ahh sacrée egyptiens !
Récit érotique écrit par Carmeliane [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2006 dans la catégorie Plus on est
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ahh sacrée egyptiens !
Je suis partie en Egypte il y a 5ans. J'ai passée 7jours en croisiere. Vous savez ces croisieres tout compris et pas cher?!
J'etais seule, oui parce que je pars toujours seule en vacances. Dans le car qui nous emmenait au port où le bateau était à quai, j'ai fait la connaissance de 2 personnes, un homme et une femme.
Tout les matins pendant le petit dejeuner, les hommes de menage nettoyaient les cabines. Quand vous y retourniez vous trouviez qu'ils avaient fait de jolies figurines avec vos serviettes. Et ils faisaient la même chose l'apres-midi pendant le gouté.
Un jour en rentrant sur le bateau, apres une longue et chaude visite dans le souk d'Edfu(je crois), nous avons convenu de prendre une douche, de faire une sieste et de nous retrouver pour le gouter au bar de la piscine.
Je suis allée dans ma cabine, situé au niveau des cabines du personnel, et comble de l'horreur,j'etais aussi au m^me niveau que les familles avec bambins et tout et tout, bref...
J'ai pris ma douche, j'ai decidée de faire ma sieste toute nue, ce que je ne fais jamais, tres frileuse m^me sous 50°C.
Mais à chaque fois que je suis nue ça m'excite un peu et ça empire quand je passe devant un mirroir et que j'aperçois mon corps, oui j'ai un assez joli corps, de belles formes.
Je me suis allongée sur le lit, j'ai sentie la clim sur mes seins alors j'ai ecarté les jambes pour que le souffle me caresse le vagin. Je me suis mise à mouiller instantanément, j'ai titillée mes tetons, qui pointaient bien dur, suis redescendue sur mon ventre pour arriver tres vite sur mon clitoris.
J'ai passé la main dessus, d'abord doucement, puis j'ai entre ouvert les levres pour sentir encore mieux le petit vent de la clim. Comme je commençais à etre serieusement exciter, je suis allé vers l'entrée, parce qu'il y avait un grande armoire avec un mirroir sur la porte du milieu où je pouvais bien me voir.
J'ai pris une chaise, me suis assise dessus, ai allumée la lumiere, parce que les rideaux etaient tirés à cause du soleil.
J'ai levée mes jambes tres haut tendu, les ai bien ouverte, j'ai regardée mon vagin, et me suis mise à faire des contractions avec, ce qui a pour but d'exciter d'avantage. J'y ai mis un doigt et puis deux, trois, quatre, je faisais des va et vient avec mes doigts en ouvrant et refermant mes cuisses. Je me disais que j'etais une salope et qu'il me fallait un truc bien gros et bien dur, mais il n'y avait rien de ce genre autour de moi, sauf une bouteille de biere que je laissais dans ma valise depuis mon arrivé pour ce genre de situation. Je me suis empressée de la prendre et sans attendre sans faire de chichi, je l'ai introduit dans mon con, bien trempé et dégoulinant.
J'avais à peine commencer mon plaisir, que la porte de la cabine s'ouvrit et me retrouvais assise sur la chaise, les jambes ecartées appuyées sur la glace, une main tenant la bouteille enfoncé dans ma chatte et l'autre triturant un sein, face à ce grand gaillard d'1m85 environ, élancé, au teint mât et aux yeux marron clair. Il avait le cheveux fin et crepus, un grand nez faisait dresser fierement son menton, une fine moustache courronait sa bouche et de longue dents blanche.
Il est entré, d'un pas, c'est la distance qui séparait ma chaise de la porte, est arrivé sur moi, a decroché mes pieds du mirroir, m'a tournée dans sa direction et de la tête m'a fait signe de continuer. Terriblement honteuse, si j'avais été blanche il m'aurait vu toute rougie, je tentais de me debatre pour me liberer mais il me tenait fermemant les chevilles. Une bosse c'etait dejà formé sous son pantalon marine, alors jai continuée, j'ai fait des va et vients avec la bouteille en le fixant dans les yeux. Mais lui avait le regard braqué sur mon sexe, il avait ouvert grand les yeux et la bouche.
