Adieu Kendall et Carole, bienvenue à Quentin Kruger et Cathy
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-12-2013 dans la catégorie A dormir debout
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Adieu Kendall et Carole, bienvenue à Quentin Kruger et Cathy
A Roissy, j'ai demandé à Quentin(Carole), de sortir la première. Je voulais tester ma nouvelle apparence. Contrairement à elle, j'ai toujours été soucieux de mon corps. J'avais les même vêtements que dans la magasin de Bangkok. Pendant tout le temps du voyage, chaque fois que j'allais aux toilettes, des regards avides reluquaient mon cul. La cure hormonale avait féminisé mon corps, bien plus qu'avant. Mes hanches étaient toujours étroites, mais mes fesses s'étaient cambrées un peu plus.
Sur la passerelle menant à l'aérogare, les hommes n'en croyaient pas leurs yeux. L'un d'eux a même rabattu les pans de sa veste ouverte, pour masquer la subite érection suscitée par mon apparition. Que de sourires se sont allumés sur les visages fatigués des voyageurs. J'étais fixé. J'étais devenue ce que j'avais voulu être de puis tout petit : Une fille. Le vertige me prit. J'attendais la sortie de Quentin. Dans le hall, plusieurs hommes m'ont offert leur service :
- Mademoiselle, vous avez beaucoup de bagages ? Si vous avez besoin d'aide...
Ils étaient autour de moi comme des abeilles autour d'une fleur. Plutôt jolie, d'après leur empressement. Je ne répondis pas à leurs assauts. Je faisais les mimiques de la fille faussement timide devant la sollicitation des mâles. Dans ma tête, je voulais donner à Quentin(Carole), l'occasion d'afficher sa nouvelle virilité. Quand il apparut entre les portes coulissantes de l'aérogare, je me suis précipitée vers lui. De loin, j'ai crié son nom :
- Quentin !
J'ai passé mes bras autour de son cou, des larmes plein les yeux. Sur la pointe des pieds, Quentin(Carole) était plus grand que moi, j'ai passé mes bras autour de son cou. Le kilt ultra court, laissait voir le haut de mes cuisses et la naissance des fesses. Les regards mâles se sont à nouveau tournés vers nous. Quentin(Carole), m'a alors pris par la taille, son autre main rabattant la jupette sur mes fesses. Assez fort pour que les autres entendent, j'ai dit :
- Quentin, je t'aime...
- Je sais ma puce, répondit-il.
Je me suis rejetée en arrière. Quentin(Carole), s'est penché sur moi et m'a donné un long baiser fougueux. Ce qui devait être une démonstration pour la galerie, s'est transformée en un moment de joie intense. Quentin(Carole) me donna un vrai baiser et je me suis laissée envahir par ce nouveau bonheur. Les autres passagers nous regardaient avec envie.
De retour à Paris, nous sommes allés à la mairie pour retirer nos nouveaux papiers d'identité. On en a profité pour publier les bans de notre future union. Quentin(Carole) était fier comme un paon. Il me jeta un regard avant de signer le papier. Moi, je lui répondis en hochant la tête, prête à bondir. Quand il a signé Kruger, précédé d'un "Q" majuscule, je lui ai sauté au cou et l'ai embrassé. J'ai signé Cathy Kendall. Quentin(Carole), droit et raide comme un piquet, a tendu le papier à l'employé devant le regard ému de ses collègues.
A notre mariage, il n'y avait pas foule. De nos amis, les notables n'étaient pas présents. Ils avaient sans doute peur de mettre en péril leur situation sociale. Les autres qui ne sont pas venus, c'étaient sans doute les pisses-vinaigres aux idées étroites qui pensent que tout doit rester immuable et que les hommes et les femmes sont faits pour faire des enfants, et qui, à l'abri des regards, s'empressent d'aller voir les putes ou leurs maîtresses.De toute façon, ils ne nous ont pas manqués.
