Adrien, l’amour fou – histoire complète (10)
Récit érotique écrit par Sylvainerotic [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Adrien, l’amour fou – histoire complète (10)
Ce long récit en 14 épisodes constitue une histoire complète d’« Adrien l’amour fou », que j’ai souhaité développer. J’ai juste apporté quelques changements minimum (couleur des cheveux d’Adrien, âge des personnages), mais l’idée est la même : les joies et les difficultés d’une relation amoureuse et sexuelle d’un couple avec une grande différence d’âge. Comme d’habitude, beaucoup de sexe aussi… et les photos des personnages disponibles sur demande.
Comme dans toutes mes histoires, les rapports sont non protégés. Dans la vraie vie, pensez à mettre des préservatifs.
Bonne lecture
Sylvain
==
Le début de l’année démarre en trombe… et c’est très vite difficile de garder le rythme. Je me retrouve très vite avec une montagne de travail, des reportages et des articles à écrire. De ton coté, tu es en examen les deux premières semaines. Notamment des révisions de dernières minutes, car je t’ai un peu tenu éloigné de tes bouquins pendant les vacances.
La logistique de nos rencontres devient vite compliquée. A cela, la neige abondante en ce mois de janvier vient perturber le trafic des trains de banlieue.
Je m’absente en province régulièrement pour tes reportages. Bien sûr, on s’envoie des SMS et on se parle au téléphone tous les jours, même très brièvement.
Un samedi, tu sors avec des amis, mais tu y vas sans moi. Je n’ai pas osé insister. Comme tu ne me le proposes pas, je me dis que c’est que c’est mieux ainsi pour toi.
Je me rends compte à quel point cela devient difficile à gérer. Boulot, relation, logistique. Je n’ai pas l’expérience de tout ça, malgré mon âge… tout cela est nouveau.
On arrive quand même à se voir deux fois en janvier, en coup de vent.
Un week-end, on a enfin nos agendas bien alignés, et on peut se retrouver à Paris chez moi. Après un repas bien arrosé chez des amis à moi, on rentre à la maison. J’ai un peu trop bu, et la semaine a été brutale au bureau. Je suis affale sur le dos. Tu es assez excité et commences à me déshabiller. Je grogne un peu
- Nan, pas ce soir bébé… je suis vraiment épuisé
Tu as l’air déçu. Tu fais la moue. Je n’ai pas le temps d’y penser, et je m’endors dès que la lumière est éteinte.
Les semaines passent incroyablement vite en ce début d’année. Nous sommes maintenant fin février, et les vacances sont là pour toi. Malheureusement, nous ne pourrons pas les passer ensemble. Avec ton école de commerce, vous partez en voyage d’études à New York pour deux semaines. Au programme : tourisme et visites d’entreprise. Tu as de la chance. Je suis déçu de ne pas pouvoir te voir – j’avais trop de boulot pour pouvoir poser mes congés de toutes les façons – mais je suis content pour toi.
Difficile de communiquer avec toi pendant ce temps-là, avec le décalage horaire. Je reçois quand même des SMS et des photos.
A ton retour, on s’appelle. Il est tard pour moi, mais tu es toujours à l’heure américaine, donc pas près d’aller au lit. Tu me donnes plus de détails. Tu as adoré ton voyage. Par contre, je sens quelque chose d’anormal dans ta voix. Je te connais suffisamment pour sentir quand quelque chose ne tourne pas rond. Je finis par te poser la question. Tu réponds par un silence gêné… tu ne sais pas comment me dire. Tu hésites. J’insiste. Tu finis par m’avouer que tu as couché avec un autre garçon pendant les vacances. Et que tu es désolé. Tu te sens mal. Tu ne pouvais pas garder ça pour toi. Je suis pris complètement par surprise. Je n’y attendais pas. Intérieurement je fulmine. Je suis furieux. Mais d’une colère blanche. Je me contiens pour ne pas crier. Je réponds par le silence. Tu meubles les blancs par des excuses. Tu finis par me confesser que ça faisait 3 semaines sans faire l’amour entre nous. Je repense à cette nuit ou j’étais trop fatigué pour te donner du plaisir.
Je ne sais pas quoi dire, pas quoi répondre. Je suis touché, blessé… mais mon cerveau est bloqué. Notre dispute lors de notre rupture me revient à l’esprit. Comment ça s’était terminé. Et c’est pour cela que je n’explose pas. Je me contente de te dire que c’est trop compliqué pour moi de réagir à chaud, que je suis fatigué et que j’ai besoin de digérer la nouvelle… Dans une ultime excuse, tu raccroches.
Je suis fatigué, mais je ne peux pas dormir… Quelle surprise. Je t’en veux. Oui… mais nous n’avions jamais évoqué la question de la fidélité et d’être exclusif. Pour moi ça allait de soi, comme une évidence. Mais peut-être pas pour toi. J’essaie de me calmer. Au téléphone, ce n’est pas le jeune adulte que j’aime que j’avais devant moi, mais l’ado impulsif. Celui qui va avec… celui avec lequel il faut que je fasse des compromis. Je sais qu’a ton âge, la fidélité est une notion compliquée. Je t’en veux, mais je t’aime. Et la dernière des choses que je souhaite, c’est m’engueuler avec toi, et prendre le risque de te perdre. Je finis par me convaincre qu’après tout, ce n’est pas si grave que ça. Est-ce que tu m’aimes ? Oui. Est-ce que je t’aime ? Oui. Est-ce que beaucoup de jeunes gays ont des relations non exclusives ? Probablement, en tout cas c’est l’idée que je me fais. Je m’étais promis de tout faire pour te garder après notre première rupture. Je t’aime trop. Je suis prêt à changer… à faire des compromis.
On se retrouve le lendemain. Comme si de rien n’était. Je pense que tu t’attends à ce que je sois de mauvaise humeur. Mais non, je suis content de te revoir. Je veux que tout marche entre nous. Dans la bonne humeur. On passe donc une excellente journée ensemble et on fait l’amour. C’est chaud, sensuel et très aimant. Tu es vraiment un excellent amant. Notre nuit est bonne, sexuellement.
Apres l’amour, nus et désarmés, on se parle
- Je ne t’en veux pas, pour l’autre jour- Je suis vraiment désolé…
Je te caresse doucement
- On n’en a jamais parlé… mais je comprends que tu veuilles en peu en profiter… et vivre ton expérience avec d’autres mecs.
- Tu veux dire une relation ouverte ?
