Ahmed, un nouvel amant parfait.3
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 337 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Passud ont reçu un total de 1 476 245 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 892 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Ahmed, un nouvel amant parfait.3
On s'est vu assez rapidement, après ce fabuleux Week end de baise entre hommes.
Je n'en ressentais pas un énorme besoin, mais comme le plaisir vient en baisant, j'ai encore joui comme jamais avec "ma chatte".
Puis, trois semaines se sont écoulées sans le voir, avant que je ne cède au besoin de retourner au Sex-Shop.
Je repousse cette échéance, puis un soir, c'est Eric et Alex que je vois devant ma porte d'immeuble.
"Qu'est-ce que vous faites là ?".
"Ben, tu viens plus au Sex-Shop ! On vient te voir ! Et t'en as surement envie !".
"Oui !".
On monte ensemble chez moi, et je me fais copieusement démonter pendant toute la soirée.
Ils m'apprennent qu'ils sont venus sur le conseil d'Ahmed, qui est en Algérie, en famille.
Malgré le plaisir, je suis déçu que ce ne soit pas Ahmed qui m'ai défoncé.
Même si cela faisait un moment que je n'avais plus connu de double anale !
Ce qui nous lie, est trop parfait pour être remplacé, même avec deux hommes !
Alex reste chez moi pour dormir et me détruit le cul encore, jusqu'à 16 h !
Corinne me rejoint, alors que je range mon appart, mon lit et ouvre les fenêtres, pour faire disparaitre l'odeur de sperme et de sexe anal.
Plus de deux semaines s'écoulent encore, Même si j'ai un énorme besoin d'aimer Corinne et de la posséder, je suis sevré de ce besoin, à présent.
Maintenant, je ne pense plus qu'a Ahmed, je veux qu'il me défonce la chatte !
Je commence à me résoudre, de me faire baiser au Sex-Shop encore.
Mes yeux sont brillants de bonheur, quand je le reconnais devant chez moi, enfin !
Je lui ouvre la porte de mon immeuble, puis je me jette sur ses lèvres.
Notre baiser devient passionné.
"Bébé ! On va nous voir ! Attends qu'on soit chez toi !".
"Tu m'as manqué !".
"Ca me plait d'entendre ça ! Allez, on monte vite !".
Une fois chez moi, on se cherche des lèvres, tout en se dénudant.
Notre envie de l'autre est instinctive, presque bestiale.
"Putain, Pascal, mon bébé ! Tu m'as manqué aussi, j'ai trop envie de ta chatte !".
"Moi aussi, je veux ta bite ! Je veux que tu me fasses jouir !".
"Ils sont pas venu, Eric et Alex ?".
"Si, mais c'est toi que je veux ! Tu me connais bien ! C'est plus fort avec toi ! Tu m'en veux pas de les avoir laissé me baiser ?".
"Non, moi aussi, j'ai baisé un autre mec ! Mais, c'était pas aussi bon qu'avec toi, je regrette ! Putain, je veux ta chatte, bébé !".
Je me retrouve nu devant lui, il me soulève par le cul, pendant que je l'entoure de mes cuisses, au niveau de la taille, en l'embrassant.
"Mouilles toi la chatte ! Bébé !".
Je salive sur les doigts, puis je me couvre l'anus, son gland se colle entre mes fesses écartelées par ses mains.
Lentement, mon poids m'entraine à m'empaler sur sa grosse verge.
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Ahmed ! J'en avais tellement besoin ! Arghhhhhhhhhhh !".
"Moi aussi, bébé ! Moi aussi ! Oh, ce que j'aime ta chatte !".
Ses mouvements s'amplifient, puis très lentement, augmentent en rythme et en intensité.
Tout cela se déroule sur plusieurs minutes. mon anus est bien ouvert à présent.
Je commence à dégouliner sur sa bite, on ne s'est jamais autant embrassés.
Tout ce temps à me soulever pour m'enculer le fatigue malgré tout, il nous déplace et m'encule en me posant au bord du lit.
Il s'enfonce en moi de tout son poids, à chaque assaut, j'ai le sentiment qu'il a besoin de rattraper le temps perdu.
J'ai connu plusieurs orgasmes déjà, et je suis heureux qu'il me défonce encore.
