. C’est Benoît, il rentre, on se sert la main comme deux potes alors que je sais que dans quelques minutes, ce sera cette main qui touchera ma femme.
Nous allons nous asseoir sur le canapé l’un à côté de l’autre et commençons à discuter de tout et de rien. Je lui explique que ma femme finie de se préparer. Elle sort de la salle de bain et arrive vers nous. Je vois ses seins pointer à travers son chemisier. Je lui propose de venir se mettre entre nous. Benoît, timide la complimente sur sa tenue, il lui fait la bise et nous continuons notre conversation comme si nous étions des amis.
C’est toujours dur de lancer les hostilités, ma femme et Benoît son timide et je sais que ni l’un, ni l’autre se ferons le premier pas, même si Benoît caressait de temps à autre ses jambes en faisant style je ne l’ai pas exprès.
Du coup, elle se lève va fumer une cigarette et a son retour elle se baisse devant lui découvrant sa poitrine pour s’asseoir. Il est vrai que je temporisais un peu la situation, car même si la situation m’excitait, j’avais un peu les boules de savoir que ma femme allait s’abandonner dans les bras d’un autre sous notre propre toit et à la vue du regard qu’elle m’a lancé en revenant, j’avais bien compris qu’il fallait que je me taise et que l’on devait s’occuper d’elle.
Je glissai délicatement ma main dans son décolleté et commençai à lui toucher son sein gauche. Il était dure et ferme, le téton bien dure. Benoît nous observait, je le regardais dans les yeux et je lui dis, tu peux la toucher…
Il mit alors sa main droite dans le décolleté de ma femme et commença à caresser le sein droit. Ma femme était assise entre deux hommes qui lui caressaient la poitrine. Elle prenait plaisir et tendait ses seins en avant.
Il n’y avait que 3 boutons qui tenaient fermé son chemisier, j’en défi un, il n’en restait plus que deux, Benoît me suivit et en défi un aussi, il n’en restait plus qu’un seul que je défis immédiatement. Son chemisier était ouvert découvrant sa poitrine tenue par nos deux mains. Benoît avait pris confiance et commença à lui lécher la poitrine en même temps, il descendit sa main sur ses cuisses. Il léchait les seins de femme tout en caressant ses cuisses. Tout doucement, il remontait cette main entre ses cuises. Elle les écartait doucement au fur et à mesure qu’il remontait jusqu’à ce qu’il découvre qu’elle pas de sous-vêtement il caressait sa chatte sous sa jupe. Je ne pouvais pas voir ce qu’il lui faisait et à un moment, j’entendis ma femme pour gémissement de plaisir. J’ai alors compris qu’il avait introduit un doigt dans sa chatte et qu’il commençait à la doigter.

Moi, je le laissais faire et je les regardais. Je regardais ma femme se faire doigter par un autre. Elle prenait du plaisir la garce et moi, je bandais de la voir dans cet état. Elle se tourna vers lui et posa ses pieds sur le canapé en ouvra ses cuisses, offrant sa chatte ouverte. Moi, je me reculai un peu et elle posa sa tête sur mes cuisses. Il dirigea alors son visage vers cette chatte offerte à lui. Il commença à la lécher, sa minijupe bien relevée, je ne pouvais pas tout voir. Je caressais les cheveux de femme qui gémissait, se tortillait de plaisir. Puis je vis qu’il lui mettait des doigts en même temps. Elle gémissait encore plus. Elle me prit ma main droite avec sa main droite et elle me la serra, de plus en plus fort. Son autre main était posée sur la tête de Benoît comme pour le diriger. Elle bougeait de plus en plus, son souffle s’accélérait, ses gémissements également. Elle allait jouir. Elle lâcha ma main puis prit la tête de Benoît à deux mains pour bien plaquer sa bouche contre sa chatte et dans un éclat de voix, elle se mit à jouir. Je n’existais plus, seul Benoît comptait.
Il lui retira sa mini-jupe et remit une seconde fois sa langue dans la chatte de ma femme. Elle était prête pour avoir un nouvel orgasme. Ce qui arriva rapidement.
Après ce double orgasme, elle se lève et retire ses vêtements, Benoît et moi en firent autant. Elle s’accroupit alors vers Benoît et commença à le sucer. Moi, j’étais face à lui, la bite en l’air, je le voyais prendre du plaisir avec ma femme pendant que moi, je ne pouvais qu’assister au spectacle.