- Oui c’est ça… tu es plus jeune que moi, tu as des besoins différents. Donc si une fois de temps en temps, tu es tenté, ça ne me dérange pas… tant que c’est pas 3 fois par semaine
Tu souris. Tu te contentes d’un « Ok »J’ai encore un peu de mal à admettre ce que je viens de dire. Ce n’est pas vraiment ce qui me plait le plus, ni ce que j’espérais… mais je me dis que c’est mieux ainsi. Si je t’impose trop de choses, je risque de te perdre… et je ne veux pas vivre sans toi. Alors, voilà, je vais faire comme d’autres couples font surement.
Dans les semaines qui suivent, tout semble bien marcher entre nous. Certes la logistique reste compliquée, mais tu sembles épanoui. Et en fait, le sexe est même excellent entre nous. Tu es très chaud et tu te donnes complètement à moi. Je ne sais si tu couches à gauche à droite, mais ça n’a pas l’air de changer quoi que ce soit. Malgré tout, notre relation reste un peu difficile, et on ne se voit pas aussi souvent que je le voudrais. Mais bon, c’est comme ça.
Je commence un peu à réfléchir au futur. Maintenant que je t’ai libéré du poids de la fidélité, j’aimerais bien pouvoir construire un peu avec toi en parallèle. Faire quelques projets qui nous rapprocheraient, en dehors de sexe. Je commence un peu à évoquer le sujet. Pourquoi de longues vacances ensemble cet été ? Je sais bien que tu risques d’être en stage, mais ça nous rapprocherait… Tu ne dis pas non, et on y réfléchira. De ton coté, tu passes aussi de plus en plus de temps avec tes amis sur le campus et aussi à Paris maintenant…Nous sommes maintenant en avril, et un samedi après-midi nous nous baladons dans Paris ensemble. Le temps est beau. C’est le printemps. On se balade dans le 6eme. Un de nos quartiers préférés, pas dans mes moyens malheureusement. Tu pianotes sur ton téléphone… Un de tes bons amis d’école de commerce, Thibault, que je me souviens d’avoir croisé une fois, habite dans le quartier. Tu lui as envoyé un SMS pour plaisanter et lui dire qu’on était dans le coin… il t’a alors proposé qu’on passe.
Je suis un peu surpris, car depuis quelques semaines, on voit moins tes amis ensemble…
L’appartement de Thibault, en tout cas celui de ses parents est impressionnant. Un triplex énorme. Du grand luxe avec du mobilier moderne… je me remets en mémoire ce que tu m’avais expliqué de Thibault. Précoce, 18 ou 19 ans. Un père expatrié aux Etats Unis, une mère pianiste professionnelle. Mignon, mince, brun, les cheveux un peu frisés, petit de taille.
Thibault est seul chez lui. Il nous propose des bières. Tu es déjà venu ici apparemment, et me fait visiter avec Thibault. Il y a une énorme terrasse extérieure. La vue sur les toits de Paris est magnifique.
L’alcool, l’endroit, les regards de Thibault. La tension érotique est palpable. Je regarde Thibault. Des habits de grandes marques. Une chemise bien déboutonnée sur un torse fin et imberbe. Il est pieds nus sur la moquette épaisse… Je ne trompe pas quand j’observe une bosse sous son jean… Ces yeux ont croisé les miens. Il a vu que j’avais vu…Il y a des silences gênés. A côté de moi, tu es bien conscient de ce qui se passe. Tu prends ma main doucement et la mets sur ton paquet. Tu bandes toi aussiThibault, sarcastique et joueur, déclare :
- Bon, je crois que vous allez y aller maintenant… vous allez l’air d’avoir des projects précis pour cet après midi- A moins que… répond Adrien
Thibault s’avance vers nous et nous touche tous les deux.
- … à moins que vous préfériez rester ici…. En bonne compagnie
Je suis statufié ! Ça ressemble à des dialogues de série B, version porno… Suis-je en train de rêver ? Je suis paralysé… mais ma bite, elle, a choisi son camp. Je bande comme un fou… Tu me lances un regard… mignon, malicieux… celui que tu utilises pour me séduire… celui auquel je ne sais pas dire non…Je suis perdu… pas motivé, sceptique, mais hypnotisé par Adrien et Thibault…. Et comme d’habitude je ne sais pas dire non. Je ne veux pas dire non. Plutôt que de te laisser baiser avec un autre, pourquoi ne pas faire ça avec toi.
Je n’ai jamais fait de plan à trois… il faut un début à tout.
Je me laisse faire. Tu m’embrasses sur les lèvres. Thibault sourit
- Venez dans ma chambre
On le suit dans une chambre immense. Dedans, un très grand lit. Des placards remplis de vêtements. Et tous les gadgets possibles. Ecran plat gigantesque, ordinateur, oculus, jeux vidéo.
Je n’ai pas vraiment le temps de prendre connaissance de l’environnement. Je ne sais pas trop où me mettre ni quoi faire. Tu m’embrasses. Thibault s’approche et vous vous embrassez sur la bouche… Je tressaille. Tu en embrasses un autre. Je ressens tout de suite de la jalousie. Ça me fait un effet bizarre. Mais Thibault m’embrasse à son tour. Doucement. Je ferme les yeux. J’essaie de ne pas trop penser.
Les baisers continuent, échangés à plusieurs. Thibault commence à se déshabiller. Tu me retires le haut. Et je te fais pareil. Torses nus, on se caresse et s’embrasse. Thibault se rapproche. Entièrement nu. Il est beau. Mince, imberbe. Une bite de belle taille pour son gabarit. Il se met à genoux et me dessape. Pendant ce temps, tu te mets à poil. Mon sexe sort de mon jean comme un diable
- Hmmm encore plus belle et grosse en vrai
Qu’est-ce que ça veut dire ? Est-ce que Thibault l’a déjà vue ? Ça veut dire que tu lui as montré nos sex tapes… Je n’ai pas le temps de réfléchir et il me prend en entier dans la bouche, en gorge profonde. Je ne peux résister. Je penche la tête, ferme les yeux et soupire. Tu te blottis, nu contre moi. Et on s’embrasse. Thibault me suce et je dois dire qu’il est très doué…A genoux, il continue sa fellation et te branle en même temps. Puis il inverse. Te lèche les couilles. Il s’affaire et donne du plaisir à nos deux bites avec ses mains, sa bouche et sa langue. Il rapproche les deux bites de sa bouche. Les glands se touchent. Et Thibault passe sa langue sur les deux en même temps. Dur de résister au spectacle de ce petit minet qui s’affaire sur deux queues. Comme dans le meilleur porno. Pendant ce temps, on s’embrasse à pleine bouche, et se caresse le torse, les seins et les fesses.
