Ah la campagne ! 1

- Par l'auteur HDS André-pierre -
Auteur couple.
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Récit libertin : Ah la campagne ! 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(8.0 / 10)

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Ah la campagne ! 1
Ah la campagne ! (1)Juillet 2011_ Je me présente André-pierre 55ans avec ma femme, Monique 63ans, nous sommes descendus passer trois semaines chez sa petite sœur Corinne 60ans qui vient de prendre sa retraite et s’installe définitivement en Bourgogne où elle possède une maison depuis plusieurs années. Quand nous arrivons Corinne me demande si je pourrai l’emmener demain récupérer sa voiture qui est à la révision. Je lui dis que cela ne pose pas de problèmes et le lendemain en fin de matinée je la véhicule jusqu’au garage. Là ne voyant personne je la laisse et fais le tour pour déboucher dans une cour avec un très grand atelier dans lequel je pénètre. Je m’apprête à appeler quand j’entends des halètements et des gémissements. Sans bruit je m’avance pour découvrir un spectacle qui me fait bander derechef : un type d’une cinquantaine d’années légèrement bedonnant avec de petits seins de femelle, pantalon sur les chevilles, chemise ouverte est en train de se faire enfiler par un autre homme d’une quarantaine d’années pendant qu’il baise une femme d’environ quarante ans. Cette dernière est pliée en deux sur le capot d’une voiture jupe relevée sur les reins.
J’ai une trique d’enfer devant le spectacle et sortant ma queue je me branle en matant quand soudain Corinne arrive en m’appelant. Les « baiseurs » tournent la tête et nous aperçoivent. Ils cessent aussitôt et je remballe ma queue. Corinne est toute rouge et me regarde interloquée. Tout ce petit monde se réajuste et le gars dans la cinquantaine vient vers nous en souriant. J’ai encore la gaule et cela fait une bosse dans mon pantalon que le gars mate en souriant. Il tend la main à Corinne et lui dit : bonjour Mme D vôtre voiture est prête allons à mon bureau. Pendant qu’il s’éloigne avec Corinne encore rougissante l’autre homme et la femme me disent au revoir au plaisir et s’éclipsent rapidement. Je reste dans l’atelier et un quart d’heure plus tard le patron du garage revient en souriant puis m’explique que Corinne lui a dit qu’elle partait de suite et lui a demandé de me le dire. Il est la chemise ouverte et en tout en me parlant il jette un œil à la bosse de mon pantalon. Sans sourciller je baisse mon pantalon et sortant ma queue me tripote en lui souriant. Il ôte alors sa chemise et son pantalon apparaissant bandant et nu. Il tend la main et m’attrapant la queue me branle, j’en fais alors autant et bientôt il se retourne se plie en deux sur un capot de voiture et écarte ses fesses avec ses mains. Je m’approche et l’enfile tout de go, il gémit et murmure : putain quelle bitte ! Excité je le bourre à grands coups quand soudain il râle et je sens son cul se serrer : il vient de jouir. J’accélère et quand je sens que je vais jouir je sors ma queue et lui lâche tout sur les fesses et étale ensuite le foutre avec les mains. Pas un mot n’a été échangé jusque là quand se relevant il me dit moi c’est Robert et toi ? Je lui réponds : moi c’est André-pierre, il me tend alors de quoi m’essuyer et il en fait de même essuyant également le foutre qu’il a lâché sur le capot. Il ajoute alors : viens on va prendre un café et faire plus ample connaissance. Réajustés on va à son bureau et là il me demande ce qu’on dit Thierry et Fabienne, le couple avec qui il était, je lui dis qu’ils ont pris congé très vite un peu gênés. Il sourit et on discute comme de vieux amis en prenant un café quand une cliente arrive chercher sa voiture. Il me laisse et part avec elle, je finis mon café quand il revient avec elle et me présente : Mme Olivier, puis il ajoute un ami : André-pierre. Elle prend congé et en riant il me dit que c’est sur sa voiture qu’on a baisé. Il ajoute qu’en ce moment avec la période estivale c’est calme puis s’approchant il me palpe la bosse en se caressant la sienne de l’autre main. J’ai un début de gaule et lui sort sa queue me la tend. Je le suce alors, il gémit et quand il bande raide il me dit de baisser mon froc, je m’exécute, il me plie en deux au bord du bureau et ouvrant un tiroir sort un tube de gel et m’en tartine l’œillet. Il passe derrière moi et m’enfile avec un han de bucheron pour ensuite me limer lentement et profondément. Il se met alors à me claquer les fesses en cadence quand soudain il s’arrête se retire et se réajuste vite fait en me disant : habilles toi ! Vite ! On a peine fini qu’une femme rentre dans le bureau, la cinquantaine, grande, forte avec une très grosse poitrine un bon bide