Faux dire qu’elle y mettait du cœur. Elle enfournait sa bite toute entière dans la bouche, lui avait ses mains posées sur sa tête. Elle lui léchait les couilles puis remontait avec sa langue jusqu’à son prépuce, ré-enfournait sa bite dans sa bouche. Sa bite était bien droite et ferme. Elle le dirigea vers le canapé et elle se coucha dessus tout en le suçant et elle me dit lèche moi. Je mis ma tête entre ses jambes, j'introduis ma langue dans sa chatte, je lui léchai son clitoris, ses lèvres jusqu’à son anus pendant qu’elle le suçait. Elle se raidit puis jouit une troisième fois. Sa chatte était trempée, ses cuisses également. J’introduis alors mon pénis pour la préparer à recevoir Benoît. Quelques coups de queue. Le passage était fait. Benoît prit alors un de nos préservatifs que j’avais disposé sur la table basse du salon et le positionna sur son sexe. Ma femme se tourna vers lui et se mit à 4 pattes, la position de la levrette, c’est ce qu’elle préfère.
Il l’introduit doucement, elle gémit, il commence à lui donner des coups de rein de plus en plus fort, mais sans plus. Je m’assois à côté d’elle et me prends la main droite, elle la sert, me demande de l’embrasser, je vois bien qu’elle demande de coups plus fort, mais Benoît n’en donnera pas.
Elle se retire et demande à Benoît de s’allonger sur le canapé.
Il s’allonge sur le dos, sa queue est raide, elle m’embrasse tout en le branlant puis elle se met sur lui, caresse et embrasse son torse en remontant vers son visage puis sa chatte étant arrivée au niveau de sa bite, elle la prend en main et la dirige et vient s’introduire dessus. Son torse est relevé, bien droit, empalé sur une autre bite que la mienne. Benoît touche ses seins et elle commence à faire des mouvements de bas en haut. Sa bite sort et re-rentre à plusieurs reprises. Puis il prend les commandes et commence à accélérer le mouvement. Elle s’écroule sur lui. Elle est allongée sur lui, le prend dans ses bras pour se tenir fort contre lui pendant qu’il lui assène des coups de bite dans sa chatte. Elle gémit et demande plus fort, encore plus fort. Cette chienne ne pense plus à moi et est complètement abandonnée à cet intrus qui lui donne du plaisir pendant qu moi, je suis un simple spectateur.
Leur peau contre leur peau, leur visage l’un contre l’autre, sa poitrine contre son torse, les mains de Benoît sur les fesses de ma femme pour la diriger sur sa bite, ma femme qui gémit au creux de son oreille et lui parle également, je ne peux pas entendre ce qu’elle lui dit.
Puis ils changent de nouveau de position, la position du missionnaire. Ma femme s’allonge sur le dos et lui vient sur elle, lui introduit son sexe dans sa chatte qui est trempée, pas besoin de toucher, elle en plein les cuisses. Elle dégouline de plaisir.

Il la reprend en position du missionnaire puis après quelques coups de rein, les mouvements s’accélère, ma femme crie de plus en plus, je comprends que sa bite gonfle avec d’éjaculer. Ça y est, il éjacule dans ma femme, il gémit de plaisir et elle aussi. Ils sont collés l’un à l’autre. Il se retire doucement, retire son préservatif, prend un bout de sopalin pour s’essuyer. Il demande où se trouve la poubelle pour y déposer son préservatif rempli de sperme que ma femme lui a fait jaillir.
Elle vient se blottir dans mes bras, me dit merci et me demande dans le creux de l’oreille si elle peut rester un moment seule avec lui. Je ne suis pas vraiment enchanté par cette perspective et lui dit non. Je lui caresse sa chatte et constate que son vagin est encore ouvert par la bite de Benoît, ses jambes sont trempées de son foutre. Elle comprend et me demande le de la prendre par-derrière, ce que je fis. 3 ou 4 coups de rein ont suffi pour que j’éjacule dans sa chatte. Je me retire, elle le lève et pose un morceau de sopalin sur sa chatte dégoulinante de mon sperme. Elle nous dit, je file sous la douche.
Benoît s’assoit auprès de moi et nous commençons à discuter. Je vois son regard qui se porte en direction de la salle de bain et me dit qu’il prendrait bien une douche également, car il était trempé du foutre de femme…
Je réfléchis un peu en repensant ce que venait de me demander ma femme : resté, un petit moment, seule avec lui, je me fais une raison et je propose donc à Benoît d’aller la rejoindre sous la douche. Il me dit tu croix que cela ne va pas la gêner, je lui dis non vas-y, elle n’attend que ça.
Le bougre ne se fait pas prier et je l’accompagne à l’entrée de la salle de bain, j’ouvre la porte et entend la douche coulée. Je lui dis vas-y. Je lui ouvre complètement la porte et il rentre. Il dirige vers la douche et ouvre la porte, il me regarde et je commence à fermer la porte, mais pas complètement, je reste derrière. Que vont-ils faire, il n’a pas de préservatif, mais sa queue était de nouveau en érection.