Il a laché une jambe pour caresser sa bosse, le gland semblait vouloir transpercer sa braguette. Je me suis levée et suis allée m'allongée sur le lit. Quand il m'a rejoint le queue serrer dans le poing, je me suis dit : " c'est vrai alors grand nez, grosse bite!" elle était plus grande que grosse, mais tout de m^me impressionnante.
J'ai sortie tres vite la bouteille que j'ai jetée à terre, preservatif en main à attendre qu'il ce decide. Mais il ne semblait pas savoir ce qu'il devait faire de cette bite entre les mains et de mon vagin beant. J'ai pris alors les devant, me relevant et lui ai enfilé la capote, j'ai sucée, sucée, mais je ne pouvais pas tout mettre en bouche elle etait bien trop grande. Tant pis je branlais le reste. Je sucais, je sucais et de la salive coulait sur mon menton pour retomber sur ma poitrine. Il aimait ça, et bougeait ses hanches. Je sucais, resortais la queue pour la frapper contre mes seins, encore et encore et puis ...
Cette idiot n'avait pas fermé la porte à cléf, ils faisaient toujours le menage à deux, et le deuxieme venait d'entrer dans ma cabine.
Me voilà à nouveau assise sur le coin du lit, une main branlant mon grand egyptien, sa queue dans ma bouche, l'autre lui caressant les couilles et celui là, un petit un peu plus grasouillet et plus cheveulu le sourire aux levres, admirait le spectacle.
J'ignore ce qu'ils se sont dit, mais le deuxieme à aussitot ouvert sa braguette et sorti sa bite qu'il a presenté à l'entré de ma bouche. Pas folle j'ai sortie un autre preservatif, le lui ai enfilée et me revoilà entrain de sucer cette fois une plus petite, mais tres grosse bite, qui entrait à peine dans ma bouche. Mon poing n"en faisait m^me pas le tour. Je les ai sucé à tour de rôle, ils me malaxaient les seins, les tetons.
ils m'ont allongés sur lit et m'ont masturbé, ils m'ont literalement detruit le clitoris tellement ils ne savaient pas s'y prendre. J'ai vite stoppé la torture, j'ai empoignée la queue du grand et l'ai dirrigé dans mon vagin. L'autre se branlait, aucun ne me regardait. ILs n'etaient interessés que par ma chatte trempée. Au bout de quelques va et vient le petit à repousser le grand et c'est introduit à son tour, plus brutal, plus assoiffé. Il me defonçait à coup de butoir en psalmodiant des mots incomprehensible, du moins par moi. l'autre est revenue vers ma bouche et ma empoigné la tete pour que je le suce, ce que j'ai fait. Le petit à soulever mes jambes, les a bien ecarté et s'appuyant sur mes cuisses fit de rapide va et vients, si fort qu'on entendait le lit cogné contre le mur. Il transpirait à grosses goutes, respirait comme s'il courrait un sprint.
Puis ils ont de nouveau échangé leur place. Et pendant cinq minute de va et vient rapide et brutal, sans changer de position, ils m'ont retourné, ventre contre le lit, le petit c'est infiltré dans ma chatte, le grand ce branlait face à lui. puis l'un d'eux a ecarté mes fesses, un doigt c'est introduit dans mon anus et puis un autre, encore un autre et un autre, les va et vients avaient cessés, les doigts écartaient maintenant mon anus et cette queue, d'une grosseur terrible s'engouffrait à l'interieur. J'avais horriblement mal,mais je ne voulais pas crier, apres tout, je les avait presque invitée à cette baise.
J'ai senti le corps de ce petit s'alourdir sur moi,en tournant la tête j'ai vue le grand qui le chevauchait, je croyais qu'il voulait entrer dans ma chatte, une double penetration ça aurait été une premiere pour moi,mais rien, et l'autre s'alourdissait de plus en plus. j'ai fini par comprendre que lui aussi se faisait enculer.
