Adrien, l’amour fou – histoire complète (05)
Récit érotique écrit par Sylvainerotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Adrien, l’amour fou – histoire complète (05)
Ce long récit en 14 épisodes constitue une histoire complète d’« Adrien l’amour fou », que j’ai souhaité développer. J’ai juste apporté quelques changements minimum (couleur des cheveux d’Adrien, âge des personnages), mais l’idée est la même : les joies et les difficultés d’une relation amoureuse et sexuelle d’un couple avec une grande différence d’âge. Comme d’habitude, beaucoup de sexe aussi… et les photos des personnages disponibles sur demande.
Comme dans toutes mes histoires, les rapports sont non protégés. Dans la vraie vie, pensez à mettre des préservatifs.
Bonne lecture
Sylvain
==
Les vacances de Pâques arrivent. Je me rends compte que je n’ai pas fait de plan. Je m’étais fait une joie de pouvoir passer plein de temps avec toi… mais tu m’avais jusqu’à présent caché la mauvaise nouvelle. Tu seras parti pendant 15 jours. Loin. Pour aller en famille chez tes grands-parents paternels. Je comprends. Ça te brise le cœur aussi. Ta voix est nouée quand tu me l’annonces. Depuis la mort de ton père, c’est très important que tu passes voir tes grands parents. Pas trop de choix. De toutes les façons, il en va ainsi des relations clandestines comme la nôtre. On est condamné à se voir dans ces moments rares de liberté, quand nos agendas le permettent. C’est dur mais c’est comme ça.
On reste bien en contact pendant ton absence. J’apprends à connaitre ta famille. On se raconte nos journées, toujours avec discrétion. Mais tu me manques. Je pense à toi en permanence. A ton visage, à ton sourire, à ta voix, à ton corps nu que j’aimerais serrer contre moi. Je me masturbe en regardant tes nudes et notre sex tape.
Les SMS deviennent brulants de ma part. « tu me manques mon amour » « je suis fou de toi… j’ai tellement hâte de te revoir » « j’aimerais être en train de faire l’amour, là, maintenant »Et les tiens aussi : « ta queue me manque » « je la veux en moi maintenant là » « je me suis branlé 3 fois aujourd’hui en pensant à toi ».
Il faut attendre le dernier jour des vacances, le dimanche pour que l’on se revoie, après 3 semaines de séparation.
La sonnette à la porte interrompt ma rêverie. Je t’ouvre. Tu tombes dans mes bras. 3 semaines, ce n’est pas long mais tu m’as tellement manqué. Adrien, je t’aime tellement. Nos bouches se collent aussitôt, nos langues se trouvent. Tu me rends fou. Je te veux. Je veux ta peau, nue. Ça me ronge. Nos mains trouvent nos bites. Tu commences à défaire ma ceinture. Tu veux ma queue maintenant, tout de suite. Je te veux nu, tout nu, immédiatement. En alternant les baisers et les caresses brusques, on se déshabille vite dans le couloir et tu marches vite vers la chambre. J’adore regarder tes petites fesses bouger. Tu te jettes sur le lit, assis, jambes écartées. Je me mets aussitôt à genoux pour te sucer. Je ne veux pas attendre. Je te suce vite. Je veux avaler ton sperme tout de suite. Ça m’a tellement manqué. Tu jouis dans ma bouche et j’avale tout. Oh mon chéri, tu m’as tellement manqué. Je caresse ta joue. Ton visage d’ange. Je souligne tes sourcils avec mon pouce.
A ton tour de me sucer, moi debout, toi à genoux, au milieu de la chambre. Pour toi aussi, l’absence a été trop longue. Tu me suces et me branles. En deux minutes, je jouis sur ton visage et tu manges et avales toute ma semence. On tombe sur le lit, dans les bras l’un de l’autre. On se serre fort. On a besoin de ce contact physique.
On est de côté, face à face. On se touche, on se regarde. On s’embrasse sur les lèvres toutes les dix secondes. Tu me dis à quel point je t’ai manqué. Nous avons maintenant l’après-midi pour nous, pour nous réapproprier nos corps mutuellement.
Après quelques câlins, tes hormones reprennent le dessus. Tu me veux en toi. On prend une douche câline ensemble pour se nettoyer, occasion de se sucer. Une fois séché, tu te mets à quatre pattes sur le lit, et ton regard coquin par-dessus l’épaule m’invite à te faire ce que tu aimes tant : manger ton petit cul. Je lèche et j’embrasse ta petite rosette imberbe. J’écarte bien les fesses et je rentre l’extrémité de ma langue en toi. On se met ensuite en 69 pour que tu me suces tandis que je continue à te rimmer. Mais c’est toi qui interromps le plaisir pour prendre le gel dans la table de nuit. Tu te doigtes et te prépares et je fais de même avec ma queue. En levrette, Adrien. Je glisse doucement en toi. Tu souffles. Je suis maintenant complètement en toi. Ça m’a tellement manqué. C’est bon, chaud et serré. Mon ange, tu sais à quel point c’est important pour moi d’être en toi, de m’unir ainsi à toi. Et pour toi aussi.