Puis, il m'annonce son plaisir:
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Bébé ! Je vais jouir, moi aussi ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Viens !".
Je comprends qu'il veut ma bouche pour éjaculer.
Dès qu'il sort de mon cul, je me jette à ses pieds.
Il insère son énorme gland au fond de ma gorge et éjecte tout son sperme, en grognant son plaisir.
La quantité est énorme, je m'étonne de ce phénomène, en avalant son jus, plus épais que d'habitude.
Le liquide afflue plus vite, que ma bouche ne peut l'avaler, mais je parviens à m'en abreuver, sans en perdre une goutte.
Il se tourne pour s'allonger à coté de moi, en me tendant les bras.
"Ahh ! Ca va mieux, merci mon bébé !".
"Merci à toi aussi ! Tu m'as bien baisé encore ! Et même, si je sais, que t'es pas amoureux de moi, j'aime de plus en plus être ton "bébé"!".
"On pense la même chose alors ! On s'aime pas, mais on adore baiser ensemble !".
"Hummmm ! Oui ! C'est ça ! Elle m'a trop manqué ta bite ! D'ailleurs, désolé, mais je vais encore en profiter un peu !".
Je descend vers son sexe et le suce, le lèches, vide son canal urinaire de son reste de sperme, inlassablement jusqu'à ce qu'il débande.
Ce qui arrive moins vite, grâce à ma bouche.
"Putain, t'es génial, bébé ! J'adore quand tu me fais ça ! Ouhhhh ! C'est bon ! T'es ma p'tite salope goulue !".
"Hummm ! Comment ça se fait qu'il y en avait autant ? C'est Normal ?".
"Je crois, je baise plus ma copine, on s'est séparé, son mari se doute de quelque chose ! D'ailleurs, ça t'ennuie, si je passe plus souvent ?".
Je quitte sa verge qui commence à dégonfler.
"Euh, je sais pas ! Vis à vis de Corinne, je sais pas si je vais assurer pour vous deux !".
"C'est pas pareil !".
"Ben, c'est pas facile de baiser une fille avec le cul défoncé ! Ca contrarie l'érection !".
"Je savais pas !".
"C'est pour ça que je bande pas, quand tu m'encules ! Sauf, quand tu stimule ma prostate ! En un mot, quand j'ai l'anus éclaté, j'ai encore envie de sexe anal ! Même quand j'en peux plus de jouir !".
"C'est bon pour moi, ça !".
"Salaud ! C'est aussi pour ça que je pense que le plaisir anal est addictif, c'est ma drogue à moi !".
"Humm, ça donne envie d'essayer !".
"Je te le conseille pas, il faut des années avant d'arriver à jouir, par là ! Mais quand t'y arrives, t'es accroc ! Moi, je me masturbe l'anus depuis mon enfance ! J'étais trop jeune pour comprendre que ça allait conditionner ma vie sexuelle ! Mais je parle trop de moi, encore !".
"Ah ouais, d'accord !".
"Dis-moi, c'est sûr ? T'as pris moins de plaisir avec l'autre mec ! C'est vrai ?".
"Ohh ! T'es jaloux...se ?".
"Un peu, j'avoue ! C'est normal, ma chatte est à toi, mais ta bite m'appartient un peu aussi, du coup !".
"J'adore ! Je te rassure, ça s'est pas trop bien passé, quand je l'ai enculé !".
"Pourquoi ?".
"Il mouillait pas du cul, comme toi, il a eu un peu mal et moi, je m'y sentais pas bien, non plus ! Bref, pas le bon feeling ! Non ! C'est sûr, je préfère ta chatte !".
On s'embrasse longuement, en se touchant et se tournant sur mon lit.
Le temps qui passe est ampli de caresses vicieuses, mots vulgaires et tendres, confessions sexuelles, etc...
Je me lève pour nous préparer un petit repas en restant nu.
Alors que l'eau des pates chauffe lentement, il vient contre moi, en posant ses mains sur mon cul.
Sa queue est dressée comme un gros pieu, il la dirige vers mon anus.
"Donc si j'ai bien compris, si je te la remet, tu demandes pas mieux, ça te fait du bien !".
Il s'enfonce en moi.
