Agnès (1)
Récit érotique écrit par Coldside [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Agnès (1)
La sonnette vient à peine de tinter qu’ Agnès ouvre la porte à Michelle, sa sœur cadette.
- Bonjour petite sœur l'accueille-t-elle en l’embrassant sur les joues.
- Bonjour ma vieille et arrête de m’étouffer se moque Michelle.
Il n’y a que trois ans d’écart entre les deux mais la plus jeune a toujours aimé taquiner son aînée.
Lorsqu’elles sont réunies, rien n’indique qu’elles sont de la même famille. Agnès est blonde, les cheveux légèrement bouclés, petite, quelque peu enveloppée et complexée par ses seins qu’elle trouve trop petits et ses fesses qu’elle trouve trop grosses. Michelle est, quant à elle, grande, les cheveux bruns coupés en carré, menue, sans aucun complexe. Mais il y a un point qu’elles ont en commun : elles ne font pas leur âge. Personne ne donne 63 ans à l’aînée et 60 à la cadette.
La plus jeune est célibataire mais ne manque pas de prétendants tandis que l’aînée est fraîchement divorcée après 41 ans de mariage et cela Michelle a du mal à le comprendre.
- Tu vas me dire pourquoi tu as divorcé demande-t-elle pour la énième fois.
Et comme toujours, Agnès reste muette.
- Vous sembliez très heureux, insiste Michelle.
- Bon, tu vas arrêter avec ça, cela ne te regarde pas lance Agnès qui se lève pour se rendre dans la cuisine.
Quelque peu déconcertée, la cadette s’approche de la bibliothèque et y découvre, entre 2 livres, une photo de sa sœur entourée de deux clowns.
- C’est quoi cette photo questionne-t-elle.
A sa vue, Agnès fond en larmes. Malgré le réconfort de sa sœur, elle n'arrive pas à se calmer mais surtout cette photo, elle lui remémore un fait qui s’est passé il y a un peu moins de deux ans.
Elle et son mari Daniel sont en weekend dans une station balnéaire. Après avoir déjeuné dans un restaurant, ils parcourent les rues de la ville et arrivent dans une impasse qui se termine par une étendue d’herbe où est installé un cirque et son chapiteau.
- Viens, on va le visiter, dit Agnès.
- Oh non, ça ne m'intéresse pas répond Daniel en tournant les talons.
- Tu fais comme tu veux mais moi j’y vais s’obstine-t-elle en avançant dans le champ de
foire.
Sachant sa femme têtue, Daniel finit par la suivre en bougonnant.
Après plusieurs minutes de déambulation au milieu d’animaux sauvages en cage et d’autres plus paisibles qui paissent sans retenue, ils parviennent où sont stationnées les caravanes et, devant l’une d’elles, un homme et deux clowns discutent. En passant devant eux, l’homme se lève et les interpelle
- Bonjour, je m’appelle Guido et voici mes amis Bibo et Buto. Je suis photographe et si vous voulez, je peux faire un cliché pour dix euros.
- C’est une bonne idée. Viens chéri, ça fera un souvenir se réjouit Agnès.
- Oh non, tu sais que je n’aime pas me voir en photo et on va être ridicule grommelle Daniel.
- Ce n’est rien Madame, Bibo et Buto peuvent vous accompagner si ça ne vous dérange pas,
et pour le même prix, réagit Guido.
- Super. En photo avec des clowns, ça me changera d’un rabat-joie convient-elle en lançant
un grand sourire à son mari.
Elle se place entre les deux clowns et, après la prise de vue, avoir réglé et donné son adresse pour l’envoi de la photographie, elle rejoint son mari qui l’attend un peu plus loin.
- Tu es contente de toi, du spectacle que tu as donné. A ton âge, se faire photographier avec des clowns comme une gamine, rage Daniel.
Avant qu’elle ne réplique, il fait demi-tour, la laissant seule au milieu des caravanes. Après avoir digéré la remarque de son mari, elle part à sa recherche, sans succès et la voilà de retour à son point de départ. Elle se dirige alors vers les clowns toujours assis devant leur caravane, en tenue et maquillés, et leur demande s' ils n’auraient pas vu son mari.
- Non, répondent-ils mais si vous voulez, nous pouvons chercher avec vous.
Acceptant la proposition, ils font le tour des installations sans plus de succès et se retrouvent à l’endroit où est stocké le matériel du cirque.
- Votre mari est complètement inconscient, dit Bibo en se rapprochant.