Je descends et mon torse couvre ton dos. Mon bras enroule ton torse, j’embrasse ton oreille et te susurre à quel point je t’aime. Tu m’aimes aussi. Je me redresse et commence mes va et vient, lents. Mes mains caressent tes épaules et ton dos, parfaitement lisses. Je m’agrippe à tes hanches et j’accélère. Tu aimes. Tu bandes. Ma main attrape ta queue bien raide. Ma bite stimule ta prostate, je connais ton point G. Des gouttes de sperme s’échappent de ta bite. Tu fatigues et descends, tête dans l’oreiller. Je continue à te baiser. Je rentre et sors ma queue. Tu es maintenant bien ouvert.
Je me mets sur le dos, et c’est toi qui prends ma queue pour te la remettre. J’aime te regarder bouger et prendre le contrôle des opérations. Tu te déhanches, tout à ton plaisir. Les yeux mi-clos, la bouche ouverte. Tu aimes ça. Mon Adrien, mon adonis. Mes mains caressent ton corps imberbe. Tes cuisses, tes flancs, tes tétons. Mes mains saisissent tes petites fesses. Je regarde ta petite bite bouger au grès de tes mouvements. Embrasse-moi. Tu te penches. Je t’aime tellement.
Je me redresse. On fait une pause. Toujours en toi je te regarde fixement dans les yeux. J’aime leur intensité. Tu me dis que tu m’aimes. Je te serre dans mes bras, t’embrasse tout en reprenant mes coups de queue. Tu enroules tes jambes autour de moi. Je te fais basculer sur le dos pour te faire l’amour en missionnaire. On ne se quitte plus des yeux. Je me penche pour t’embrasser. Je me redresse parfois pour regarder ma queue glisser en toi. Je saisis tes pieds avec mes mains. Je me penche à nouveau, je m’appuie sur mes bras, de chaque côté. Je t’embrasse, te regarde. On va jouir ensemble Adrien maintenant. Regarde-moi. Tes mains caressent mon dos et mes fesses. Je sens l’orgasme monter. Je jouis en toi. Tu jouis en même temps sans toucher ta bite. Une mare de sperme recouvre ton ventre. Je souffle. Encore en toi, je descends, j’embrasse ton cou et tes cheveux. Tu souris. Je t’aime. On s’endort nus dans les bras l’un de l’autre.
La fin d’après-midi approche. Je suis parti boire un verre d’eau. Quand je reviens dans la chambre, tu es toujours endormi au-dessus des draps, sur le ventre, les mains sous l’oreiller, la tête de côté. J’observe ton corps nu de la tête aux pieds. Je t’aime, je t’adore, je te désire. On a déjà fait l’amour quatre fois cet après-midi. Il va falloir que je te réveille, pour que tu retournes chez toi. Mais je savoure encore ces quelques minutes à te regarder. Combien de temps cela va-t-il durer ? Je t’aime, tu m’aimes – tu me l’as dit tellement souvent. Mais combien de temps peut-on s’aimer comme ça en cachette ? Combien de temps un jeune comme toi peut-il aimer un homme comme moi, de plus de 20 ans son ainé, sans aller voir ailleurs ? Je suis perdu, j’ai peur. Quelle issue pour notre amour ? Je n’ai pas d’autre choix pour le moment. Celui de continuer à t’aimer, tous les jours, à chaque fois, de plus en plus fort, comme si c’était le dernier… Pas de vacances de prévu d’ici l’été et ça nous laisse tout de même de belles semaines en perspective. Surtout que le temps s’améliore vraiment en ce mois d’avril.
Notre relation continue à évoluer. On se parle maintenant tous les jours et on organise des activités ensemble. Toujours discrètes. Cinéma, expositions, déjeuners à deux dans des restos un peu éloignés de chez moi et de chez toi. Tous les deux, nous sommes toujours dans la crainte d’être surpris. Toi, plus par peur de révéler ton homosexualité. Moi, plus par peur de m’afficher avec un élève.
Je suis content de voir notre relation se poursuivre. Tu n’as pas l’air de vouloir chercher à t’amuser avec d’autres mecs, surtout de ton âge. J’en suis surpris. Je me fais à l’idée que tes « je t’aime » doivent quand même avoir une signification. Mon cœur se serre. Je crois qu’on est progressivement en train de bâtir quelque chose tous les deux.
La relation physique, elle, est de plus en plus passionnée, ardente. Et je dois continuer à satisfaire tes désirs. Une fois où malheureusement nous n’avons pas réussi à nous voir un week end pour je ne sais plus quelle raison, notre désir de chair devient trop fort le lundi qui suit.
On s’échange des SMS pendant la journée, alors que nous sommes à l’école tous les deux. A la pause. On a très envie l’un de l’autre. Je dois me cacher pour éviter qu’on me voie bander. Je ne sais pas où tu es dans l’établissement.
On va faire un plan cul chez moi à la pause déjeuner… juste avant que tu n’aies cours avec moi. On a peu de temps.
