Actif et passif, comme moi : un amant de rêve.
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-05-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Actif et passif, comme moi : un amant de rêve.
Je suis sur le parking, prêt de ma voiture, et j'entends qu'on m'appelle. C'est un de mes partenaires de la dernière séance, celui aux grosses couilles.
Il me propose de terminer la soirée chez lui.
Je lui dit qu'il est gentil, mais je ne sens pas capable de remettre le couvert. Il insiste, pour un moment cool, sans prise de tête, et me dit qu'il a des petites choses pour nous motiver: films X, tenues et dessous féminins, godes, et un contact sur internet. Je me laisse tenter, et il me fait une bise pour me remercier, une deuxième sur la bouche, et on se roule une pelle prometteuse.
Je le suis jusque chez lui.
Il m'installe au salon, m'offre à boire, démarre un film x. Le dvd a démarré et il m'explique qu'il a fait des montages à partir de plusieurs films, pour ne garder que des scènes de sexe, sans scénario et blabla inutiles; que des morceaux choisis. Il va à sa chambre pour se changer, tandis que je regarde un film espagnol avec deux superbes jeunes de 20 ans, qui sont partis pour un 69 marathon. Il revient, et je suis émerveillé. Il a un chemisier ouvert sur son torse sans poil, une mini jupe, des bas résilles, des talons hauts et un rouge à lèvres que ne renierai pas une pute.
Il vient entre mes jambes et me demande de le laisser faire. Il relève mon teeshirt pour caresser ma poitrine, embrasser mes seins, puis sa bouche descend vers mon bas ventre. Il m'enlève le pantalon, et écarte mes cuisses. Il me caresse, me branle, me lèche, me suce. Il sait y faire, et son expérience cumulée aux deux beaux gosses qui se sucent sans cesse me fait bander.
Sans prévenir les espagnols disparaissent, et sont remplacés par deux américains, d'âge mûr, au physique de rugbymen, virils, super bien montés; un blanc et un noir. Le blanc s'agenouille et suce son partenaire. Mon pote me suce encore , puis on se lève pour aller derrière le canapé. Il se penche en avant, s'appuie sur le dossier et relève sa jupe en me demandant de l'enculer. A l'écran le blanc ne suce plus; il s'est installé pour se faire sodomiser lui aussi. J'écarte la ficelle du string, et enfile mon pote avec la même ardeur que le black enfile le sien. Il m'encourage à le défoncer, et s'imagine le gros boudin noir dans son cul. Les jeunes en 69 réapparaissent, et je me retire. J'ai envie moi aussi de sucer et de me faire mettre.
Mon copain m'emmène à la chambre pour me travestir en femme. Je ne l'avais jamais fait, et je trouve ça très agréable. Il me met du rouge à lèvres, refait le sien qu'il a bouffé en me suçant. Il a un miroir derrière la porte, et on s'y admire. On est de belles salopes, bandantes, et nos bouches sensuelles s'attirent comme des aimants. On se roule des patins voraces, et nos mains glissent sous nos jupettes pour caresser nos paquets que nos petites culottes ont du mal à contenir. On repart au salon.
J'enlève son string pour le sucer, tandis que les jeunes se pompent toujours. Puis je me tourne, enlève ma culotte pour lui offrir mon cul. Les deux quadra sont à nouveau là, mais c'est le noir qui suce cette fois, avant de se faire mettre à son tour. Mon pote me lime au rythme du blanc et de sa grosse queue. Il se retire, et met un autre dvd.
Il y a six petits films de dix à quinze minutes chacun, avec des acteurs différents à chaque fois, mais toujours le même scénario. Il sont trois, deux mecs et une fille. Les mecs sont bi, sans doute même plus homo qu'hétéro. Ils se caressent entre mâles, s'embrassent, se sucent, s'enculent. La fille prend ce qu'il lui reste, mais comme ils ne se font pas de 69, elle a toujours une bite à sa disposition pour sa bouche ou son cul. Ils ignorent sa chatte, se serve d'elle comme d'un mec soumis, mais surtout comme d'un vide couilles. A chaque fois ils finissent tous les deux dans sa bouche, et elle engloutit tout. On savoure ces images, et on s'aiment à leur rythme, on se fait tout ce que les mecs se font, dans toutes leurs positons, étant chacun un coup actif, un coup passif. Il y a toutefois une chose qu'on regrette de ne pouvoir faire, c'est lorsqu'ils se sodomisent tous les trois; on aimerait bien être à la place du mec au milieu. Le dvd est fini et on se tient des triques d'enfer. Je le suis dans sa chambre.