"Arghhhhhhhhhhhhhhhh ! Oui, t'as tout compris ! Arghhhhhhhh ! Encore ! Ohhhrhhh ! Putain, je joui déjàaaaaaaaaaa !".
"Ca recommence ? Comme l'autre jour ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhh !".
"Putain c'est trop bon, je t'adore bébé ! Je vais prendre mon temps ! Bien profond ! J'adore lui donner du plaisir, à ta chatte !".
Il me cale sur le dessus de l'évier, et fait coulisser sa grosse bite avec amplitude, mais sans violence, pour m'emmener plusieurs fois à l'orgasme anal.
Je lui demande d'arrêter, j'ai bien joui, mais les pâtes ne vont pas se faire toutes seules !
Il me libère de sa pénétration, et m'aide à préparer le repas.
Voir son gros sexe qui attend de retrouver son fourreau anal, m'excite énormément.
On se presse, en dévorant le plat.
Je débarrasse la table en posant le tout dans l'évier.
Je ne peux retenir une flatulence, qui s'accompagne d'un écoulement de jus anal visqueux.
Ahmed me pose rapidement ses doigts sur l'anus, il constate la viscosité de mon œillet.
"Oh ! Oh, je crois que ta chatte réclame ma queue !".
"Oui, c'est ça ! Tu l'as restimulée tout à l'heure !".
Il me couche sur ma table, sur le dos, et replonge dans mes intestins.
Il reprend sa possession, bien plus profonde qu'auparavant.
Il joue avec ma béance anale, fait pivoter parfois, sa grosse bite dans mon cul.
Mon anus est sursollicité, je prend un plaisir énorme, trop puissant.
Mes cuisses se mettent à trembler malgré moi, je crie mon orgasme, pris de spasmes incontrôlables.
"Oh, putain, tu prends bien ton pied ! Je t'adore bébé ! C'est bon ! Pas vrai ?".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !".
Il stimule ma prostate trop intensément, avec son gland qui racle ma paroi anale avant de sortir d'un coup sec.
"Arghhhhhhhhhhh ! Non ! Arrêtes de faire ça ! S'il te plait !".
"Non, ça m'excites ! Et je sais que ça te fait jouir ! Pourquoi, tu veux que j'arrête ?".
Il recommence plusieurs fois, de l'urine coule abondamment sur mon ventre.
"Arhhhhhhhhhhhhhh ! Non, pas ça, je voulais pas ! Arggggggggggggggggggg !".
Le jus doré sort de mon gland et va maculer mon corps à chaque sortie de sa queue.
"Oh, c'est excitant ça !".
"Arrêtes ! S'il te plait ça me gênes ! Arghhhhhhhhhhhhhhh !".
Au lieu de ça, il m'encule avec une fougue incroyable, nos cris et râles de plaisir s'entremêlent, tout au long du bon quart d'heure de cette sodomie sauvage.
Puis, il se fige en grognant, je sens sa grosse queue, prise de spasmes d'éjection de sperme, qui me remplit l'anus.
Je me pâme de plaisir cérébral, notre bonheur sexuel est parfait.
Chaque seconde d'insémination est magique, pour chacun de nous.
Il me soulève le visage, on joint nos lèvres, nos langues, tout le reste du temps qu'il termine son éjaculation.
"Bébé, dans ces moments là, je serai prêt à te dire que je t'aime ! Tellement c'est bon !".
"Je comprends, je ressens la même chose ! Je crois qu'on vit une passion sexuelle !".
"Ca doit être ça !".
Lentement, il recule en regardant son sexe quitter "ma chatte".
Son foutre coule aussitôt pour tacher le carrelage.
Il remet sa bite et profite encore de mon anus, un petit moment, en mouvements amples et lents.
J'adore ce qu'il me fait ! Mais, je me doute qu'il se régale de voir son foutre dégouliner de mon anus à chaque sortie.
Je ne sais pas pourquoi j'ai dis cette phrase:
"Si ta queue et ma chatte pouvait se parler ! Il s'en dirait des choses !".
Nous sommes alors partis dans un délire de rires et de situations improvisées, chacun imaginait un dialogue sexuel entre nos parties intimes.
Un grand moment !