Thibault se redresse. Il nous embrasse à tour de rôle, langues sorties. Les trois langues finissent par se regrouper en un baiser a trois. Thibault a une main sur mes fesses, et l’autre sur les tiennes. Il te regarde : « suce-nous maintenant »Je sens l’emprise que Thibault a sur toi. Le ton, le regard. Tu obéis sagement… A ton tour de jouer avec deux bites. Tu as l’air ravi de cette nouvelle expérience. Tu joues. Tu les branles ensemble…Thibault te regarde, t’encourage. Puis se retourne pour m’embrasser à pleine bouche. Sa langue rentre et tourne autour de la mienne.
Il se détache soudain et s’assieds au bord du lit, jambes écartées. Il me regarde : « suce-moi maintenant ». Docile moi aussi, je me mets entre les jambes et commence à sucer
- Ah putain, c’est bon, continue
Sa main me caresse les cheveux et positionne ma tête comme il l’entend
- Monte sur le lit et donne-moi ta queue
Tu grimpes sur le lit, à genoux, à côté de Thibault et celui-ci commence à te sucer. On n’entend que les bruits de sucions, de salive, juste entrecoupés de soupirs. Quand je lève les yeux, je te vois en train de te faire sucer, branler. Je suis troublé. Tu as l’air de prendre ton pied, mais je n’arrive pas à faire abstraction de ma jalousie, qu’un autre que moi te donne du plaisir.
La chaine de fellations continue un moment. Thibault se lève et se met à quatre pattes
- Bouffe-moi le cul
Là encore, j’ai décidé de suivre sans me poser de questions. Le petit cul de Thibault est magnifique. Petit, rond. Comme le tien. Entièrement rasé. Son anus est un peu plus charnu et sombre que le tien. Je lèche doucement. Il soupire et jure aussitôt : « oh oui vas-y avec la langue, lèche-moi »Il t’attrape par la nuque et t’embrasse sauvagement. Allonge-toi devant, je vais te sucer. Toujours en charge des opérations, Thibault se fait maintenant lécher le cul, tout en te suçant. Je te cherche du regard, mais tu m’ignores. Tu admires Thibault et lui caresse les cheveux. Celui-ci finit par te relever les cuisses pour te lécher les couilles puis l’anus. Tu te mets à gémir aussi. Je plonge la tête dans la raie pour ignorer...
Haletant, Thibault me lance : « encule-moi maintenant, y a du gel dans la table de nuit – mets pas de capote. » Je me rends aussitôt vers la table de nuit. Le tiroir est plein de sex toys, notamment des godes, plugs, cockrings… je saisis le lube. Dans mon dos, j’entends des bruits de baisers, de bouches qui se collent :
- J’vais t’sucer en même temps, je veux que vous preniez par devant et par derrière ensemble- Mmmhh… c’est trop chaud ; j’aimerais aussi faire ça- T’inquiète, on te fera ça après aussi
Puis des bruits de baisers sonoresThibault m’attend à quatre pattes. Je lubrifie son cul et ma bite, puis rentre très facilement en lui. Dès que je démarre la sodo, il commence à te sucer. On le prend des deux côtes. Nos regards se trouvent. Tu es extatique
- Oh putain c’est trop bon
Tu attends mon approbation. Je suis moins enthousiaste. Je te souris. On se penche au-dessus du corps de Thibault pour s’embrasser. Thibault, la bouche pleine, pousse des gissements. Il lâche parfois ta queue pour jurer : « oh continuez, baisez-moi en rythme ». On accorde nos mouvements. Nos mains le caressent.
Il finit par fatiguer, et se met sur le dos. Je le prends en missionnaire. Il attrape aussitôt ma nuque et m’embrasse : « j’adore ta grosse queue en moi, continue ». Tu viens glisser ta queue entre nos lèvres. Et te faire lécher par Thibault et moi en même temps. Je me redresse pour regarder Thibault te sucer. Celui-ci pousse mes fesses avec ses mains. Sa tête est tournée pour mieux te sucer. Ma jalousie s’éclipse un peu à la vue du corps de Thibault pénétré analement et oralement en même temps. Mignon, sexuel, il se livre. Je réalise un fantasme caché. L’espace de quelques instants j’oublie tout, débranche mon cerveau et mes repères moraux, et je prends vraiment du plaisir.
Je finis par me redresser sur mes genoux. Je prends les chevilles de Thibault dans mes mains et continue à l’enculer. Il bande. Tu t’es penché pour l’embrasser sur la bouche. Tu lui caresses le torse. Je suis à nouveau jaloux de l’attention que tu lui donnes. Vous ne vous quittez pas des yeux. Mais je suis excité. Deux éphèbes qui se donnent en spectacle devant moi, c’est chaud. J’essaie de ne pas faire le lien avec notre amour. De voir ça comme un porno. Je bande plus fort en vous regardant.
- Assieds-toi sur mon visage
Tu obéis à Thibault. Tu me fais face. Je t’observe gémir, fermer les yeux, sous les coups de langues de Thibaut : « oh c’est bon continue ». Tu te penches. On s’embrasse longuement. Tu descends pour le sucer. Et Thibault te suce. Vous êtes en 69, pendant que j’encule Thibault. Thibault lâche ta queue « putain les mecs, c’est le pied, continuez »On reste ainsi longtemps, jusqu’à ce que tu fatigues, et vienne à nouveau te tenir aux cotés de Thibault pour te faire sucer. La cadence s’accélère.
- Jouissez en moi tous les deux en même temps
On accélère et se synchronise. Thibault se branle en même temps. Au moment où je jouis dans son cul et toi dans sa bouche, il éjacule sur son ventre lisse et imberbe. Il lâche ta queue : « putain c’était génial ». Tu l’embrasses. Vous vous regardez dans les yeux. Je ne sais pas où me mettre.
Je sors de Thibault. Tu te penches pour me sucer, comme pour l’impressionner« Putain, là c’est vraiment chaud ». Il t’encourage en te caressant. Vous riez tous les deux.
Je m’absente un moment dans la salle de bains attenante, histoire de me rincer un peu. Je n’ai pas vraiment envie de m’attarder ici…Quand je reviens, vous êtes enlacés, les lèvres soudées, deux doigts dans ton cul. Les lèvres se décollent
- J’ai trop envie d’éclater ton p’tit cul maintenant, tourne-toi
Il te met à quatre pattes, tête dans l’oreiller et commence à te lécher le cul. Je m’approche et Thibault m’aperçoit
- Prêt près le deuxième round ?
Thibault se met du gel sur la bite et rentre doucement en toi par derrière. Tu soupires de plaisir. Je regarde. Encore une fois tout se bouscule dans ma tête. Intérieurement, je bouille. Un autre que moi est en train de te pénétrer. De te sodomiser. J’ai du mal à accepter. Mais ce que je vois ce sont deux twinks parfaits. En train de baiser, doggy style. Je regarde cette belle bite rentrer et sortir de te fesses. Mon fantasme absolu. Le genre de scène devant lequel je me suis tant de fois branlé. J’essaie de surmonter la jalousie.
