Adrien, l’amour fou – histoire complète (03)
Récit érotique écrit par Sylvainerotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Adrien, l’amour fou – histoire complète (03)
Ce long récit en 14 épisodes constitue une histoire complète d’« Adrien l’amour fou », que j’ai souhaité développer. J’ai juste apporté quelques changements minimum (couleur des cheveux d’Adrien, âge des personnages), mais l’idée est la même : les joies et les difficultés d’une relation amoureuse et sexuelle d’un couple avec une grande différence d’âge. Comme d’habitude, beaucoup de sexe aussi… et les photos des personnages disponibles sur demande.
Comme dans toutes mes histoires, les rapports sont non protégés. Dans la vraie vie, pensez à mettre des préservatifs.
Bonne lecture
Sylvain
==
Les jours qui suivent, nous poursuivons notre relation à distance. On joue bien la comédie, en cours ou dans les couloirs. Mais en dehors de ça, on s’échange pleins de SMS. On se téléphone même discrètement. Tu mets de la musique pour masquer la conversation. Entendre ta voix me remplit de joie. J’aime t’entendre. Prendre de tes nouvelles. Et tu prends aussi de mes nouvelles. C’est ce que j’aime chez toi. Moi qui pensais que jamais je ne passerai le cap du plan d’un soir avec un jeune de ton âge. Tu me prouves que c’est faux. Tu es tellement mature. Intéressant, et intéressé. J’ai toujours cette peur au fond de moi que ce ne soit qu’une passade… C’est normal après tout. On ne se connait que depuis quelques mois, et on a couché ensemble que deux fois. Mais je te connais déjà bien. Et je désire tellement, et je sens que ce bonheur est fragile… Ta voix est le meilleur des remèdes.
Tu me dis que je te manque. Tu me manques aussi. J’aimerais qu’on se voie plus souvent. Je suis partagé entre l’envie de te voir en permanence, et l’instinct de ne pas brusquer les choses. C’est toi qui donnes le rythme en fait. Au gré de tes disponibilités. De ta volonté de prendre des risques. Tu es tellement occupé, entre ton rôle d’ainé de famille, de grand frère, d’étudiant…. Et maintenant d’amant.
Pour l’instant, tu te débrouilles pour te libérer le week-end. Ta mère comprend aussi que tu as besoin d’air à ton âge. Et elle ne te pose pas trop de questions. Tu évoques des sorties entre amis, cinéma ou autre et ça passe.
Ce n’est qu’un demi-mensonge car on se retrouve effectivement au cinéma ce samedi en début d’après-midi. Ça tombe bien, mon réalisateur préféré a un nouveau film, que je suis curieux de te le faire découvrir. Content que tu sois intrigué et que tu aies des gouts un peu intellos comme moi.
La scène est assez remplie, et dans l’obscurité nos mains arrivent à se serrer. Et je passe aussi mon bras autour de ton épaule. Tu es bien concentré sur le film… et moi aussi.
Ça t’a plu ! Tu as l’air sincère. Tant mieux. Tu me poses pleins de questions sur son œuvre. Tu es intrigué. Tu es vraiment unique. L’oiseau rare. Peu importe ton âge, je te perçois comme un ami, un complice… et ça me remplit de joie. Plus je passe de temps avec toi, plus je suis heureux. Même si cela doit rester clandestin.
On passe chez moi après le cinéma. Apres le plaisir de l’esprit, celui du corps. On se rend directement dans la chambre, et tu te montres le plus entreprenant. Tu défais ma braguette et sort ma queue pour me sucer, alors que nous sommes encore habillés, au milieu de la pièce. Je ne peux que rester immobile et soupirer, te laisser faire. Je suis partagé. Entre le fait de ne pas prendre assez les choses en main, peur que tu attendes plus de moi. Mais d’un autre cote, j’aime te voir gagner en assurance.
Je caresse tes cheveux. Tu suces vite, tu lèches, tu branles. Tu es maintenant bien habitué mon Adrien. Je retire le haut, et tu te redresses. Ta langue me lèche tout du long, jusqu’à mes tétons. Je te prends dans mes bras
- Tu sais que tu m’as manqué ?