Après nos culottes et nos jupes, on enlèvent nos chaussures et chemisiers. Il s'allonge sur le lit, en bas et jarretelles, et relève ses jambes pour les coincer avec ses bras, les fesses bien en l'air. Il veut que je le prenne de face, le baise comme une femme, jusqu'à jouir. Je viens sur lui, et m'enfonce dans son trou aussi accueillant qu'une chatte. Je me penche sur lui, et on s'embrasse, on échange des insultes et obscénités, en même temps que je le matraque de toutes les forces qu'il me reste. Je sens mon plaisir venir, et j'ai juste le temps de me retirer pour finir dans sa bouche. Il me pompe , m'aspire, me presse les couilles et le manche pour ne rien perdre et tout boire jusqu'à le dernière goutte. C'est maintenant à mon tour de m'offrir, et je me mets en position sans aucune pudeur. Il vient dessus moi, et me plante son gros dard jusqu'à la garde. Il me défonce comme je l'ai fait, m'embrasse, et commence ses mots orduriers:
- Tu aimes la queue ma salope, je vais t'en donner de la bite grosse cochonne.
-Ouiiii, baise moi fort, insulte moi.
-Mais ce ne sont pas des insultes, c'est ce que tu es: un garage à bite comme moi, une pute à mecs comme moi.
Il continue ses injures en les ponctuant par des comme moi, pour se les adresser à lui même comme je l'ai fait avant lui. Tout y passe: lopette, poufiasse, gobe queues, vide couilles, sac à foutre, décharge, ordure, j'en passe et des meilleures. J'adore l'amour ordurier, et je jouis autant dans ma tête que dans mon cul. Il m'embroche à merveille, puis termine dans ma bouche où il vide ses boules encore bien remplies. Je savoure et avale tout.
On s'est fait une bonne baise, et je veux rentrer chez moi. Il sait trouver les mots et les gestes pour me garder encore toute la soirée et même la nuit. Il a rendez-vous tous les lundi à heure précise sur internet avec un mec dominateur à qui il doit raconter son après midi au sex-shop. Ca nous laisse un petit moment pour se reposer et se faire un câlin sur le lit. On se raconte nos parcours sexuels, et on se trouve beaucoup de points communs. On était hétéro tous les deux, mais sans trop de succès auprès des filles. On ne pouvait se passer de sexe, et on a fréquenté des cinés X, puis des salles de sex-shop quand les ciné ont fermé. On a alors vu des mecs qui se branlaient, et on s'est branlé. Puis des mecs ont fait le premier pas, pour nous branler, nous sucer, nous demander de les sodomiser. On a accepté à chaque fois, avec plaisir. Puis d'actif, on est devenu aussi passif; on aime toujours les femmes, mais on ne peux plus se passer des hommes.
On se raconte nos meilleurs souvenirs, et je lui parle d'un mec rencontré il y a une dizaine d'année, dans l'ancien sex-shop, et qui avait des couilles énormes comme les siennes. Je ne l'ai jamais revu à mon grand regret. Il rajoute quelques détails à mon histoire, qui me prouvent que c'était lui. Je suis trop heureux de l'avoir retrouvé, lui roule une pelle amoureuse, et voudrais qu'on se refasse la séance de l'époque. Il est d'accord, mais on doit d'abord se connecter à internet, c'est l'heure de son mec.
Il est en en ligne, et mon copain se soumet comme une chienne soumise. Il lui raconte tout, jusqu'au moment où je suis chez lui. Ca nous excite tous les deux, mais ça met notre correspondant en rage. Il veut me parler, et il me domine à mon tour par des mots atroces. Il veut que l'on branche les cams. Je vois alors une bite impossible, 26x6 d'après mon pote. Il se branle, et nous ordonne de nous embrasser, nous sucer, nous enfiler, de façon qu'il nous voit. Il nous promet de casser nos culs de tapettes, de pédales, de fiottes. Puis il veut passer à leur final habituel. Mon hôte s'excuse de ne pouvoir jouir, et son correspondant l'excuse pour cette fois, mais le menace de ne pas recommencer. Il cesse les échanges, mais garde la cam. On le voit alors branler à fonds son énorme manche, jouir abondamment dans une assiette, et tout bouffer. Il coupe.
On repart au salon pour fêter nos retrouvailles de dix ans. Il baisse la lumière pour recréer l'ambiance. On se voit à peine, et je viens derrière lui pour l'enfiler comme au bon vieux temps. Ma main recherche ses couilles, et je m'exclame à les sentir aussi grosses:
- Waouhhh, ces couilles que tu as!
- Et encore j'ai jouis, mais elles étaient plus grosses.
Je me retire, et il grimpe sur une chaise que l'on a placée contre le mur, comme ça existait dans la salle. Il prend sa queue à pleine main pour la relever, et libérer ses valseuses. Je fourre ma gueule entre ses cuisses et lui dévore ses grosses prunes comme dans le passé, l'une après l'autre tellement elles sont imposantes. Je prends mon pied à gober ses boules, puis réalise que l'on est chez lui, non dans une salle, et que c'est dommage de le brouter dans le noir.