Tu as l’air si content. La tête basculant dans tous les sens sous les coups de queue de Thibault, tu me souris. On s’embrasse passionnément sur la bouche. Mais Thibault te baise sauvagement et tu as du mal à rester en place.
- Eh, tout doux !
Pas de réponse de Thibault. Juste un « donne-moi ta queue » qui sort de ta bouche. Tu commences à me sucer. Et tu pousses immédiatement des gémissements de plaisir. Tu accordes le rythme de tes succions aux coups de bite de Thibault.
- T’aime-te faire prendre des deux côtes, hein ?
Tu lâches ma bite. « Oh, c’est génial, oui, j’adore ». Et tu recommences ta fellation. Thibault me regarde fixement tout en donnant des violents coups de bite. Son regard provocateur me déplait. Il a l’air sur de lui, comme s’il testait ma jalousie. Je baisse les yeux, et te tiens par les épaules pour mieux te tenir en place. En tout cas, toi, tu as l’air d’adorer ce qu’on te fait…
- Mets-toi sur le dos
Tu obéis tout de suite, jambes écartées. Thibault s’est mis au bord du lit. Il t’encule en écartant bien tes jambes avec ses mains. Il va profondément en toi. Je suis resté sur le lit, à genoux, et tu prends aussitôt ma bite dans ta bouche. Je regarde ton petit corps d’éphèbe se faire pénétrer analement et oralement. Oui, j’en ai rêvé. J’ai parfois imaginé que tu te faisais prendre comme ça, objet sexuel de désir. Ça me fait bander, ça me plait. Mais quand je lève les yeux vers Thibault et que je réalise que c’est un autre qui te baise, je redeviens jaloux.
J’ai envie de toi, de te prendre maintenant. Je me lève et me mets près de Thibault. Il me regarde. J’observe ses petites fesses bouger. Il m’embrasse sur la bouche
- A ton tour, baise-le
Il me laisse la place et je t’encule dans la même position. Thibault est venu te donner sa queue, excité que tu la suces alors qu’elle sort juste de toi. Ça lui fait beaucoup d’effet. Il se met ensuite à t’embrasser. Vos langues sont sorties et se titillent. Il caresse ton torse et tes seins. Mais très vite, il revient se placer près de moi
- A mon tour, maintenant
C’est vraiment lui qui décide de tout… Il continue à t’enculer par devant, puis te fait relever pour te prendre par derrière, tous les deux debout. J’aime ce que je vois. Deux minets debout, empalés l’un dans l’autre. Je caresse les fesses de Thibault, je le sens bouger. Je me suis placé derrière lui. J’embrasse ses épaules. Il sent ma queue contre sa raie.
- Prends moi… on va faire une chaine
Tu ris d’excitation. Je m’introduis dans le corps immobile de Thibault qui s’est penché sur toi.
- Bougez pas, c’est moi qui donne le rythme
On obéit et c’est effectivement lui qui impose les mouvements, glissant contre ma bite pour mieux te pénétrer. On essaie de bouger un peu, mais c’est lui contrôle. Tu continues à pousser des petits rires de plaisir, la situation de plait : j’encule Thibault qui t’encule… Dur de tenir ainsiThibault nous fait mettre sur le lit, couchés sur le flanc pour refaire la même chaine : toi, lui et moi emboités, jambes levées pour nous prendre sur le côté, tous en ciseaux. Comme dans un porno. Ça marche un peu, mais c’est difficile de rester tous emboités en même temps. Thibault s’impatiente
- Bon les mecs, vous n’êtes pas très doué… Adrien, viens t’empaler plutôt sur moi
Il se met sur le dos, bite verticale et tu viens t’assoir sur lui. Il saisit ma queue et se la plante dans la bouche. Il t’encule et me suce, avec beaucoup d’énergie. Soucieux surtout de son plaisir. Il te pilonne bien, donne de gros coups de bassin. Tu adores. Tête en arrière, yeux clos, bouche ouverte, queue verticale. Tu finis par te mettre sur tes pieds et c’est toi qui dictes le rodéo maintenant. De plus en plus vif
- Matthieu, suce Adrien, je vais le faire jouir du cul dans ta bouche- Oh ouais génial, vas y
Je plante ma bouche sur la queue de mon chéri, la garde bien en bouche. Thibault accélère, je l’entends crier, et toi aussi et je sens ton foutre chaud se déverser dans ma bouche. J’avale sans réfléchir
- Oh putain, c’était incroyable- Ouais, top !
Les trois corps nus s’effondrent. Thibault reprend son souffle, fier de son œuvre. Il me touche la bite
- T’as pas joui ? Lève-toi
Je me redresse et il commence à me sucer. Sans abandonner ma queue, il tourne doucement la tête, et te jettes des regards. A genoux tu avances vers la queue et je regarde vos deux visages d’ange s’affairer ensemble sur ma bite. C’est incroyablement sexy… Très coquin. Vous vous interrompez pour vous embrasser devant moi. Puis vos deux bouches se touchent et partagent mon gland. Une langue continue, puis l’autre glisse le long de mon chibre. Puis mes couilles. Les sensations… deux bouches, deux langues sont incroyables. Je ne peux pas me retenir longtemps. J’éjacule sur les deux visages et en partie dans les deux bouches. Le sperme est partout. Les deux langues le partage… il mousse de salive et circule sur ma queue, dans sur les langues, puis s’échange de bouche en bouche. C’est incroyablement chaud… Vous poussez tous les deux des rires de gamin… J’ai du mal à reprendre mes esprits, alors que je vous vois filer vers la salle de bains, vos bites débandés et vos petites fesses s’agitant dans la course.
Beaucoup de rire, des bruits de douche… J’ai du mal à réaliser ce qui vient de se passer. Soudain j’entends
- Matthieu, tu viens nous rejoindre sous la douche ? Y a de la place pour 3 !
Je les rejoins dans une douche énorme, moderne, avec des jets latéraux. Mes deux amants sont joueurs, s’éclaboussent, se taquinent… deux gamins de 10 ans à la piscine
- C’était ton premier plan à 3 ? me demande Thibault- Oui… et toi ?
- Nan... j’ai fait le premier à 16 ans…
On se sèche rapidement… je n’ai pas envie de m’éterniser…Une serviette autour de la taille, Thibault s’allume un joint.
- Vous voulez de la beuh ?
- Nan, merci, on va y aller…- C’était top, on devrait recommencer
Je ne réponds pas… On quitte l’appartement. Je me sens bizarre
- C’était génial !!! Ça t’a plu ?