- Toi aussi, je pense à toi tout le temps… je me branle en pensant à toi- Moi aussi
On s’embrasse passionnément. On se déshabille l’un l’autre, avant de tomber enlacés sur le lit. Les caresses, les baisers… les mains partout sur le corps. Je décide de te surprendre…
- Mets-toi de côté, on va faire un 69- Oh oui !
On se met chacun sur le flanc, pour se sucer mutuellement. Ça a l’air de te plaire ! Je suis content d’avoir pris l’initiative et de montrer des choses nouvelles. Je souhaite te donner tellement de plaisir Adrien pour te garder près de moi.
J’aime sentir ton corps entier tout près de moi…Je te fais maintenant basculer sur le dos pour te recouvrir. Toujours en 69, moi au-dessus, toi en dessous. Un peu acrobatique car tu es plus petit que moi. Ma queue descend dans ta bouche et ma bouche descend sur ta bite. Tes petits coups de langue sont tellement bons. On reste à se sucer un moment… jusqu’à ce que tu dises : « jouis dans ma bouche, jouis dans ma bouche ». A la fois une demande, et une alerte que tu t’apprêtes à éjaculer. Je sers ma bouche sur ta bite pour sentir ton foutre se déverser en moi, tandis que j’éjacule directement en toi également. Ton sperme est abondant, délicieux. Et l’idée que tu manges mes semences me rend tellement heureux.
On glisse sous la couette, car il fait frisquet aujourd’hui… tu es sur le côté, et je me glisse derrière toi pour t’envelopper et embrasser ton cou. Je te serre fort. J’aime sentir la chaleur de ton petit corps nu et imberbe. On reste sans parler. Je te caresse doucement. Je m’attends à ce que tu t’éclipses bientôt, comme d’habitude… mais non. A ma grande satisfaction, tu restes…Au bout d’un quart d’heure, les caresses aidant, tu bandes de nouveau. Tu te retournes, on s’embrasse. Tu me regardes dans les yeux
- J’ai envie… j’ai envie que tu me baises… je veux essayer l’anal
Mon cœur (et ma bite) va exploser… toi, Adrien, 18 ans à peine… me demande de te sodomiser… mon fantasme le plus cher… qu’un jeune comme toi me fasse cette demande... c’est juste un rêve fou qui se réalise…
- Tu te sens prêt ?
Je caresse ta joue
- Oui- Suis-moi
Tu me suis dans la salle de bains sans trop comprendre. Je te sors de quoi faire un lavement… tu comprends… Je suis maintenant le grand frère pour toi. Celui qui t’explique les détails intimes du sexe entre hommes. Je te laisse ensuite seul dans la salle de bains…Une fois termine, tu sors la tête et me dit : « c’est bon, je suis prêt »
- Tu veux prendre une douche ?
On s’approche de la baignoire. Nus, côte à côte, on ne bande pas. Je fais couler l’eau pour être à la bonne température, et t’invite à me rejoindre. J’aime ce moment d’intimité entre nous. De nudité non sexuelle. Je prends le pommeau et nous arrose tous les deux. Je te savonne. J’adore ça. Je te lave mon chéri, mon bébé. Tu te laisses faire.
- Ça fait mal ?
- Oui au début, mais t’inquiète pas, j’irai doucement, et si c’est trop dur on arrête ?
- Ok, merci… et toi t’es plus actif ou passif en fait ? J’aurais dû te demander- J’aime bien les deux- Moi… je ne sais pas ce que je préfère en fait… - Normal… tu n’as pas encore essayé
On rit tous les deuxMa main continue à la savonner. Je passe partout, y compris dans la raie de ses fesses. La première fois que je touche là. Il me caresse et me savonne à son tour. On s’embrasse, on rebande.
On s’essuie dans la salle de bains.
Frais, propre et nu, tu te mets sur le lit
- J’me mets comment ?
Je place un oreiller sous tes fesses. Je t’embrasse doucement sur les lèvres, et te suce pour te détendre. Puis ma langue descend sur tes couilles. Tu tressailles. Ma langue continue à descendre.
