Agnès
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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Agnès
Je vais évoquer un temps que les plus jeunes d'entre vous ne peuvent pas connaitre. En ce temps là les garçons ne devenaient "des hommes" qu'avec le service militaire, et assez souvent découvraient la sexualité dans les bordels qui fleurissaient dans toutes les villes de garnison.
Pour les filles c'était plus compliqué, la majorité administrative était fixée à vingt-un ans. Ce qui fait que les cités universitaires de filles étaient surveillées par des "pionnes" (surveillantes d'internat) et par un concierge.
C'est ainsi qu'Agnès, avec un bac à dix-sept ans et une licence de lettre à vingt ans se retrouvait à l'institut universitaire de formation des maitres en étant pucelle.
La formation durant deux ans la plupart des internes étaient majeures et l'internat mixte.
Agnès, comme pour ses études, planifia sa découverte de la sexualité. Elle avait lu pas mal d'ouvrages sur le sujet, vu pas mal de films (y compris pornos), elle possédait une connaissance théorique du sujet très acceptable.
Par contre au niveau pratique, elle qui n'avait même pas flirté partait avec un handicap certain.
Elle s'était fait prescrire la pilule contraceptive par sa gynécologue et avait ciblé son premier partenaire sur des capacités intellectuelles et sur un physique attirant.
Elle avait glané des informations auprès de camarades qui avaient bénéficiées des qualités de mâle du personnage.
Celui-ci étant très "demandé", il convenait de le mettre en position de "solliciteur"; elle avait donc travaillé son apparence vestimentaire, et la pilule lui ayant fait gagner une bonne taille au niveau des seins tout en gardant une certaine tenue, elle opta pour renoncer au soutien gorge.
C'est donc avec une jupe relativement mini et un chemisier assez permissif qu'elle se rendit à cette fête de fin d'année avec pour tout sous-vêtements des bas auto fixant et un string.
Il convenait d'appâter sa proie, elle s'arrangea, à plusieurs reprises, pour être assise dans l'axe du regard du jeune homme.
Avec le miroir de son armoire à glace elle avait travaillé différentes façon de s'assoir et de croiser les jambes au niveau des chevilles; en effet croiser les jambes au niveau des chevilles faisait que, naturellement les genoux s'écartaient sans que cela paraisse volontaire.
Au bout d'un moment elle avait repéré que le regard du jeune homme s'attardait souvent entre ses cuisses.
En fin de compte ce fut plus simple que prévu. Le jeune homme s'approcha d'elle en lui proposant: "de venir faire un tour"; elle accepta la proposition, et dès l'arrivée sur la terrasse il l'embrassa.
Elle n'avait jamais embrassé un garçon de cette façon, le baiser profond lui était totalement inconnu. Immédiatement elle s'appliqua à répondre avec sa langue aux mouvements de la langue qui s'était introduite dans sa bouche.
Elle fut étonnée d'être émoustillée par ce simple contact de muqueuses contre muqueuses. La formule de séduction se résuma à la phrase lapidaire : "tu viens?", et elle le suivit.
Arrivés dans sa chambre il lui défit son chemisier et lui malaxa les seins tout en l'embrassant profondément.
Elle était excitée par tout cela, la pointe de ses seins répondaient activement aux contacts; son sexe (et elle en eu honte) était tout humidifié par de la cyprine.
Il la coucha sur le lit, lui retroussa la jupe, et sans plus de préliminaires lui présenta un sexe en érection devant ses grandes lèvres vaginales.
C'était le premier sexe en érection qu'elle voyait (à part ceux des films pornos), appuyée sur ses coudes elle regardait l'engin avec curiosité. Son partenaire frotta plusieurs fois son gland entre les grandes lèvres par des mouvements de haut en bas, puis d'une pression du bassin l'introduisit tout en s'allongeant sur elle.
Elle se laissa aller sur le dos en se disant "ça y est, je suis une femme!". Il s'agita en elle pendant quelques minutes, elle s'attendait à vivre le miracle décrit par ses camarades et lu dans les livres. Mais il ne se passa rien de tout cela, elle était effectivement excitée, mais son camarade de jeu éjacula dans un ultime mouvement du bassin, puis se retira en lui disant "tu es très serrée tu sais?", et il alla se rincer le sexe sur son lavabo.
Partant du principe qu'elle allait faire un brin de toilette il lui dit: tu tireras la porte derrière toi!" et il quitta la chambre.
