Ah ces rugbymen, 5
Récit érotique écrit par Tomy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-10-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Ah ces rugbymen, 5
Je me mis à genoux sur le bord du lit, afin de l’embrasser et de le prendre dans mes bras. Puis, le tirant par le bras, je l’allongeai sur le lit, nos lèvres toujours soudées. Comme si elles s’étaient toujours cherchées.
Sa tige n’avait à aucun moment perdu de la vigueur, mais elle était tellement belle que je ne pu me résoudre à ne pas la prendre dans ma bouche.
C’est pour cela qu’après l’avoir bien lubrifiée, je vins m’enfourcher sur lui. Excité comme j’étais, mon anus était grand ouvert, ce qui eu pour effet de m’enfoncer sur lui en un rien de temps, et qui m’arracha un cri de douleur lorsque son gland vint cogner mon intestin. Apparemment, ce qui avait été de la douleur pour moi, fut du plaisir pour Lucas, qui lui, me gratifia d’un « HAAAAAAAAAAN » légendaire.
L’équitation pratiquée pendant mon enfance allait enfin m’être utile. Je fin des mouvements de bassin dont moi même j’en ignorai mes capacités, et qui donnèrent un plaisir que je n’avais jamais eu auparavant.
Je remarquai que cela ne rendait pas non plus Lucas indiffèrent, qui d’un geste des plus généreux, s’empara de mon chibre qui ne cessait de pointer vers le ciel. Il cracha dans sa main, et fit un mouvement circulaire sur mon gland, massant quelque fois mon frein avec son index, ce qui eu pour effet de me faire éjaculer. Sentant la pression monter, j’accélérai mes mouvements de bassins, avide de plaisir. Lorsque le foutre pointa le bout de son nez à l’extrémité de mon gland, instantanément, mon muscle anal se contracta, ce qui d’une part, décupla mon plaisir, mais fit aussi que Lucas me déversa son foutre dans mes entrailles. Moi, j’avais tellement éjaculé, qu’il y avait une trainée partant de son nombril à ses cheveux, laissant quelques goutes sur sa bouche et le haut de son lit. C’est alors que le regard plein de lubricité, il se lécha les lèvres, se délectant de mon foutre. Je ne pus donc que l’embrasser, lui roulant la pelle de ma vie, lui léchant le visage.
Jamais je n’avais fais l’amour comme ça, jamais je n’avais ressenti un tel plaisir. Ce qui eu pour effet de me faire rebander, et lui ? Son chibre n’avait toujours pas baissé sa garde. Je me retira donc de lui, lui nettoya sa bite, puis, tenant son visage entre les deux mains, lui dit : « maintenant, baise moi ! ».
Il se redressa, me roula une pelle, en me serrant dans ses bras. Il me fit rouler sur le lit, je me retrouvai sur le dos. Il souleva mes jambes pour élever ma rosette à la hauteur de sa bouche, puis commença un mélange de léchage, succion, qui me faisait hurler de plaisir, où les mains dans ses cheveux, je lui bloquais la tête contre mon cul.
Il enfonça ensuite son bracquemart dans mon cul brulant qui ne demandait que ça. Il donnait de grands coups, à une vitesse folle, me claquant les fesses, me pinçant les tétons, et me faisant hurler comme un homme sous la torture, mais c’était tellement bon. Ce qui eu raison de moi, et me fit jouir sans même me toucher. Je chopa donc sa bouche, puis mes mains partirent à la recherche de son trou, que j’entrepris de masser (merci les pornos !). Il vînt ensuite une deuxième fois en moi, puis, nous enlaçant, nous nous sommes allongés l’un à côté de l’autre, les yeux dans les yeux, main dans la main, un sourire en coin. Une sensation de plénitude, comme si le monde s’était arrêté.
« Alors, heureux ? » lui lançai-je.
« Plus que jamais », me rétorqua-t-il. Puis, une dernière fois, me gratifia d’un baiser. Et me souhaita la bonne nuit. Oh que oui ça allait être une bonne nuit, la meilleure de toute ma vie. Je me mets donc dans la position que je me rêve depuis quelques temps, jambes enlacées, bras autour de la taille, et tête sur la poitrine de Lucas. C’est la position la plus adéquate, car ayant une tête de plus que moi, le puzzle est très bien fait.