Je regarde ta rosette pour la première fois. Plutôt imberbe. De légers poils autour c’est tout. Ma langue continue à descendre pour la toucher. Tu gémis
- Qu’est-ce que tu… ah… oui… humm… oh… oh putain
Tu ne t’attendais pas à ça. Je commence à te rimmer. Sensation nouvelle pour toi, qui t’excites aussitôt. Et te donne du plaisir. Je lèche. Tu écartes bien les jambes. Tu fermes les yeux et gémis en permanence. Encore plus que quand je te suce. J’adore t’entendre ainsi. Je redouble d’effort. Ma langue te caresse et rentre dans ton anus. Tes mains serrent les draps et tu continues à couiner.
- C’est trop bon Matthieu, continue, continue
Tu me supplies. Tu adores le rimming… ça promet…Il est temps de te préparer. Tandis que je sors du gel et un préservatif de la table de nuit, tu attends sagement, jambes écartées.
- Tu préfères avec ou sans capote ? J’aimerais faire sans avec toi- Moi aussi
Ça m’excite. Je bande comme un fou. Je commence par te mettre un doigt de gel. Pas de problème. Tout va bien. Je travaille un peu pour le deuxième, mais tout va bien. J’ai décidé de te montrer le plaisir anal, et je touche délibérément ton point G.
- Ah… c’est bon… hmmm. C’était ma prostate ?
- Oui…
Je continue à tourner mon doigt un moment pour que tu t’habitues.
Après ça, il est temps d’essayer ! Tu écartes bien les jambes et je commence à presser mon gland contre ton anus. Tu fermes les yeux et serres les dents. Tu es mignon. Tu anticipes la douleur en fait. Je presse. Ça commence à glisser doucement. Tu grognes. Je pousse plus fort et glisse d’un coup en toi. Tu cries…
- Aie… ça brule… non arrête… arrête…
Je me retire aussitôt.
- Excuse-moi…
Je repère des larmes au bord de tes yeux. Tu souffles.
- Tu veux qu’on essaie une autre fois ?
- Non attends un peu… je veux réessayer…
Nouvelle tentative. En douceur. Je rentre doucement, j’essaie d’être le plus doux du monde. Ça rentre. Tu gémis, respire profondément
- Ça va ? Tu es sûr ?
- Oui… lâches tu, les mâchoires serrées- Comment tu te sens ?
- … bien rempli…
Je souris. Je reste immobile pour te laisser t’habituer. Tu es complètement débandé. Ta queue est flasque contre ton ventre. Je me cale sur mes genoux et bouge en toi tout doucement.
Tu as les yeux ouverts et me regarde. Ta main s’aventure sur mon torse. Je sais que tu le trouves sexy. Ton corps bouge doucement. Je suis lent, doux… et je réalise soudain ce que je viens de faire. C’est la première fois que je dépucèle quelqu’un… un vieux fantasme… pour tous ceux comme moi qui aime les hommes jeunes… je n’en reviens pas. Je suis en train de faire l’amour, de pénétrer cet étudiant dans je suis tombé sous le charme dès le premier jour. Aurais-je pu rêver pareil dénouement ? Qu’il serait un jour nu dans mon lit et que je l’enculerai ? A ces pensées, une décharge de bonheur, de fierté m’envahit. Je suis tellement heureux. Ma queue se cambre, durcit davantage. Je te regarde dans les yeux. Je te veux, je te désire plus que tout Adrien. Tu n’as pas idée de ce que ça représente d’être en toi, de te pénétrer, de fusionner avec toi.
On se regarde dans les yeux… et au moment où les 3 mots s’apprêtent à sortir de ma bouche, c’est toi qui me devances :
- Je t’aime Matthieu- Je t’aime Adrien
Je descends pour t’embrasser, avec la langue. Ce premier je t’aime raisonne en moi. Je suis tellement heureux. Tu souris, moi aussi. Je bouge un peu plus vite. Je prends tes chevilles entre mes mains. Les écarte bien. Je me contente de coups de queue lents et longs. Je veux te donner du plaisir.
