Adeline découvre les plaisirs du sexe 3
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-07-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Adeline découvre les plaisirs du sexe 3
Edouard est ravi, il voit s'échapper du trou encore ouvert un filet de liquide blanchâtre mêlé à du sang. Il dit en souriant :
-Ma chérie, il faut remercier votre amant, je te conseille de lui faire une bonne fellation !
Mathias se met sur le dos, Adeline avant de saisir le manche englué, comme hypnotisée, le regarde un long moment. Timidement, elle avance sa main et avec ses longs doigts fins, enserre le membre, elle le tient sans faire un mouvement, elle sent les pulsations du sang dans les grosses veines qui parcourt la hampe. Doucement, elle décalotte le gland, après un moment d'hésitation, elle se met à donner des coups de langues sur l'épaisse masse de chair qui chapeaute la verge.
Elle happe les perles qui s'échappent du méat, puis en prenant une grande aspiration, elle gobe le gland. Elle suce et tète, le mieux qu'elle peut, la boule qui lui remplit entièrement la bouche. Adeline s'enhardit, elle caresse la verge, la presse pour en extraire le restant de sève qui se cache dans la hampe. Il semble que la jeune femme soit douée pour ce genre d'exercices.
Sa bouche et sa langue s'activent sur le muscle qui se tend davantage. Mathias regarde Edouard. Le vieil homme lui fait un signe de tête qui veut dire oui. C'est en grognant que le jardinier envoie dans la bouche de sa jeune patronne une giclée abondante de sperme. Surprise par cette décharge subite, Adeline repousse son amant, c'est en grimaçant et se pinçant les lèvres, elle veut recracher, elle regarde son mari. Edouard, lui demande :
-Avale ma chérie, avale !
C'est la première fois qu'Adeline goûte à ce genre de mixture, le liquide visqueux. La fait grimacer encore plus. Mais pour faire plaisir à son mari, elle avale jusqu'à la dernière goutte la substance au goût suave en faisant la moue. Edouard la regarde en souriant et dit :
-Bravo ma chérie, tu verras à la longue, tu vas aimer le sperme, maintenant fais-toi plaisir chevauche Mathias. !
Adeline regarde son amant, l'enjambe et en se baissant lentement lui saisit la verge et la dirige vers son puits d'amour fraichement défloré. Progressivement, elle s'empale sur le pieu dressé. Et en prenant appuie sur le torse du jardinier, commence à s'agiter. Plus elle monte et descend sur le pal, plus elle gémit. Un long râle sort de sa gorge, elle se cabre comme un cheval qui rue, et explose de jouissance.
Mathias donne quelques coups de reins pour bien la pénétrer. Puis décide de changer de position. Il prend Adeline en levrette, c'est la position rêvée de certaine femme, car la pénétration est optimale.
Aisément, la verge coulisse dans la gaine, lubrifiée naturellement par l'abondante cyprine qu'elle sécrète. Mathias ne retient plus ses coups, il frappe fort dans les profondeurs du vagin, en faisant gémir de plaisir sa patronne. De longues minutes, il lui travaille les entrailles. Adeline jouit en même temps que son amant. Les positions varient, selon l'humeur et la résistance de Mathias. C'est épuisée et haletante, qu'Adeline se laisse tomber sur le lit, les bras en croix, suivit de son jardinier.
Comme il est tard, Edouard siffle la fin de la récréation. Il regarde sa femme et lui dit :
-Ma chérie, Mathias met son talent à ton service, tu le recevras chaque vendredi dans ta chambre, si c'est ton souhait bien sûr, pour vous Mathias, je vous demande de la discrétion !
Encore dans les vapes, Adeline parvient à dire entre deux souffles :
-Merci mon chéri, tu es le meilleur des maris !
Le lendemain, Adeline fait seller son cheval par le palefrenier et parcourt le parc de long en large en espérant revoir son amant. Bien que ce ne soit pas vendredi, elle attend avec impatience ce jour divin.
C'est la fin de la journée, elle passe devant le chalet dans lequel sont rangés les outils. La porte est entrouverte, Adeline descend de sa monture et s'approche doucement du chalet.
Elle ouvre doucement la porte, Mathias est penché sur un grand bac, torse nu, il fait est en sueur, il s'asperge le corps d'eau pour se rafraichir avant d'aller prendre une bonne douche dans son appartement dans une aile du grand bâtiment. Adeline s'approche de lui, et par dernière l'enlace, elle le serre très fort dans ses bras. Mathias, surpris, se raidit et tourne la tête. Il sourit et dit :
-Bonjour ou bonsoir patronne, je ne sais plus !