Je me réveille, le réveil affiche 8h40, merde, il a fallut que je me réveille 20 minutes en avance ! Se lever à 9h un samedi matin, c’est quand même cruel, mais bon, pour la bonne cause, RUGBY ! Sans ça, je n’aurai un cul de rêve, dur et rebondi … Bref, je m’aperçois par ailleurs que notre position n’a pas bougée depuis hier soir, et que je suis toujours contre lui, j’entend son cœur battre. Oui je sais, c’est d’une fichu pathétisme, mais tellement romantique. Je peux voir son visage d’ange, tout beau, tout illuminé, j’ai envie de l’embrasser, mais je me retiens, je veux le laisser se reposer. J’en profite pour continuer de détailler ce corps, qui j’espère sera mien ! Et peux me régaler à admirer sa magnifique érection. CALME TOI. Ça y est, j’ai la gaule, bref, faisons comme si de rien n’était. Je commence à réfléchir. Est-ce que pour lui je vais juste être un coup de temps en temps, ou son petit ami ? Devrai-je lui demander ? On s’est quand même endormi dans les bras l’un de l’autre, et il m’a dit qu’il ressentait des trucs pour moi, mais c’était peut-être juste une forte tension sexuelle. Et puis moi, suis-je amoureux de lui ? Il est vrai que je ne crois jamais mes amis quand ils parlent d’amour. Pour moi ce n’est qu’un ramassis de conneries. Je n’ai jamais rien éprouvé pour aucune fille. En même temps j’étais un peu un gros connard avec elles, je m’en servais juste de vide-couille. Et faisait ensuite semblant de ne pas les connaître une fois au lycée.
Bref, maintenant que va-t-on penser de moi si jamais plus personne ne parle de mes aventures sexuelles au lycée … Quoi que personne ne pourra penser que je suis PD.
9H, le réveil sonne, je fais mine de me réveiller, ouvrant les yeux petit à petit. Je sens la main de Lucas qui me caresse le dos, des petites papouilles. Il me dépose une bise sur le crâne, puis, il me dit :
« -Bon matin mon cœur, bien dormi ?
-Jamais aussi bien bébé »
Puis, il dépose un baiser sur mes lèvres.
Sa tige n’avait à aucun moment perdu de la vigueur, mais elle était tellement belle que je ne pu me résoudre à ne pas la prendre dans ma bouche.
C’est pour cela qu’après l’avoir bien lubrifiée, je vins m’enfourcher sur lui. Excité comme j’étais, mon anus était grand ouvert, ce qui eu pour effet de m’enfoncer sur lui en un rien de temps, et qui m’arracha un cri de douleur lorsque son gland vint cogner mon intestin. Apparemment, ce qui avait été de la douleur pour moi, fut du plaisir pour Lucas, qui lui, me gratifia d’un « HAAAAAAAAAAN » légendaire.
L’équitation pratiquée pendant mon enfance allait enfin m’être utile. Je fin des mouvements de bassin dont moi même j’en ignorai mes capacités, et qui donnèrent un plaisir que je n’avais jamais eu auparavant.
Je remarquai que cela ne rendait pas non plus Lucas indiffèrent, qui d’un geste des plus généreux, s’empara de mon chibre qui ne cessait de pointer vers le ciel. Il cracha dans sa main, et fit un mouvement circulaire sur mon gland, massant quelque fois mon frein avec son index, ce qui eu pour effet de me faire éjaculer. Sentant la pression monter, j’accélérai mes mouvements de bassins, avide de plaisir. Lorsque le foutre pointa le bout de son nez à l’extrémité de mon gland, instantanément, mon muscle anal se contracta, ce qui d’une part, décupla mon plaisir, mais fit aussi que Lucas me déversa son foutre dans mes entrailles. Moi, j’avais tellement éjaculé, qu’il y avait une trainée partant de son nombril à ses cheveux, laissant quelques goutes sur sa bouche et le haut de son lit. C’est alors que le regard plein de lubricité, il se lécha les lèvres, se délectant de mon foutre. Je ne pus donc que l’embrasser, lui roulant la pelle de ma vie, lui léchant le visage.