Il me rejoint sous la douche, avec quelques attouchement inévitables bien sûr.
De retour sur les draps, je lui fais une surprise inattendue.
"Comme on se voit, de plus en plus souvent, et que tu veux rapprocher tes visites, si ça te dit, je te passe un double de mes clefs ! Par contre, tu ne pourra venir qu'a partir de 18h30, 19h, comme d'habitude !".
"C'est sûr ? Je veux bien ! Ca m'arrange ! Mais, attends toi, à me voir arriver sans prévenir !".
"J'assume !".
Je reçois un énorme baiser de remerciement.
La suite est simple, nous étions repus de sexe, on a seulement regardé la télé, jusqu'à minuit environ, puis il m'a attiré vers sa bite pour que je le suce, on a enchainé ensuite par plusieurs sodomies, fellations, encore sodomies et enfin éjaculation buccale explosive.
La nuit fut calme, sauf, que je me suis levé pour me rendre aux toilettes.
J'ai aimé me glisser contre lui pour retrouver le sommeil.
J'ai émergé avant lui, je lui ai préparé le petit déjeuner, pris le mien, puis toilettes et lavement anal pour moi.
Lors de ma sortie de la salle de bain, il m'a appelé:
"Pascal ? Bébé ? T'es ou ?".
Je lui emmène le plateau avec un café et des tartines.
"Oh ! C'est super mignon, tout ça ! Mais j'ai envie d'autre chose aussi !".
"C'est quoi ?".
"D'abord, un peu ta bouche, et après ta p'tite chatte !".
"Putain, elle commençait à se remettre ! Bon, tant pis ! Après tout, je vais encore jouir, je vais pas me plaindre !".
Il dévore son déjeuner, puis pose le tout par terre et me couche sur le coté, il me dévore l'anus, pendant que je lui lèche longuement la bite.
Ensuite, je me retrouve sur le ventre, pilonné par mon amant, lui réclamant de me défoncer encore et encore.
Les positions s'enchainent jusqu'à 11h du matin, il devient trop endurant, il m'épuise analement, mais j'aime ça !
Lorsqu'il me quitte, comme convenu, je lui donne un double de mes clefs.
Je n'en ressentais pas un énorme besoin, mais comme le plaisir vient en baisant, j'ai encore joui comme jamais avec "ma chatte".
Puis, trois semaines se sont écoulées sans le voir, avant que je ne cède au besoin de retourner au Sex-Shop.
Je repousse cette échéance, puis un soir, c'est Eric et Alex que je vois devant ma porte d'immeuble.
"Qu'est-ce que vous faites là ?".
"Ben, tu viens plus au Sex-Shop ! On vient te voir ! Et t'en as surement envie !".
"Oui !".
On monte ensemble chez moi, et je me fais copieusement démonter pendant toute la soirée.
Ils m'apprennent qu'ils sont venus sur le conseil d'Ahmed, qui est en Algérie, en famille.
Malgré le plaisir, je suis déçu que ce ne soit pas Ahmed qui m'ai défoncé.
Même si cela faisait un moment que je n'avais plus connu de double anale !
Ce qui nous lie, est trop parfait pour être remplacé, même avec deux hommes !
Alex reste chez moi pour dormir et me détruit le cul encore, jusqu'à 16 h !
Corinne me rejoint, alors que je range mon appart, mon lit et ouvre les fenêtres, pour faire disparaitre l'odeur de sperme et de sexe anal.
Plus de deux semaines s'écoulent encore, Même si j'ai un énorme besoin d'aimer Corinne et de la posséder, je suis sevré de ce besoin, à présent.
Maintenant, je ne pense plus qu'a Ahmed, je veux qu'il me défonce la chatte !
Je commence à me résoudre, de me faire baiser au Sex-Shop encore.
Mes yeux sont brillants de bonheur, quand je le reconnais devant chez moi, enfin !
Je lui ouvre la porte de mon immeuble, puis je me jette sur ses lèvres.
Notre baiser devient passionné.
"Bébé ! On va nous voir ! Attends qu'on soit chez toi !".
"Tu m'as manqué !".
"Ca me plait d'entendre ça ! Allez, on monte vite !".
Une fois chez moi, on se cherche des lèvres, tout en se dénudant.