« On se retrouve chez moi a 12.30 »
On arrive séparément et tu attends devant ma porte quand j’arrive. On s’embrasse et se caresse sur le palier tandis que j’ouvre la serrure précipitamment.
Tu te précipites dans la chambre et te fous à poil à toute vitesse. Je suis plus lent que toi, et quand je défais à peine mon pantalon, tu es déjà nu, sur le lit, jambes levées et écartées. Tu m’offres ton petit trou.
C’est terriblement excitant et je tombe à genoux pour le dévorer aussitôt. Sauvagement. Je le bouffe. Plonge au plus profond. Tu es cru et te lâche complètement : « oh oui bouffe moi, continue, rentre bien dedans « Ta main me caresse mais aussi me pousse la tête pour que je te lèche à fond. La bite verticale, collée au ventre je me redresse pour prendre le gel dans la table de nuit. Je te mets aussitôt un doigt, puis deux. Et je te doigte ainsi pendant longtemps. Agressivement. Tout en te suçant. Je te sens à la limite mais tu sais te contrôler maintenant. Je sens toutefois ton précum couler dans ma bouche.
Je retourne ensuite entre tes jambes, debout au bord du lit pour rentrer en toi. Tu es déjà bien ouvert. Pas besoin de s’attarder. Je m’enfonce brutalement. Tu cries aussitôt « Ah oui. Vas-y baise moi Matthieu, baise moi fort » Je commence aussitôt à te pilonner, les mains bien serrées autour de tes chevilles. Mes coups de queue sont longs et vifs. Je regarde ma bite rentrer en toi, dans ton petit cul chaud et serre. Fierté de ma part. Orgueil de me taper un petit minet. Puis je lève les yeux pour mieux t’observer. Ta bite bandée. Tu bandes toujours quand je t’encule. Tu es un bon passif. J’observe ton visage, ta bouche ouverte qui laisse échapper des cris ou des suppliques très chaudes. Tu me supplies de te baiser plus fort. J’accélère.
Je monte ensuite sur le lit et te recouvre complètement. Je te mordille le cou, les oreilles et l’épaule tout en m’agitant en toi comme un fou.
« Tu me rends fou Adrien, tu comprends, tu me rends fou… je ne peux pas vivre sans toi »Je t’encule à toute vitesse. On souffle comme des bêtes. C’est une baise brute rapide car le temps nous est compté
- Prends-moi en levrette
Tu te mets à quatre pattes. Et je te prends aussitôt. Je suis vif, brut. Tu cries de douleur et de plaisir. Je te tiens fermement par les hanches. Ton petit cul ne peut pas m’échapper. Je viens buter contre tes fesses, et ma queue au fond de ton rectum. Ma main saisit ta bite et la serre. Je te branle. Le précum mouille mes doigts.
D’une main je te plaque la nuque et plonge ta tête dans l’oreiller. Je monte sur mes pieds pour mieux défoncer tes petites fesses bien relevées. Je t’encule comme jamais. Tu couines comme jamais
- Jouis Adrien, jouis pour moi, jouis du cul- Oh oui Matthieu, oui, continue…ouiiiiiii
Ce dernier cri est celui de l’orgasme. A t’entendre, j’explose dans tes entrailles. On s’effondre sur le lit. Mes doigts ramassent ton sperme sur la couette et se glisse dans ta bouche. Tu as saisi ma main et lèche mes doigts comme un enfant dévore une glace. On reprend notre souffle…Pas le temps de prendre une douche. On se rhabille vite et rejoint l’école par des chemins séparés.
Je m’inquiète de mon odeur. Animale. Celle du sexe. J’espère que ça ne se repèrera pas trop. Pour toi non plus.
Quand tu pénètres dans ma classe avec les autres élèves, je tressaille. J’imagine mon sperme qui est en toi mon amour. Je suis à l’intérieur de toi. Ça me rend heureux, fier. J’ai du mal à donner cours… bien entendu.
Avec l’arrivée des beaux jours, je réalise à quel point je suis heureux… ça fait près de 6 mois que nous sommes ensemble. Tu es mon ami, mon amant, mon amour. Notre relation grandit. On arrive à passer du temps ensemble.
Tu me proposes de venir jouer au tennis dans ton club. Je sais que tu es très bon joueur… moi je suis plutôt médiocre. Mais je suis très content de partager ce moment avec toi. Encore quelque chose de nouveau que l’on fait ensemble. Personne ne me connait dans ce club de tennis, et on ne s’inquiète pas d’être vus ensemble là-bas.
Je m’amuse vraiment bien avec toi. Je prends clairement une leçon. La différence de niveau est telle… et l’âge n’aide pas. Tu ne lâches pas tout à fait tes coups. Tant mieux pour moi. On rigole bien. Tu me chambres.
On a bien calculé notre timing, afin de réserver un peu de temps ensemble chez moi.
Toujours en tenue de tennis, short et t-shirt, on se rend chez moi.
Dès la porte fermée, la passion reprend. Car oui, maintenant, non seulement je t’aime, mais je suis complètement obsédé par toi. L’envie de ta présence à mes cotes me ronge, tout comme l’envie de ta peau.
