Adam et Ève (partie 3 : plaisir solitaire)
Récit érotique écrit par Adam35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Adam et Ève (partie 3 : plaisir solitaire)
C'était presque le matin le soleil pointait le bout de son nez et je dûs traverser nu le corps de ferme pour rejoindre ma chambre.
Moi qui était si pudique je regardais autour de moi pour m'assurer que personne ne puisse me voir. Malgré la situation humiliante je sentais un frisson d'excitation parcourir mon corps.
Je traversais bien vite le hangar où se trouvait ma chambre, croisant les 4 chiens excités sans doute par l'odeur du sperme.
Je me jetais sur mon lit complète désemparé. Je repris mes esprits alla rapidement sous la douche m'enlever ces odeurs corporelles. En sortant comme par habitude j'enfilais vite fait un caleçon.Tel un automate je regroupais mes affaires dans un sac en priant que mes frères me faisaient une méchante blague.
Mais la porte s'ouvrit d'un coup sec. Samuel en tenue de travail apparût.
Samuel : c'est quoi ce bordel ? On avait dit à poil !
Moi : mais je croyais que...
Samuel : ah poil c'est clair non Ève ? Tu veux sans doute que les parents découvre notre petite vidéo que l'on peut mettre sur ton site Facebook également.
Moi : non je l'enlève, regarde...
Très maladroite j'enlevais on dernier vêtement. Tentant de cacher mes attributs encagés avec ma main comme par réflexe.
Samuel : bon c'est mieux comme ça. Je vois que tu as préparé tes fringues. Parfait. Je t'ai apporté quelques petites objets en échange.
Il sortis du lubrifiant, 2 godes un petit rose et un énorme noir, un plug avec une queue de chien, un autre queue de cochon et autre un plug avec un rubis à son extrémité, 1 sert tête avec des oreilles de cochon et un autre avec des oreilles de chien et enfin un collier de chien.
Je me décomposais.
Moi : t'es pas sérieux ?
Samuel : pardon ? Tu n'as rien oublié ?
Baissant la tête comme un enfant qui vient de faire une bêtise.
Moi : désolé maître Samuel
Samuel : aller viens ici que je te mette ton collier. Tu vas être magnifique avec ça.
C'était un collier rose avec des petits clous et mon nom gravé, EVE. Un petit cadenas servait de fermoir.
Samuel : parfait, Paul va adorer. Bon je te laisse une petite heure, histoire de t'amuser avec tes nouveaux jouets. Tu feras un lavement tous les jours et pour aujourd'hui, Je veux te voir porter l'ensemble cochon. Et si tu as bien obéis je vais t'enlever ta cage.
J'étais partagé dans mes sentiments.
Moi : c'est vrai ? C'est pas encore un coup foireux ?
Samuel : écoute promis. Je ne remettrai cette cage que si tu me le supplies. Ça te va ?
Je voulais y croire et à peine la porte fermée je saisi la poire de lavement que j'appris très vite à utiliser. Je n'avais jamais mis de plug et encore moins de god. Je saisi le petit god et l'enduit de gel. Je m'allonge sur le lit et tout en fermant les yeux je pousse en douceur le god dans mon orifices encore vierge.
Devant la résistance de mon trou je décide de me doigter un peu. Une nouvelle sensation se propage alors dans mon corps. Malgré la honte je commence des petits vas et viens qui me procuraient du bien. Mon orifice s'ouvre en douceur. Je me tortille sur le lit. Je sens mon sexe se tendre dans sa cage et tirer sur mes deux petites couilles.
je commence à introduire un deuxième doigt rapidement puis un 3eme. Je saisis alors le petit god qui me pénètre sans difficulté. Je m'enfonce les 15 centimetres en m'arrachant un cri de jouissance lorsque celui ci caresse ma prostate.
Je commence alors des vas et viens et je me surprends à aimer çà. Je couine comme une salope alors que rien ne me force à continuer j'ai du mal à m'arrêter. Mon trou s'élargit de plus en plus et j'en veux de plus en plus. Je me prends à m'imaginer être pris par Samuel et Paul.
Je perds la raison et attrape le gros gode d'environ 25 centimètres de long sur 5 ou 6 cm de large. Je le positionnement devant mon trou bien ouvert. Je pousse doucement. Je sens malgré tout une résistance. J'hésite à poursuivre mais je n'arrive plus à raisonner et une pulsion m'envahit. Je pousse le gode qui finit par entrer m'arrachant un cri de douleur.
J'arrête un instant les opérations pour reprendre mon souffle. Le désagrément qui se transforme très vite en en jouissance. Je le pousse encore et encore. Il me transperce les entrailles mais que c'est bon. Je m'accroupis pour mieux descendre et monter sur ce pieux.
Je gémis, je râle et je cris. Mon sexe pourtant encagé laisse sortir sa semence ce qui m'occasionne une violente douleur dans le bas ventre. J'enlève alors rapidement le god laissant un trou béant comme un vide avec un besoin de le remplir.
J'ai tellement honte de la situation. Je suis perdu. Qu'est ce qui m'arrive ? Je ne suis pas gay, ni pervers et pourtant j'obéis sans protester.
J'arrête de réfléchir et j'enfile sans grande difficulté le plug en queue de cochon ainsi que le sert tête et le groin.
Je me regarde dans la glace ce qui me pousse à rire de ma situation aussi humiliante que grotesque. Juste à ce moment Samuel ouvre la porte.
Samuel : alors ma cochonne on s'est bien amusé ?
Je faisais mine de ne pas comprendre mais mes joues rouges me trahissaient.
Samuel : chose promise chose due.