On rallume, on va à la cuisine, et il monte sur la table. Je suis debout, son paquet face à moi, et j'ouvre grand la bouche pour l'engloutir. Je le broute, et le caresse, les cuisses, les hanches, les fesses. Il sait mon envie d'avoir sa paire dans la bouche, et parvient à les enfoncer en les poussant l'une derrière l'autre. Il me demande de le doigter, le fouiller, le fister. J'ai ma main dans son cul, ses valseuses dans ma bouche, et il se branle, me fait remarquer sa grosse trique. Elle est trop belle, et j'abandonne ses joyaux pour le sucer. Il appuie sur ma tête, et maintient son gland dans ma gorge. Il me relâche pour me laisser respirer, et me reprend la gorge:
- Ohhhh, putain de salope, que c'est bon des putes de ton espèce qui aiment se faire fourrer profond. Tu es un bel enculé, aussi pute que moi.
On prolonge notre séance quelques minutes, puis on inverse les rôles. C'est à mon tour de me faire manger les couilles, de me faire visiter le cul avec sa main, et d'enfouir mon manche dans sa gorge profonde. On repart au salon, et il emmène des godes.
Il a un gode super, quarante centimètres minimum, large mais pas trop, un gland à chaque extrémité. On se l'enfile, dans nos culs, dans nos gorges, dans toutes les combinaisons possibles.
Il est tard, et il me propose non pas un repas, mais quelques friandises.
On prend d'abord un apéritif avec des petites tomates, olives, petites saucisses, que des bonnes choses qu'on peut se fourrer dans l'oignon avant de les bouffer. L'apéritif dure un bon moment, et on a bien bu, bien mangé, mais surtout on trique à mort. On passe direct au dessert.
On commence par des petits suisses. Il s'agenouille devant moi et couvre mon gros gland décalotté de son dessert. Il me suce, lèche tout, et recommence jusqu'à vider son petit pot. Puis je mange le mien de la même façon. On continue par des yaourts. Je suis assis et lui debout devant moi. Il trempe le bout de sa queue dans le pot, s'en sert comme d'une cuillère pour me donner à manger. A mi pot, il me fait lever et s'accroupit. Il trempe ma queue et finit ce dessert. Il y a un deuxième pot, et je renouvelle le scénario. Il me demande si j'aime le chocolat.
On est à la cuisine, et il fait fondre une plaque de chocolat noir dans une casserole. On le laisse refroidir un peu, l'occasion de se branler et se rouler des pelles. Après le dessert froid, on passe au dessert chaud. On plonge nos doigts dans le chocolat et on se nappe entièrement des reins jusqu'au hauts des cuisses. Les couilles, la verge, le gland, le pubis, les hanches, les fesses, la raie, tout est recouvert, comme si on était en partie black. Il pose la nappe plastifiée au sol, et on s'allonge sur le côté, en 69 gourmand, pour savourer nos éclairs et profiteroles au chocolat. On se suce, on se lèche, on se gobe, on se bouffe, on se broute, on se dévore, dans toutes les positions, tantôt sur le côté, puis dessus et dessous. On bouffe comme des porcs, on s'en met plein la gueule, et on se bouffe la poire pour se nettoyer. Après bien des efforts on est nickel, et il me propose de terminer par un café crème.
Il fait du café et le verse dans un bol. Puis il m'explique que sa crème est faite maison, et se branle au dessus du bol. Le salaud, il est aussi vicieux que moi, et je me branle moi aussi. On décharge tous les deux dans des soupirs jouissifs. Il remue ce mélange de foutres et café, et le partage dans deux tasses que l'on boit avec délice. On est crevé, l'un et l'autre, et on va se coucher dans son lit, avec l'intention de dormir.
Je suis réveillé dans la nuit par une sensation très agréable. C'est la première fois que je découche, en plus avec un mec, et j'ai du mal à réaliser où je suis. La bouche qui me pompe me rafraichit la mémoire. Mon pote aux grosses couilles me turlutte. Une pipe de rêve, toute en douceur, en finesse, en tendresse, en délicatesse, comme s'il ne voulait pas me réveiller. Je fais des efforts pour ne pas réagir, mais je n'en peux plus, il faut que je suce. Je pose ma main sur sa tête, pour lui dire que je suis éveillé mais que je tiens à sa pipe, puis je cherche sa position dans le noir, pour venir en 69 et bouffer sa queue qui me hante. Je le suce tendrement comme il me suce, puis nos bouches s'emballent et on se bouffe comme des morfales.