Pas de douche. La passion est trop forte, trop brute. On se désire ainsi, sans attendre. Nos cerveaux sont débranchés. Les gestes sont brusques. On arrache presque nos vêtements. On va baiser la dans le salon, pas dans la chambre.
On est nus dans les bras l’un de l’autre et se caresser et s’embrasser nerveusement. Ta langue vient lécher et mordiller mes tetons. Puis elle se glisse sous mes aisselles, tandis que mes mains agrippent et pressent tes fesses. Je couvre ton corps de baisers
- Tu me rends fou Adrien… je t’aime… oh je t’aime… je t’aime- Moi aussi je t’aime… je t’aime…
Tandis que mes mains glissent le long de ton corps imberbe, je tombe à genoux pour dévorer ta bite comme un mort de faim. Je la cajole, la couvre de baisers puis la suce comme un fou. Je la prends à toute vitesse, au plus profond de moi, en gorge profonde, le nez colle à tes poils pubiens. Mes mains, elles t’agrippent fermement, les ongles plantés dans ta chair imberbe. Puis elles se plaquent contre tes fesses qu’elles malaxent. Tout en te suçant comme un forcené, mes doigts commencent à s’aventurer dans ta raie, avant que je commence à m’introduire dans ton petit trou. Je sens ta bite durcir aussitôt dans ma bouche. Je te stimule le cul tout en te suçant. Le precum coule dans ma bouche. Ton excitation augmente, et on roule tous les deux par terre. Allonge sur mes coudes, a même le sol, je te laisse me sucer, toi aussi, avec une énergie débordante, animale. Ma main pousse ta nuque. Tu m’avales en entier. De toi-même, tu viens pivoter pour te placer au-dessus de moi et continue en 69. Les bites ne quittent pas les bouches. J’adore sentir ton corps si près du mien. Mon visage si près de ta queue et de ton cul. Apres t’avoir sucé un moment, ma langue s’occupe de ta rosette. Je te couvre de salive. Tu recules tes fesses pour t’assoir carrément sur mon visage, tout en me suçant
- Lève-toi, mets-toi contre le mur
Tu te redresses, te cambres, les bras tendus contre le mur. Tu t’offres à moi. J’écarte tes fesses et continue à te lécher partout, les fesses, l’anus. Je te lèche, te mords, te mouille. Je me redresse, laisse tomber autant de salive que je peux sur ma bite, puis la plante directement dans ton cul. Tu cries, mais te mets aussitôt à gueuler
- Baise-moi, Matthieu, BAISE-MOI
Sans attendre, je te défonce le cul. Je suis rapide, brusque. Te donne des coups de queue. Tu es secoué, malgré la prise ferme de mes mains sur tes hanches. Le claquement contre tes fesses ne parvient pas à couvrir tes cris de plaisir, de douleur, et ceux qui m’invitent à te baiser encore plus fort
- DEFONCE MOI, OUI, DEFONCE MOI
Je t’attrape par les cheveux et tu te cambres encore plus.
Je me retire soudainement.
- Mets-toi sur le fauteuil, à quatre pattes, face au dossier
Mais tu te mets à genoux pour prendre ma queue dans la bouche. Elle sort de ton petit cul mais tu la veux dans ta bouche. Ça me rend fou. Je gémis et te regarde sucer avec passion, avant de t’amener vers le fauteuilJe remouille ma queue, pour continuer notre baise brute sans gel. Bien agrippe au fauteuil, tu te livres complètement, le cul parfaitement positionné par rapport à ma bite.
- T’aimes ma grosse bite, hein ?
Mes mains t’agrippent partout, pour te posséder, en plus de ma bite qui domine tes entrailles. Ta queue est collée à ton ventre. Le precum coule sur le fauteuil. Je ne compte plus les minutes et continue à te baiser longtemps par derrière.
Je me mets ensuite par terre, queue verticale et tu t’empales directement pour te déhancher comme un fou. Je ne t’ai jamais vu comme ça, aussi fou de désir, sexuel. Tu te mets sur tes pieds et me viole la bite avec ton cul. Je me redresse, tes jambes s’enroulent autour de moi. Tes bras autour de mon cou. On s’embrasse. Nos yeux se fixent ardemment.
- Tu me rends fou Adrien, tu comprends…
Mes yeux sont rougis de passion
- Je ne peux pas vivre sans toi… je ne dors plus… je ne mange plus… je veux être avec toi tout le temps… je te veux dans ma vie- Moi aussi… je te veux tout le temps… à chaque instant… je pense sans arrêt à toi
Nos lèvres et nos langues se mélangent et je donne des coups de bassin pour bouger au plus profond de toi. Nos corps se serrent, on se couvre de baisers tandis que je suis emboite au plus profond de toi. Les « je t’aime » hystérique sont lâches.
- Oh mon bebe, mon amour, mon chéri….
J’hurle au moment où je jouis en toi, et que tu exploses contre mon ventre, sans même te toucher.
