Adam et Ève (partie 1 : le piège)
Récit érotique écrit par Adam35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Adam et Ève (partie 1 : le piège)
Je m’appelle Adam j’ai 22 ans, 1,63 mètres et 48 kg et toujours puceau. Je suis blond légèrement frisé, yeux bleus et imberbe. Tout le monde me prend souvent pour un enfant et même dans les magasins je m’habille parfois encore dans le rayon enfant ce qui est très humiliant.
Je suis timide et j’ai beaucoup de mal à draguer les femmes. Je rougis comme une pivoine dès que je commence à m’approcher de l’une d’entre elle. Et pour finir la nature ne m’a pas très bien gâté avec ma petite bite de 8 cm en érection.
Ma mère a refait sa vie avec un homme, Roger, qui a 2 jumeaux de 18 ans, Paul et Samuel. 2 forces de la nature qui travaillent déjà sur la ferme de leur père. Les jumeaux mesuraient plus d’1,80 mètres et était charpentés comme des bucherons.
Ma mère et mon beau-père ont eu une petite fille Marie qui est âgée aujourd’hui de 9 ans. Elle a hérité de son père car elle est déjà presque aussi grande que moi.
Et pour finir le grand-père des jumeaux vit également sous le même toit. Un vieux pervers en fauteuil roulant qui ne parle presque pas et qu’il faut changer et laver tous les jours.
Moi je suis encore étudiant à l’université pour devenir comptable. Je n’ai jamais vécu avec eux car j’étais en internat ce qui m’arrangeait bien. Malheureusement je change d’école à la rentrée et je vais devoir rentrer le soir à la maison familiale.
Ma mère était très contente de me voir revenir au foyer mais moi je ne trouvais pas forcément ma place dans cette famille recomposée. Une chambre spécialement conçue pour moi est prévue dans une petite dépendance adossée à la grange. Un petit nid douillet isolé des autres.
Très vite mes demi-frères ont commencés à me charrier sur ma petite taille. Lorsque nous étions entre nous ils m’appelaient petite bite sans l’avoir pourtant constaté ce qui me mettant d’autant plus mal alaise.
Un jour d’été ils me proposent d’aller se promener près du lac. Arrivé sur les lieux ils commencèrent à se désaper entièrement pour aller se baigner. Je découvrais pour la première fois leur nudité et leurs corps d’athlètes. La nature les avait très bien pourvues contrairement à moi. Leurs bites étaient juste impressionnantes même au repos. C’était la première fois que je voyais d’autre corps d’hommes nus que le mien. J’étais très gêné et rouge comme une pivoine.
Samuel : Alors tu attends quoi ?
J’étais pétrifié à l’idée de me déshabiller devant eux.
Moi : Je préfère rester ici, l’eau n’est pas très chaude
Paul : aller ont est entre nous et il n’y a personne pour nous voir.
Je commençais timidement à déboutonner ma chemise. J’enlevais mon pantalon.
J’étais pour y aller avec mon boxer mais Samuel me fit remarquer que j’avais oublié d’enlever quelque chose.
Je finis par capituler et baissa mon boxer rapidement pour aller dans l’eau.
Mes 2 demi-frères se mirent à rire.
Paul : je n’ai même pas eu le temps de voir quelque chose tellement c’était petit
Samuel : j’avoue que je n’ai jamais vu ça. Désolé frérot mais tu n’y es pour rien.
Paul : tu ne dois pas baiser souvent avec ce petit truc ? non ?
Devant ma gêne et mon silence les garçons comprirent rapidement la situation.
Samuel : ne me dis pas que tu es encore puceau à 22 piges ?
Je ne répondais toujours pas et essayais de nager un peu
Paul : oh la vache ! j’y crois pas ! Tes petites noisettes doivent être pleines.
Moi : C’est bon vous n’allez pas m’emmerder toutes la journée avec ça.
Samuel : ok c’est bon on rigolait un peu. Aller j’ai apporté quelques bières ça vous dit ?
Nous sommes sortis de l’eau toujours nu comme des verres. J’essayais désespérément de cacher mes attributs sans grand succès. Paul me présenta une bouteille de bière.
Nous discutions de choses et d’autre. Puis Samuel sorti une autre bouteille de rhume cette fois-ci et me la tendis.
Moi : je ne supporte pas très bien l’alcool.
Paul : arrêtes de faire ta chochotte et bois un coup cela va te détendre un peu.