Il propose que l'on s'encule. J'accepte bien sûr, pensant que l'on va se farcir gentiment dans le noir de sa chambre, mais il me veut à la lumière, dans la cuisine. J'ai trop envie de sa queue et je le suis. Il doit être trois heures du matin, et on est trop chaud pour s'inquiéter de notre fatigue et du lendemain qui nous attend. Il a une télé à la cuisine, et met un film. Je suis allongé sur la table, les jambes relevées, le cul au bord. Il me fouille et me bouffe pour me préparer. Le film commence:
On voit une belle femme dans la rue, en tailleur, jupe courte et fendue, talons hauts qui sculptent des jambes parfaites. Elle arrive devant une porte avec une plaque de gynécologue, et entre. Une secrétaire la reçoit, et l'introduit dans la salle du docteur. Sans perdre de temps ils se déshabillent. Elle a des seins et un cul magnifiques, et le docteur a un joli manche entre les cuisses. Il s'agenouille pour bouffer sa chatte que j'ai hâte de voir. Elle semble apprécier sa bouche, tout comme j'apprécie celle de mon nouveau copain qui me fouille le fion de sa langue exploratrice. Le mec se relève, et ils s'avancent vers la table gynéco. J'imagine déjà cette salope installée les cuisses ouvertes, mais suis surpris par la suite. C'est le docteur qui s'allonge, les pieds dans les étriers, et on se rend alors compte que la belle femme est une transsexuelle (je devrais dire un transsexuel, mais j'aime croire que c'est une femme avec une bite). Elle a une longue et grosse queue qui pend jusqu'à mi cuisses. Le docteur a un plug enfoncé entre ses miches, et elle le retire pour le remplacer par son bel engin.
Je pousse un petit cri de surprise, car mon ami vient de me fourrer sa queue au même instant. La belle trans enfile son partenaire en de longs mouvements soutenus, et je me fais mettre à la même cadence. Le toubib se branle, et je m'astique moi aussi. C'est super beau, super bon, et je pourrais rester des heures ainsi, sauf que mon amant veut se faire enculer lui aussi.
On inverse les rôles, et à mon tour je prépare sa rondelle, puis le sodomise profond. La trans est infatigable, et elle lime en continue, tel un métronome. Nous par contre, on change régulièrement pour s'offrir des ramonées courtes mais très efficaces.
Le toubib se branle toujours, il gémit, grogne, sous les assauts virils de la belle. Il a un bouton près de la table, appuie dessus, et la secrétaire entre, vêtue d'une blouse qu'elle enlève vite fait. Elle n'a rien dessous, et sa chatte rasée et luisante atteste de sa féminité. Elle pose sa joue sur le ventre du docteur, et prend son gland dans sa bouche grande ouverte. Il se branle à mort, et décharge dans la gueule de sa secrétaire qui lui sert de vide couilles. Elle a la bouche bien remplie, mais n'a rien avalé. On la voit alors se gargariser, se rincer les dents, avec tout ce jus auquel elle rajoute sa salive. Elle nous remontre sa bouche pleine à ras bord, et alors que je pense qu'elle va enfin avaler, elle se penche sur le visage de son patron qui continue à se faire casser le cul. Il ouvre sa bouche, et elle recrache tout à l'intérieur; deux, trois déglutitions, et il a tout englouti.
Le film nous excite tous les deux, et on ne cesse de se prendre et de s'offrir.
La secrétaire s'équipe d'un énorme gode ceinture, et je plains la trans à l'avance, autant que je l'envie. Elle lui caresse le cul, mais nouveau rebondissement. La belle créature se retire, et c'est le toubib qui encaisse ce gros joujou. La secrétaire baise son chef sans ménagement, tandis que la trans lui fouille le cul, puis la pénètre de sa sublime queue. Ohhhh, la pute, elle se fait les deux.
C'est à mon tour de ramoner mon pote, et il veut que je décharge entre ses reins. Je puise dans mes dernières ressources pour le satisfaire, et lui offrir tout ce qu'il me reste dans les couilles. Je me retire, et il s'accroupit pour me sucer. Il se torche le cul avec ses doigts pour récupérer mon sperme, et l'étale sur mon gland afin de tout lécher. Le salaud, il est au moins aussi vicieux que moi, mais je vois vite d'où vient son imagination, avec la fin du film.
Je suis allongé, et il va se soulager en moi, à son tour. La secrétaire se retire du docteur, et la trans se retire d'elle pour reprendre le toubib. Elle gémit, râle, et on devine qu'elle se vide à flots dans le fion de son enculé. Elle se tire, et le toubib s'accroupit pour la sucer. La secrétaire place un verre sous son trou, et le sperme s'écoule en un filet qui n'en finit plus. C'est maintenant un goute à goute, et elle fourre ses doigts dans son cul, le secoue, pour faire couler encore. Il y a un bon fonds dans le verre. Elle le tend à la trans, et s'accroupit près de son patron. Comme on l'a fait dans la soirée avec les petits suisses, elle recouvre son gland avec sa semence, et nourrit les deux salopes chacune son tour.
Le film est fini, et on a terminé nous aussi. Mon partenaire a déchargé dans mon cul, et je l'ai sucé, et ai bouffé sa sauce toute chaude sortie de mon trou à bites.
On se bouffe le cul pour finir de se nettoyer, dans un 69 anal et vorace.
