Adalla suite et fin - histoire érotique

Comme prévu, la voiture vient nous chercher pour nous conduire au resto ; un superbe bâtiment où nous attend un portier qui nous conduit dans une salle isolée ; à notre arrivée, je constate le regard froncé de d’Abdalla en voyant la tenue de Nini, à savoir une jupe très courte (sans slip) et un chemisier transparent avec en dessous un soutien sein qui laisse voir les pointes tendues, tant elle est excitée. Il donne un ordre en arabe à un serveur qui s’éclipse aussitôt.
Autour de la table, en dehors de notre hôte, deux hommes, en djellaba finement brodée ; il nous les présente comme ses deux frères. Leur regard est fier, pas de problème le même que celui d’Abdalla. Leur accueil est plutôt distant, ce qui nous met un peu mal à l’aise ; alors que nous ne sommes pas encore installés, le serviteur entre , portant un paquet dans ses bras, qu’il donne à son maitre ; se retournant vers nous, et déployant une superbe djellaba blanche : « la tenue de ta femme ne correspond pas à nos coutumes ; elle doit porter cette tenue pour être à notre table ; donc elle va se changer immédiatement » le ton est assez sec et Nini me regarde, un peu perdue.
Alors qu’elle s’apprête à quitter la pièce pour se changer, il intervient à nouveau « non, elle le fait devant nous, mes frères pourront ainsi la découvrir » affolée, elle me regarde, puis avec un sourire de ma part, elle s’exécute, sans aucun doute soumise à ce maitre ; quittant son corsage, ses seins se découvrent, puis soudain ses gestes changent ; d’empreints, ils deviennent plus sexy ; manifestement elle a décidé de les provoquer et c’est par un petit striptease qu’elle quitte sa jupe , avant de quitter son soutien sein ; complétement livrée aux regard de nos hôte, elle les provoque, tournant sur elle-même , dévoilant ainsi la totalité de son corps. Les regards des trois hommes ont changé, beaucoup plus avides de la découvrir. La voix d’abdalla nous surprend : « vas vers mes frères qu’ils puissent profiter de toi ; ce soir, tu seras aussi à eux, et ils peuvent faire ce qu’ils veulent de toi, ensuite seulement, je t’emmènerai pour que tu passes la nuit avec moi » le ton est sans appel, et fièrement, nini se livre aux mains de ses deux hommes, sachant très bien qu’elle va leur appartenir.
Il ne faut pas longtemps pour que leurs mains s’emparent de son corps, allant meme jusqu’à l’allonger sus un canapé pour lui fouiller la chatte et lui triturer les seins ; à ce régime, nini ne tarde pas à gémir, les encourageant un peu plus. Très vite deux sexes émergent de leurs vêtements qu’ils tendent vers la bouche déjà prête pour une belle sucette ; c’est alors qu’elle s’aperçoit, tout comme moi que les serveurs sont toujours présents et qu’ils profitent du spectacle, sans aucun doute avec l’accord de notre hôte ; manifestement, il a décidé de la soumettre à ses envies et de la considérer comme une petite salope ; il est vrai que chez eux la femme est à leur disposition et il le prouve.
Après un moment de stupeur, elle reprend sa sucette et se livre totalement, écartant largement ses cuisses, découvrant à tous sa chatte, livrant déjà les premières perles de sa jouissance. Elle les provoque et finalement, elle attire un sexe et le présente à sa chatte offerte ; la pénétration est puissante brutale, profonde ; en une poussée elle est comblée et cela se traduit par un oh de satisfaction ; elle se fait baiser et c’est ce qu’elle aime .
devant le tableau, ma queue me fait mal tellement elle est bandée, et je ne suis pas le seul ; abdalla m’attrape par la main et me faisant mettre à genoux devant lui, me tend sa tige, gonflée de désir . J’ai compris et je l’engouffre, alors qu’il me prend la tête et qu’il imprime son rythme. je suffoque, alors que son gland vient frapper le fond de ma gorge , mais il m’en tient pas compte ; je ne vois plus nini, mais je l’entends jouir, et cela m’excite, d’autant plus qu’il me décrit son plaisir alors qu’elle se fait saillir par ses deux frères , à tour de rôle ; il me retire de sa queue et me redressant il me dit « regarde , elle se livre comme une femelle ; ce soir , elle ne t’appartient plus ; elle aime nos queues et elle va être comblée » soudain les cris de nini retentissent dans la pièce ; elle jouit , réclament la possession de ses deux amants d’un soir.
En effet, ce n’est plus chaqu’un leur tour, mais ensemble qu’il la baise en double vaginale ; possédée par les deux sexes, elle doit être écartelée, car ils sont très gros tous les deux ; puissants, ils la possèdent un long moment, avant de se répandre en elle, proférant des paroles en arabes, sans doute pas très flatteuses, mais pour elle, aucun problème car manifestement sous cette double saillie, elle jouit énormément, accrochée à ces deux males qui la domine.
Quand ils se retirent, je peux constater les effets : une chatte énorme, dilatée, d’où s’écoule un flot de sperme ; ils l’ont complétement remplie et le trop plein s’écoule sur ses cuisses. Son visage épanoui traduit son plaisir, mais ses yeux, cernés, traduisent sa fatigue. Les deux hommes ne s’occupent plus du tout d’elle et c’est sur un ordre d’abdalla que deux serviteurs viennent la chercher et l’emmène. Un long moment plus tard, elle est de retour, en djellaba blanche, et prend place. Le repas se déroule, sans beaucoup d’intérêt, à part les mets succulents. Abdalla a décidé que nous finirions la soirée chez lui ; alors que nous roulons, nini m’informe que les deux serviteurs l’ont prise, avec l’accord de leur maitre alors qu’ils l’aidaient à revêtir sa tenue et meme l’un deux l’ayant même sodomisée, sans préparation, sans fioriture.
Chez lui, abdalla m’a remis aux mains de ses serviteurs, alors qu’il a gardé mico, pour lui et son fils dans une pièce attenante ; une bonne partie de la nuit, je l’ai entendu jouir ; et le lendemain, elle m’a avoué une nuit de débauche, s’étant fait prendre par les deux hommes, plusieurs fois en double. Aussi bien en vaginale qu’en sodomie et à chaque fois, la remplissant de sperme ils l’ont fécondée, Quant à moi, j’ai appartenu à deux serviteurs, qui ont pu profiter de mon corps, à leur volonté, me prenant par deux fois en double sodomique pour mon plus grand plaisirPendant la journée , avant notre départ, nous avons été à sa disposition et c’est épuisé que nous avons repris l’avion