Ah la campagne ! 3

- Par l'auteur HDS André-pierre -
Auteur couple.
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Récit libertin : Ah la campagne ! 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ah la campagne ! 3
Cette nuit j’ai dormi comme une souche et au petit jour Monique veut tout savoir de la veille quand je suis resté avec Robert. Je lui raconte cela l’excite beaucoup et elle me dit il va falloir qu’on organise quelque chose avec Robert et ses amis. Je me lève et vais prendre mon petit déjeuner à poil, dans la cuisine je tombe sur Corinne qui me dit : tu pourrais passer quelque chose ! Je lui réponds qu’on est entre nous et qu’elle sait ce qu’est un homme. Elle rougit un peu et je prends mon petit déjeuner alors qu’elle s’en va en me disant : tu diras à Monique que je suis en train détendre du linge et que je l’attends pour aller nager ensuite. Je lui dis et bien moi je vais faire un tour en vélo. Après avoir fais la commission à Monique je mets un short un t-shirt et lui dis que je vais faire un tour en vélo et que je serai rentré vers midi. Je débarque un peu plus tard chez Laurianne et Raymond, ce dernier me voyant arriver crie me crie : ta pute est à l’étable puis il reprend son boulot. Laurianne qui a entendu sort de l’étable et me fait signe, je la rejoins. Elle a un foulard noué sur la tête et une blouse à manches courtes et ses bottes au pied. Une fois entrés dans l’étable elle ferme la porte au loquet et ouvre sa blouse : elle n’a rien dessous cette fois et est en sueur, ses poils sont collés partout sur son corps et quand elle m’embrasse je commence à bander ferme. Elle ôte fébrilement mon short et mon t-shirt puis sa blouse et se met à quatre pattes en me disant vite prends moi ! Je m’agenouille derrière elle sent la sueur, la femelle et la bouse. Très excité je lui lèche le cul et lui doigte la chatte, elle râle, elle est trempée, ma langue plonge dans son cul pendant que mes doigts branle vigoureusement sa chatte velue et dégoulinante. Quand elle commence à jouir elle me crie viens ! Je continue à branler sa chatte et lécher son cul et lui dit de le demander autrement. En pleine jouissance elle crie d’un coup : baises moi ! Je l’enfile et la bourre à grands coups en lui claquant les fesse en cadence avec les mains et régulièrement je me penche pour lui malaxer les seins en lui disant t’es ma grosse salope ! Je suis bientôt en sueur et Laurianne dégouline son jus sur ma queue en bramant. Elle jouit tellement fort que sa chatte me broie la queue et que d’un coup elle pisse à grands jets pendant qu’elle jouit. Je la lime toujours et elle repart pour un autre orgasme, je sors alors ma queue et sans prévenir je l’encule, cela rentre tout seul, je la lime et d’un coup elle pète et défèque, la merde me coule sur la queue et les couilles et terriblement excité je décharge. Ma queue glisse de son cul et elle pète, du foutre mélangé avec de la merde coule alors de son cul, nous rions alors. Je lui dis qu’il faudrait que nous allions prendre une douche, on se lève elle ouvre la porte de l’étable et on sort nus avec nos affaires à la main, pas de trace de Raymond, on rentre dans la maison et direct sous la douche où l’on se savonne mutuellement en riant. Sortis de la douche je reste nu, Laurianne en fait autant enfilant juste une paire de mules. Elle s’affaire alors en cuisine en me disant : j’ai faim on va manger un petit quelque chose ! Elle nous fait des œufs, du café et quelques tartines puis me demande si je veux venir avec elle en courses. Je lui dis bien sur, pourquoi ? Elle sourit puis me dit finit tranquillement je vais m’habiller. Une fois finit l’encas je me rhabille et dix minutes plus tard Laurianne arrive jambes gainées de noir chaussures à petits talons robe d’été bleue. Je l’enlace et lui qu’elle est très appétissante tout en levant sa robe pour découvrir un collant mais pas de culotte, je lui dis qu’elle aurait pu ne pas en mettre, elle rougit et me dit c’est au cause de mes poils aux jambes. Elle me prend par le bras et me dit viens en me tendant les clés de sa voiture. Elle m’indique où je dois me rendre et nous arrivons après une quinzaine de kilomètres en campagne sur le parking d’un énorme centre commercial. Pendant les courses elle me tient par le bras et se redresse fièrement quand on croise certaines femmes ou couples qui lui disent bonjour. J’en rajoute en lui passant la main aux fesses. Elle me murmure alors que ça va jaser ils vont dire partout que je suis une putain, je la fais taire en l’embrassant à pleine bouche au détour d’une allée tout en lui malaxant le cul. On achève les courses puis on regagne la voiture, en chemin j’arrête la voiture dans un petit chemin et demande à Laurianne d’ôter son collant et lui dit que je vais demander à ma femme de venir nous retrouver à la ferme. Quand nous entrons dans la cour Monique est là en train de discuter avec Raymond qui nous apercevant s’en va. Monique s’approche alors de nous et me passant la main sur la bosse elle dit à Laurianne : alors il vous baise bien ? Laurianne rougit, Monique en souriant lui dit je suis très prêteuse et pas jalouse. On rentre les courses et devant Monique je tripote Laurianne qui proteste un peu mais j’insiste fermement et Monique ôte carrément sa robe pour apparaitre totalement nue. En souriant je fais de même et d’autorité j’enlève la robe de Laurianne qui semble paralysée par la situation. Monique lui prend la main et la posant sur ma queue lui dit branles le puis elle embrasse