Je pris une gorgée et c’est la dernière chose que je me suis rappelé avant de me retrouver nu dans mon lit.
Il faisait encore nuit et j’avais un mal de crâne épouvantable. J’avais une drôle de sensation dans le bas ventre et en soulevant les draps j’ai sursauté. Ma bite et mes couilles avait quasiment disparurent dans une toute petite cage en forme de boule. Il y avait une serrure sur le côté sans la clé évidemment.
J’avais juste envie de pleurer. Il était minuit environ. Je me suis vite habillé pour aller chercher mes 2 monstres de demi-frères.
Je les trouvais dans la salle de jeux dans la cave dans un canapé en train de maté un film de cul.
Moi : espèces de petits pervers. Vous vous êtes bien amusés.
Samuel : oui et toi aussi dommage que tu n’es pas vu la fin
Moi : donnez-moi les clés.
Paul : les clés de quoi ?
Moi : ne faites pas les innocents
Samuel secoua un pendentif autour de son coup avec une clé à son extrémité.
Samuel : Ah c’est ça que tu cherches ?
Je m’avance pour la prendre mais Paul qui était assis me barra le passage en m’attrapant par les couilles et en serrant bien fort
Moi : arrêt ça !
Je me tordais sur moi-même.
Paul : écoute petite bite. De toute façon ton matos ne te sert pas à priori donc qu’est-ce que tu viens nous faire chier ! Tu vas retourner sagement te coucher et on verra ça demain.
Moi : vous voulez rire j’espère ! Je vais le dire aux parents.
Ils se mirent à rire.
Paul : j’imagine la tête de ta mère et surtout de notre père devant tes explications.
Samuel : pense bien à leur montrer en même temps l’objet du délit
Moi : mais qu’est-ce que vous voulez les gars ?
Paul : c’est simple les vacances commencent et on n’a plus de nana à baiser. Hormis ta bite tu ressembles à une meuf.
Moi : mais vous êtes fous !
Samuel : si tu veux que l’on te libère il faudra venir t’occuper de nos deux esquimaux en nous suppliant.
Moi : Pauvres cons, je ne suis pas PD !
Paul : c’est comme tu veux : bonne nuit petite bite. Il faut vraiment que l’on te trouve un autre nom.
Samuel : j’ai une idée pourquoi pas Eve
Rires
Moi : Salops
Je repartis me coucher la queue entre les pattes en pleurant.
La nuit fut horrible avec des suées nocturne. Le matin plus aucune érection matinale. Obligé de pisser comme les filles.
Arrivée au petit déjeuner mes demi-frères affichaient un large sourire.
Samuel : alors bien dormi Eve ? pas de rêves érotiques ?
Moi : arrêtez de m’appeler comme ça.
Ma mère : ne te fâche pas Adam, ils te taquinent.
Paul : mais oui on te taquine il n’y a rien de mal.
Roger : Ecoutez les garçons j’ai un grand service à vous demander. Votre mère et moi souhaitons partir en vacances pour la première fois pendant 1 mois. Et on souhaiterait vous confier la maison, votre petite sœur mais également papi.
Ma mère : je sais ça fait beaucoup mais on a besoin de s’accorder un peu de temps. Je sais qu’Adam devait repartir ce soir et revenir à la maison qu’en septembre mais tu peux peut-être au moins revenir à la moitié des vacances pour aider tes frères ?
J’étais pris d’une angoisse au ventre. Samuel secouait délicatement son pendentif avec la clé. J’étais pris au piège et je ne pouvais pas repartir avec ce dispositif sur la bite.
C’est donc la gorge serrée que je me suis entendu répondre.
Moi : t’inquiète je vais rester pour donner un coup de main.
J’allais m’effondrer sur la table.
Ma mère me pris dans ses bras pour me remercier.
Samuel : on va bien prendre soins de lui, n’est-ce pas Paul ?
Paul : ça sera ses plus belles vacances j’en suis sûr !
L’après-midi fut difficile, je ne pensais qu’à ma bite et je n’arrivais pas à me concentrer sur autre chose. Les Parents quittèrent la maison en fin de journée. J’étais complètement paniqué à l’idée du sort que mes frères me réservaient.
J’avais que très peu de connivence avec ma sœur Marie qui m’ignorait complètement. Pourtant c’est moi qui, très vite allait s’occuper de l’intendance de la maison au grand plaisir de mes frères qui très vite m’ont ouvertement appelé Eve.
Le grand-père souriait à chaque fois sans dire un mot. Et Marie se cachait pour rire.