Elle était très déçue, elle n'avait pas ressenti grand chose et restait insatisfaite. Elle se rinça les sexe avec un gant de toilette, glissa un, puis deux doigts dans son intimité pour "nettoyer", elle fut surprise par le fait que son vagin soit encore "en demande".
Elle quitta la chambre, descendit les escaliers, arrivée sur les parvis elle se retrouva nez à nez avec le concierge qui rentrait dans sa loge. Devant sa mine déconfite il lui demanda "ça s'est mal passé?", elle se contenta de hausser les épaules; il lui proposa "viens boire un coup, ça fait passer les déceptions!", et il lui ouvrit la porte de son local.
Le concierge était pour elle un vieux d'au moins cinquante ans, elle le suivit en se disant "je suis zéro, je suis nulle sur le plan de la sexualité".
Il lui dit "je n'ai que du calva, c'est un peu fort, mais ça détend bien!"Elle s'installa sur l'unique fauteuil avachi de la pièce tandis que le concierge servait deux verres généreux.
Dès la première gorgée elle se laissa aller dans le fond du fauteuil en croisant les jambes au niveau des chevilles.
Effectivement le calvados était fort, il lui dit "il faut boire direct sinon ça pique la bouche".
C'est ce qu'elle fit pour la deuxième gorgée, effectivement cela la détendait bien. Elle aurait été incapable de dire comment cela s'était passé pour qu'elle se soit avachies dans ce vieux fauteuil, la jupe retroussée, le bassin en avant, et la langue du concierge sur son clitoris.
Rapidement elle essaya de remettre de l'ordre dans son esprit, mais brusquement elle fut débordée par un frisson qui venait du fond d'elle même, elle eut le temps de penser "mais qu'est-ce qui m'arrive?", avant de se mettre à crier "mais que c'est bon, c'est trop bon!", tout en essayant de repousser la tête du concierge d'une main.
Il cessa son action alors que essoufflée elle murmurait: "c'est ça! c'est ça, et c'est bon!"Le concierge s'était redressé, leur resservait à boire en disant, "il faut remettre ça tout de suite, il faut profiter du moment!"Agnès pensait qu'il était impossible de jouir deux fois de suite, elle fit non de la tête en avalant son deuxième calvados...
Et la langue du concierge lui prouva que la récidive était possible et que les émotions du deuxième orgasme pouvaient surpasser la surprise du premier.
Pour les filles c'était plus compliqué, la majorité administrative était fixée à vingt-un ans. Ce qui fait que les cités universitaires de filles étaient surveillées par des "pionnes" (surveillantes d'internat) et par un concierge.
C'est ainsi qu'Agnès, avec un bac à dix-sept ans et une licence de lettre à vingt ans se retrouvait à l'institut universitaire de formation des maitres en étant pucelle.
La formation durant deux ans la plupart des internes étaient majeures et l'internat mixte.
Agnès, comme pour ses études, planifia sa découverte de la sexualité. Elle avait lu pas mal d'ouvrages sur le sujet, vu pas mal de films (y compris pornos), elle possédait une connaissance théorique du sujet très acceptable.
Par contre au niveau pratique, elle qui n'avait même pas flirté partait avec un handicap certain.
Elle s'était fait prescrire la pilule contraceptive par sa gynécologue et avait ciblé son premier partenaire sur des capacités intellectuelles et sur un physique attirant.
Elle avait glané des informations auprès de camarades qui avaient bénéficiées des qualités de mâle du personnage.
Celui-ci étant très "demandé", il convenait de le mettre en position de "solliciteur"; elle avait donc travaillé son apparence vestimentaire, et la pilule lui ayant fait gagner une bonne taille au niveau des seins tout en gardant une certaine tenue, elle opta pour renoncer au soutien gorge.
C'est donc avec une jupe relativement mini et un chemisier assez permissif qu'elle se rendit à cette fête de fin d'année avec pour tout sous-vêtements des bas auto fixant et un string.
Il convenait d'appâter sa proie, elle s'arrangea, à plusieurs reprises, pour être assise dans l'axe du regard du jeune homme.
Avec le miroir de son armoire à glace elle avait travaillé différentes façon de s'assoir et de croiser les jambes au niveau des chevilles; en effet croiser les jambes au niveau des chevilles faisait que, naturellement les genoux s'écartaient sans que cela paraisse volontaire.
Au bout d'un moment elle avait repéré que le regard du jeune homme s'attardait souvent entre ses cuisses.