- Je sais pas… oui et non… c’est incroyable… mais c’est drôle de te voir avec un autre mec… je ne suis pas sûr d’aimer ça- Ah… ok…
On reste silencieux… Tu as l’air d’avoir vraiment aimé… Pour moi, j’ai constamment été tiraillé entre fantasme et jalousie… Je n’ai jamais été vraiment dans le trip…
Comme dans toutes mes histoires, les rapports sont non protégés. Dans la vraie vie, pensez à mettre des préservatifs.
Bonne lecture
Sylvain
==
Le début de l’année démarre en trombe… et c’est très vite difficile de garder le rythme. Je me retrouve très vite avec une montagne de travail, des reportages et des articles à écrire. De ton coté, tu es en examen les deux premières semaines. Notamment des révisions de dernières minutes, car je t’ai un peu tenu éloigné de tes bouquins pendant les vacances.
La logistique de nos rencontres devient vite compliquée. A cela, la neige abondante en ce mois de janvier vient perturber le trafic des trains de banlieue.
Je m’absente en province régulièrement pour tes reportages. Bien sûr, on s’envoie des SMS et on se parle au téléphone tous les jours, même très brièvement.
Un samedi, tu sors avec des amis, mais tu y vas sans moi. Je n’ai pas osé insister. Comme tu ne me le proposes pas, je me dis que c’est que c’est mieux ainsi pour toi.
Je me rends compte à quel point cela devient difficile à gérer. Boulot, relation, logistique. Je n’ai pas l’expérience de tout ça, malgré mon âge… tout cela est nouveau.
On arrive quand même à se voir deux fois en janvier, en coup de vent.
Un week-end, on a enfin nos agendas bien alignés, et on peut se retrouver à Paris chez moi. Après un repas bien arrosé chez des amis à moi, on rentre à la maison. J’ai un peu trop bu, et la semaine a été brutale au bureau. Je suis affale sur le dos. Tu es assez excité et commences à me déshabiller. Je grogne un peu
- Nan, pas ce soir bébé… je suis vraiment épuisé
Tu as l’air déçu. Tu fais la moue. Je n’ai pas le temps d’y penser, et je m’endors dès que la lumière est éteinte.
Les semaines passent incroyablement vite en ce début d’année. Nous sommes maintenant fin février, et les vacances sont là pour toi. Malheureusement, nous ne pourrons pas les passer ensemble. Avec ton école de commerce, vous partez en voyage d’études à New York pour deux semaines. Au programme : tourisme et visites d’entreprise. Tu as de la chance. Je suis déçu de ne pas pouvoir te voir – j’avais trop de boulot pour pouvoir poser mes congés de toutes les façons – mais je suis content pour toi.
Difficile de communiquer avec toi pendant ce temps-là, avec le décalage horaire. Je reçois quand même des SMS et des photos.
A ton retour, on s’appelle. Il est tard pour moi, mais tu es toujours à l’heure américaine, donc pas près d’aller au lit. Tu me donnes plus de détails. Tu as adoré ton voyage. Par contre, je sens quelque chose d’anormal dans ta voix. Je te connais suffisamment pour sentir quand quelque chose ne tourne pas rond. Je finis par te poser la question. Tu réponds par un silence gêné… tu ne sais pas comment me dire. Tu hésites. J’insiste. Tu finis par m’avouer que tu as couché avec un autre garçon pendant les vacances. Et que tu es désolé. Tu te sens mal. Tu ne pouvais pas garder ça pour toi. Je suis pris complètement par surprise. Je n’y attendais pas. Intérieurement je fulmine. Je suis furieux. Mais d’une colère blanche. Je me contiens pour ne pas crier. Je réponds par le silence. Tu meubles les blancs par des excuses. Tu finis par me confesser que ça faisait 3 semaines sans faire l’amour entre nous. Je repense à cette nuit ou j’étais trop fatigué pour te donner du plaisir.
Je ne sais pas quoi dire, pas quoi répondre. Je suis touché, blessé… mais mon cerveau est bloqué. Notre dispute lors de notre rupture me revient à l’esprit. Comment ça s’était terminé. Et c’est pour cela que je n’explose pas. Je me contente de te dire que c’est trop compliqué pour moi de réagir à chaud, que je suis fatigué et que j’ai besoin de digérer la nouvelle… Dans une ultime excuse, tu raccroches.
Je suis fatigué, mais je ne peux pas dormir… Quelle surprise. Je t’en veux. Oui… mais nous n’avions jamais évoqué la question de la fidélité et d’être exclusif. Pour moi ça allait de soi, comme une évidence. Mais peut-être pas pour toi. J’essaie de me calmer. Au téléphone, ce n’est pas le jeune adulte que j’aime que j’avais devant moi, mais l’ado impulsif. Celui qui va avec… celui avec lequel il faut que je fasse des compromis. Je sais qu’a ton âge, la fidélité est une notion compliquée. Je t’en veux, mais je t’aime. Et la dernière des choses que je souhaite, c’est m’engueuler avec toi, et prendre le risque de te perdre. Je finis par me convaincre qu’après tout, ce n’est pas si grave que ça. Est-ce que tu m’aimes ? Oui. Est-ce que je t’aime ? Oui. Est-ce que beaucoup de jeunes gays ont des relations non exclusives ? Probablement, en tout cas c’est l’idée que je me fais. Je m’étais promis de tout faire pour te garder après notre première rupture. Je t’aime trop. Je suis prêt à changer… à faire des compromis.
On se retrouve le lendemain. Comme si de rien n’était. Je pense que tu t’attends à ce que je sois de mauvaise humeur. Mais non, je suis content de te revoir. Je veux que tout marche entre nous. Dans la bonne humeur. On passe donc une excellente journée ensemble et on fait l’amour. C’est chaud, sensuel et très aimant. Tu es vraiment un excellent amant. Notre nuit est bonne, sexuellement.
Apres l’amour, nus et désarmés, on se parle
- Je ne t’en veux pas, pour l’autre jour- Je suis vraiment désolé…
Je te caresse doucement
- On n’en a jamais parlé… mais je comprends que tu veuilles en peu en profiter… et vivre ton expérience avec d’autres mecs.
- Tu veux dire une relation ouverte ?
- Oui c’est ça… tu es plus jeune que moi, tu as des besoins différents. Donc si une fois de temps en temps, tu es tenté, ça ne me dérange pas… tant que c’est pas 3 fois par semaine
Tu souris. Tu te contentes d’un « Ok »J’ai encore un peu de mal à admettre ce que je viens de dire. Ce n’est pas vraiment ce qui me plait le plus, ni ce que j’espérais… mais je me dis que c’est mieux ainsi. Si je t’impose trop de choses, je risque de te perdre… et je ne veux pas vivre sans toi. Alors, voilà, je vais faire comme d’autres couples font surement.