et un cul bien large sur des jambes fortes mais très galbées, le tout moulé dans une robe d’été. Elle est montée sur des talons hauts, coiffée en chignon et porte de petites lunettes à monture noire. Elle me mate comme si j’étais une friandise et souriant dit à Robert : tu ne nous présentes pas ? Robert s’exécute : Odile ma femme, André-pierre un ami de Mme D, sa femme en souriant dit alors : un ami de Corinne ! Elle ajoute alors qu’il faudra qu’on viennent tous le deux prendre le thé. Puis elle demande à Robert si il sait où est son téléphone portable elle ne le trouve plus. Ce dernier sourit, ouvre un tiroir et lui tend en disant : tu l’as oublié hier soir, fais attention tu vas le perdre sinon ! Elle sourit et ajoute : ta secrétaire n’est pas là ? Robert lui dit que vu le calme en ce moment elle a pris sa journée et que Michel, son mécano, est parti chercher des pièces. Elle prend alors congé en me disant j’attends vôtre visite avec Corinne ! Robert me dit alors je l’ai vu entrer dans la cour pendant que je t’enfilais, en théorie elle ne sait pas que je baise avec des mecs, comme en plus je ne la baise presque plus elle aurait fait un gros scandale. Je lui réponds que moi j’adore les femmes comme elle sur quoi il me répond que si je veux la baiser je peux elle ne devrait pas dire non vu comment elle me matait et qu’il peut même m’aider. Il ajoute alors que Michel ne rentrera pas avec les pièces avant midi donc on va pouvoir, si je veux, remettre ca quand on veut. Je lui dis que pour l’instant il va falloir que je rentre, je lui donne mon numéro et lui dit de m’appeler puis je prends congé. De retour chez Corinne je trouve ma femme souriante qui me dit : alors bonne baise au garage ? Elle ajoute alors que Corinne lui a raconté et a trouvé bizarre que je me branle en matant. Elle me dit alors qu’elle se doute que j’ai du rester pour en profiter. Je lui raconte et elle me palpe la bosse en disant mon salaud je toute excitée, viens baisons Corinne est partie en courses. A peine arrivés dans nôtre chambre Monique ôte sa robe d’été, elle est à poil dessous comme d’habitude, elle baisse mon pantalon pendant que j’ôte ma chemisette et commence à me sucer. Je bande vite et comme un fou, elle se met à quatre pattes et me crie baises moi de suite ! Je l’enfile et la baise longuement, elle a un premier orgasme puis un second quand n’en pouvant plus je lâche tout, elle râle et on s’écroule l’un sur l’autre. Quand ma bitte dégonflée glisse en dehors de sa chatte elle se lève et me dit : alors comme cela il n’a pas eu le temps de finir de d’enfiler ! Elle ouvre alors une valise et sort un gode ceinture en souriant puis ajoute : je ne pars jamais sans l’essentiel ! Elle se harnache et s’allonge en me disant de venir m’empaler, je m’exécute et m’empale sur cette « bitte ». Je monte et descend, bientôt ma queue se gonfle à moitié et le gode me massant la prostate provoque une jouissance terrible avec quelques gouttes de foutre qui s’échappe. Monique me tire en même temps les tétons en criant t’aimes ca hein gros salaud ! On s’écroule alors extenués et on s’embrasse à pleine bouche, Monique me dit alors : allons prendre une douche avant que Corinne ne revienne.
On se douche en se caressant mutuellement puis nous sortons de la douche, Monique regagne la chambre et comme je la suis nu dans le couloir la porte d’entrée s’ouvre, je me retourne pour apercevoir Corinne interloquée. Je suis à poil totalement lisse la queue molle mais encore gonflée, Corinne rougit, balbutie et disparait à toute vitesse dans la cuisine avec ses courses. Je ris et gagne la chambre ou en m’habillant je raconte à Monique ce qui vient de se passer. Elle rit et me dit cela ne peut lui faire que tu bien. Je lui propose alors un plan pour Odile, elle sourit et me dit que c’est d’accord. Aussitôt elle ajoute habillons nous et allons déjeuner. Le déjeuner se passe tranquillement et Monique fait compliment à Corinne pour la qualité de certains plats, Corinne lui explique qu’elle se fournit directement à la ferme pour beaucoup de choses. Elle ajoute que si Monique le désire elle peut l’accompagner cet après midi car elle va y chercher du lait, des œufs et une volaille. Monique acquiesce et me demande si je souhaite venir aussi. Je réponds que oui et nous passons prendre le café sur la terrasse. Là je fais ensuite une petite sieste quand d’un coup Monique me réveille et me dit : tu viens on va à la ferme maintenant. Arrivés dans la cour une forte femme d’environ 40ans vient vers nous embrasse Corinne qui fait les présentations, j’apprends ainsi que la fermière se nomme Laurianne. Je détaille la fermière qui remarque mon regard et quand je commence à bander en l’imaginant nue elle voit