Epuises, en sueur, ivres de sexe on s’effondre sur le sol. Pourtant je n’arrive pas rompre le contact avec ta peau. J’ai besoin de te caresser sans cesse. Main dans la main, en se caressant et en s’embrassant, on se rend sous la douche ou le sexe continue.
On baise ensuite sur mon lit, avec la webcam branchée. Je jouis deux fois encore ce jour-là. Et toi aussi.
Comme dans toutes mes histoires, les rapports sont non protégés. Dans la vraie vie, pensez à mettre des préservatifs.
Bonne lecture
Sylvain
==
Les vacances de Pâques arrivent. Je me rends compte que je n’ai pas fait de plan. Je m’étais fait une joie de pouvoir passer plein de temps avec toi… mais tu m’avais jusqu’à présent caché la mauvaise nouvelle. Tu seras parti pendant 15 jours. Loin. Pour aller en famille chez tes grands-parents paternels. Je comprends. Ça te brise le cœur aussi. Ta voix est nouée quand tu me l’annonces. Depuis la mort de ton père, c’est très important que tu passes voir tes grands parents. Pas trop de choix. De toutes les façons, il en va ainsi des relations clandestines comme la nôtre. On est condamné à se voir dans ces moments rares de liberté, quand nos agendas le permettent. C’est dur mais c’est comme ça.
On reste bien en contact pendant ton absence. J’apprends à connaitre ta famille. On se raconte nos journées, toujours avec discrétion. Mais tu me manques. Je pense à toi en permanence. A ton visage, à ton sourire, à ta voix, à ton corps nu que j’aimerais serrer contre moi. Je me masturbe en regardant tes nudes et notre sex tape.
Les SMS deviennent brulants de ma part. « tu me manques mon amour » « je suis fou de toi… j’ai tellement hâte de te revoir » « j’aimerais être en train de faire l’amour, là, maintenant »Et les tiens aussi : « ta queue me manque » « je la veux en moi maintenant là » « je me suis branlé 3 fois aujourd’hui en pensant à toi ».
Il faut attendre le dernier jour des vacances, le dimanche pour que l’on se revoie, après 3 semaines de séparation.
La sonnette à la porte interrompt ma rêverie. Je t’ouvre. Tu tombes dans mes bras. 3 semaines, ce n’est pas long mais tu m’as tellement manqué. Adrien, je t’aime tellement. Nos bouches se collent aussitôt, nos langues se trouvent. Tu me rends fou. Je te veux. Je veux ta peau, nue. Ça me ronge. Nos mains trouvent nos bites. Tu commences à défaire ma ceinture. Tu veux ma queue maintenant, tout de suite. Je te veux nu, tout nu, immédiatement. En alternant les baisers et les caresses brusques, on se déshabille vite dans le couloir et tu marches vite vers la chambre. J’adore regarder tes petites fesses bouger. Tu te jettes sur le lit, assis, jambes écartées. Je me mets aussitôt à genoux pour te sucer. Je ne veux pas attendre. Je te suce vite. Je veux avaler ton sperme tout de suite. Ça m’a tellement manqué. Tu jouis dans ma bouche et j’avale tout. Oh mon chéri, tu m’as tellement manqué. Je caresse ta joue. Ton visage d’ange. Je souligne tes sourcils avec mon pouce.
A ton tour de me sucer, moi debout, toi à genoux, au milieu de la chambre. Pour toi aussi, l’absence a été trop longue. Tu me suces et me branles. En deux minutes, je jouis sur ton visage et tu manges et avales toute ma semence. On tombe sur le lit, dans les bras l’un de l’autre. On se serre fort. On a besoin de ce contact physique.
On est de côté, face à face. On se touche, on se regarde. On s’embrasse sur les lèvres toutes les dix secondes. Tu me dis à quel point je t’ai manqué. Nous avons maintenant l’après-midi pour nous, pour nous réapproprier nos corps mutuellement.
Après quelques câlins, tes hormones reprennent le dessus. Tu me veux en toi. On prend une douche câline ensemble pour se nettoyer, occasion de se sucer. Une fois séché, tu te mets à quatre pattes sur le lit, et ton regard coquin par-dessus l’épaule m’invite à te faire ce que tu aimes tant : manger ton petit cul. Je lèche et j’embrasse ta petite rosette imberbe. J’écarte bien les fesses et je rentre l’extrémité de ma langue en toi. On se met ensuite en 69 pour que tu me suces tandis que je continue à te rimmer. Mais c’est toi qui interromps le plaisir pour prendre le gel dans la table de nuit. Tu te doigtes et te prépares et je fais de même avec ma queue. En levrette, Adrien. Je glisse doucement en toi. Tu souffles. Je suis maintenant complètement en toi. Ça m’a tellement manqué. C’est bon, chaud et serré. Mon ange, tu sais à quel point c’est important pour moi d’être en toi, de m’unir ainsi à toi. Et pour toi aussi.