La deuxième nuit je me réveilla en sueur. J’étais envahi par des rêves très très chauds voire hard que je n’avais j’amais fait auparavant dont certains avec que des hommes. Je devenais fou
Je suis timide et j’ai beaucoup de mal à draguer les femmes. Je rougis comme une pivoine dès que je commence à m’approcher de l’une d’entre elle. Et pour finir la nature ne m’a pas très bien gâté avec ma petite bite de 8 cm en érection.
Ma mère a refait sa vie avec un homme, Roger, qui a 2 jumeaux de 18 ans, Paul et Samuel. 2 forces de la nature qui travaillent déjà sur la ferme de leur père. Les jumeaux mesuraient plus d’1,80 mètres et était charpentés comme des bucherons.
Ma mère et mon beau-père ont eu une petite fille Marie qui est âgée aujourd’hui de 9 ans. Elle a hérité de son père car elle est déjà presque aussi grande que moi.
Et pour finir le grand-père des jumeaux vit également sous le même toit. Un vieux pervers en fauteuil roulant qui ne parle presque pas et qu’il faut changer et laver tous les jours.
Moi je suis encore étudiant à l’université pour devenir comptable. Je n’ai jamais vécu avec eux car j’étais en internat ce qui m’arrangeait bien. Malheureusement je change d’école à la rentrée et je vais devoir rentrer le soir à la maison familiale.
Ma mère était très contente de me voir revenir au foyer mais moi je ne trouvais pas forcément ma place dans cette famille recomposée. Une chambre spécialement conçue pour moi est prévue dans une petite dépendance adossée à la grange. Un petit nid douillet isolé des autres.
Très vite mes demi-frères ont commencés à me charrier sur ma petite taille. Lorsque nous étions entre nous ils m’appelaient petite bite sans l’avoir pourtant constaté ce qui me mettant d’autant plus mal alaise.
Un jour d’été ils me proposent d’aller se promener près du lac. Arrivé sur les lieux ils commencèrent à se désaper entièrement pour aller se baigner. Je découvrais pour la première fois leur nudité et leurs corps d’athlètes. La nature les avait très bien pourvues contrairement à moi. Leurs bites étaient juste impressionnantes même au repos. C’était la première fois que je voyais d’autre corps d’hommes nus que le mien. J’étais très gêné et rouge comme une pivoine.
Samuel : Alors tu attends quoi ?
J’étais pétrifié à l’idée de me déshabiller devant eux.
Moi : Je préfère rester ici, l’eau n’est pas très chaude
Paul : aller ont est entre nous et il n’y a personne pour nous voir.
Je commençais timidement à déboutonner ma chemise. J’enlevais mon pantalon.
J’étais pour y aller avec mon boxer mais Samuel me fit remarquer que j’avais oublié d’enlever quelque chose.
Je finis par capituler et baissa mon boxer rapidement pour aller dans l’eau.
Mes 2 demi-frères se mirent à rire.
Paul : je n’ai même pas eu le temps de voir quelque chose tellement c’était petit
Samuel : j’avoue que je n’ai jamais vu ça. Désolé frérot mais tu n’y es pour rien.
Paul : tu ne dois pas baiser souvent avec ce petit truc ? non ?
Devant ma gêne et mon silence les garçons comprirent rapidement la situation.
Samuel : ne me dis pas que tu es encore puceau à 22 piges ?
Je ne répondais toujours pas et essayais de nager un peu
Paul : oh la vache ! j’y crois pas ! Tes petites noisettes doivent être pleines.
Moi : C’est bon vous n’allez pas m’emmerder toutes la journée avec ça.
Samuel : ok c’est bon on rigolait un peu. Aller j’ai apporté quelques bières ça vous dit ?
Nous sommes sortis de l’eau toujours nu comme des verres. J’essayais désespérément de cacher mes attributs sans grand succès. Paul me présenta une bouteille de bière.
Nous discutions de choses et d’autre. Puis Samuel sorti une autre bouteille de rhume cette fois-ci et me la tendis.
Moi : je ne supporte pas très bien l’alcool.
Paul : arrêtes de faire ta chochotte et bois un coup cela va te détendre un peu.
Je pris une gorgée et c’est la dernière chose que je me suis rappelé avant de me retrouver nu dans mon lit.