On se couche et on s'endort. Je m'en vais au petit matin, après que l'on se soit promis de remettre ça le lundi suivant.
Il me propose de terminer la soirée chez lui.
Je lui dit qu'il est gentil, mais je ne sens pas capable de remettre le couvert. Il insiste, pour un moment cool, sans prise de tête, et me dit qu'il a des petites choses pour nous motiver: films X, tenues et dessous féminins, godes, et un contact sur internet. Je me laisse tenter, et il me fait une bise pour me remercier, une deuxième sur la bouche, et on se roule une pelle prometteuse.
Je le suis jusque chez lui.
Il m'installe au salon, m'offre à boire, démarre un film x. Le dvd a démarré et il m'explique qu'il a fait des montages à partir de plusieurs films, pour ne garder que des scènes de sexe, sans scénario et blabla inutiles; que des morceaux choisis. Il va à sa chambre pour se changer, tandis que je regarde un film espagnol avec deux superbes jeunes de 20 ans, qui sont partis pour un 69 marathon. Il revient, et je suis émerveillé. Il a un chemisier ouvert sur son torse sans poil, une mini jupe, des bas résilles, des talons hauts et un rouge à lèvres que ne renierai pas une pute.
Il vient entre mes jambes et me demande de le laisser faire. Il relève mon teeshirt pour caresser ma poitrine, embrasser mes seins, puis sa bouche descend vers mon bas ventre. Il m'enlève le pantalon, et écarte mes cuisses. Il me caresse, me branle, me lèche, me suce. Il sait y faire, et son expérience cumulée aux deux beaux gosses qui se sucent sans cesse me fait bander.
Sans prévenir les espagnols disparaissent, et sont remplacés par deux américains, d'âge mûr, au physique de rugbymen, virils, super bien montés; un blanc et un noir. Le blanc s'agenouille et suce son partenaire. Mon pote me suce encore , puis on se lève pour aller derrière le canapé. Il se penche en avant, s'appuie sur le dossier et relève sa jupe en me demandant de l'enculer. A l'écran le blanc ne suce plus; il s'est installé pour se faire sodomiser lui aussi. J'écarte la ficelle du string, et enfile mon pote avec la même ardeur que le black enfile le sien. Il m'encourage à le défoncer, et s'imagine le gros boudin noir dans son cul. Les jeunes en 69 réapparaissent, et je me retire. J'ai envie moi aussi de sucer et de me faire mettre.
Mon copain m'emmène à la chambre pour me travestir en femme. Je ne l'avais jamais fait, et je trouve ça très agréable. Il me met du rouge à lèvres, refait le sien qu'il a bouffé en me suçant. Il a un miroir derrière la porte, et on s'y admire. On est de belles salopes, bandantes, et nos bouches sensuelles s'attirent comme des aimants. On se roule des patins voraces, et nos mains glissent sous nos jupettes pour caresser nos paquets que nos petites culottes ont du mal à contenir. On repart au salon.
J'enlève son string pour le sucer, tandis que les jeunes se pompent toujours. Puis je me tourne, enlève ma culotte pour lui offrir mon cul. Les deux quadra sont à nouveau là, mais c'est le noir qui suce cette fois, avant de se faire mettre à son tour. Mon pote me lime au rythme du blanc et de sa grosse queue. Il se retire, et met un autre dvd.
Il y a six petits films de dix à quinze minutes chacun, avec des acteurs différents à chaque fois, mais toujours le même scénario. Il sont trois, deux mecs et une fille. Les mecs sont bi, sans doute même plus homo qu'hétéro. Ils se caressent entre mâles, s'embrassent, se sucent, s'enculent. La fille prend ce qu'il lui reste, mais comme ils ne se font pas de 69, elle a toujours une bite à sa disposition pour sa bouche ou son cul. Ils ignorent sa chatte, se serve d'elle comme d'un mec soumis, mais surtout comme d'un vide couilles. A chaque fois ils finissent tous les deux dans sa bouche, et elle engloutit tout. On savoure ces images, et on s'aiment à leur rythme, on se fait tout ce que les mecs se font, dans toutes leurs positons, étant chacun un coup actif, un coup passif. Il y a toutefois une chose qu'on regrette de ne pouvoir faire, c'est lorsqu'ils se sodomisent tous les trois; on aimerait bien être à la place du mec au milieu. Le dvd est fini et on se tient des triques d'enfer. Je le suis dans sa chambre.