Puis je descends sur toi pour t’embrasser. Ma bite dans ton cul, ma langue dans ta bouche. Nos corps unis dans le plaisir et l’amour. Tes mains touchent mon dos puis me fesses. Tu te mets à caresser ma nuque et à m’embrasser dans le cou. Les je t’aime se font murmures, et sont interrompus par de nouveaux baisers. Je me tends sur mes bras et tes mains me caressent le torse, stimulent mes tétons.
- Mmh c’est bon, continue
C’est moi qui exprime mon plaisir maintenant. Je me redresse pour accélérer. Je place tes jambes contre mes épaules pour aller bien profond en toi. Je t’encule en peu plus vite. Tu t’es remets à bander, et du sperme perle à l’extrémité de ton gland. Tu gémis…Je te mets légèrement sur le cote, avec maintenant une seule jambe sur mon épaule. Ton corps bouge un peu sous les coups de sodo. Tu bandes et mouilles de plus en plus. J’accélère jusqu’à ce que, sans que ni toi ni moi ne le sentions venir tu éjacules sans te toucher. Tu es pris par une vague de plaisir. Et lâche des « oh, mon dieu… ah oui… ». Je t’ai fait jouir du cul, ce qui t’as complètement pris par surprise.
C’est suffisant pour déclencher tout ce qu’il faut dans mon cerveau pour me faire jouir en toi…Je t’embrasse. Je suis fier de toi. Je t’aime. Tu es abasourdi par cette première expérience.
- Alors c’était bien ?
- C’était… incroyable… je n’ai jamais joui comme ça…
Tu ris toi-même de la situation. Je te caresse la joue et te souris… Je t’embrasse. Ma queue se débande et quitte ton petit cul… On se câline… ça y est mon chéri… tu as perdu vraiment, complètement ta virginité maintenant… avec moi… nous sommes unis par ça.
Nos deux séances de baise ont pris tout l’après-midi sans compter le cinéma, et tu dois m’abandonner rapidement. Je te laisser partir en imaginant mon sperme en toi… tu vas rentrer chez toi avec ce secret en toi. Ton amant t’a dépucelé. Tu es un autre homme maintenant…Pas de nouvelles de toi avant plus tard dans la soirée… ta mère t’a engueulé d’être rentré si tard… mais tu es vraiment content… extatique… on chatte une bonne partie de la nuit…
- J’ai envie de recommencer avec toi le plus vite possible. Je te veux EN MOI encore… c’était trop bon
Ce SMS me fait bander comme un fou. Je me masturbe en le relisant au milieu de la nuit…
Comme dans toutes mes histoires, les rapports sont non protégés. Dans la vraie vie, pensez à mettre des préservatifs.
Bonne lecture
Sylvain
==
Les jours qui suivent, nous poursuivons notre relation à distance. On joue bien la comédie, en cours ou dans les couloirs. Mais en dehors de ça, on s’échange pleins de SMS. On se téléphone même discrètement. Tu mets de la musique pour masquer la conversation. Entendre ta voix me remplit de joie. J’aime t’entendre. Prendre de tes nouvelles. Et tu prends aussi de mes nouvelles. C’est ce que j’aime chez toi. Moi qui pensais que jamais je ne passerai le cap du plan d’un soir avec un jeune de ton âge. Tu me prouves que c’est faux. Tu es tellement mature. Intéressant, et intéressé. J’ai toujours cette peur au fond de moi que ce ne soit qu’une passade… C’est normal après tout. On ne se connait que depuis quelques mois, et on a couché ensemble que deux fois. Mais je te connais déjà bien. Et je désire tellement, et je sens que ce bonheur est fragile… Ta voix est le meilleur des remèdes.
Tu me dis que je te manque. Tu me manques aussi. J’aimerais qu’on se voie plus souvent. Je suis partagé entre l’envie de te voir en permanence, et l’instinct de ne pas brusquer les choses. C’est toi qui donnes le rythme en fait. Au gré de tes disponibilités. De ta volonté de prendre des risques. Tu es tellement occupé, entre ton rôle d’ainé de famille, de grand frère, d’étudiant…. Et maintenant d’amant.
Pour l’instant, tu te débrouilles pour te libérer le week-end. Ta mère comprend aussi que tu as besoin d’air à ton âge. Et elle ne te pose pas trop de questions. Tu évoques des sorties entre amis, cinéma ou autre et ça passe.