Quelle joie, je ne sentais plus le mal, ni le poids de ce dernier, j'entendais juste les cris qu'il, comme moi, tentait d'étouffer. J'aurais aimé qu'il y ait un mirroir à coté de nous pour que je puisse le voir.
La double penetration etait faite mais pas comme je l'imaginais. Et m'empalais avec plaisir sur la grosse bite de mon petit enculer. Ils parlaient chuchotaient beaucoup en egyptien et moi je retorquais sans comprendre:
" toi aussi tu te fais defoncer le cul?, tu aimes ça mon salaud!
toi aussi tu es une belle salope hein?!"
comme je voulais absolment voir ça, j'ai repoussée mon petit d'une main, ils ce sont arretés, tout le monde est sorti de son trou. Je me suis retournée, est frappée de la main sur mon vagin, lui disant de revenir. Il a sagement repris sa place et le spectacle que je voulais voir à recommencer. J'ai vue le visage de mon petit ce crispé de douleur quand l'autre c'est de nouveau enfourner dans son cul. Quand mon petit a remarqué le sourire que j'avais pour sa douleur, il c'est remis à parler en egyptien, et cette fois j'ai compris qu'il m'injuriait, parce qu'il me crachait dessus au fur et à mesure. Et plus il parlait plus l'autre etait violent, plus il etait violent, plus il donnait de la puissance au va et vient de son compaire qui me baisait en me crachant encore dessus. Ca, mélé à l'excitation, les jambes grandes ouverte maintenu par mes mains, nous avons jouie presque en même temps.
Ils se sont rhabillé en vitesse, moi aussi, je suis montée sur le pont pour le gouté, mais il était dejà terminé.
A la fin du voyage je n'ai pas omit de laisser un bon pourboire aux hommes de menage. Nous n'avons pas recommencé l'experience, mais tous les jours quand ils faisaient ma chambre, j'avais droit à une figurine en forme du bite. Dès que je la voyais j'enlevais mon string et me m'asseyais dessus pour me masturber.
J'etais seule, oui parce que je pars toujours seule en vacances. Dans le car qui nous emmenait au port où le bateau était à quai, j'ai fait la connaissance de 2 personnes, un homme et une femme.
Tout les matins pendant le petit dejeuner, les hommes de menage nettoyaient les cabines. Quand vous y retourniez vous trouviez qu'ils avaient fait de jolies figurines avec vos serviettes. Et ils faisaient la même chose l'apres-midi pendant le gouté.
Un jour en rentrant sur le bateau, apres une longue et chaude visite dans le souk d'Edfu(je crois), nous avons convenu de prendre une douche, de faire une sieste et de nous retrouver pour le gouter au bar de la piscine.
Je suis allée dans ma cabine, situé au niveau des cabines du personnel, et comble de l'horreur,j'etais aussi au m^me niveau que les familles avec bambins et tout et tout, bref...
J'ai pris ma douche, j'ai decidée de faire ma sieste toute nue, ce que je ne fais jamais, tres frileuse m^me sous 50°C.
Mais à chaque fois que je suis nue ça m'excite un peu et ça empire quand je passe devant un mirroir et que j'aperçois mon corps, oui j'ai un assez joli corps, de belles formes.
Je me suis allongée sur le lit, j'ai sentie la clim sur mes seins alors j'ai ecarté les jambes pour que le souffle me caresse le vagin. Je me suis mise à mouiller instantanément, j'ai titillée mes tetons, qui pointaient bien dur, suis redescendue sur mon ventre pour arriver tres vite sur mon clitoris.
J'ai passé la main dessus, d'abord doucement, puis j'ai entre ouvert les levres pour sentir encore mieux le petit vent de la clim. Comme je commençais à etre serieusement exciter, je suis allé vers l'entrée, parce qu'il y avait un grande armoire avec un mirroir sur la porte du milieu où je pouvais bien me voir.