Habillée en robe de mariée, Quentin(Carole), me prit dans ses bras et me porta en haut de l'escalier, sous les applaudissements des autres convives. J'ai trouvé ça un peu ridicule, mais l'image du bonheur sur le visage de Quentin(Carole) effaça cette idée. Il a ouvert la porte de la chambre et m'a laissée debout à côté du lit pour aller fermer la porte. En courant, il est revenu vers moi. Il m'a embrassée à nouveau. Je tremblais.
Quentin(Carole), connaissait mes goûts, savait que j'aimais les caresses et la douceur. Avec une lenteur calculée, Il ôta ma robe et les jupons. Il m'assit sur le lit et enleva le sous-tif. Il me renversa sur le lit et entreprit d'enlever ma culotte. J'avais l'impression d'être une ado, à sa première fois. Il fit glisser le tissu léger, le long de mes jambes, avec une lenteur exaspérante.
Il s'est déshabillé à son tour. Nu, il s'est assis près de moi. Il a baissé la tête, regardant sa toute nouvelle bite. J'ai alors empoigné son nouvel attribut, fièrement dressé. Il s'est penché vers moi et a pris un de mes seins dans sa bouche. De sa main, il pétrissait l'autre. Mes seins se sont dressés et durcis. J'ai tréssaillis quand sa langue a léché le téton. Ma main s'est resserrée sur sa bite. Il a glissé sa main entre mes jambes. Mon nouveau sexe était trempé. Il s'est penché vers moi et m'a embrassé le minou.
Quentin(Carole), s'est relevé et m'a embrassée dans le cou. A mon oreille, il a dit :
-Si tu savais combien j'ai attendu ce moment ! La première fois que je t'ai vu, je suis tombée amoureuse. Je savais que tu baisais avec des garçons. Je savais pour le doyen. Je me suis dite que si ceux-là pouvaient t'avoir, pourquoi pas moi. J'ai toujours voulu être un garçon. Il me manquait juste quelque chose. Ton arrivée a tout déclenché. J'ai commencé à m'habiller en garçon et je me suis acheté le gode. C'est après t'avoir enculé que j'ai décidé de devenir ton mec, et de me faire opérer.
- Moi, c'est à la fac ! Tu te souviens quand tu m'a pincé les fesses. J'ai ressenti un truc d'enfer. Les filles ne m'attiraient pas. Elles me le rendaient bien d'ailleurs. Elles me rejetaient parce que je faisais trop fille. Les garçons me rejetaient aussi pour la même chose. On m'a traité de pédé. Ulcéré, je me suis dit que puisque tout le monde me traitait comme une fille, j'allai en devenir une. Un jour, je me suis même pointé à l'école en jupe. Personne ne m'a reconnu. Ma mère et les profs, m'ont envoyé chez les psy. A l'adolescence, j'ai essayé de coucher avec une fille. Je n'ai même pas bandé. J'ai essayé avec un garçon, mais il m'a frappé en me traitant de pédé. Eh bien, j'en suis devenu un. En réalité, c'est faux. Quand tu m'as pincé les fesses, une sensation bizarre m'a envahi. Une chaleur est montée en moi, mon coeur s'est affolé. J'en ai passé des jours à pleurer sur mon sort. Tu étais assise tous les jours à côté de moi. Je n'osais pas te draguer. Tu m'avais même vu, deux bites dans le cul ! Quand tu m'as dit que tu te ferais opérer, j'ai décidé d'en faire autant, sans savoir si tu m'accépterais.
Quentin(Carole) monta sur le lit et glissa sa tête entre mes cuisses. Sa langue lécha mon minou et s'introduit dans ma moule. J'ai poussé un soupir. Il s'est relevé et est remonté vers mon visage. J'ai replié mes jambes. Sa bite s'est posée sur mon minou. Il a mis ses mains sur mes épaules et, d'un mouvement très lent de ses hanches, il a poussé sa bite. Tout rentré en moi, il s'est allongé sur mon corps. J'avais toujours senti les muscles de ses cuisses sur mon cul. Aujourd'hui, j'étais sa femme, sa maîtresse, sa chose. Le poids de son corps sur le mien, avait quelque chose d'irréel. Quentin(Carole) se souleva sur ses bras, et regarda mon visage. Il avait l'air d'un conquérant, d'un dieu. Des larmes ont coulé de mes yeux. Il les a embrassés.