Jamais je n’avais fais l’amour comme ça, jamais je n’avais ressenti un tel plaisir. Ce qui eu pour effet de me faire rebander, et lui ? Son chibre n’avait toujours pas baissé sa garde. Je me retira donc de lui, lui nettoya sa bite, puis, tenant son visage entre les deux mains, lui dit : « maintenant, baise moi ! ».
Il se redressa, me roula une pelle, en me serrant dans ses bras. Il me fit rouler sur le lit, je me retrouvai sur le dos. Il souleva mes jambes pour élever ma rosette à la hauteur de sa bouche, puis commença un mélange de léchage, succion, qui me faisait hurler de plaisir, où les mains dans ses cheveux, je lui bloquais la tête contre mon cul.
Il enfonça ensuite son bracquemart dans mon cul brulant qui ne demandait que ça. Il donnait de grands coups, à une vitesse folle, me claquant les fesses, me pinçant les tétons, et me faisant hurler comme un homme sous la torture, mais c’était tellement bon. Ce qui eu raison de moi, et me fit jouir sans même me toucher. Je chopa donc sa bouche, puis mes mains partirent à la recherche de son trou, que j’entrepris de masser (merci les pornos !). Il vînt ensuite une deuxième fois en moi, puis, nous enlaçant, nous nous sommes allongés l’un à côté de l’autre, les yeux dans les yeux, main dans la main, un sourire en coin. Une sensation de plénitude, comme si le monde s’était arrêté.
« Alors, heureux ? » lui lançai-je.
« Plus que jamais », me rétorqua-t-il. Puis, une dernière fois, me gratifia d’un baiser. Et me souhaita la bonne nuit. Oh que oui ça allait être une bonne nuit, la meilleure de toute ma vie. Je me mets donc dans la position que je me rêve depuis quelques temps, jambes enlacées, bras autour de la taille, et tête sur la poitrine de Lucas. C’est la position la plus adéquate, car ayant une tête de plus que moi, le puzzle est très bien fait.
Je me réveille, le réveil affiche 8h40, merde, il a fallut que je me réveille 20 minutes en avance ! Se lever à 9h un samedi matin, c’est quand même cruel, mais bon, pour la bonne cause, RUGBY ! Sans ça, je n’aurai un cul de rêve, dur et rebondi … Bref, je m’aperçois par ailleurs que notre position n’a pas bougée depuis hier soir, et que je suis toujours contre lui, j’entend son cœur battre. Oui je sais, c’est d’une fichu pathétisme, mais tellement romantique. Je peux voir son visage d’ange, tout beau, tout illuminé, j’ai envie de l’embrasser, mais je me retiens, je veux le laisser se reposer. J’en profite pour continuer de détailler ce corps, qui j’espère sera mien ! Et peux me régaler à admirer sa magnifique érection. CALME TOI. Ça y est, j’ai la gaule, bref, faisons comme si de rien n’était. Je commence à réfléchir. Est-ce que pour lui je vais juste être un coup de temps en temps, ou son petit ami ? Devrai-je lui demander ? On s’est quand même endormi dans les bras l’un de l’autre, et il m’a dit qu’il ressentait des trucs pour moi, mais c’était peut-être juste une forte tension sexuelle. Et puis moi, suis-je amoureux de lui ? Il est vrai que je ne crois jamais mes amis quand ils parlent d’amour. Pour moi ce n’est qu’un ramassis de conneries. Je n’ai jamais rien éprouvé pour aucune fille. En même temps j’étais un peu un gros connard avec elles, je m’en servais juste de vide-couille. Et faisait ensuite semblant de ne pas les connaître une fois au lycée.
Bref, maintenant que va-t-on penser de moi si jamais plus personne ne parle de mes aventures sexuelles au lycée … Quoi que personne ne pourra penser que je suis PD.
9H, le réveil sonne, je fais mine de me réveiller, ouvrant les yeux petit à petit. Je sens la main de Lucas qui me caresse le dos, des petites papouilles. Il me dépose une bise sur le crâne, puis, il me dit :
« -Bon matin mon cœur, bien dormi ?
-Jamais aussi bien bébé »
Puis, il dépose un baiser sur mes lèvres.
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