Dans les semaines qui suivent, tout semble bien marcher entre nous. Certes la logistique reste compliquée, mais tu sembles épanoui. Et en fait, le sexe est même excellent entre nous. Tu es très chaud et tu te donnes complètement à moi. Je ne sais si tu couches à gauche à droite, mais ça n’a pas l’air de changer quoi que ce soit. Malgré tout, notre relation reste un peu difficile, et on ne se voit pas aussi souvent que je le voudrais. Mais bon, c’est comme ça.
Je commence un peu à réfléchir au futur. Maintenant que je t’ai libéré du poids de la fidélité, j’aimerais bien pouvoir construire un peu avec toi en parallèle. Faire quelques projets qui nous rapprocheraient, en dehors de sexe. Je commence un peu à évoquer le sujet. Pourquoi de longues vacances ensemble cet été ? Je sais bien que tu risques d’être en stage, mais ça nous rapprocherait… Tu ne dis pas non, et on y réfléchira. De ton coté, tu passes aussi de plus en plus de temps avec tes amis sur le campus et aussi à Paris maintenant…Nous sommes maintenant en avril, et un samedi après-midi nous nous baladons dans Paris ensemble. Le temps est beau. C’est le printemps. On se balade dans le 6eme. Un de nos quartiers préférés, pas dans mes moyens malheureusement. Tu pianotes sur ton téléphone… Un de tes bons amis d’école de commerce, Thibault, que je me souviens d’avoir croisé une fois, habite dans le quartier. Tu lui as envoyé un SMS pour plaisanter et lui dire qu’on était dans le coin… il t’a alors proposé qu’on passe.
Je suis un peu surpris, car depuis quelques semaines, on voit moins tes amis ensemble…
L’appartement de Thibault, en tout cas celui de ses parents est impressionnant. Un triplex énorme. Du grand luxe avec du mobilier moderne… je me remets en mémoire ce que tu m’avais expliqué de Thibault. Précoce, 18 ou 19 ans. Un père expatrié aux Etats Unis, une mère pianiste professionnelle. Mignon, mince, brun, les cheveux un peu frisés, petit de taille.
Thibault est seul chez lui. Il nous propose des bières. Tu es déjà venu ici apparemment, et me fait visiter avec Thibault. Il y a une énorme terrasse extérieure. La vue sur les toits de Paris est magnifique.
L’alcool, l’endroit, les regards de Thibault. La tension érotique est palpable. Je regarde Thibault. Des habits de grandes marques. Une chemise bien déboutonnée sur un torse fin et imberbe. Il est pieds nus sur la moquette épaisse… Je ne trompe pas quand j’observe une bosse sous son jean… Ces yeux ont croisé les miens. Il a vu que j’avais vu…Il y a des silences gênés. A côté de moi, tu es bien conscient de ce qui se passe. Tu prends ma main doucement et la mets sur ton paquet. Tu bandes toi aussiThibault, sarcastique et joueur, déclare :
- Bon, je crois que vous allez y aller maintenant… vous allez l’air d’avoir des projects précis pour cet après midi- A moins que… répond Adrien
Thibault s’avance vers nous et nous touche tous les deux.
- … à moins que vous préfériez rester ici…. En bonne compagnie
Je suis statufié ! Ça ressemble à des dialogues de série B, version porno… Suis-je en train de rêver ? Je suis paralysé… mais ma bite, elle, a choisi son camp. Je bande comme un fou… Tu me lances un regard… mignon, malicieux… celui que tu utilises pour me séduire… celui auquel je ne sais pas dire non…Je suis perdu… pas motivé, sceptique, mais hypnotisé par Adrien et Thibault…. Et comme d’habitude je ne sais pas dire non. Je ne veux pas dire non. Plutôt que de te laisser baiser avec un autre, pourquoi ne pas faire ça avec toi.
Je n’ai jamais fait de plan à trois… il faut un début à tout.
Je me laisse faire. Tu m’embrasses sur les lèvres. Thibault sourit
- Venez dans ma chambre
On le suit dans une chambre immense. Dedans, un très grand lit. Des placards remplis de vêtements. Et tous les gadgets possibles. Ecran plat gigantesque, ordinateur, oculus, jeux vidéo.
Je n’ai pas vraiment le temps de prendre connaissance de l’environnement. Je ne sais pas trop où me mettre ni quoi faire. Tu m’embrasses. Thibault s’approche et vous vous embrassez sur la bouche… Je tressaille. Tu en embrasses un autre. Je ressens tout de suite de la jalousie. Ça me fait un effet bizarre. Mais Thibault m’embrasse à son tour. Doucement. Je ferme les yeux. J’essaie de ne pas trop penser.
Les baisers continuent, échangés à plusieurs. Thibault commence à se déshabiller. Tu me retires le haut. Et je te fais pareil. Torses nus, on se caresse et s’embrasse. Thibault se rapproche. Entièrement nu. Il est beau. Mince, imberbe. Une bite de belle taille pour son gabarit. Il se met à genoux et me dessape. Pendant ce temps, tu te mets à poil. Mon sexe sort de mon jean comme un diable
- Hmmm encore plus belle et grosse en vrai
Qu’est-ce que ça veut dire ? Est-ce que Thibault l’a déjà vue ? Ça veut dire que tu lui as montré nos sex tapes… Je n’ai pas le temps de réfléchir et il me prend en entier dans la bouche, en gorge profonde. Je ne peux résister. Je penche la tête, ferme les yeux et soupire. Tu te blottis, nu contre moi. Et on s’embrasse. Thibault me suce et je dois dire qu’il est très doué…A genoux, il continue sa fellation et te branle en même temps. Puis il inverse. Te lèche les couilles. Il s’affaire et donne du plaisir à nos deux bites avec ses mains, sa bouche et sa langue. Il rapproche les deux bites de sa bouche. Les glands se touchent. Et Thibault passe sa langue sur les deux en même temps. Dur de résister au spectacle de ce petit minet qui s’affaire sur deux queues. Comme dans le meilleur porno. Pendant ce temps, on s’embrasse à pleine bouche, et se caresse le torse, les seins et les fesses.
Thibault se redresse. Il nous embrasse à tour de rôle, langues sorties. Les trois langues finissent par se regrouper en un baiser a trois. Thibault a une main sur mes fesses, et l’autre sur les tiennes. Il te regarde : « suce-nous maintenant »Je sens l’emprise que Thibault a sur toi. Le ton, le regard. Tu obéis sagement… A ton tour de jouer avec deux bites. Tu as l’air ravi de cette nouvelle expérience. Tu joues. Tu les branles ensemble…Thibault te regarde, t’encourage. Puis se retourne pour m’embrasser à pleine bouche. Sa langue rentre et tourne autour de la mienne.