Après nos culottes et nos jupes, on enlèvent nos chaussures et chemisiers. Il s'allonge sur le lit, en bas et jarretelles, et relève ses jambes pour les coincer avec ses bras, les fesses bien en l'air. Il veut que je le prenne de face, le baise comme une femme, jusqu'à jouir. Je viens sur lui, et m'enfonce dans son trou aussi accueillant qu'une chatte. Je me penche sur lui, et on s'embrasse, on échange des insultes et obscénités, en même temps que je le matraque de toutes les forces qu'il me reste. Je sens mon plaisir venir, et j'ai juste le temps de me retirer pour finir dans sa bouche. Il me pompe , m'aspire, me presse les couilles et le manche pour ne rien perdre et tout boire jusqu'à le dernière goutte. C'est maintenant à mon tour de m'offrir, et je me mets en position sans aucune pudeur. Il vient dessus moi, et me plante son gros dard jusqu'à la garde. Il me défonce comme je l'ai fait, m'embrasse, et commence ses mots orduriers:
- Tu aimes la queue ma salope, je vais t'en donner de la bite grosse cochonne.
-Ouiiii, baise moi fort, insulte moi.
-Mais ce ne sont pas des insultes, c'est ce que tu es: un garage à bite comme moi, une pute à mecs comme moi.
Il continue ses injures en les ponctuant par des comme moi, pour se les adresser à lui même comme je l'ai fait avant lui. Tout y passe: lopette, poufiasse, gobe queues, vide couilles, sac à foutre, décharge, ordure, j'en passe et des meilleures. J'adore l'amour ordurier, et je jouis autant dans ma tête que dans mon cul. Il m'embroche à merveille, puis termine dans ma bouche où il vide ses boules encore bien remplies. Je savoure et avale tout.
On s'est fait une bonne baise, et je veux rentrer chez moi. Il sait trouver les mots et les gestes pour me garder encore toute la soirée et même la nuit. Il a rendez-vous tous les lundi à heure précise sur internet avec un mec dominateur à qui il doit raconter son après midi au sex-shop. Ca nous laisse un petit moment pour se reposer et se faire un câlin sur le lit. On se raconte nos parcours sexuels, et on se trouve beaucoup de points communs. On était hétéro tous les deux, mais sans trop de succès auprès des filles. On ne pouvait se passer de sexe, et on a fréquenté des cinés X, puis des salles de sex-shop quand les ciné ont fermé. On a alors vu des mecs qui se branlaient, et on s'est branlé. Puis des mecs ont fait le premier pas, pour nous branler, nous sucer, nous demander de les sodomiser. On a accepté à chaque fois, avec plaisir. Puis d'actif, on est devenu aussi passif; on aime toujours les femmes, mais on ne peux plus se passer des hommes.
On se raconte nos meilleurs souvenirs, et je lui parle d'un mec rencontré il y a une dizaine d'année, dans l'ancien sex-shop, et qui avait des couilles énormes comme les siennes. Je ne l'ai jamais revu à mon grand regret. Il rajoute quelques détails à mon histoire, qui me prouvent que c'était lui. Je suis trop heureux de l'avoir retrouvé, lui roule une pelle amoureuse, et voudrais qu'on se refasse la séance de l'époque. Il est d'accord, mais on doit d'abord se connecter à internet, c'est l'heure de son mec.
Il est en en ligne, et mon copain se soumet comme une chienne soumise. Il lui raconte tout, jusqu'au moment où je suis chez lui. Ca nous excite tous les deux, mais ça met notre correspondant en rage. Il veut me parler, et il me domine à mon tour par des mots atroces. Il veut que l'on branche les cams. Je vois alors une bite impossible, 26x6 d'après mon pote. Il se branle, et nous ordonne de nous embrasser, nous sucer, nous enfiler, de façon qu'il nous voit. Il nous promet de casser nos culs de tapettes, de pédales, de fiottes. Puis il veut passer à leur final habituel. Mon hôte s'excuse de ne pouvoir jouir, et son correspondant l'excuse pour cette fois, mais le menace de ne pas recommencer. Il cesse les échanges, mais garde la cam. On le voit alors branler à fonds son énorme manche, jouir abondamment dans une assiette, et tout bouffer. Il coupe.
On repart au salon pour fêter nos retrouvailles de dix ans. Il baisse la lumière pour recréer l'ambiance. On se voit à peine, et je viens derrière lui pour l'enfiler comme au bon vieux temps. Ma main recherche ses couilles, et je m'exclame à les sentir aussi grosses:
- Waouhhh, ces couilles que tu as!
- Et encore j'ai jouis, mais elles étaient plus grosses.
Je me retire, et il grimpe sur une chaise que l'on a placée contre le mur, comme ça existait dans la salle. Il prend sa queue à pleine main pour la relever, et libérer ses valseuses. Je fourre ma gueule entre ses cuisses et lui dévore ses grosses prunes comme dans le passé, l'une après l'autre tellement elles sont imposantes. Je prends mon pied à gober ses boules, puis réalise que l'on est chez lui, non dans une salle, et que c'est dommage de le brouter dans le noir.
