Aide soignante au services des cas urgents
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 850 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.1
- • L'ensemble des récits érotiques de Georges ont reçu un total de 13 707 774 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 7 601 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Aide soignante au services des cas urgents
Aide-soignante
Je veux faire une carrière d’infirmière mais le parcourt est long et difficile, au début alternant avec l’école je fais des stages d’aide-soignante, soit en hôpital soit en maison de retraite, bien décidée à parvenir à mes fins je ne rechigne pas devant les obstacles et d’ailleurs j’en fais une sorte de distraction… je pense à la toilette des malades, vieux ou jeunes
En accomplissant les toilettes intimes je suis devenue extrêmement curieuse de découvrir le sexe des hommes, je peux en toute légalité et impunité comparer leur dimensions et l’évolution au fil des âges, souvent au repos mais qui évoluent quelquefois très rapidement entre mes mains gantées, ceci dit certains hommes très prudes refuse de montrer leur sexe a une toute jeune fille, a l’inverse d’autres me demande d’apporter le plus grand soin à leurs testicules et leur glands, un jour j’ai demandé conseil a un infirmier fraichement promu
- Tu ne devrais pas les décalotter, ça les incitent à te demander toujours plus si tu vois ce que je veux dire …
- Que veut-tu j’aime leur rendre un séjour, quelquefois très long, le plus doux possible dans ces sinistres chambres
- Tu as besoin de bons conseils Ingrid, si tu veux je peux te donner quelques infos en privé
- Et ça se passerait où ?
- Dans la lingerie vite fait
- Si tu veux continuer à exercer n’y pense même pas !
- Je disais ça comme ça loin de moi l’idée de profiter de mon statut
- Statut de quoi ? pauvre mec, si encore tu étais chirurgien j’y réfléchirais!
Avec le temps je me suis enhardie et je savais avec qui je pouvais aller plus loin dans la toilette intime… par exemple ce vieillard bien conservé à l’ œil encore vif et ses réflexions qui ne laissent aucun doutes sur ses intentions lorsque sans gênes il me déshabille du regard
- Quel gâchis ! de mon temps les infirmières ne portaient qu’une blouse quasi transparente sous laquelle on pouvait deviner la couleur et l’importance de leurs sous-vêtements à condition qu’elles en aient ! et toi petite que portes-tu sous ces maudits pantalon et blouse ?
- String et balconnet assortis a fleurs pourquoi ?
- Menteuse !
- Vous en voulez la preuve ? regardez dans mon décolleté…. Alors ?
- Putain !ça n’as pas duré assez longtemps, j’aimerais bien en voir plus
- Stop ! passons à la toilette à présent, ôtez cette blouse ridicule
- Pour être ridicule c’est foutrement ridicule d’avoir le cul à l’air !
- Hé bien monsieur Gustave que vous arrive-t-il ? vous êtes tout raide
- Ben quoi ? c’est ta faute si je bande Ingrid
- Ce n’est pas grave... mais vous êtes encore vert dites-donc ? qu’est-ce qu’elle est grosse
- Si tu savais combien cette verge en a carambolées ! on ne risque pas d’être dérangés ?
- Le rouge est mis à la porte donc aucuns risques
- Prend ton temps pour me laver ma grande …
- Je vais faire ça bien soyez rassuré … mais surtout tenez votre langue avec mes collègues
- Ma langue je saurais bien quoi en faire !
- Gustave ! ….
- Vas-y petite tire sur ma peau, lave bien derrière le gland haaaaaaaaaaaaaaaa, recommence encore … encore … hhhhhoooooooooooo que c’est boooooooonnnnnnn Vas-y yyyyyyyyyyyy !
Ça n’a plus rien à voir avec une toilette, c’est une masturbation en règle que je fais subir à Gustave pour son plus grand plaisir, sa queue grossit encore jusqu'à ce que le sperme encore fourni explose entre mes doigts, le vieillard retombe sur sa couche tout essoufflé, mon dieu pourvu que je n’ai pas été trop loin …
- Monsieur Gustave ? monsieur Gustave ??? réveillez-vous !
- Quoi ? ha c’est toi Ingrid ? putain y’a des années que je n’avais pas autant déchargé ! merci ma puce, nous recommençons demain ?
- Certainement pas, vous m’avez trop fait peur !
- J’ai fait semblant idiote, si tu recommence je te récompenserais, promis, à condition que tu ne portes rien sous ce satané pantalon de toile
- Reposez-vous à présent
- A demain ??
Je n’ai rien répondu mais il a réveillé la pulsion libertine qui sommeillait en moi ….j’ai le cœur battant lorsque j’entre le chariot dans sa chambre ferme la porte et appuie sur le bouton rouge …
- Bonjour monsieur Gustave, bien dormi ? c’est l’heure de la toilette
- Je suis prêt …regarde sur la tablette… tu as pensé à ce que j’ai dit ?