J'ai pris une chaise, me suis assise dessus, ai allumée la lumiere, parce que les rideaux etaient tirés à cause du soleil.
J'ai levée mes jambes tres haut tendu, les ai bien ouverte, j'ai regardée mon vagin, et me suis mise à faire des contractions avec, ce qui a pour but d'exciter d'avantage. J'y ai mis un doigt et puis deux, trois, quatre, je faisais des va et vient avec mes doigts en ouvrant et refermant mes cuisses. Je me disais que j'etais une salope et qu'il me fallait un truc bien gros et bien dur, mais il n'y avait rien de ce genre autour de moi, sauf une bouteille de biere que je laissais dans ma valise depuis mon arrivé pour ce genre de situation. Je me suis empressée de la prendre et sans attendre sans faire de chichi, je l'ai introduit dans mon con, bien trempé et dégoulinant.
J'avais à peine commencer mon plaisir, que la porte de la cabine s'ouvrit et me retrouvais assise sur la chaise, les jambes ecartées appuyées sur la glace, une main tenant la bouteille enfoncé dans ma chatte et l'autre triturant un sein, face à ce grand gaillard d'1m85 environ, élancé, au teint mât et aux yeux marron clair. Il avait le cheveux fin et crepus, un grand nez faisait dresser fierement son menton, une fine moustache courronait sa bouche et de longue dents blanche.
Il est entré, d'un pas, c'est la distance qui séparait ma chaise de la porte, est arrivé sur moi, a decroché mes pieds du mirroir, m'a tournée dans sa direction et de la tête m'a fait signe de continuer. Terriblement honteuse, si j'avais été blanche il m'aurait vu toute rougie, je tentais de me debatre pour me liberer mais il me tenait fermemant les chevilles. Une bosse c'etait dejà formé sous son pantalon marine, alors jai continuée, j'ai fait des va et vients avec la bouteille en le fixant dans les yeux. Mais lui avait le regard braqué sur mon sexe, il avait ouvert grand les yeux et la bouche.
Il a laché une jambe pour caresser sa bosse, le gland semblait vouloir transpercer sa braguette. Je me suis levée et suis allée m'allongée sur le lit. Quand il m'a rejoint le queue serrer dans le poing, je me suis dit : " c'est vrai alors grand nez, grosse bite!" elle était plus grande que grosse, mais tout de m^me impressionnante.
J'ai sortie tres vite la bouteille que j'ai jetée à terre, preservatif en main à attendre qu'il ce decide. Mais il ne semblait pas savoir ce qu'il devait faire de cette bite entre les mains et de mon vagin beant. J'ai pris alors les devant, me relevant et lui ai enfilé la capote, j'ai sucée, sucée, mais je ne pouvais pas tout mettre en bouche elle etait bien trop grande. Tant pis je branlais le reste. Je sucais, je sucais et de la salive coulait sur mon menton pour retomber sur ma poitrine. Il aimait ça, et bougeait ses hanches. Je sucais, resortais la queue pour la frapper contre mes seins, encore et encore et puis ...
Cette idiot n'avait pas fermé la porte à cléf, ils faisaient toujours le menage à deux, et le deuxieme venait d'entrer dans ma cabine.
Me voilà à nouveau assise sur le coin du lit, une main branlant mon grand egyptien, sa queue dans ma bouche, l'autre lui caressant les couilles et celui là, un petit un peu plus grasouillet et plus cheveulu le sourire aux levres, admirait le spectacle.