Notre envie de l'autre est instinctive, presque bestiale.
"Putain, Pascal, mon bébé ! Tu m'as manqué aussi, j'ai trop envie de ta chatte !".
"Moi aussi, je veux ta bite ! Je veux que tu me fasses jouir !".
"Ils sont pas venu, Eric et Alex ?".
"Si, mais c'est toi que je veux ! Tu me connais bien ! C'est plus fort avec toi ! Tu m'en veux pas de les avoir laissé me baiser ?".
"Non, moi aussi, j'ai baisé un autre mec ! Mais, c'était pas aussi bon qu'avec toi, je regrette ! Putain, je veux ta chatte, bébé !".
Je me retrouve nu devant lui, il me soulève par le cul, pendant que je l'entoure de mes cuisses, au niveau de la taille, en l'embrassant.
"Mouilles toi la chatte ! Bébé !".
Je salive sur les doigts, puis je me couvre l'anus, son gland se colle entre mes fesses écartelées par ses mains.
Lentement, mon poids m'entraine à m'empaler sur sa grosse verge.
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Ahmed ! J'en avais tellement besoin ! Arghhhhhhhhhhh !".
"Moi aussi, bébé ! Moi aussi ! Oh, ce que j'aime ta chatte !".
Ses mouvements s'amplifient, puis très lentement, augmentent en rythme et en intensité.
Tout cela se déroule sur plusieurs minutes. mon anus est bien ouvert à présent.
Je commence à dégouliner sur sa bite, on ne s'est jamais autant embrassés.
Tout ce temps à me soulever pour m'enculer le fatigue malgré tout, il nous déplace et m'encule en me posant au bord du lit.
Il s'enfonce en moi de tout son poids, à chaque assaut, j'ai le sentiment qu'il a besoin de rattraper le temps perdu.
J'ai connu plusieurs orgasmes déjà, et je suis heureux qu'il me défonce encore.
Puis, il m'annonce son plaisir:
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Bébé ! Je vais jouir, moi aussi ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Arghhhhhhhhhhhhh ! Viens !".
Je comprends qu'il veut ma bouche pour éjaculer.
Dès qu'il sort de mon cul, je me jette à ses pieds.
Il insère son énorme gland au fond de ma gorge et éjecte tout son sperme, en grognant son plaisir.
La quantité est énorme, je m'étonne de ce phénomène, en avalant son jus, plus épais que d'habitude.
Le liquide afflue plus vite, que ma bouche ne peut l'avaler, mais je parviens à m'en abreuver, sans en perdre une goutte.
Il se tourne pour s'allonger à coté de moi, en me tendant les bras.
"Ahh ! Ca va mieux, merci mon bébé !".
"Merci à toi aussi ! Tu m'as bien baisé encore ! Et même, si je sais, que t'es pas amoureux de moi, j'aime de plus en plus être ton "bébé"!".
"On pense la même chose alors ! On s'aime pas, mais on adore baiser ensemble !".
"Hummmm ! Oui ! C'est ça ! Elle m'a trop manqué ta bite ! D'ailleurs, désolé, mais je vais encore en profiter un peu !".
Je descend vers son sexe et le suce, le lèches, vide son canal urinaire de son reste de sperme, inlassablement jusqu'à ce qu'il débande.
Ce qui arrive moins vite, grâce à ma bouche.
"Putain, t'es génial, bébé ! J'adore quand tu me fais ça ! Ouhhhh ! C'est bon ! T'es ma p'tite salope goulue !".
"Hummm ! Comment ça se fait qu'il y en avait autant ? C'est Normal ?".
"Je crois, je baise plus ma copine, on s'est séparé, son mari se doute de quelque chose ! D'ailleurs, ça t'ennuie, si je passe plus souvent ?".
Je quitte sa verge qui commence à dégonfler.
"Euh, je sais pas ! Vis à vis de Corinne, je sais pas si je vais assurer pour vous deux !".
"C'est pas pareil !".
"Ben, c'est pas facile de baiser une fille avec le cul défoncé ! Ca contrarie l'érection !".
"Je savais pas !".