- C’est vrai, laisser seule une si belle femme réplique Buto en s’avançant.
- Surtout avec de si jolis attraits enchérit Bibo en posant une main sur une fesse d’Agnès.
- Tu as raison, elle a de belles courbes ajoute Buto en posant sa main sur l’autre fesse.
Vêtue d’une robe d’été légère aux motifs floraux, elle a la sensation que les mains qui tripotent son fessier sont à même sa peau. L’encolure de la robe est en forme de coeur et dévoile le dessus de sa poitrine
- C’est pas mal non plus lance Bibo en saisissant un sein avec l’autre main.
- Ils sont effectivement bien ronds et fermes répond Buto en prenant à pleine main le
second.
Agnès, tétanisée, reste les bras ballants, à se faire malaxer les fesses et pétrir les seins jusqu’à ce que Buto déboutonne la robe qui tombe sur les chevilles de la sexagénaire, dévoilant ses dessous en dentelle jaune qui entraîne un sifflement de la part de Bibo et un sursaut dans l’activité de tripotage.
Entre leurs mains, elle n’est rien d’autre qu’une marionnette et c’est sans réaction qu’elle se laisse poser les mains sur l’entrejambe des deux clowns.
- Masses-nous le sexe ordonne l’un des deux
Obéissante et de façon mécanique, elle palpe, au travers du tissu, la bosse que chacun a dans son pantalon jusqu’à ce que ceux-ci tombent et laissent apparaître deux pénis droits comme des i
- Prends-les en mains et branles-nous commande Bibo
Et pour la première fois, Agnès se défend
- Je ne peux pas faire ça et puis vous êtes trop jeunes, c’est dégoûtant.
Saisissant chacun une main, il la force à la poser sur leur sexe et lui imprime un mouvement de bas en haut qu’elle continue tel un automate après qu’ils aient relâché leur emprise
- Elle fait ça bien hein Bibo constate Buto
- Sûr, elle a dû en branler quelques-unes dans sa vie. Combien en as-tu branler demande
Bibo
-Je n’ai connu que mon mari murmure Agnès rougisseant
- C’est pas vrai. Tu entends ça, une femme de son âge qui n’a vu qu’une seule bite.
- C’est vraiment ton jour de chance alors s'esclaffe Buto.
(à suivre)
- Bonjour petite sœur l'accueille-t-elle en l’embrassant sur les joues.
- Bonjour ma vieille et arrête de m’étouffer se moque Michelle.
Il n’y a que trois ans d’écart entre les deux mais la plus jeune a toujours aimé taquiner son aînée.
Lorsqu’elles sont réunies, rien n’indique qu’elles sont de la même famille. Agnès est blonde, les cheveux légèrement bouclés, petite, quelque peu enveloppée et complexée par ses seins qu’elle trouve trop petits et ses fesses qu’elle trouve trop grosses. Michelle est, quant à elle, grande, les cheveux bruns coupés en carré, menue, sans aucun complexe. Mais il y a un point qu’elles ont en commun : elles ne font pas leur âge. Personne ne donne 63 ans à l’aînée et 60 à la cadette.
La plus jeune est célibataire mais ne manque pas de prétendants tandis que l’aînée est fraîchement divorcée après 41 ans de mariage et cela Michelle a du mal à le comprendre.
- Tu vas me dire pourquoi tu as divorcé demande-t-elle pour la énième fois.
Et comme toujours, Agnès reste muette.
- Vous sembliez très heureux, insiste Michelle.
- Bon, tu vas arrêter avec ça, cela ne te regarde pas lance Agnès qui se lève pour se rendre dans la cuisine.
Quelque peu déconcertée, la cadette s’approche de la bibliothèque et y découvre, entre 2 livres, une photo de sa sœur entourée de deux clowns.
- C’est quoi cette photo questionne-t-elle.
A sa vue, Agnès fond en larmes. Malgré le réconfort de sa sœur, elle n'arrive pas à se calmer mais surtout cette photo, elle lui remémore un fait qui s’est passé il y a un peu moins de deux ans.
Elle et son mari Daniel sont en weekend dans une station balnéaire. Après avoir déjeuné dans un restaurant, ils parcourent les rues de la ville et arrivent dans une impasse qui se termine par une étendue d’herbe où est installé un cirque et son chapiteau.
- Viens, on va le visiter, dit Agnès.
- Oh non, ça ne m'intéresse pas répond Daniel en tournant les talons.