Il faisait encore nuit et j’avais un mal de crâne épouvantable. J’avais une drôle de sensation dans le bas ventre et en soulevant les draps j’ai sursauté. Ma bite et mes couilles avait quasiment disparurent dans une toute petite cage en forme de boule. Il y avait une serrure sur le côté sans la clé évidemment.
J’avais juste envie de pleurer. Il était minuit environ. Je me suis vite habillé pour aller chercher mes 2 monstres de demi-frères.
Je les trouvais dans la salle de jeux dans la cave dans un canapé en train de maté un film de cul.
Moi : espèces de petits pervers. Vous vous êtes bien amusés.
Samuel : oui et toi aussi dommage que tu n’es pas vu la fin
Moi : donnez-moi les clés.
Paul : les clés de quoi ?
Moi : ne faites pas les innocents
Samuel secoua un pendentif autour de son coup avec une clé à son extrémité.
Samuel : Ah c’est ça que tu cherches ?
Je m’avance pour la prendre mais Paul qui était assis me barra le passage en m’attrapant par les couilles et en serrant bien fort
Moi : arrêt ça !
Je me tordais sur moi-même.
Paul : écoute petite bite. De toute façon ton matos ne te sert pas à priori donc qu’est-ce que tu viens nous faire chier ! Tu vas retourner sagement te coucher et on verra ça demain.
Moi : vous voulez rire j’espère ! Je vais le dire aux parents.
Ils se mirent à rire.
Paul : j’imagine la tête de ta mère et surtout de notre père devant tes explications.
Samuel : pense bien à leur montrer en même temps l’objet du délit
Moi : mais qu’est-ce que vous voulez les gars ?
Paul : c’est simple les vacances commencent et on n’a plus de nana à baiser. Hormis ta bite tu ressembles à une meuf.
Moi : mais vous êtes fous !
Samuel : si tu veux que l’on te libère il faudra venir t’occuper de nos deux esquimaux en nous suppliant.
Moi : Pauvres cons, je ne suis pas PD !
Paul : c’est comme tu veux : bonne nuit petite bite. Il faut vraiment que l’on te trouve un autre nom.
Samuel : j’ai une idée pourquoi pas Eve
Rires
Moi : Salops
Je repartis me coucher la queue entre les pattes en pleurant.
La nuit fut horrible avec des suées nocturne. Le matin plus aucune érection matinale. Obligé de pisser comme les filles.
Arrivée au petit déjeuner mes demi-frères affichaient un large sourire.
Samuel : alors bien dormi Eve ? pas de rêves érotiques ?
Moi : arrêtez de m’appeler comme ça.
Ma mère : ne te fâche pas Adam, ils te taquinent.
Paul : mais oui on te taquine il n’y a rien de mal.
Roger : Ecoutez les garçons j’ai un grand service à vous demander. Votre mère et moi souhaitons partir en vacances pour la première fois pendant 1 mois. Et on souhaiterait vous confier la maison, votre petite sœur mais également papi.
Ma mère : je sais ça fait beaucoup mais on a besoin de s’accorder un peu de temps. Je sais qu’Adam devait repartir ce soir et revenir à la maison qu’en septembre mais tu peux peut-être au moins revenir à la moitié des vacances pour aider tes frères ?
J’étais pris d’une angoisse au ventre. Samuel secouait délicatement son pendentif avec la clé. J’étais pris au piège et je ne pouvais pas repartir avec ce dispositif sur la bite.
C’est donc la gorge serrée que je me suis entendu répondre.
Moi : t’inquiète je vais rester pour donner un coup de main.
J’allais m’effondrer sur la table.
Ma mère me pris dans ses bras pour me remercier.
Samuel : on va bien prendre soins de lui, n’est-ce pas Paul ?
Paul : ça sera ses plus belles vacances j’en suis sûr !
L’après-midi fut difficile, je ne pensais qu’à ma bite et je n’arrivais pas à me concentrer sur autre chose. Les Parents quittèrent la maison en fin de journée. J’étais complètement paniqué à l’idée du sort que mes frères me réservaient.
J’avais que très peu de connivence avec ma sœur Marie qui m’ignorait complètement. Pourtant c’est moi qui, très vite allait s’occuper de l’intendance de la maison au grand plaisir de mes frères qui très vite m’ont ouvertement appelé Eve.
Le grand-père souriait à chaque fois sans dire un mot. Et Marie se cachait pour rire.
La deuxième nuit je me réveilla en sueur. J’étais envahi par des rêves très très chauds voire hard que je n’avais j’amais fait auparavant dont certains avec que des hommes. Je devenais fou
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