"C'est pour ça que je bande pas, quand tu m'encules ! Sauf, quand tu stimule ma prostate ! En un mot, quand j'ai l'anus éclaté, j'ai encore envie de sexe anal ! Même quand j'en peux plus de jouir !".
"C'est bon pour moi, ça !".
"Salaud ! C'est aussi pour ça que je pense que le plaisir anal est addictif, c'est ma drogue à moi !".
"Humm, ça donne envie d'essayer !".
"Je te le conseille pas, il faut des années avant d'arriver à jouir, par là ! Mais quand t'y arrives, t'es accroc ! Moi, je me masturbe l'anus depuis mon enfance ! J'étais trop jeune pour comprendre que ça allait conditionner ma vie sexuelle ! Mais je parle trop de moi, encore !".
"Ah ouais, d'accord !".
"Dis-moi, c'est sûr ? T'as pris moins de plaisir avec l'autre mec ! C'est vrai ?".
"Ohh ! T'es jaloux...se ?".
"Un peu, j'avoue ! C'est normal, ma chatte est à toi, mais ta bite m'appartient un peu aussi, du coup !".
"J'adore ! Je te rassure, ça s'est pas trop bien passé, quand je l'ai enculé !".
"Pourquoi ?".
"Il mouillait pas du cul, comme toi, il a eu un peu mal et moi, je m'y sentais pas bien, non plus ! Bref, pas le bon feeling ! Non ! C'est sûr, je préfère ta chatte !".
On s'embrasse longuement, en se touchant et se tournant sur mon lit.
Le temps qui passe est ampli de caresses vicieuses, mots vulgaires et tendres, confessions sexuelles, etc...
Je me lève pour nous préparer un petit repas en restant nu.
Alors que l'eau des pates chauffe lentement, il vient contre moi, en posant ses mains sur mon cul.
Sa queue est dressée comme un gros pieu, il la dirige vers mon anus.
"Donc si j'ai bien compris, si je te la remet, tu demandes pas mieux, ça te fait du bien !".
Il s'enfonce en moi.
"Arghhhhhhhhhhhhhhhh ! Oui, t'as tout compris ! Arghhhhhhhh ! Encore ! Ohhhrhhh ! Putain, je joui déjàaaaaaaaaaa !".
"Ca recommence ? Comme l'autre jour ?".
"Ouiiiiiiiiiiiiiiii ! Arghhhhhhhhhhhhhhhhh !".
"Putain c'est trop bon, je t'adore bébé ! Je vais prendre mon temps ! Bien profond ! J'adore lui donner du plaisir, à ta chatte !".
Il me cale sur le dessus de l'évier, et fait coulisser sa grosse bite avec amplitude, mais sans violence, pour m'emmener plusieurs fois à l'orgasme anal.
Je lui demande d'arrêter, j'ai bien joui, mais les pâtes ne vont pas se faire toutes seules !
Il me libère de sa pénétration, et m'aide à préparer le repas.
Voir son gros sexe qui attend de retrouver son fourreau anal, m'excite énormément.
On se presse, en dévorant le plat.
Je débarrasse la table en posant le tout dans l'évier.
Je ne peux retenir une flatulence, qui s'accompagne d'un écoulement de jus anal visqueux.
Ahmed me pose rapidement ses doigts sur l'anus, il constate la viscosité de mon œillet.
"Oh ! Oh, je crois que ta chatte réclame ma queue !".
"Oui, c'est ça ! Tu l'as restimulée tout à l'heure !".
Il me couche sur ma table, sur le dos, et replonge dans mes intestins.
Il reprend sa possession, bien plus profonde qu'auparavant.
Il joue avec ma béance anale, fait pivoter parfois, sa grosse bite dans mon cul.
Mon anus est sursollicité, je prend un plaisir énorme, trop puissant.
Mes cuisses se mettent à trembler malgré moi, je crie mon orgasme, pris de spasmes incontrôlables.
"Oh, putain, tu prends bien ton pied ! Je t'adore bébé ! C'est bon ! Pas vrai ?".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !".
Il stimule ma prostate trop intensément, avec son gland qui racle ma paroi anale avant de sortir d'un coup sec.
"Arghhhhhhhhhhh ! Non ! Arrêtes de faire ça ! S'il te plait !".