On rallume, on va à la cuisine, et il monte sur la table. Je suis debout, son paquet face à moi, et j'ouvre grand la bouche pour l'engloutir. Je le broute, et le caresse, les cuisses, les hanches, les fesses. Il sait mon envie d'avoir sa paire dans la bouche, et parvient à les enfoncer en les poussant l'une derrière l'autre. Il me demande de le doigter, le fouiller, le fister. J'ai ma main dans son cul, ses valseuses dans ma bouche, et il se branle, me fait remarquer sa grosse trique. Elle est trop belle, et j'abandonne ses joyaux pour le sucer. Il appuie sur ma tête, et maintient son gland dans ma gorge. Il me relâche pour me laisser respirer, et me reprend la gorge:
- Ohhhh, putain de salope, que c'est bon des putes de ton espèce qui aiment se faire fourrer profond. Tu es un bel enculé, aussi pute que moi.
On prolonge notre séance quelques minutes, puis on inverse les rôles. C'est à mon tour de me faire manger les couilles, de me faire visiter le cul avec sa main, et d'enfouir mon manche dans sa gorge profonde. On repart au salon, et il emmène des godes.
Il a un gode super, quarante centimètres minimum, large mais pas trop, un gland à chaque extrémité. On se l'enfile, dans nos culs, dans nos gorges, dans toutes les combinaisons possibles.
Il est tard, et il me propose non pas un repas, mais quelques friandises.
On prend d'abord un apéritif avec des petites tomates, olives, petites saucisses, que des bonnes choses qu'on peut se fourrer dans l'oignon avant de les bouffer. L'apéritif dure un bon moment, et on a bien bu, bien mangé, mais surtout on trique à mort. On passe direct au dessert.
On commence par des petits suisses. Il s'agenouille devant moi et couvre mon gros gland décalotté de son dessert. Il me suce, lèche tout, et recommence jusqu'à vider son petit pot. Puis je mange le mien de la même façon. On continue par des yaourts. Je suis assis et lui debout devant moi. Il trempe le bout de sa queue dans le pot, s'en sert comme d'une cuillère pour me donner à manger. A mi pot, il me fait lever et s'accroupit. Il trempe ma queue et finit ce dessert. Il y a un deuxième pot, et je renouvelle le scénario. Il me demande si j'aime le chocolat.
On est à la cuisine, et il fait fondre une plaque de chocolat noir dans une casserole. On le laisse refroidir un peu, l'occasion de se branler et se rouler des pelles. Après le dessert froid, on passe au dessert chaud. On plonge nos doigts dans le chocolat et on se nappe entièrement des reins jusqu'au hauts des cuisses. Les couilles, la verge, le gland, le pubis, les hanches, les fesses, la raie, tout est recouvert, comme si on était en partie black. Il pose la nappe plastifiée au sol, et on s'allonge sur le côté, en 69 gourmand, pour savourer nos éclairs et profiteroles au chocolat. On se suce, on se lèche, on se gobe, on se bouffe, on se broute, on se dévore, dans toutes les positions, tantôt sur le côté, puis dessus et dessous. On bouffe comme des porcs, on s'en met plein la gueule, et on se bouffe la poire pour se nettoyer. Après bien des efforts on est nickel, et il me propose de terminer par un café crème.
Il fait du café et le verse dans un bol. Puis il m'explique que sa crème est faite maison, et se branle au dessus du bol. Le salaud, il est aussi vicieux que moi, et je me branle moi aussi. On décharge tous les deux dans des soupirs jouissifs. Il remue ce mélange de foutres et café, et le partage dans deux tasses que l'on boit avec délice. On est crevé, l'un et l'autre, et on va se coucher dans son lit, avec l'intention de dormir.
Je suis réveillé dans la nuit par une sensation très agréable. C'est la première fois que je découche, en plus avec un mec, et j'ai du mal à réaliser où je suis. La bouche qui me pompe me rafraichit la mémoire. Mon pote aux grosses couilles me turlutte. Une pipe de rêve, toute en douceur, en finesse, en tendresse, en délicatesse, comme s'il ne voulait pas me réveiller. Je fais des efforts pour ne pas réagir, mais je n'en peux plus, il faut que je suce. Je pose ma main sur sa tête, pour lui dire que je suis éveillé mais que je tiens à sa pipe, puis je cherche sa position dans le noir, pour venir en 69 et bouffer sa queue qui me hante. Je le suce tendrement comme il me suce, puis nos bouches s'emballent et on se bouffe comme des morfales.