En fin de compte ce fut plus simple que prévu. Le jeune homme s'approcha d'elle en lui proposant: "de venir faire un tour"; elle accepta la proposition, et dès l'arrivée sur la terrasse il l'embrassa.
Elle n'avait jamais embrassé un garçon de cette façon, le baiser profond lui était totalement inconnu. Immédiatement elle s'appliqua à répondre avec sa langue aux mouvements de la langue qui s'était introduite dans sa bouche.
Elle fut étonnée d'être émoustillée par ce simple contact de muqueuses contre muqueuses. La formule de séduction se résuma à la phrase lapidaire : "tu viens?", et elle le suivit.
Arrivés dans sa chambre il lui défit son chemisier et lui malaxa les seins tout en l'embrassant profondément.
Elle était excitée par tout cela, la pointe de ses seins répondaient activement aux contacts; son sexe (et elle en eu honte) était tout humidifié par de la cyprine.
Il la coucha sur le lit, lui retroussa la jupe, et sans plus de préliminaires lui présenta un sexe en érection devant ses grandes lèvres vaginales.
C'était le premier sexe en érection qu'elle voyait (à part ceux des films pornos), appuyée sur ses coudes elle regardait l'engin avec curiosité. Son partenaire frotta plusieurs fois son gland entre les grandes lèvres par des mouvements de haut en bas, puis d'une pression du bassin l'introduisit tout en s'allongeant sur elle.
Elle se laissa aller sur le dos en se disant "ça y est, je suis une femme!". Il s'agita en elle pendant quelques minutes, elle s'attendait à vivre le miracle décrit par ses camarades et lu dans les livres. Mais il ne se passa rien de tout cela, elle était effectivement excitée, mais son camarade de jeu éjacula dans un ultime mouvement du bassin, puis se retira en lui disant "tu es très serrée tu sais?", et il alla se rincer le sexe sur son lavabo.
Partant du principe qu'elle allait faire un brin de toilette il lui dit: tu tireras la porte derrière toi!" et il quitta la chambre.
Elle était très déçue, elle n'avait pas ressenti grand chose et restait insatisfaite. Elle se rinça les sexe avec un gant de toilette, glissa un, puis deux doigts dans son intimité pour "nettoyer", elle fut surprise par le fait que son vagin soit encore "en demande".
Elle quitta la chambre, descendit les escaliers, arrivée sur les parvis elle se retrouva nez à nez avec le concierge qui rentrait dans sa loge. Devant sa mine déconfite il lui demanda "ça s'est mal passé?", elle se contenta de hausser les épaules; il lui proposa "viens boire un coup, ça fait passer les déceptions!", et il lui ouvrit la porte de son local.
Le concierge était pour elle un vieux d'au moins cinquante ans, elle le suivit en se disant "je suis zéro, je suis nulle sur le plan de la sexualité".
Il lui dit "je n'ai que du calva, c'est un peu fort, mais ça détend bien!"Elle s'installa sur l'unique fauteuil avachi de la pièce tandis que le concierge servait deux verres généreux.
Dès la première gorgée elle se laissa aller dans le fond du fauteuil en croisant les jambes au niveau des chevilles.
Effectivement le calvados était fort, il lui dit "il faut boire direct sinon ça pique la bouche".
C'est ce qu'elle fit pour la deuxième gorgée, effectivement cela la détendait bien. Elle aurait été incapable de dire comment cela s'était passé pour qu'elle se soit avachies dans ce vieux fauteuil, la jupe retroussée, le bassin en avant, et la langue du concierge sur son clitoris.
Rapidement elle essaya de remettre de l'ordre dans son esprit, mais brusquement elle fut débordée par un frisson qui venait du fond d'elle même, elle eut le temps de penser "mais qu'est-ce qui m'arrive?", avant de se mettre à crier "mais que c'est bon, c'est trop bon!", tout en essayant de repousser la tête du concierge d'une main.
Il cessa son action alors que essoufflée elle murmurait: "c'est ça! c'est ça, et c'est bon!"Le concierge s'était redressé, leur resservait à boire en disant, "il faut remettre ça tout de suite, il faut profiter du moment!"Agnès pensait qu'il était impossible de jouir deux fois de suite, elle fit non de la tête en avalant son deuxième calvados...
Et la langue du concierge lui prouva que la récidive était possible et que les émotions du deuxième orgasme pouvaient surpasser la surprise du premier.
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