Laurianne qui d’abord a un recul mais Monique insiste et elle se laisse faire tout en me branlant. Monique fait alors allonger Laurianne sur la table puis lui écarte les cuisses et plonge sa tête entre pour une langue fourrée mémorable. Au début Laurianne se crispe puis elle se détend et se laisse aller pour finir par jouir tellement fort qu’elle lâche des jets d’urine sur Monique qui en boit certains. Se redressant Monique doigte d’un coup le cul de Laurianne et lui dit de me sucer je m’approche d’elle et tournant la tête elle me suce le gland. Monique se penche et renifle dans la forêt de poils qui recouvre l’entrecuisse de Laurianne et commence à lui aspirer lécher et mordiller le clito qu’elle a dégagé. Laurianne repart pour un nouvel orgasme et je passe derrière Monique et m’apprête à l’enfiler quand elle me crie : non encules moi ! Je m’exécute, elle brame et tout en s’occupant du clito de Laurianne elle lui plonge deux doigts dans le cul. Très excité je bourre le cul de ma femme comme jamais et Laurianne jouit une troisième fois mais en grimaçant et serrant les cuisses sur la tête de Monique. Trop excité je lâche tout en gémissant, on se détend alors et Monique demande qu’on aille dans la chambre. Là elle s’allonge plie les jambes et demande à Laurianne de lui lécher le cul, cette dernière hésite puis lèche et comme du foutre coule Monique lui dit bois le ! Laurianne s’exécute Monique prend alors la tête de Laurianne entre ses deux mains et attire son visage au niveau de sa chatte et lui dit : maintenant au tour de mon minou. Je regarde Laurianne s’exécuter maladroitement mais avec beaucoup de conviction. Après un long moment Monique jouit, quand elle retombe elle dit à Laurianne d’ouvrir la bouche et lui pissant dedans elle lui dit bois ! Laurianne en met un peu partout mais s’en tire fort bien, Monique l’attire vers elle et l’embrasse à pleine bouche tout en lui caressant l’entrejambes. Se levant alors elle demande pour prendre une douche et me dit : tu peux rester je vais rentrer après la douche. Une fois Monique partie Laurianne se pelotonne contre moi et me dit que ma femme est drôlement cochonne et qu’elle n’avait avant cela fait qu’une fois avec une femme il ya quelques années quand elle avait commencé à tromper Raymond. Je lui demande si il savait, elle me dit que oui, je veux alors savoir si sa réaction à été la même qu’avec moi à chaque fois. Là elle rougit et me dit non et en plus tu es le premier avec qui je le fais ici et ouvertement, il a senti qu’avec toi ce n’était pas la même chose, je demande si son impression est bonne. Elle rougit et me dit il a raison toi j’ai eu le coup, de cœur de suite quand nos regards se sont croisés, elle m’enlace tendrement et m’embrasse puis me demande si ma femme accepterait de me partager en permanence. Je lui dis que cela n’est pas un problème qu’elle a bien vu comment était Monique. Descendant alors vers le bas du lit elle attrape ma queue et me suce jusqu’à ce que je bande puis elle vient s’empaler et me chevauche pendant que je malaxe ses seins et torture ses tétons. Je lui crie vas y plus fort, plus vite ma salope ! Elle crie oui, oui je suis ta putain, ta salope ! Elle grimace car je tire et torture rudement ses tétons mais bientôt je sens du liquide me couler dessus et sa chatte me broyer la queue et elle se met à hurler sans retenue : ta bitte j’aime ta bitte ! Je décharge en ayant l’impression que c’est en continu puis on retombe et elle s’allonge sur moi et me mord les lèvres. Ma queue bientôt glisse hors de sa chatte et je lui dis de la prendre en bouche car j’ai envie de pisser et je veux qu’elle me boive. Elle s’exécute sans s’étouffer et ensuite m’embrasse à pleine bouche en me murmurant : je suis à toi, je t’aime ! Cela m’excite et lui faisant ouvrir les jambes je lèche aspire sa chatte buvant ainsi un mélange de cyprine et de foutre, sous cette caresse buccale elle a un dernier orgasme douloureux et me dit arrêtes, arrêtes ! Ensuite tendrement enlacés elle me demande doucement de passer la nuit ici, j’appelle Monique et lui dit de ne pas m’attendre je reste ici ce soir et cette nuit. Elle me dit c’est parfait je vais passer la nuit chez Robert, je te raconterai, il a invité Denis. Après une douche Laurianne appelle Raymond et lui dit André-pierre reste ce soir et cette nuit, on dormira dans la chambre, Raymond lui crie t’es qu’une putain, il est marié il va te laisser tomber ! Elle sourit et ajoute tais toi tu ne sais pas tout, maintenant c’est lui mon homme, je te préparerai ton souper tu le trouveras à la cuisine. Je lui dis qu’il me faudrait des affaires pour me changer, souriant elle disparait et revient avec un polo et un pantalon. Elle me dit essaie les, c’est à Raymond, je suis super moule dans le polo mais le pantalon est trop grand et un peu court, elle sourit et me dit t’es drôlement plus costaud que lui et plus grand. Elle part et revient avec une paire de bottes et des chaussettes et me dit met les comme ca on ne verra pas que le pantalon est trop court. Elle met une blouse et une culotte puis ses bottes et me demande de l’accompagner. Je vais l’aider pour les bêtes puis on rentre diner dans la grande salle à manger, on entend ensuite Raymond diner à la cuisine et Laurianne me dit : viens on va au lit. On s’écroule comme des masses dans le lit et on s’enlace. Je pense alors dans quelle aventure me suis je engagé ! Laurianne s’est endormie et ronfle je finis par en faire autant.

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