- Chérie, dit-il, plein d'amour, Quentin et Carole sont morts. Maintenant, il n'y a plus que Quentin et Cathy, toi et moi !
Sur la passerelle menant à l'aérogare, les hommes n'en croyaient pas leurs yeux. L'un d'eux a même rabattu les pans de sa veste ouverte, pour masquer la subite érection suscitée par mon apparition. Que de sourires se sont allumés sur les visages fatigués des voyageurs. J'étais fixé. J'étais devenue ce que j'avais voulu être de puis tout petit : Une fille. Le vertige me prit. J'attendais la sortie de Quentin. Dans le hall, plusieurs hommes m'ont offert leur service :
- Mademoiselle, vous avez beaucoup de bagages ? Si vous avez besoin d'aide...
Ils étaient autour de moi comme des abeilles autour d'une fleur. Plutôt jolie, d'après leur empressement. Je ne répondis pas à leurs assauts. Je faisais les mimiques de la fille faussement timide devant la sollicitation des mâles. Dans ma tête, je voulais donner à Quentin(Carole), l'occasion d'afficher sa nouvelle virilité. Quand il apparut entre les portes coulissantes de l'aérogare, je me suis précipitée vers lui. De loin, j'ai crié son nom :
- Quentin !
J'ai passé mes bras autour de son cou, des larmes plein les yeux. Sur la pointe des pieds, Quentin(Carole) était plus grand que moi, j'ai passé mes bras autour de son cou. Le kilt ultra court, laissait voir le haut de mes cuisses et la naissance des fesses. Les regards mâles se sont à nouveau tournés vers nous. Quentin(Carole), m'a alors pris par la taille, son autre main rabattant la jupette sur mes fesses. Assez fort pour que les autres entendent, j'ai dit :
- Quentin, je t'aime...
- Je sais ma puce, répondit-il.
Je me suis rejetée en arrière. Quentin(Carole), s'est penché sur moi et m'a donné un long baiser fougueux. Ce qui devait être une démonstration pour la galerie, s'est transformée en un moment de joie intense. Quentin(Carole) me donna un vrai baiser et je me suis laissée envahir par ce nouveau bonheur. Les autres passagers nous regardaient avec envie.
De retour à Paris, nous sommes allés à la mairie pour retirer nos nouveaux papiers d'identité. On en a profité pour publier les bans de notre future union. Quentin(Carole) était fier comme un paon. Il me jeta un regard avant de signer le papier. Moi, je lui répondis en hochant la tête, prête à bondir. Quand il a signé Kruger, précédé d'un "Q" majuscule, je lui ai sauté au cou et l'ai embrassé. J'ai signé Cathy Kendall. Quentin(Carole), droit et raide comme un piquet, a tendu le papier à l'employé devant le regard ému de ses collègues.
A notre mariage, il n'y avait pas foule. De nos amis, les notables n'étaient pas présents. Ils avaient sans doute peur de mettre en péril leur situation sociale. Les autres qui ne sont pas venus, c'étaient sans doute les pisses-vinaigres aux idées étroites qui pensent que tout doit rester immuable et que les hommes et les femmes sont faits pour faire des enfants, et qui, à l'abri des regards, s'empressent d'aller voir les putes ou leurs maîtresses.De toute façon, ils ne nous ont pas manqués.
Habillée en robe de mariée, Quentin(Carole), me prit dans ses bras et me porta en haut de l'escalier, sous les applaudissements des autres convives. J'ai trouvé ça un peu ridicule, mais l'image du bonheur sur le visage de Quentin(Carole) effaça cette idée. Il a ouvert la porte de la chambre et m'a laissée debout à côté du lit pour aller fermer la porte. En courant, il est revenu vers moi. Il m'a embrassée à nouveau. Je tremblais.