Ce n’est qu’un demi-mensonge car on se retrouve effectivement au cinéma ce samedi en début d’après-midi. Ça tombe bien, mon réalisateur préféré a un nouveau film, que je suis curieux de te le faire découvrir. Content que tu sois intrigué et que tu aies des gouts un peu intellos comme moi.
La scène est assez remplie, et dans l’obscurité nos mains arrivent à se serrer. Et je passe aussi mon bras autour de ton épaule. Tu es bien concentré sur le film… et moi aussi.
Ça t’a plu ! Tu as l’air sincère. Tant mieux. Tu me poses pleins de questions sur son œuvre. Tu es intrigué. Tu es vraiment unique. L’oiseau rare. Peu importe ton âge, je te perçois comme un ami, un complice… et ça me remplit de joie. Plus je passe de temps avec toi, plus je suis heureux. Même si cela doit rester clandestin.
On passe chez moi après le cinéma. Apres le plaisir de l’esprit, celui du corps. On se rend directement dans la chambre, et tu te montres le plus entreprenant. Tu défais ma braguette et sort ma queue pour me sucer, alors que nous sommes encore habillés, au milieu de la pièce. Je ne peux que rester immobile et soupirer, te laisser faire. Je suis partagé. Entre le fait de ne pas prendre assez les choses en main, peur que tu attendes plus de moi. Mais d’un autre cote, j’aime te voir gagner en assurance.
Je caresse tes cheveux. Tu suces vite, tu lèches, tu branles. Tu es maintenant bien habitué mon Adrien. Je retire le haut, et tu te redresses. Ta langue me lèche tout du long, jusqu’à mes tétons. Je te prends dans mes bras
- Tu sais que tu m’as manqué ?
- Toi aussi, je pense à toi tout le temps… je me branle en pensant à toi- Moi aussi
On s’embrasse passionnément. On se déshabille l’un l’autre, avant de tomber enlacés sur le lit. Les caresses, les baisers… les mains partout sur le corps. Je décide de te surprendre…
- Mets-toi de côté, on va faire un 69- Oh oui !
On se met chacun sur le flanc, pour se sucer mutuellement. Ça a l’air de te plaire ! Je suis content d’avoir pris l’initiative et de montrer des choses nouvelles. Je souhaite te donner tellement de plaisir Adrien pour te garder près de moi.
J’aime sentir ton corps entier tout près de moi…Je te fais maintenant basculer sur le dos pour te recouvrir. Toujours en 69, moi au-dessus, toi en dessous. Un peu acrobatique car tu es plus petit que moi. Ma queue descend dans ta bouche et ma bouche descend sur ta bite. Tes petits coups de langue sont tellement bons. On reste à se sucer un moment… jusqu’à ce que tu dises : « jouis dans ma bouche, jouis dans ma bouche ». A la fois une demande, et une alerte que tu t’apprêtes à éjaculer. Je sers ma bouche sur ta bite pour sentir ton foutre se déverser en moi, tandis que j’éjacule directement en toi également. Ton sperme est abondant, délicieux. Et l’idée que tu manges mes semences me rend tellement heureux.
On glisse sous la couette, car il fait frisquet aujourd’hui… tu es sur le côté, et je me glisse derrière toi pour t’envelopper et embrasser ton cou. Je te serre fort. J’aime sentir la chaleur de ton petit corps nu et imberbe. On reste sans parler. Je te caresse doucement. Je m’attends à ce que tu t’éclipses bientôt, comme d’habitude… mais non. A ma grande satisfaction, tu restes…Au bout d’un quart d’heure, les caresses aidant, tu bandes de nouveau. Tu te retournes, on s’embrasse. Tu me regardes dans les yeux
- J’ai envie… j’ai envie que tu me baises… je veux essayer l’anal
Mon cœur (et ma bite) va exploser… toi, Adrien, 18 ans à peine… me demande de te sodomiser… mon fantasme le plus cher… qu’un jeune comme toi me fasse cette demande... c’est juste un rêve fou qui se réalise…
- Tu te sens prêt ?