Il se détache soudain et s’assieds au bord du lit, jambes écartées. Il me regarde : « suce-moi maintenant ». Docile moi aussi, je me mets entre les jambes et commence à sucer
- Ah putain, c’est bon, continue
Sa main me caresse les cheveux et positionne ma tête comme il l’entend
- Monte sur le lit et donne-moi ta queue
Tu grimpes sur le lit, à genoux, à côté de Thibault et celui-ci commence à te sucer. On n’entend que les bruits de sucions, de salive, juste entrecoupés de soupirs. Quand je lève les yeux, je te vois en train de te faire sucer, branler. Je suis troublé. Tu as l’air de prendre ton pied, mais je n’arrive pas à faire abstraction de ma jalousie, qu’un autre que moi te donne du plaisir.
La chaine de fellations continue un moment. Thibault se lève et se met à quatre pattes
- Bouffe-moi le cul
Là encore, j’ai décidé de suivre sans me poser de questions. Le petit cul de Thibault est magnifique. Petit, rond. Comme le tien. Entièrement rasé. Son anus est un peu plus charnu et sombre que le tien. Je lèche doucement. Il soupire et jure aussitôt : « oh oui vas-y avec la langue, lèche-moi »Il t’attrape par la nuque et t’embrasse sauvagement. Allonge-toi devant, je vais te sucer. Toujours en charge des opérations, Thibault se fait maintenant lécher le cul, tout en te suçant. Je te cherche du regard, mais tu m’ignores. Tu admires Thibault et lui caresse les cheveux. Celui-ci finit par te relever les cuisses pour te lécher les couilles puis l’anus. Tu te mets à gémir aussi. Je plonge la tête dans la raie pour ignorer...
Haletant, Thibault me lance : « encule-moi maintenant, y a du gel dans la table de nuit – mets pas de capote. » Je me rends aussitôt vers la table de nuit. Le tiroir est plein de sex toys, notamment des godes, plugs, cockrings… je saisis le lube. Dans mon dos, j’entends des bruits de baisers, de bouches qui se collent :
- J’vais t’sucer en même temps, je veux que vous preniez par devant et par derrière ensemble- Mmmhh… c’est trop chaud ; j’aimerais aussi faire ça- T’inquiète, on te fera ça après aussi
Puis des bruits de baisers sonoresThibault m’attend à quatre pattes. Je lubrifie son cul et ma bite, puis rentre très facilement en lui. Dès que je démarre la sodo, il commence à te sucer. On le prend des deux côtes. Nos regards se trouvent. Tu es extatique
- Oh putain c’est trop bon
Tu attends mon approbation. Je suis moins enthousiaste. Je te souris. On se penche au-dessus du corps de Thibault pour s’embrasser. Thibault, la bouche pleine, pousse des gissements. Il lâche parfois ta queue pour jurer : « oh continuez, baisez-moi en rythme ». On accorde nos mouvements. Nos mains le caressent.
Il finit par fatiguer, et se met sur le dos. Je le prends en missionnaire. Il attrape aussitôt ma nuque et m’embrasse : « j’adore ta grosse queue en moi, continue ». Tu viens glisser ta queue entre nos lèvres. Et te faire lécher par Thibault et moi en même temps. Je me redresse pour regarder Thibault te sucer. Celui-ci pousse mes fesses avec ses mains. Sa tête est tournée pour mieux te sucer. Ma jalousie s’éclipse un peu à la vue du corps de Thibault pénétré analement et oralement en même temps. Mignon, sexuel, il se livre. Je réalise un fantasme caché. L’espace de quelques instants j’oublie tout, débranche mon cerveau et mes repères moraux, et je prends vraiment du plaisir.
Je finis par me redresser sur mes genoux. Je prends les chevilles de Thibault dans mes mains et continue à l’enculer. Il bande. Tu t’es penché pour l’embrasser sur la bouche. Tu lui caresses le torse. Je suis à nouveau jaloux de l’attention que tu lui donnes. Vous ne vous quittez pas des yeux. Mais je suis excité. Deux éphèbes qui se donnent en spectacle devant moi, c’est chaud. J’essaie de ne pas faire le lien avec notre amour. De voir ça comme un porno. Je bande plus fort en vous regardant.
- Assieds-toi sur mon visage
Tu obéis à Thibault. Tu me fais face. Je t’observe gémir, fermer les yeux, sous les coups de langues de Thibaut : « oh c’est bon continue ». Tu te penches. On s’embrasse longuement. Tu descends pour le sucer. Et Thibault te suce. Vous êtes en 69, pendant que j’encule Thibault. Thibault lâche ta queue « putain les mecs, c’est le pied, continuez »On reste ainsi longtemps, jusqu’à ce que tu fatigues, et vienne à nouveau te tenir aux cotés de Thibault pour te faire sucer. La cadence s’accélère.
- Jouissez en moi tous les deux en même temps
On accélère et se synchronise. Thibault se branle en même temps. Au moment où je jouis dans son cul et toi dans sa bouche, il éjacule sur son ventre lisse et imberbe. Il lâche ta queue : « putain c’était génial ». Tu l’embrasses. Vous vous regardez dans les yeux. Je ne sais pas où me mettre.
Je sors de Thibault. Tu te penches pour me sucer, comme pour l’impressionner« Putain, là c’est vraiment chaud ». Il t’encourage en te caressant. Vous riez tous les deux.
Je m’absente un moment dans la salle de bains attenante, histoire de me rincer un peu. Je n’ai pas vraiment envie de m’attarder ici…Quand je reviens, vous êtes enlacés, les lèvres soudées, deux doigts dans ton cul. Les lèvres se décollent
- J’ai trop envie d’éclater ton p’tit cul maintenant, tourne-toi
Il te met à quatre pattes, tête dans l’oreiller et commence à te lécher le cul. Je m’approche et Thibault m’aperçoit
- Prêt près le deuxième round ?
Thibault se met du gel sur la bite et rentre doucement en toi par derrière. Tu soupires de plaisir. Je regarde. Encore une fois tout se bouscule dans ma tête. Intérieurement, je bouille. Un autre que moi est en train de te pénétrer. De te sodomiser. J’ai du mal à accepter. Mais ce que je vois ce sont deux twinks parfaits. En train de baiser, doggy style. Je regarde cette belle bite rentrer et sortir de te fesses. Mon fantasme absolu. Le genre de scène devant lequel je me suis tant de fois branlé. J’essaie de surmonter la jalousie.
Tu as l’air si content. La tête basculant dans tous les sens sous les coups de queue de Thibault, tu me souris. On s’embrasse passionnément sur la bouche. Mais Thibault te baise sauvagement et tu as du mal à rester en place.