Il propose que l'on s'encule. J'accepte bien sûr, pensant que l'on va se farcir gentiment dans le noir de sa chambre, mais il me veut à la lumière, dans la cuisine. J'ai trop envie de sa queue et je le suis. Il doit être trois heures du matin, et on est trop chaud pour s'inquiéter de notre fatigue et du lendemain qui nous attend. Il a une télé à la cuisine, et met un film. Je suis allongé sur la table, les jambes relevées, le cul au bord. Il me fouille et me bouffe pour me préparer. Le film commence:
On voit une belle femme dans la rue, en tailleur, jupe courte et fendue, talons hauts qui sculptent des jambes parfaites. Elle arrive devant une porte avec une plaque de gynécologue, et entre. Une secrétaire la reçoit, et l'introduit dans la salle du docteur. Sans perdre de temps ils se déshabillent. Elle a des seins et un cul magnifiques, et le docteur a un joli manche entre les cuisses. Il s'agenouille pour bouffer sa chatte que j'ai hâte de voir. Elle semble apprécier sa bouche, tout comme j'apprécie celle de mon nouveau copain qui me fouille le fion de sa langue exploratrice. Le mec se relève, et ils s'avancent vers la table gynéco. J'imagine déjà cette salope installée les cuisses ouvertes, mais suis surpris par la suite. C'est le docteur qui s'allonge, les pieds dans les étriers, et on se rend alors compte que la belle femme est une transsexuelle (je devrais dire un transsexuel, mais j'aime croire que c'est une femme avec une bite). Elle a une longue et grosse queue qui pend jusqu'à mi cuisses. Le docteur a un plug enfoncé entre ses miches, et elle le retire pour le remplacer par son bel engin.
Je pousse un petit cri de surprise, car mon ami vient de me fourrer sa queue au même instant. La belle trans enfile son partenaire en de longs mouvements soutenus, et je me fais mettre à la même cadence. Le toubib se branle, et je m'astique moi aussi. C'est super beau, super bon, et je pourrais rester des heures ainsi, sauf que mon amant veut se faire enculer lui aussi.
On inverse les rôles, et à mon tour je prépare sa rondelle, puis le sodomise profond. La trans est infatigable, et elle lime en continue, tel un métronome. Nous par contre, on change régulièrement pour s'offrir des ramonées courtes mais très efficaces.
Le toubib se branle toujours, il gémit, grogne, sous les assauts virils de la belle. Il a un bouton près de la table, appuie dessus, et la secrétaire entre, vêtue d'une blouse qu'elle enlève vite fait. Elle n'a rien dessous, et sa chatte rasée et luisante atteste de sa féminité. Elle pose sa joue sur le ventre du docteur, et prend son gland dans sa bouche grande ouverte. Il se branle à mort, et décharge dans la gueule de sa secrétaire qui lui sert de vide couilles. Elle a la bouche bien remplie, mais n'a rien avalé. On la voit alors se gargariser, se rincer les dents, avec tout ce jus auquel elle rajoute sa salive. Elle nous remontre sa bouche pleine à ras bord, et alors que je pense qu'elle va enfin avaler, elle se penche sur le visage de son patron qui continue à se faire casser le cul. Il ouvre sa bouche, et elle recrache tout à l'intérieur; deux, trois déglutitions, et il a tout englouti.
Le film nous excite tous les deux, et on ne cesse de se prendre et de s'offrir.
La secrétaire s'équipe d'un énorme gode ceinture, et je plains la trans à l'avance, autant que je l'envie. Elle lui caresse le cul, mais nouveau rebondissement. La belle créature se retire, et c'est le toubib qui encaisse ce gros joujou. La secrétaire baise son chef sans ménagement, tandis que la trans lui fouille le cul, puis la pénètre de sa sublime queue. Ohhhh, la pute, elle se fait les deux.
C'est à mon tour de ramoner mon pote, et il veut que je décharge entre ses reins. Je puise dans mes dernières ressources pour le satisfaire, et lui offrir tout ce qu'il me reste dans les couilles. Je me retire, et il s'accroupit pour me sucer. Il se torche le cul avec ses doigts pour récupérer mon sperme, et l'étale sur mon gland afin de tout lécher. Le salaud, il est au moins aussi vicieux que moi, mais je vois vite d'où vient son imagination, avec la fin du film.
Je suis allongé, et il va se soulager en moi, à son tour. La secrétaire se retire du docteur, et la trans se retire d'elle pour reprendre le toubib. Elle gémit, râle, et on devine qu'elle se vide à flots dans le fion de son enculé. Elle se tire, et le toubib s'accroupit pour la sucer. La secrétaire place un verre sous son trou, et le sperme s'écoule en un filet qui n'en finit plus. C'est maintenant un goute à goute, et elle fourre ses doigts dans son cul, le secoue, pour faire couler encore. Il y a un bon fonds dans le verre. Elle le tend à la trans, et s'accroupit près de son patron. Comme on l'a fait dans la soirée avec les petits suisses, elle recouvre son gland avec sa semence, et nourrit les deux salopes chacune son tour.
Le film est fini, et on a terminé nous aussi. Mon partenaire a déchargé dans mon cul, et je l'ai sucé, et ai bouffé sa sauce toute chaude sortie de mon trou à bites.
On se bouffe le cul pour finir de se nettoyer, dans un 69 anal et vorace.
On se couche et on s'endort. Je m'en vais au petit matin, après que l'on se soit promis de remettre ça le lundi suivant.
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