Je caresse ta joue
- Oui- Suis-moi
Tu me suis dans la salle de bains sans trop comprendre. Je te sors de quoi faire un lavement… tu comprends… Je suis maintenant le grand frère pour toi. Celui qui t’explique les détails intimes du sexe entre hommes. Je te laisse ensuite seul dans la salle de bains…Une fois termine, tu sors la tête et me dit : « c’est bon, je suis prêt »
- Tu veux prendre une douche ?
On s’approche de la baignoire. Nus, côte à côte, on ne bande pas. Je fais couler l’eau pour être à la bonne température, et t’invite à me rejoindre. J’aime ce moment d’intimité entre nous. De nudité non sexuelle. Je prends le pommeau et nous arrose tous les deux. Je te savonne. J’adore ça. Je te lave mon chéri, mon bébé. Tu te laisses faire.
- Ça fait mal ?
- Oui au début, mais t’inquiète pas, j’irai doucement, et si c’est trop dur on arrête ?
- Ok, merci… et toi t’es plus actif ou passif en fait ? J’aurais dû te demander- J’aime bien les deux- Moi… je ne sais pas ce que je préfère en fait… - Normal… tu n’as pas encore essayé
On rit tous les deuxMa main continue à la savonner. Je passe partout, y compris dans la raie de ses fesses. La première fois que je touche là. Il me caresse et me savonne à son tour. On s’embrasse, on rebande.
On s’essuie dans la salle de bains.
Frais, propre et nu, tu te mets sur le lit
- J’me mets comment ?
Je place un oreiller sous tes fesses. Je t’embrasse doucement sur les lèvres, et te suce pour te détendre. Puis ma langue descend sur tes couilles. Tu tressailles. Ma langue continue à descendre.
Je regarde ta rosette pour la première fois. Plutôt imberbe. De légers poils autour c’est tout. Ma langue continue à descendre pour la toucher. Tu gémis
- Qu’est-ce que tu… ah… oui… humm… oh… oh putain
Tu ne t’attendais pas à ça. Je commence à te rimmer. Sensation nouvelle pour toi, qui t’excites aussitôt. Et te donne du plaisir. Je lèche. Tu écartes bien les jambes. Tu fermes les yeux et gémis en permanence. Encore plus que quand je te suce. J’adore t’entendre ainsi. Je redouble d’effort. Ma langue te caresse et rentre dans ton anus. Tes mains serrent les draps et tu continues à couiner.
- C’est trop bon Matthieu, continue, continue
Tu me supplies. Tu adores le rimming… ça promet…Il est temps de te préparer. Tandis que je sors du gel et un préservatif de la table de nuit, tu attends sagement, jambes écartées.
- Tu préfères avec ou sans capote ? J’aimerais faire sans avec toi- Moi aussi
Ça m’excite. Je bande comme un fou. Je commence par te mettre un doigt de gel. Pas de problème. Tout va bien. Je travaille un peu pour le deuxième, mais tout va bien. J’ai décidé de te montrer le plaisir anal, et je touche délibérément ton point G.
- Ah… c’est bon… hmmm. C’était ma prostate ?
- Oui…
Je continue à tourner mon doigt un moment pour que tu t’habitues.
Après ça, il est temps d’essayer ! Tu écartes bien les jambes et je commence à presser mon gland contre ton anus. Tu fermes les yeux et serres les dents. Tu es mignon. Tu anticipes la douleur en fait. Je presse. Ça commence à glisser doucement. Tu grognes. Je pousse plus fort et glisse d’un coup en toi. Tu cries…
- Aie… ça brule… non arrête… arrête…
Je me retire aussitôt.
- Excuse-moi…
Je repère des larmes au bord de tes yeux. Tu souffles.
- Tu veux qu’on essaie une autre fois ?
- Non attends un peu… je veux réessayer…
Nouvelle tentative. En douceur. Je rentre doucement, j’essaie d’être le plus doux du monde. Ça rentre. Tu gémis, respire profondément
- Ça va ? Tu es sûr ?
- Oui… lâches tu, les mâchoires serrées- Comment tu te sens ?
- … bien rempli…
Je souris. Je reste immobile pour te laisser t’habituer. Tu es complètement débandé. Ta queue est flasque contre ton ventre. Je me cale sur mes genoux et bouge en toi tout doucement.