- Eh, tout doux !
Pas de réponse de Thibault. Juste un « donne-moi ta queue » qui sort de ta bouche. Tu commences à me sucer. Et tu pousses immédiatement des gémissements de plaisir. Tu accordes le rythme de tes succions aux coups de bite de Thibault.
- T’aime-te faire prendre des deux côtes, hein ?
Tu lâches ma bite. « Oh, c’est génial, oui, j’adore ». Et tu recommences ta fellation. Thibault me regarde fixement tout en donnant des violents coups de bite. Son regard provocateur me déplait. Il a l’air sur de lui, comme s’il testait ma jalousie. Je baisse les yeux, et te tiens par les épaules pour mieux te tenir en place. En tout cas, toi, tu as l’air d’adorer ce qu’on te fait…
- Mets-toi sur le dos
Tu obéis tout de suite, jambes écartées. Thibault s’est mis au bord du lit. Il t’encule en écartant bien tes jambes avec ses mains. Il va profondément en toi. Je suis resté sur le lit, à genoux, et tu prends aussitôt ma bite dans ta bouche. Je regarde ton petit corps d’éphèbe se faire pénétrer analement et oralement. Oui, j’en ai rêvé. J’ai parfois imaginé que tu te faisais prendre comme ça, objet sexuel de désir. Ça me fait bander, ça me plait. Mais quand je lève les yeux vers Thibault et que je réalise que c’est un autre qui te baise, je redeviens jaloux.
J’ai envie de toi, de te prendre maintenant. Je me lève et me mets près de Thibault. Il me regarde. J’observe ses petites fesses bouger. Il m’embrasse sur la bouche
- A ton tour, baise-le
Il me laisse la place et je t’encule dans la même position. Thibault est venu te donner sa queue, excité que tu la suces alors qu’elle sort juste de toi. Ça lui fait beaucoup d’effet. Il se met ensuite à t’embrasser. Vos langues sont sorties et se titillent. Il caresse ton torse et tes seins. Mais très vite, il revient se placer près de moi
- A mon tour, maintenant
C’est vraiment lui qui décide de tout… Il continue à t’enculer par devant, puis te fait relever pour te prendre par derrière, tous les deux debout. J’aime ce que je vois. Deux minets debout, empalés l’un dans l’autre. Je caresse les fesses de Thibault, je le sens bouger. Je me suis placé derrière lui. J’embrasse ses épaules. Il sent ma queue contre sa raie.
- Prends moi… on va faire une chaine
Tu ris d’excitation. Je m’introduis dans le corps immobile de Thibault qui s’est penché sur toi.
- Bougez pas, c’est moi qui donne le rythme
On obéit et c’est effectivement lui qui impose les mouvements, glissant contre ma bite pour mieux te pénétrer. On essaie de bouger un peu, mais c’est lui contrôle. Tu continues à pousser des petits rires de plaisir, la situation de plait : j’encule Thibault qui t’encule… Dur de tenir ainsiThibault nous fait mettre sur le lit, couchés sur le flanc pour refaire la même chaine : toi, lui et moi emboités, jambes levées pour nous prendre sur le côté, tous en ciseaux. Comme dans un porno. Ça marche un peu, mais c’est difficile de rester tous emboités en même temps. Thibault s’impatiente
- Bon les mecs, vous n’êtes pas très doué… Adrien, viens t’empaler plutôt sur moi
Il se met sur le dos, bite verticale et tu viens t’assoir sur lui. Il saisit ma queue et se la plante dans la bouche. Il t’encule et me suce, avec beaucoup d’énergie. Soucieux surtout de son plaisir. Il te pilonne bien, donne de gros coups de bassin. Tu adores. Tête en arrière, yeux clos, bouche ouverte, queue verticale. Tu finis par te mettre sur tes pieds et c’est toi qui dictes le rodéo maintenant. De plus en plus vif
- Matthieu, suce Adrien, je vais le faire jouir du cul dans ta bouche- Oh ouais génial, vas y
Je plante ma bouche sur la queue de mon chéri, la garde bien en bouche. Thibault accélère, je l’entends crier, et toi aussi et je sens ton foutre chaud se déverser dans ma bouche. J’avale sans réfléchir
- Oh putain, c’était incroyable- Ouais, top !
Les trois corps nus s’effondrent. Thibault reprend son souffle, fier de son œuvre. Il me touche la bite
- T’as pas joui ? Lève-toi
Je me redresse et il commence à me sucer. Sans abandonner ma queue, il tourne doucement la tête, et te jettes des regards. A genoux tu avances vers la queue et je regarde vos deux visages d’ange s’affairer ensemble sur ma bite. C’est incroyablement sexy… Très coquin. Vous vous interrompez pour vous embrasser devant moi. Puis vos deux bouches se touchent et partagent mon gland. Une langue continue, puis l’autre glisse le long de mon chibre. Puis mes couilles. Les sensations… deux bouches, deux langues sont incroyables. Je ne peux pas me retenir longtemps. J’éjacule sur les deux visages et en partie dans les deux bouches. Le sperme est partout. Les deux langues le partage… il mousse de salive et circule sur ma queue, dans sur les langues, puis s’échange de bouche en bouche. C’est incroyablement chaud… Vous poussez tous les deux des rires de gamin… J’ai du mal à reprendre mes esprits, alors que je vous vois filer vers la salle de bains, vos bites débandés et vos petites fesses s’agitant dans la course.
Beaucoup de rire, des bruits de douche… J’ai du mal à réaliser ce qui vient de se passer. Soudain j’entends
- Matthieu, tu viens nous rejoindre sous la douche ? Y a de la place pour 3 !
Je les rejoins dans une douche énorme, moderne, avec des jets latéraux. Mes deux amants sont joueurs, s’éclaboussent, se taquinent… deux gamins de 10 ans à la piscine
- C’était ton premier plan à 3 ? me demande Thibault- Oui… et toi ?
- Nan... j’ai fait le premier à 16 ans…
On se sèche rapidement… je n’ai pas envie de m’éterniser…Une serviette autour de la taille, Thibault s’allume un joint.
- Vous voulez de la beuh ?
- Nan, merci, on va y aller…- C’était top, on devrait recommencer
Je ne réponds pas… On quitte l’appartement. Je me sens bizarre
- C’était génial !!! Ça t’a plu ?
- Je sais pas… oui et non… c’est incroyable… mais c’est drôle de te voir avec un autre mec… je ne suis pas sûr d’aimer ça- Ah… ok…
On reste silencieux… Tu as l’air d’avoir vraiment aimé… Pour moi, j’ai constamment été tiraillé entre fantasme et jalousie… Je n’ai jamais été vraiment dans le trip…
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