Samuel ouvrit ma cage et libéra ma queue et les couilles de leur prison. Aussitôt j'eu une impression de liberté et une érection incontrôlée.
Samuel se mit à rire.
Moi qui était si pudique je regardais autour de moi pour m'assurer que personne ne puisse me voir. Malgré la situation humiliante je sentais un frisson d'excitation parcourir mon corps.
Je traversais bien vite le hangar où se trouvait ma chambre, croisant les 4 chiens excités sans doute par l'odeur du sperme.
Je me jetais sur mon lit complète désemparé. Je repris mes esprits alla rapidement sous la douche m'enlever ces odeurs corporelles. En sortant comme par habitude j'enfilais vite fait un caleçon.Tel un automate je regroupais mes affaires dans un sac en priant que mes frères me faisaient une méchante blague.
Mais la porte s'ouvrit d'un coup sec. Samuel en tenue de travail apparût.
Samuel : c'est quoi ce bordel ? On avait dit à poil !
Moi : mais je croyais que...
Samuel : ah poil c'est clair non Ève ? Tu veux sans doute que les parents découvre notre petite vidéo que l'on peut mettre sur ton site Facebook également.
Moi : non je l'enlève, regarde...
Très maladroite j'enlevais on dernier vêtement. Tentant de cacher mes attributs encagés avec ma main comme par réflexe.
Samuel : bon c'est mieux comme ça. Je vois que tu as préparé tes fringues. Parfait. Je t'ai apporté quelques petites objets en échange.
Il sortis du lubrifiant, 2 godes un petit rose et un énorme noir, un plug avec une queue de chien, un autre queue de cochon et autre un plug avec un rubis à son extrémité, 1 sert tête avec des oreilles de cochon et un autre avec des oreilles de chien et enfin un collier de chien.
Je me décomposais.
Moi : t'es pas sérieux ?
Samuel : pardon ? Tu n'as rien oublié ?
Baissant la tête comme un enfant qui vient de faire une bêtise.
Moi : désolé maître Samuel
Samuel : aller viens ici que je te mette ton collier. Tu vas être magnifique avec ça.
C'était un collier rose avec des petits clous et mon nom gravé, EVE. Un petit cadenas servait de fermoir.
Samuel : parfait, Paul va adorer. Bon je te laisse une petite heure, histoire de t'amuser avec tes nouveaux jouets. Tu feras un lavement tous les jours et pour aujourd'hui, Je veux te voir porter l'ensemble cochon. Et si tu as bien obéis je vais t'enlever ta cage.
J'étais partagé dans mes sentiments.
Moi : c'est vrai ? C'est pas encore un coup foireux ?
Samuel : écoute promis. Je ne remettrai cette cage que si tu me le supplies. Ça te va ?
Je voulais y croire et à peine la porte fermée je saisi la poire de lavement que j'appris très vite à utiliser. Je n'avais jamais mis de plug et encore moins de god. Je saisi le petit god et l'enduit de gel. Je m'allonge sur le lit et tout en fermant les yeux je pousse en douceur le god dans mon orifices encore vierge.
Devant la résistance de mon trou je décide de me doigter un peu. Une nouvelle sensation se propage alors dans mon corps. Malgré la honte je commence des petits vas et viens qui me procuraient du bien. Mon orifice s'ouvre en douceur. Je me tortille sur le lit. Je sens mon sexe se tendre dans sa cage et tirer sur mes deux petites couilles.
je commence à introduire un deuxième doigt rapidement puis un 3eme. Je saisis alors le petit god qui me pénètre sans difficulté. Je m'enfonce les 15 centimetres en m'arrachant un cri de jouissance lorsque celui ci caresse ma prostate.
Je commence alors des vas et viens et je me surprends à aimer çà. Je couine comme une salope alors que rien ne me force à continuer j'ai du mal à m'arrêter. Mon trou s'élargit de plus en plus et j'en veux de plus en plus. Je me prends à m'imaginer être pris par Samuel et Paul.
Je perds la raison et attrape le gros gode d'environ 25 centimètres de long sur 5 ou 6 cm de large. Je le positionnement devant mon trou bien ouvert. Je pousse doucement. Je sens malgré tout une résistance. J'hésite à poursuivre mais je n'arrive plus à raisonner et une pulsion m'envahit. Je pousse le gode qui finit par entrer m'arrachant un cri de douleur.
J'arrête un instant les opérations pour reprendre mon souffle. Le désagrément qui se transforme très vite en en jouissance. Je le pousse encore et encore. Il me transperce les entrailles mais que c'est bon. Je m'accroupis pour mieux descendre et monter sur ce pieux.
Je gémis, je râle et je cris. Mon sexe pourtant encagé laisse sortir sa semence ce qui m'occasionne une violente douleur dans le bas ventre. J'enlève alors rapidement le god laissant un trou béant comme un vide avec un besoin de le remplir.
J'ai tellement honte de la situation. Je suis perdu. Qu'est ce qui m'arrive ? Je ne suis pas gay, ni pervers et pourtant j'obéis sans protester.
J'arrête de réfléchir et j'enfile sans grande difficulté le plug en queue de cochon ainsi que le sert tête et le groin.
Je me regarde dans la glace ce qui me pousse à rire de ma situation aussi humiliante que grotesque. Juste à ce moment Samuel ouvre la porte.
Samuel : alors ma cochonne on s'est bien amusé ?
Je faisais mine de ne pas comprendre mais mes joues rouges me trahissaient.
Samuel : chose promise chose due.
Samuel ouvrit ma cage et libéra ma queue et les couilles de leur prison. Aussitôt j'eu une impression de liberté et une érection incontrôlée.
Samuel se mit à rire.
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