Je descends et mon torse couvre ton dos. Mon bras enroule ton torse, j’embrasse ton oreille et te susurre à quel point je t’aime. Tu m’aimes aussi. Je me redresse et commence mes va et vient, lents. Mes mains caressent tes épaules et ton dos, parfaitement lisses. Je m’agrippe à tes hanches et j’accélère. Tu aimes. Tu bandes. Ma main attrape ta queue bien raide. Ma bite stimule ta prostate, je connais ton point G. Des gouttes de sperme s’échappent de ta bite. Tu fatigues et descends, tête dans l’oreiller. Je continue à te baiser. Je rentre et sors ma queue. Tu es maintenant bien ouvert.
Je me mets sur le dos, et c’est toi qui prends ma queue pour te la remettre. J’aime te regarder bouger et prendre le contrôle des opérations. Tu te déhanches, tout à ton plaisir. Les yeux mi-clos, la bouche ouverte. Tu aimes ça. Mon Adrien, mon adonis. Mes mains caressent ton corps imberbe. Tes cuisses, tes flancs, tes tétons. Mes mains saisissent tes petites fesses. Je regarde ta petite bite bouger au grès de tes mouvements. Embrasse-moi. Tu te penches. Je t’aime tellement.
Je me redresse. On fait une pause. Toujours en toi je te regarde fixement dans les yeux. J’aime leur intensité. Tu me dis que tu m’aimes. Je te serre dans mes bras, t’embrasse tout en reprenant mes coups de queue. Tu enroules tes jambes autour de moi. Je te fais basculer sur le dos pour te faire l’amour en missionnaire. On ne se quitte plus des yeux. Je me penche pour t’embrasser. Je me redresse parfois pour regarder ma queue glisser en toi. Je saisis tes pieds avec mes mains. Je me penche à nouveau, je m’appuie sur mes bras, de chaque côté. Je t’embrasse, te regarde. On va jouir ensemble Adrien maintenant. Regarde-moi. Tes mains caressent mon dos et mes fesses. Je sens l’orgasme monter. Je jouis en toi. Tu jouis en même temps sans toucher ta bite. Une mare de sperme recouvre ton ventre. Je souffle. Encore en toi, je descends, j’embrasse ton cou et tes cheveux. Tu souris. Je t’aime. On s’endort nus dans les bras l’un de l’autre.
La fin d’après-midi approche. Je suis parti boire un verre d’eau. Quand je reviens dans la chambre, tu es toujours endormi au-dessus des draps, sur le ventre, les mains sous l’oreiller, la tête de côté. J’observe ton corps nu de la tête aux pieds. Je t’aime, je t’adore, je te désire. On a déjà fait l’amour quatre fois cet après-midi. Il va falloir que je te réveille, pour que tu retournes chez toi. Mais je savoure encore ces quelques minutes à te regarder. Combien de temps cela va-t-il durer ? Je t’aime, tu m’aimes – tu me l’as dit tellement souvent. Mais combien de temps peut-on s’aimer comme ça en cachette ? Combien de temps un jeune comme toi peut-il aimer un homme comme moi, de plus de 20 ans son ainé, sans aller voir ailleurs ? Je suis perdu, j’ai peur. Quelle issue pour notre amour ? Je n’ai pas d’autre choix pour le moment. Celui de continuer à t’aimer, tous les jours, à chaque fois, de plus en plus fort, comme si c’était le dernier… Pas de vacances de prévu d’ici l’été et ça nous laisse tout de même de belles semaines en perspective. Surtout que le temps s’améliore vraiment en ce mois d’avril.
Notre relation continue à évoluer. On se parle maintenant tous les jours et on organise des activités ensemble. Toujours discrètes. Cinéma, expositions, déjeuners à deux dans des restos un peu éloignés de chez moi et de chez toi. Tous les deux, nous sommes toujours dans la crainte d’être surpris. Toi, plus par peur de révéler ton homosexualité. Moi, plus par peur de m’afficher avec un élève.
Je suis content de voir notre relation se poursuivre. Tu n’as pas l’air de vouloir chercher à t’amuser avec d’autres mecs, surtout de ton âge. J’en suis surpris. Je me fais à l’idée que tes « je t’aime » doivent quand même avoir une signification. Mon cœur se serre. Je crois qu’on est progressivement en train de bâtir quelque chose tous les deux.
La relation physique, elle, est de plus en plus passionnée, ardente. Et je dois continuer à satisfaire tes désirs. Une fois où malheureusement nous n’avons pas réussi à nous voir un week end pour je ne sais plus quelle raison, notre désir de chair devient trop fort le lundi qui suit.
On s’échange des SMS pendant la journée, alors que nous sommes à l’école tous les deux. A la pause. On a très envie l’un de l’autre. Je dois me cacher pour éviter qu’on me voie bander. Je ne sais pas où tu es dans l’établissement.
On va faire un plan cul chez moi à la pause déjeuner… juste avant que tu n’aies cours avec moi. On a peu de temps.
« On se retrouve chez moi a 12.30 »
On arrive séparément et tu attends devant ma porte quand j’arrive. On s’embrasse et se caresse sur le palier tandis que j’ouvre la serrure précipitamment.
Tu te précipites dans la chambre et te fous à poil à toute vitesse. Je suis plus lent que toi, et quand je défais à peine mon pantalon, tu es déjà nu, sur le lit, jambes levées et écartées. Tu m’offres ton petit trou.