- Tu fais comme tu veux mais moi j’y vais s’obstine-t-elle en avançant dans le champ de
foire.
Sachant sa femme têtue, Daniel finit par la suivre en bougonnant.
Après plusieurs minutes de déambulation au milieu d’animaux sauvages en cage et d’autres plus paisibles qui paissent sans retenue, ils parviennent où sont stationnées les caravanes et, devant l’une d’elles, un homme et deux clowns discutent. En passant devant eux, l’homme se lève et les interpelle
- Bonjour, je m’appelle Guido et voici mes amis Bibo et Buto. Je suis photographe et si vous voulez, je peux faire un cliché pour dix euros.
- C’est une bonne idée. Viens chéri, ça fera un souvenir se réjouit Agnès.
- Oh non, tu sais que je n’aime pas me voir en photo et on va être ridicule grommelle Daniel.
- Ce n’est rien Madame, Bibo et Buto peuvent vous accompagner si ça ne vous dérange pas,
et pour le même prix, réagit Guido.
- Super. En photo avec des clowns, ça me changera d’un rabat-joie convient-elle en lançant
un grand sourire à son mari.
Elle se place entre les deux clowns et, après la prise de vue, avoir réglé et donné son adresse pour l’envoi de la photographie, elle rejoint son mari qui l’attend un peu plus loin.
- Tu es contente de toi, du spectacle que tu as donné. A ton âge, se faire photographier avec des clowns comme une gamine, rage Daniel.
Avant qu’elle ne réplique, il fait demi-tour, la laissant seule au milieu des caravanes. Après avoir digéré la remarque de son mari, elle part à sa recherche, sans succès et la voilà de retour à son point de départ. Elle se dirige alors vers les clowns toujours assis devant leur caravane, en tenue et maquillés, et leur demande s' ils n’auraient pas vu son mari.
- Non, répondent-ils mais si vous voulez, nous pouvons chercher avec vous.
Acceptant la proposition, ils font le tour des installations sans plus de succès et se retrouvent à l’endroit où est stocké le matériel du cirque.
- Votre mari est complètement inconscient, dit Bibo en se rapprochant.
- C’est vrai, laisser seule une si belle femme réplique Buto en s’avançant.
- Surtout avec de si jolis attraits enchérit Bibo en posant une main sur une fesse d’Agnès.
- Tu as raison, elle a de belles courbes ajoute Buto en posant sa main sur l’autre fesse.
Vêtue d’une robe d’été légère aux motifs floraux, elle a la sensation que les mains qui tripotent son fessier sont à même sa peau. L’encolure de la robe est en forme de coeur et dévoile le dessus de sa poitrine
- C’est pas mal non plus lance Bibo en saisissant un sein avec l’autre main.
- Ils sont effectivement bien ronds et fermes répond Buto en prenant à pleine main le
second.
Agnès, tétanisée, reste les bras ballants, à se faire malaxer les fesses et pétrir les seins jusqu’à ce que Buto déboutonne la robe qui tombe sur les chevilles de la sexagénaire, dévoilant ses dessous en dentelle jaune qui entraîne un sifflement de la part de Bibo et un sursaut dans l’activité de tripotage.
Entre leurs mains, elle n’est rien d’autre qu’une marionnette et c’est sans réaction qu’elle se laisse poser les mains sur l’entrejambe des deux clowns.
- Masses-nous le sexe ordonne l’un des deux
Obéissante et de façon mécanique, elle palpe, au travers du tissu, la bosse que chacun a dans son pantalon jusqu’à ce que ceux-ci tombent et laissent apparaître deux pénis droits comme des i
- Prends-les en mains et branles-nous commande Bibo
Et pour la première fois, Agnès se défend
- Je ne peux pas faire ça et puis vous êtes trop jeunes, c’est dégoûtant.
Saisissant chacun une main, il la force à la poser sur leur sexe et lui imprime un mouvement de bas en haut qu’elle continue tel un automate après qu’ils aient relâché leur emprise
- Elle fait ça bien hein Bibo constate Buto
- Sûr, elle a dû en branler quelques-unes dans sa vie. Combien en as-tu branler demande
Bibo
-Je n’ai connu que mon mari murmure Agnès rougisseant
- C’est pas vrai. Tu entends ça, une femme de son âge qui n’a vu qu’une seule bite.
- C’est vraiment ton jour de chance alors s'esclaffe Buto.
(à suivre)
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Le début est un peu rapide, mais j'aime quand ça va droit au but.
La suite, vite !!!!
La suite, vite !!!!