"Non, ça m'excites ! Et je sais que ça te fait jouir ! Pourquoi, tu veux que j'arrête ?".
Il recommence plusieurs fois, de l'urine coule abondamment sur mon ventre.
"Arhhhhhhhhhhhhhh ! Non, pas ça, je voulais pas ! Arggggggggggggggggggg !".
Le jus doré sort de mon gland et va maculer mon corps à chaque sortie de sa queue.
"Oh, c'est excitant ça !".
"Arrêtes ! S'il te plait ça me gênes ! Arghhhhhhhhhhhhhhh !".
Au lieu de ça, il m'encule avec une fougue incroyable, nos cris et râles de plaisir s'entremêlent, tout au long du bon quart d'heure de cette sodomie sauvage.
Puis, il se fige en grognant, je sens sa grosse queue, prise de spasmes d'éjection de sperme, qui me remplit l'anus.
Je me pâme de plaisir cérébral, notre bonheur sexuel est parfait.
Chaque seconde d'insémination est magique, pour chacun de nous.
Il me soulève le visage, on joint nos lèvres, nos langues, tout le reste du temps qu'il termine son éjaculation.
"Bébé, dans ces moments là, je serai prêt à te dire que je t'aime ! Tellement c'est bon !".
"Je comprends, je ressens la même chose ! Je crois qu'on vit une passion sexuelle !".
"Ca doit être ça !".
Lentement, il recule en regardant son sexe quitter "ma chatte".
Son foutre coule aussitôt pour tacher le carrelage.
Il remet sa bite et profite encore de mon anus, un petit moment, en mouvements amples et lents.
J'adore ce qu'il me fait ! Mais, je me doute qu'il se régale de voir son foutre dégouliner de mon anus à chaque sortie.
Je ne sais pas pourquoi j'ai dis cette phrase:
"Si ta queue et ma chatte pouvait se parler ! Il s'en dirait des choses !".
Nous sommes alors partis dans un délire de rires et de situations improvisées, chacun imaginait un dialogue sexuel entre nos parties intimes.
Un grand moment !
Il me rejoint sous la douche, avec quelques attouchement inévitables bien sûr.
De retour sur les draps, je lui fais une surprise inattendue.
"Comme on se voit, de plus en plus souvent, et que tu veux rapprocher tes visites, si ça te dit, je te passe un double de mes clefs ! Par contre, tu ne pourra venir qu'a partir de 18h30, 19h, comme d'habitude !".
"C'est sûr ? Je veux bien ! Ca m'arrange ! Mais, attends toi, à me voir arriver sans prévenir !".
"J'assume !".
Je reçois un énorme baiser de remerciement.
La suite est simple, nous étions repus de sexe, on a seulement regardé la télé, jusqu'à minuit environ, puis il m'a attiré vers sa bite pour que je le suce, on a enchainé ensuite par plusieurs sodomies, fellations, encore sodomies et enfin éjaculation buccale explosive.
La nuit fut calme, sauf, que je me suis levé pour me rendre aux toilettes.
J'ai aimé me glisser contre lui pour retrouver le sommeil.
J'ai émergé avant lui, je lui ai préparé le petit déjeuner, pris le mien, puis toilettes et lavement anal pour moi.
Lors de ma sortie de la salle de bain, il m'a appelé:
"Pascal ? Bébé ? T'es ou ?".
Je lui emmène le plateau avec un café et des tartines.
"Oh ! C'est super mignon, tout ça ! Mais j'ai envie d'autre chose aussi !".
"C'est quoi ?".
"D'abord, un peu ta bouche, et après ta p'tite chatte !".
"Putain, elle commençait à se remettre ! Bon, tant pis ! Après tout, je vais encore jouir, je vais pas me plaindre !".
Il dévore son déjeuner, puis pose le tout par terre et me couche sur le coté, il me dévore l'anus, pendant que je lui lèche longuement la bite.
Ensuite, je me retrouve sur le ventre, pilonné par mon amant, lui réclamant de me défoncer encore et encore.
Les positions s'enchainent jusqu'à 11h du matin, il devient trop endurant, il m'épuise analement, mais j'aime ça !
Lorsqu'il me quitte, comme convenu, je lui donne un double de mes clefs.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Passud
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore !!!