Tu as les yeux ouverts et me regarde. Ta main s’aventure sur mon torse. Je sais que tu le trouves sexy. Ton corps bouge doucement. Je suis lent, doux… et je réalise soudain ce que je viens de faire. C’est la première fois que je dépucèle quelqu’un… un vieux fantasme… pour tous ceux comme moi qui aime les hommes jeunes… je n’en reviens pas. Je suis en train de faire l’amour, de pénétrer cet étudiant dans je suis tombé sous le charme dès le premier jour. Aurais-je pu rêver pareil dénouement ? Qu’il serait un jour nu dans mon lit et que je l’enculerai ? A ces pensées, une décharge de bonheur, de fierté m’envahit. Je suis tellement heureux. Ma queue se cambre, durcit davantage. Je te regarde dans les yeux. Je te veux, je te désire plus que tout Adrien. Tu n’as pas idée de ce que ça représente d’être en toi, de te pénétrer, de fusionner avec toi.
On se regarde dans les yeux… et au moment où les 3 mots s’apprêtent à sortir de ma bouche, c’est toi qui me devances :
- Je t’aime Matthieu- Je t’aime Adrien
Je descends pour t’embrasser, avec la langue. Ce premier je t’aime raisonne en moi. Je suis tellement heureux. Tu souris, moi aussi. Je bouge un peu plus vite. Je prends tes chevilles entre mes mains. Les écarte bien. Je me contente de coups de queue lents et longs. Je veux te donner du plaisir.
Puis je descends sur toi pour t’embrasser. Ma bite dans ton cul, ma langue dans ta bouche. Nos corps unis dans le plaisir et l’amour. Tes mains touchent mon dos puis me fesses. Tu te mets à caresser ma nuque et à m’embrasser dans le cou. Les je t’aime se font murmures, et sont interrompus par de nouveaux baisers. Je me tends sur mes bras et tes mains me caressent le torse, stimulent mes tétons.
- Mmh c’est bon, continue
C’est moi qui exprime mon plaisir maintenant. Je me redresse pour accélérer. Je place tes jambes contre mes épaules pour aller bien profond en toi. Je t’encule en peu plus vite. Tu t’es remets à bander, et du sperme perle à l’extrémité de ton gland. Tu gémis…Je te mets légèrement sur le cote, avec maintenant une seule jambe sur mon épaule. Ton corps bouge un peu sous les coups de sodo. Tu bandes et mouilles de plus en plus. J’accélère jusqu’à ce que, sans que ni toi ni moi ne le sentions venir tu éjacules sans te toucher. Tu es pris par une vague de plaisir. Et lâche des « oh, mon dieu… ah oui… ». Je t’ai fait jouir du cul, ce qui t’as complètement pris par surprise.
C’est suffisant pour déclencher tout ce qu’il faut dans mon cerveau pour me faire jouir en toi…Je t’embrasse. Je suis fier de toi. Je t’aime. Tu es abasourdi par cette première expérience.
- Alors c’était bien ?
- C’était… incroyable… je n’ai jamais joui comme ça…
Tu ris toi-même de la situation. Je te caresse la joue et te souris… Je t’embrasse. Ma queue se débande et quitte ton petit cul… On se câline… ça y est mon chéri… tu as perdu vraiment, complètement ta virginité maintenant… avec moi… nous sommes unis par ça.
Nos deux séances de baise ont pris tout l’après-midi sans compter le cinéma, et tu dois m’abandonner rapidement. Je te laisser partir en imaginant mon sperme en toi… tu vas rentrer chez toi avec ce secret en toi. Ton amant t’a dépucelé. Tu es un autre homme maintenant…Pas de nouvelles de toi avant plus tard dans la soirée… ta mère t’a engueulé d’être rentré si tard… mais tu es vraiment content… extatique… on chatte une bonne partie de la nuit…
- J’ai envie de recommencer avec toi le plus vite possible. Je te veux EN MOI encore… c’était trop bon
Ce SMS me fait bander comme un fou. Je me masturbe en le relisant au milieu de la nuit…
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