Quentin(Carole), connaissait mes goûts, savait que j'aimais les caresses et la douceur. Avec une lenteur calculée, Il ôta ma robe et les jupons. Il m'assit sur le lit et enleva le sous-tif. Il me renversa sur le lit et entreprit d'enlever ma culotte. J'avais l'impression d'être une ado, à sa première fois. Il fit glisser le tissu léger, le long de mes jambes, avec une lenteur exaspérante.
Il s'est déshabillé à son tour. Nu, il s'est assis près de moi. Il a baissé la tête, regardant sa toute nouvelle bite. J'ai alors empoigné son nouvel attribut, fièrement dressé. Il s'est penché vers moi et a pris un de mes seins dans sa bouche. De sa main, il pétrissait l'autre. Mes seins se sont dressés et durcis. J'ai tréssaillis quand sa langue a léché le téton. Ma main s'est resserrée sur sa bite. Il a glissé sa main entre mes jambes. Mon nouveau sexe était trempé. Il s'est penché vers moi et m'a embrassé le minou.
Quentin(Carole), s'est relevé et m'a embrassée dans le cou. A mon oreille, il a dit :
-Si tu savais combien j'ai attendu ce moment ! La première fois que je t'ai vu, je suis tombée amoureuse. Je savais que tu baisais avec des garçons. Je savais pour le doyen. Je me suis dite que si ceux-là pouvaient t'avoir, pourquoi pas moi. J'ai toujours voulu être un garçon. Il me manquait juste quelque chose. Ton arrivée a tout déclenché. J'ai commencé à m'habiller en garçon et je me suis acheté le gode. C'est après t'avoir enculé que j'ai décidé de devenir ton mec, et de me faire opérer.
- Moi, c'est à la fac ! Tu te souviens quand tu m'a pincé les fesses. J'ai ressenti un truc d'enfer. Les filles ne m'attiraient pas. Elles me le rendaient bien d'ailleurs. Elles me rejetaient parce que je faisais trop fille. Les garçons me rejetaient aussi pour la même chose. On m'a traité de pédé. Ulcéré, je me suis dit que puisque tout le monde me traitait comme une fille, j'allai en devenir une. Un jour, je me suis même pointé à l'école en jupe. Personne ne m'a reconnu. Ma mère et les profs, m'ont envoyé chez les psy. A l'adolescence, j'ai essayé de coucher avec une fille. Je n'ai même pas bandé. J'ai essayé avec un garçon, mais il m'a frappé en me traitant de pédé. Eh bien, j'en suis devenu un. En réalité, c'est faux. Quand tu m'as pincé les fesses, une sensation bizarre m'a envahi. Une chaleur est montée en moi, mon coeur s'est affolé. J'en ai passé des jours à pleurer sur mon sort. Tu étais assise tous les jours à côté de moi. Je n'osais pas te draguer. Tu m'avais même vu, deux bites dans le cul ! Quand tu m'as dit que tu te ferais opérer, j'ai décidé d'en faire autant, sans savoir si tu m'accépterais.
Quentin(Carole) monta sur le lit et glissa sa tête entre mes cuisses. Sa langue lécha mon minou et s'introduit dans ma moule. J'ai poussé un soupir. Il s'est relevé et est remonté vers mon visage. J'ai replié mes jambes. Sa bite s'est posée sur mon minou. Il a mis ses mains sur mes épaules et, d'un mouvement très lent de ses hanches, il a poussé sa bite. Tout rentré en moi, il s'est allongé sur mon corps. J'avais toujours senti les muscles de ses cuisses sur mon cul. Aujourd'hui, j'étais sa femme, sa maîtresse, sa chose. Le poids de son corps sur le mien, avait quelque chose d'irréel. Quentin(Carole) se souleva sur ses bras, et regarda mon visage. Il avait l'air d'un conquérant, d'un dieu. Des larmes ont coulé de mes yeux. Il les a embrassés.
- Chérie, dit-il, plein d'amour, Quentin et Carole sont morts. Maintenant, il n'y a plus que Quentin et Cathy, toi et moi !
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