C’est terriblement excitant et je tombe à genoux pour le dévorer aussitôt. Sauvagement. Je le bouffe. Plonge au plus profond. Tu es cru et te lâche complètement : « oh oui bouffe moi, continue, rentre bien dedans « Ta main me caresse mais aussi me pousse la tête pour que je te lèche à fond. La bite verticale, collée au ventre je me redresse pour prendre le gel dans la table de nuit. Je te mets aussitôt un doigt, puis deux. Et je te doigte ainsi pendant longtemps. Agressivement. Tout en te suçant. Je te sens à la limite mais tu sais te contrôler maintenant. Je sens toutefois ton précum couler dans ma bouche.
Je retourne ensuite entre tes jambes, debout au bord du lit pour rentrer en toi. Tu es déjà bien ouvert. Pas besoin de s’attarder. Je m’enfonce brutalement. Tu cries aussitôt « Ah oui. Vas-y baise moi Matthieu, baise moi fort » Je commence aussitôt à te pilonner, les mains bien serrées autour de tes chevilles. Mes coups de queue sont longs et vifs. Je regarde ma bite rentrer en toi, dans ton petit cul chaud et serre. Fierté de ma part. Orgueil de me taper un petit minet. Puis je lève les yeux pour mieux t’observer. Ta bite bandée. Tu bandes toujours quand je t’encule. Tu es un bon passif. J’observe ton visage, ta bouche ouverte qui laisse échapper des cris ou des suppliques très chaudes. Tu me supplies de te baiser plus fort. J’accélère.
Je monte ensuite sur le lit et te recouvre complètement. Je te mordille le cou, les oreilles et l’épaule tout en m’agitant en toi comme un fou.
« Tu me rends fou Adrien, tu comprends, tu me rends fou… je ne peux pas vivre sans toi »Je t’encule à toute vitesse. On souffle comme des bêtes. C’est une baise brute rapide car le temps nous est compté
- Prends-moi en levrette
Tu te mets à quatre pattes. Et je te prends aussitôt. Je suis vif, brut. Tu cries de douleur et de plaisir. Je te tiens fermement par les hanches. Ton petit cul ne peut pas m’échapper. Je viens buter contre tes fesses, et ma queue au fond de ton rectum. Ma main saisit ta bite et la serre. Je te branle. Le précum mouille mes doigts.
D’une main je te plaque la nuque et plonge ta tête dans l’oreiller. Je monte sur mes pieds pour mieux défoncer tes petites fesses bien relevées. Je t’encule comme jamais. Tu couines comme jamais
- Jouis Adrien, jouis pour moi, jouis du cul- Oh oui Matthieu, oui, continue…ouiiiiiii
Ce dernier cri est celui de l’orgasme. A t’entendre, j’explose dans tes entrailles. On s’effondre sur le lit. Mes doigts ramassent ton sperme sur la couette et se glisse dans ta bouche. Tu as saisi ma main et lèche mes doigts comme un enfant dévore une glace. On reprend notre souffle…Pas le temps de prendre une douche. On se rhabille vite et rejoint l’école par des chemins séparés.
Je m’inquiète de mon odeur. Animale. Celle du sexe. J’espère que ça ne se repèrera pas trop. Pour toi non plus.
Quand tu pénètres dans ma classe avec les autres élèves, je tressaille. J’imagine mon sperme qui est en toi mon amour. Je suis à l’intérieur de toi. Ça me rend heureux, fier. J’ai du mal à donner cours… bien entendu.
Avec l’arrivée des beaux jours, je réalise à quel point je suis heureux… ça fait près de 6 mois que nous sommes ensemble. Tu es mon ami, mon amant, mon amour. Notre relation grandit. On arrive à passer du temps ensemble.
Tu me proposes de venir jouer au tennis dans ton club. Je sais que tu es très bon joueur… moi je suis plutôt médiocre. Mais je suis très content de partager ce moment avec toi. Encore quelque chose de nouveau que l’on fait ensemble. Personne ne me connait dans ce club de tennis, et on ne s’inquiète pas d’être vus ensemble là-bas.
Je m’amuse vraiment bien avec toi. Je prends clairement une leçon. La différence de niveau est telle… et l’âge n’aide pas. Tu ne lâches pas tout à fait tes coups. Tant mieux pour moi. On rigole bien. Tu me chambres.
On a bien calculé notre timing, afin de réserver un peu de temps ensemble chez moi.
Toujours en tenue de tennis, short et t-shirt, on se rend chez moi.
Dès la porte fermée, la passion reprend. Car oui, maintenant, non seulement je t’aime, mais je suis complètement obsédé par toi. L’envie de ta présence à mes cotes me ronge, tout comme l’envie de ta peau.
Pas de douche. La passion est trop forte, trop brute. On se désire ainsi, sans attendre. Nos cerveaux sont débranchés. Les gestes sont brusques. On arrache presque nos vêtements. On va baiser la dans le salon, pas dans la chambre.