J’entends ma femme lui dire rentre vient contre moi. Puis plus rien durant quelques secondes, la douche est en route et soudain, j’entends ma femme gémir de nouveau. Gémir de plus en plus fort et éclatée de plaisir. Je reste comme un con derrière la porte. Ce mec venait de nouveau la faire jouir, quatrième orgasme pour elle.
J’entendis la porte de la douche s’ouvrir et je rejoins le canapé. Ils arrivèrent tous les deux en souriant quelques secondes plus tard. Ils ne s’étaient même pas séchés et ils étaient trempés tous les deux. Elle s’assoit dans le canapé, prend la bite de Benoît dans sa main pour la porter à sa bouche et le suce de nouveau. Elle finissait le nettoyage de l’instrument et dans tous les sens. Sa bite allait être bien propre.
Il prit de nouveau un préservatif sur la table et le donna à ma femme, elle me le tendit pour que je l’ouvre, elle était trop occupée à le sucer.
Je l’ouvris et me disant que j’étais en tain de préparer un préservatif pour un homme qui allait de nouveau sauter ma femme.
Une fois ouvert, je le tendis à cette garce qui le prit, elle s’arrêta enfin de le sucer pour le poser et le dérouler sur le sexe de Benoît en érection. Et moi de nouveau spectateur. Elle se mit à 4 pattes et introduit de nouveau son pénis. Elle gémit de nouveau, les coups de plus en plus violent, elle tenait ses mains posées sur ses reins. Elle gémissait de plus en plus fort et il jouit de nouveau, sans changement de position, bite enfoncée profondément dans sa chatte. Je me demandais ce qu’ils avaient fait sous la douche pour être de nouveau excité et jouir aussi vite.
Il se retira, ma femme me regarda et sourit. Elle était encore à 4 pattes sa chatte ouverte par la bite de Benoît. Il restait derrière elle en retirant le préservatif comme si je n’avais pas le droit de la prendre à mon tour. Sa bite était pleine de son sperme et il prit du sopalin pour la nettoyer.

Il se leva et se dirigea de nouveau vers la poubelle pour y déposer ce morceau de latex rempli de son sperme qu’il avait éjecté dans la chatte de ma femme.
En nous rejoignant, ma femme était toujours à 4 pattes, il nous dit qu’il est temps pour lui de partir. Ma femme se lève et remet sa minijupe ainsi que son chemisier sans l’attacher. Benoît et moi, nous habillons également et nous le raccompagnons à la porte d’entrée. Il nous dit merci pour ce bon moment. Ma femme est encore toute excitée, elle lui fait la bise, nous nous serrons la main. Cette main qui vient de caresser et d’introduire ma femme.
Nous le regardons partir puis rentrons dans la maison. Nous allons fumer une cigarette dans le garage, car nous ne fumons pas dans la maison. Son chemisier est ouvert et sa minijupe est relevée. Je sais qu’elle n’a pas de sous-vêtement. Je me place devant elle et la regarde dans les yeux, nous n’avions encore rien dit depuis le départ de Benoît. Je lui caresse sa chatte qui est trempée et encore un peu ouverte par la bite de Benoît. Ses cuisses sont trempées, des gouttes ruissellent même. Je ne l’avais jamais vue aussi trempée.
Elle me regardait dans les yeux et écrasa sa cigarette, elle me prit la main et m’emmena dans la buanderie située près de garage. Elle se pencha sur la machine à laver et me dit « mets moi des doigts ».
Je n’avais pas arrêté de bander de toute l’après-midi, j’étais chauffé à blanc. Je lui mis un doigt, mais elle était tellement dilatée que j’y introduis directement 3 doigts. Elle me dit encore un, nous sommes à quatre, elle les prend sans problème, elle gémit enfin. Elle prend ma main et me dit mets en 5. J’enfonce mes 5 doigts, elle dégouline de plaisir et ils rentrent tout seul. Deux ou trois va-et-vient et une flaque descend de sa chatte inondant le sol. Elle venait de jouir pour la cinquième fois. J’ouvris mon pantalon et sorti ma bite que j’enfonçai avec violence dans sa chatte bien ouverte. Deux ou trois de rein et c'est moi qui jouis dans sa chatte.
L’après-midi torride était fini. Elle avait joui 5 fois, fait craquer 2 hommes 2 fois de suite en à peine deux heures.

Nous n’avons jamais plus rencontré Benoît, car ma femme voulait un autre homme qui lui taperai encore plus fort dans le fond. Ce qui se produit lors de notre troisième rencontre qui fera l’objet d’un autre post. Rencontre avec Didier.