J'ignore ce qu'ils se sont dit, mais le deuxieme à aussitot ouvert sa braguette et sorti sa bite qu'il a presenté à l'entré de ma bouche. Pas folle j'ai sortie un autre preservatif, le lui ai enfilée et me revoilà entrain de sucer cette fois une plus petite, mais tres grosse bite, qui entrait à peine dans ma bouche. Mon poing n"en faisait m^me pas le tour. Je les ai sucé à tour de rôle, ils me malaxaient les seins, les tetons.
ils m'ont allongés sur lit et m'ont masturbé, ils m'ont literalement detruit le clitoris tellement ils ne savaient pas s'y prendre. J'ai vite stoppé la torture, j'ai empoignée la queue du grand et l'ai dirrigé dans mon vagin. L'autre se branlait, aucun ne me regardait. ILs n'etaient interessés que par ma chatte trempée. Au bout de quelques va et vient le petit à repousser le grand et c'est introduit à son tour, plus brutal, plus assoiffé. Il me defonçait à coup de butoir en psalmodiant des mots incomprehensible, du moins par moi. l'autre est revenue vers ma bouche et ma empoigné la tete pour que je le suce, ce que j'ai fait. Le petit à soulever mes jambes, les a bien ecarté et s'appuyant sur mes cuisses fit de rapide va et vients, si fort qu'on entendait le lit cogné contre le mur. Il transpirait à grosses goutes, respirait comme s'il courrait un sprint.
Puis ils ont de nouveau échangé leur place. Et pendant cinq minute de va et vient rapide et brutal, sans changer de position, ils m'ont retourné, ventre contre le lit, le petit c'est infiltré dans ma chatte, le grand ce branlait face à lui. puis l'un d'eux a ecarté mes fesses, un doigt c'est introduit dans mon anus et puis un autre, encore un autre et un autre, les va et vients avaient cessés, les doigts écartaient maintenant mon anus et cette queue, d'une grosseur terrible s'engouffrait à l'interieur. J'avais horriblement mal,mais je ne voulais pas crier, apres tout, je les avait presque invitée à cette baise.
J'ai senti le corps de ce petit s'alourdir sur moi,en tournant la tête j'ai vue le grand qui le chevauchait, je croyais qu'il voulait entrer dans ma chatte, une double penetration ça aurait été une premiere pour moi,mais rien, et l'autre s'alourdissait de plus en plus. j'ai fini par comprendre que lui aussi se faisait enculer.
Quelle joie, je ne sentais plus le mal, ni le poids de ce dernier, j'entendais juste les cris qu'il, comme moi, tentait d'étouffer. J'aurais aimé qu'il y ait un mirroir à coté de nous pour que je puisse le voir.
La double penetration etait faite mais pas comme je l'imaginais. Et m'empalais avec plaisir sur la grosse bite de mon petit enculer. Ils parlaient chuchotaient beaucoup en egyptien et moi je retorquais sans comprendre:
" toi aussi tu te fais defoncer le cul?, tu aimes ça mon salaud!
toi aussi tu es une belle salope hein?!"
comme je voulais absolment voir ça, j'ai repoussée mon petit d'une main, ils ce sont arretés, tout le monde est sorti de son trou. Je me suis retournée, est frappée de la main sur mon vagin, lui disant de revenir. Il a sagement repris sa place et le spectacle que je voulais voir à recommencer. J'ai vue le visage de mon petit ce crispé de douleur quand l'autre c'est de nouveau enfourner dans son cul. Quand mon petit a remarqué le sourire que j'avais pour sa douleur, il c'est remis à parler en egyptien, et cette fois j'ai compris qu'il m'injuriait, parce qu'il me crachait dessus au fur et à mesure. Et plus il parlait plus l'autre etait violent, plus il etait violent, plus il donnait de la puissance au va et vient de son compaire qui me baisait en me crachant encore dessus. Ca, mélé à l'excitation, les jambes grandes ouverte maintenu par mes mains, nous avons jouie presque en même temps.
Ils se sont rhabillé en vitesse, moi aussi, je suis montée sur le pont pour le gouté, mais il était dejà terminé.
A la fin du voyage je n'ai pas omit de laisser un bon pourboire aux hommes de menage. Nous n'avons pas recommencé l'experience, mais tous les jours quand ils faisaient ma chambre, j'avais droit à une figurine en forme du bite. Dès que je la voyais j'enlevais mon string et me m'asseyais dessus pour me masturber.
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