Elle plaque sa bouche sur son dos et lui donne de nombreux baisers. Mathias se dégage sans brusquerie et fait face à Adeline. Il lui dit :
-Mais, nous ne sommes pas vendredi madame !
Adeline dit en l'enlaçant à nouveau :
Je le sais, mais tu m'as fait tellement de bien cette nuit que je ne peux plus tenir !
Elle cherche ses lèvres, lui pas trop chaud tente de les éviter. Il dit :
-Mais madame, je risque ma place, je ne peux pas me le permettre, si monsieur nous surprenait, soyez sage je vous en prie !
Adeline, déçue, fait un pas en arrière et demande :
-Et ce soir, ce serai possible, si j'en parle à mon mari !
Mathias fait la moue et répond :
-ce soir ce n'est pas possible, je reçois, un autre jour si vous le voulez, avec l'accord de monsieur !
Un peu vexée, Adeline remonte sur son cheval et part au triple galop. Elle n'a pas faim et monte directement dans sa chambre. Elle prend une douche et s'allonge sur son lit nue. Elle ne pense qu'à son jardinier, elle se tourne et retourne sur sa couche, mais ne trouve pas le sommeil. Lentement, elle passe sa main sur son sexe, et commence à le caresser doucement. Rapidement, il y a le feu dans son corps, elle se masturbe avec rage, elle serre les dents, presse fortement son clito pour avoir une jouissance terrible.
Une fois qu'elle a bien joui, elle reste étendue en regardant le plafond. Elle ressent encore dans son ventre la verge puissante de Mathias. Elle n'en peut plus, elle se lève, enfile un peignoir sur son corps nu et déambule dans les couloirs de la grande maison pour rejoindre l'appartement du jardinier. Sans frapper, elle ouvre la porte, elle reste figée par ce qu'elle voit. Mathias défonce Mathilde la femme de chambre, la femme geint comme une bête à chaque coup de reins de son amant. Mais lorsque Mathias voit Adeline, il se cabre :
Mais je suis chez-moi, vous pourrez au moins frapper avant d'entrer, non, qu'est-ce que vous voulez !
En serrant les dents, elle répond péniblement :
-la même chose que vous faites à Mathilde !
En soupirant, Mathias dit :
-Bon d'accord, mais il faut vous initier au lesbianisme, Mathilde ma chérie, tu veux bien t'occuper de madame, surtout pas un mot à votre mari madame !
-Ma chérie, il faut remercier votre amant, je te conseille de lui faire une bonne fellation !
Mathias se met sur le dos, Adeline avant de saisir le manche englué, comme hypnotisée, le regarde un long moment. Timidement, elle avance sa main et avec ses longs doigts fins, enserre le membre, elle le tient sans faire un mouvement, elle sent les pulsations du sang dans les grosses veines qui parcourt la hampe. Doucement, elle décalotte le gland, après un moment d'hésitation, elle se met à donner des coups de langues sur l'épaisse masse de chair qui chapeaute la verge.
Elle happe les perles qui s'échappent du méat, puis en prenant une grande aspiration, elle gobe le gland. Elle suce et tète, le mieux qu'elle peut, la boule qui lui remplit entièrement la bouche. Adeline s'enhardit, elle caresse la verge, la presse pour en extraire le restant de sève qui se cache dans la hampe. Il semble que la jeune femme soit douée pour ce genre d'exercices.
Sa bouche et sa langue s'activent sur le muscle qui se tend davantage. Mathias regarde Edouard. Le vieil homme lui fait un signe de tête qui veut dire oui. C'est en grognant que le jardinier envoie dans la bouche de sa jeune patronne une giclée abondante de sperme. Surprise par cette décharge subite, Adeline repousse son amant, c'est en grimaçant et se pinçant les lèvres, elle veut recracher, elle regarde son mari. Edouard, lui demande :
-Avale ma chérie, avale !
C'est la première fois qu'Adeline goûte à ce genre de mixture, le liquide visqueux. La fait grimacer encore plus. Mais pour faire plaisir à son mari, elle avale jusqu'à la dernière goutte la substance au goût suave en faisant la moue. Edouard la regarde en souriant et dit :
-Bravo ma chérie, tu verras à la longue, tu vas aimer le sperme, maintenant fais-toi plaisir chevauche Mathias. !
Adeline regarde son amant, l'enjambe et en se baissant lentement lui saisit la verge et la dirige vers son puits d'amour fraichement défloré. Progressivement, elle s'empale sur le pieu dressé. Et en prenant appuie sur le torse du jardinier, commence à s'agiter. Plus elle monte et descend sur le pal, plus elle gémit. Un long râle sort de sa gorge, elle se cabre comme un cheval qui rue, et explose de jouissance.