On est nus dans les bras l’un de l’autre et se caresser et s’embrasser nerveusement. Ta langue vient lécher et mordiller mes tetons. Puis elle se glisse sous mes aisselles, tandis que mes mains agrippent et pressent tes fesses. Je couvre ton corps de baisers
- Tu me rends fou Adrien… je t’aime… oh je t’aime… je t’aime- Moi aussi je t’aime… je t’aime…
Tandis que mes mains glissent le long de ton corps imberbe, je tombe à genoux pour dévorer ta bite comme un mort de faim. Je la cajole, la couvre de baisers puis la suce comme un fou. Je la prends à toute vitesse, au plus profond de moi, en gorge profonde, le nez colle à tes poils pubiens. Mes mains, elles t’agrippent fermement, les ongles plantés dans ta chair imberbe. Puis elles se plaquent contre tes fesses qu’elles malaxent. Tout en te suçant comme un forcené, mes doigts commencent à s’aventurer dans ta raie, avant que je commence à m’introduire dans ton petit trou. Je sens ta bite durcir aussitôt dans ma bouche. Je te stimule le cul tout en te suçant. Le precum coule dans ma bouche. Ton excitation augmente, et on roule tous les deux par terre. Allonge sur mes coudes, a même le sol, je te laisse me sucer, toi aussi, avec une énergie débordante, animale. Ma main pousse ta nuque. Tu m’avales en entier. De toi-même, tu viens pivoter pour te placer au-dessus de moi et continue en 69. Les bites ne quittent pas les bouches. J’adore sentir ton corps si près du mien. Mon visage si près de ta queue et de ton cul. Apres t’avoir sucé un moment, ma langue s’occupe de ta rosette. Je te couvre de salive. Tu recules tes fesses pour t’assoir carrément sur mon visage, tout en me suçant
- Lève-toi, mets-toi contre le mur
Tu te redresses, te cambres, les bras tendus contre le mur. Tu t’offres à moi. J’écarte tes fesses et continue à te lécher partout, les fesses, l’anus. Je te lèche, te mords, te mouille. Je me redresse, laisse tomber autant de salive que je peux sur ma bite, puis la plante directement dans ton cul. Tu cries, mais te mets aussitôt à gueuler
- Baise-moi, Matthieu, BAISE-MOI
Sans attendre, je te défonce le cul. Je suis rapide, brusque. Te donne des coups de queue. Tu es secoué, malgré la prise ferme de mes mains sur tes hanches. Le claquement contre tes fesses ne parvient pas à couvrir tes cris de plaisir, de douleur, et ceux qui m’invitent à te baiser encore plus fort
- DEFONCE MOI, OUI, DEFONCE MOI
Je t’attrape par les cheveux et tu te cambres encore plus.
Je me retire soudainement.
- Mets-toi sur le fauteuil, à quatre pattes, face au dossier
Mais tu te mets à genoux pour prendre ma queue dans la bouche. Elle sort de ton petit cul mais tu la veux dans ta bouche. Ça me rend fou. Je gémis et te regarde sucer avec passion, avant de t’amener vers le fauteuilJe remouille ma queue, pour continuer notre baise brute sans gel. Bien agrippe au fauteuil, tu te livres complètement, le cul parfaitement positionné par rapport à ma bite.
- T’aimes ma grosse bite, hein ?
Mes mains t’agrippent partout, pour te posséder, en plus de ma bite qui domine tes entrailles. Ta queue est collée à ton ventre. Le precum coule sur le fauteuil. Je ne compte plus les minutes et continue à te baiser longtemps par derrière.
Je me mets ensuite par terre, queue verticale et tu t’empales directement pour te déhancher comme un fou. Je ne t’ai jamais vu comme ça, aussi fou de désir, sexuel. Tu te mets sur tes pieds et me viole la bite avec ton cul. Je me redresse, tes jambes s’enroulent autour de moi. Tes bras autour de mon cou. On s’embrasse. Nos yeux se fixent ardemment.
- Tu me rends fou Adrien, tu comprends…
Mes yeux sont rougis de passion
- Je ne peux pas vivre sans toi… je ne dors plus… je ne mange plus… je veux être avec toi tout le temps… je te veux dans ma vie- Moi aussi… je te veux tout le temps… à chaque instant… je pense sans arrêt à toi
Nos lèvres et nos langues se mélangent et je donne des coups de bassin pour bouger au plus profond de toi. Nos corps se serrent, on se couvre de baisers tandis que je suis emboite au plus profond de toi. Les « je t’aime » hystérique sont lâches.
- Oh mon bebe, mon amour, mon chéri….
J’hurle au moment où je jouis en toi, et que tu exploses contre mon ventre, sans même te toucher.
Epuises, en sueur, ivres de sexe on s’effondre sur le sol. Pourtant je n’arrive pas rompre le contact avec ta peau. J’ai besoin de te caresser sans cesse. Main dans la main, en se caressant et en s’embrassant, on se rend sous la douche ou le sexe continue.
On baise ensuite sur mon lit, avec la webcam branchée. Je jouis deux fois encore ce jour-là. Et toi aussi.
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