la bosse dans mon pantalon, elle dit alors à Corinne et Monique d’aller voir Raymond pour choisir la volaille. Elle me sourit alors et me dit : vous prendrez bien un café ? Je réponds : volontiers et la suis dans la maison, j’ai toujours la gaule à mater son cul en la suivant et elle le voit bien. Je m’assieds à son invitation et elle me sert un café et s’assied à côté de moi. Elle a des bottes et je remarque que ses jambes sont poilues, cela m’excite, ma queue tend mon pantalon, elle le voit bien et sourit en ajoutant que si je veux me soulager elle va me montrer où sont les toilettes. Je la suis et arrivé aux toilettes je baisse mon pantalon libérant ma queue bien raide et je constate qu’elle est restée là à mater. Je me branle doucement en la regardant, puis je tends une main et caresse son cul, elle ne dit rien alors je glisse ma main sous sa blouse insinue un doigt dans sa culotte. Là elle m’arrête et me dit : pas maintenant ! Puis elle repart à la cuisine, j’arrive à pisser et revient la queue plus calme. Corinne et Monique sont revenues avec Raymond qui me salue et elles me disent qu’elles ont tout et que l’on peut partir. En retournant à la voiture Laurianne me murmure de revenir vers 18h. De retour à la maison je repense à Laurianne, Monique et Corinne s’affairent en cuisine, j’en profite pour m’éclipser dans le jardin impatient d’être à 18h. Monique et Corinne me rejoignent pour prendre un café, je mate ma montre en douce, quand 17h30 arrive je dis à Monique que je vais faire un tour, elle sourit sans rien dire. Je débarque dans la cour et Laurianne sortant de la maison me fait signe de la rejoindre, elle me dit Raymond est à la traite il en a pour un moment. Elle m’enlace alors sauvagement en me disant : mon salaud t’es drôlement costaud et elle m’embrasse fougueusement en me serrant, je lui tripote le cul puis ouvre sa blouse pour découvrir d’énormes seins serrés dans un soutien gorge classique et une culotte genre mémère en coton blanc au dessus d’une forte paires de cuisses bien fermes, musclées. Elle a les jambes poilues et du poil sous les bras ainsi qu’un duvet sur la lèvre supérieure et sur les bras. Tout cela m’excite tellement que je bande raide. Je baisse sa culotte pour découvrir une chatte et un pubis très poilus le poil descendant sur le haut des cuisses et montant en pointe vers le nombril. Pendant ce temps elle a baissé mon pantalon et tripote ma queue, elle me dit alors viens ! Elle ôte sa culotte complètement et blouse ouverte s’allonge sur la table de la cuisine et écarte les cuisses, je m’agenouille et fourre mon nez et ma bouche dans cette forêt sentant la femme et l’urine. Je lui fais alors un cunnilingus, décalotte son clito long comme une phalange de pouce et aussi épais afin de le sucer. Elle gémit et avec les mains me plaque la tête dans sa chatte velue. Elle dégouline et sa chatte se gonfle sous mes caresses manuelles et buccales. Je descends ma langue entre ses fesses et darde son œillet poilu et très odorant. D’un coup elle jouit en serrant les cuisses à m’écraser la tête. Je me relève et écartant ses cuisses avec mes mains je l’enfile la queue raide, j’ai un peu de mal car sa chatte est gonflée et elle crie quand je suis complètement entré. Je la lime en me cramponnant à ses grosses cuisses, elle gémit râle fort. J’arrête de limer après m’être enfoncé jusqu’aux ras des couilles en elle et je fais rouler entre deux doigts son clito tendu jusqu’à ce qu’elle hurle et serre fortement ses cuises en essayant d’ôter mes doigts. Je recommence alors à la limer à grands coups et alors qu’elle a encore un orgasme je décharge à grands coups de reins. Elle m’attire alors sur elle et m’embrasse à pleine bouche tout en serrant ma taille avec ses jambes. Finalement elle desserre les jambes ma queue glisse hors de sa chatte, sans un mot elle me la suce, la lèche et quand elle est luisante elle me dit en souriant : voilà t’es tout propre. Du foutre coule entre ses cuisses, elle l’essuie avec le bas de sa blouse puis me dit : c’était bon, je n’ai pas souvent l’occasion de jouir comme ça, j’aimerai qu’on se revoit. Elle remet sa culotte et ferme sa blouse puis m’embrasse à nouveau à pleine bouche en me serrant fort et en me tripotant le paquet avant de me dire : vient demain matin Raymond s’en va amener des bêtes à l’abattoir il ne rentrera pas avant le milieu de l’après midi. Je lui donne mon numéro et lui dis de m’appeler si il ya un contretemps. Je rentre tout excité en repensant à ce corps velu, ce bide, ses gros seins ce cul gros ferme et ses imposantes cuisses fermes et musclées ainsi qu’aux odeurs très animales qu’elle dégage. J’ai hâte d’être à demain.

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