Mathias donne quelques coups de reins pour bien la pénétrer. Puis décide de changer de position. Il prend Adeline en levrette, c'est la position rêvée de certaine femme, car la pénétration est optimale.
Aisément, la verge coulisse dans la gaine, lubrifiée naturellement par l'abondante cyprine qu'elle sécrète. Mathias ne retient plus ses coups, il frappe fort dans les profondeurs du vagin, en faisant gémir de plaisir sa patronne. De longues minutes, il lui travaille les entrailles. Adeline jouit en même temps que son amant. Les positions varient, selon l'humeur et la résistance de Mathias. C'est épuisée et haletante, qu'Adeline se laisse tomber sur le lit, les bras en croix, suivit de son jardinier.
Comme il est tard, Edouard siffle la fin de la récréation. Il regarde sa femme et lui dit :
-Ma chérie, Mathias met son talent à ton service, tu le recevras chaque vendredi dans ta chambre, si c'est ton souhait bien sûr, pour vous Mathias, je vous demande de la discrétion !
Encore dans les vapes, Adeline parvient à dire entre deux souffles :
-Merci mon chéri, tu es le meilleur des maris !
Le lendemain, Adeline fait seller son cheval par le palefrenier et parcourt le parc de long en large en espérant revoir son amant. Bien que ce ne soit pas vendredi, elle attend avec impatience ce jour divin.
C'est la fin de la journée, elle passe devant le chalet dans lequel sont rangés les outils. La porte est entrouverte, Adeline descend de sa monture et s'approche doucement du chalet.
Elle ouvre doucement la porte, Mathias est penché sur un grand bac, torse nu, il fait est en sueur, il s'asperge le corps d'eau pour se rafraichir avant d'aller prendre une bonne douche dans son appartement dans une aile du grand bâtiment. Adeline s'approche de lui, et par dernière l'enlace, elle le serre très fort dans ses bras. Mathias, surpris, se raidit et tourne la tête. Il sourit et dit :
-Bonjour ou bonsoir patronne, je ne sais plus !
Elle plaque sa bouche sur son dos et lui donne de nombreux baisers. Mathias se dégage sans brusquerie et fait face à Adeline. Il lui dit :
-Mais, nous ne sommes pas vendredi madame !
Adeline dit en l'enlaçant à nouveau :
Je le sais, mais tu m'as fait tellement de bien cette nuit que je ne peux plus tenir !
Elle cherche ses lèvres, lui pas trop chaud tente de les éviter. Il dit :
-Mais madame, je risque ma place, je ne peux pas me le permettre, si monsieur nous surprenait, soyez sage je vous en prie !
Adeline, déçue, fait un pas en arrière et demande :
-Et ce soir, ce serai possible, si j'en parle à mon mari !
Mathias fait la moue et répond :
-ce soir ce n'est pas possible, je reçois, un autre jour si vous le voulez, avec l'accord de monsieur !
Un peu vexée, Adeline remonte sur son cheval et part au triple galop. Elle n'a pas faim et monte directement dans sa chambre. Elle prend une douche et s'allonge sur son lit nue. Elle ne pense qu'à son jardinier, elle se tourne et retourne sur sa couche, mais ne trouve pas le sommeil. Lentement, elle passe sa main sur son sexe, et commence à le caresser doucement. Rapidement, il y a le feu dans son corps, elle se masturbe avec rage, elle serre les dents, presse fortement son clito pour avoir une jouissance terrible.
Une fois qu'elle a bien joui, elle reste étendue en regardant le plafond. Elle ressent encore dans son ventre la verge puissante de Mathias. Elle n'en peut plus, elle se lève, enfile un peignoir sur son corps nu et déambule dans les couloirs de la grande maison pour rejoindre l'appartement du jardinier. Sans frapper, elle ouvre la porte, elle reste figée par ce qu'elle voit. Mathias défonce Mathilde la femme de chambre, la femme geint comme une bête à chaque coup de reins de son amant. Mais lorsque Mathias voit Adeline, il se cabre :
Mais je suis chez-moi, vous pourrez au moins frapper avant d'entrer, non, qu'est-ce que vous voulez !
En serrant les dents, elle répond péniblement :
-la même chose que vous faites à Mathilde !
En soupirant, Mathias dit :
-Bon d'accord, mais il faut vous initier au lesbianisme, Mathilde ma chérie, tu veux bien t'occuper de madame, surtout pas un mot à votre mari madame !
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour vos commentaires qui m'encouragent.
Histoire super excitante comme toujours !!
Lolo
Lolo
Merci pour votre commentaire, oui, il y a une suite
Belle histoire et écriture
Vivement la suite
Vivement la suite