Adam et Ève (partie 2 : le début de mon humiliation) - histoire érotique

Cela faisait maintenant presque 2 jours et 2 nuits que mes 2 demi-frères m’avaient posé une cage de chasteté après profité de mon sommeil. Depuis ils gardaient la clé bien précieusement jusqu’à ce que je me décide à venir les vider en les suppliants pour bien m’humilier. Le pire c’est que ma mère m’avait demandé de rester avec eux cet été et que maintenant j’étais pris au piège et que je ne pouvais plus partir.

Il était 3 heures du matin je mis vite fait un jogging sans boxer ni de tee short tellement la nuit était chaude.

Je sortis de ma chambre, traversa la grange où se trouvait le chenil de 4 gros chiens qui appartenaient à Paul et Samuel. Ces chiens étaient très impressionnants et pourtant très calmes. Je me dirigeais vers la chambre des jumeaux qui faute de place dormaient encore dans le même lit. Arrivé devant leur porte j’étais mis un tant d’hésitation et fis demi-tour.

Je ne pouvais quand même par m’abaisser à ce jeu-là. Je retournais donc me coucher.
4h, 5h, 6h… je tournais dans mon lit trempé de sueur. Je n’en pouvais plus mes hormones étaient en ébullition je me levais d’un pas décidé. A cette heure les jumeaux devaient être encore au lit avec un peu de chance. Et si je le faisais une petite gâterie dans 1 heure je ressortirai libre.

Je frappais à leur porte et entra tout doucement. Samuel alluma la lumière. Il était encore dans son lit avec son frère.

Samuel : regarde Paul (qui dormait) qui voilà ? notre petite Eve.

Moi : bon vous avez gagné je veux bien vous sucer si vous me libérez.

Paul se releva d’un coup.

Paul : mais nous tenons toujours parole ma petite Eve. Alors nous t’écoutons que viens-tu faire ici jeune fille ?

J’étais rouge de honte mais je n’avais pas le choix.

Moi : puis-je m’occuper de vos esquimaux.

Samuel : c’est quand même un peu timide tout ça. Déjà prends l’habitude de nous m’appeler maître quand tu t’adresses à nous.

C'était affreux mais je n'avais pas le choix.

Moi : bien Maitre. Je vous supplie de me laisser lécher vos merveilleuses queues Maitre Samuel et Maitre Paul.

Paul : Tu apprends vite. Aller à poil pour commencer.

J’enlève juste mon bas de jogging. Car je n'avais rien d'autre.

Samuel : c’est parfait tout ça. Cette petite cage te va très bien.Tu as raison pas besoin de mettre de sous vêtement et d’ailleurs…. On verra ça plus tard. Aller amène toi

Je commence timidement à m’approcher du lit. Les jumeaux enlèvent d’un coup les draps qui cachaient leurs corps musclés laissant apparaitre 2 énormes bites de plus de 20 cm déjà en érection.

Je tremble un peu et monte sur le lit à 4 pattes.

Samuel : aller viens ma mignonne sucer ta glace. N’ais pas peur.

Paul : regarde-moi cette petite pucelle frérot. Je suis sûr qu’elle a le cul qui suinte.

Paul passe la main sur mes fesses inspectant ma rondelle pendant que Samuel m’attrape par les cheveux pour m’enfoncer son pieux dans la bouche.

Samuel : Mmmmm putain que c’est bon ça. Une vraie petite suceuse.

Paul s’amuse délicatement avec ma rondelle qui est en effet très humide par l’excitation et bien malgré moi.
Samuel donne de grand coup de rein dans ma bouche et finit par exploser dans un râle très virile laissant échapper son nectar au fond de ma gorge ne me laissant d’autre choix que de tout avaler.

Paul m’enfonce un doigt dans mon orifice me laissant échapper un cri aigu qui fit rire les 2 jeunes hommes.

Moi : non pas ça. C’était pas prévu.

Samuel : tu as raison Eve. Paul enlève donc tes doigts de la demoiselle.

Paul : Ok, ok pourtant elle était bien humide et chaude. Aller vient prendre paupaule en bouche.

Sur ces paroles il m’attire par les cheveux comme une poupée de chiffon et se branle littéralement avec ma tête. Au moment d’éjaculer il se retire et me gicle sur le visage et les cheveux.

Paul : c’était trop bon Eve.

Moi : bon vous avez bien profitez maintenant à vous de tenir parole.

Samuel : doucement ma belle, viens donc t’allonger un peu entre nous deux que l’on regarde un petit film.

Je ne comprenais pas ce qu’il voulait mais au point où j’en étais je me blottis entre les 2 hommes et regarda l’écran.

Samuel : attention c’est parti … ;
J’étais sans voix. C’est quoi ce merdier…. Vous n’avez pas le droit

Paul : tu es très photogénique tu ne trouves pas et le son est parfait avec ce nouveau matériel dernier cri.On t’entend bien tu ne trouves pas ?

Je commençais à pleurer.

Moi : vous aviez promis.

Samuel : et on va tenir notre promesse regarde j’ouvre la cage à l’oiseau.

Paul : Ah par contre tu as juste 2 minutes pour le faire pleurer devant nous et bien sûr tu n’en mets pas partout donc tu vas tout avaler ok ?

Enfin ma bite reprenait forme. Un soulagement m’envahis mais de courte durée.

Moi : vous voulez rire les gars ? N'est-ce pas ?

Paul : plus que 1 minutes 40.

Moi : non arrêtez je suis votre frère….. vous m’avez déjà bien humilié cela n’est pas encore suffisant pour vous ?

Les 2 hommes me regardait sans dire un mot.

Paul : plus qu’1 minute 20.

Moi : par pitié les mecs…

Tout en pleurant je commençais à branler ma petite queue déjà bien raide. En l’espace d’à peine 30 secondes je me vidais lamentablement dans ma main en couinant légèrement ce qui fit rire les garçons.

Samuel : ça fait du bien à zizi et aux coucouilles. Aller avale moi ça qu’on ramasse le jouet maintenant.

Je montais ma main à ma bouche pour lécher mon propre foutre. J'étais écoeuré mais je n'avais pas le choix.

Samuel : tu vas apprendre à aimer le goût.

Paul se précipita sur ma petite queue pour l’enfermer de nouveau. Et me donna un grand coup sur les fesses.

Paul : Aller poulette au boulot maintenant. Et au fait on passera tout à l’heure récupérer tes fringues tu n’en a plus besoin à partir d’aujourd’hui.

Moi : je …...

Samuel : dégage maintenant salope.

Je repartis nu comme un verre le sperme dégoulinant sur mon visage et dans ma bouche. Et malgré la situation humiliante un drole de sentiment m’envahit.