- Asseyez-vous …
L’homme déjà nu exhibe une verge au garde-à-vous, sur la tablette un billet de cinquante euros est étalé, le papy se laisse frotter le torse, sa main décharnée glisse sur mon dos, il semble chercher une éventuelle fermeture de soutient gorge puis descend encore jusqu'à mes fesses et reprend son exploration où devraient se situer les contours d’une petite culotte, il n’a pas oublié où chercher, ses gestes sont précis
- Tu es nue dessous ?
- Comme le petit agneau qui vient de naitre
- Merci Hooo merci ! prend ce billet il est pour toi
- Je ne fais pas ça pour l’argent c’est uniquement pour vous être agréable… la ceinture du pantalon est élastique …
- Ingrid …hhhaaaaaaaaaa tu as de belle petites fesse pommées …une raie très serrée … muuuummmm ce petit trou n’as pas dût servir souvent …
- Jamais Gustave …
- Tu as raison Ingrid, réserve le pour celui qui saura te faire vibrer… et voilà ta fentine ! tu n’es pas avare de sécrétions dit donc … branle moi maintenant …plus fort ! rraaaaaaahhhhhhhhhoooooooouuuuuuuuiiiiiii !
- Enfoncez vos doigts papy, je veux jouir avec vous
- Jouit salope !
- Hhhhhoooooooooooo astique moi le bonbon salaud ! oooooooouuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiii !!!
- Haaaaaaaaaaaaaaaa ça y est !!!!
Je me penche vivement pour absorber les dernières gouttes de foutre liquide poivré et âpre, Gustave comme hier, s’allonge et ronfle paisiblement, je tire le drap sur le vieillard, il était temps la porte s’ouvre …
- Tout va bien Ingrid ? j’ai entendu des plaintes ! tu es toute rouge ? tu es sûre que ça va ?
- Ça va très bien merci !
- Ton malade aussi ?
- Regardez il dort comme un bébé
- Ah bon…va vite donner le bassin a l’accidenté de la 214
- Le jeune qui a les deux mains dans le plâtre ?
- Et la jambe dans une gouttière, du coup il ne peut pas se lever pour aller s’assoir sur la cuvette
- Bien, j’y vais de suite …
Mon fond de pantalon taché colle à ma chatte, je sens le frais car ma mouille s’est refroidie mais pas mon excitation
- Bonjour c’est pour le bassin !
- Oui … vous avez quel âge ?
- Dix-huit et demi pourquoi ?
- J’en ai dix-neuf ! ça me gêne que vous soyez obligée de fourrer ma queue dans le bassin …
- Votre petite verge va rentrer dans le tube comme une lettre à la poste !
- Pas si sûr … vous avez fait pipi dans votre futal ? c’est tout mouillé
- C’est de l’eau, alors ? montrez-moi cette quéquette … hhooouuuuuuuaaaa mais elle est vachement raide ?
- Ça s’est produit lorsque vous êtes entrée, je m’attendais à voir une vielle peau
- Merci pour mes collègues ! bon, impossible de la courber, de toute façon vous ne pouvez uriner dans un tel état d’érection, comment allons-nous procéder ……
- Comme vous faites avec votre copain pour le faire débander pardi !
- Vous rigolez ?
- Suce-moi …l’humidité de ton pantalon révèle ta couleur de tes poils, tu es brune ?
- Oui …
- Penche-toi sur moi … dommage que je ne puisse me servir de mes doigts
- Aiiiiie ! pas la peine d’appuyer votre plâtre sur ma tête je vais le faire de mon plein gré
- Avale ma bite cochonne ! plotte moi aussi les couilles, haaaaaaaaahhhhhhhhhhhh, aspire bien quand ça va sortir, ne tache pas les draps
Cet hôpital n’est plus un lieu de souffrances, c’est un endroit de réjouissances ! je branle et suce en faisant rouler les testicules dans leurs poches toute lisses, j’espère que ses râles ne s’entendent pas dans le couloir …
- Avale tout salope ! rhhhhhooooooooooooo c’est super booooooooonnnnnnnnn !
- Ça va mieux ? ta bite va enfin dégonfler ?
- Dépêche-toi à la foutre dans le bassin sinon elle va reprendre de la vigueur …. Mmmmmuuuuummmmmm ça soulage de pisser, j’avais vachement envie
- Tu ne te soucie pas de la mienne d’envie …
- Si tu veux il me reste cinq doigts de pieds …
- je crois que je m’en contenterais, je n’arrête pas de mouiller
- Monte au pied du lit et baisse ton froc je vais te branler
- Donne-moi ton mollet je vais m’enfoncer le plus possible d’orteils dans la choune
- Merde, de voir ta chatte aussi ouverte je rebande !
- Réserve-toi pour plus tard
- Tu reviendras ?
- Qui sait ? je suis de garde jusqu'à minuit … fait bouger tes doigts de pieds … mmmmmmmuuuuuuuuummmmmmmm c’est bon, c’est comme des mini doigts qui me chatouillent la chatte !
- Dommage que je sois plâtré sinon je te ramonerais la pastille avec le gros doigt que j’ai entre les jambes !
- Patience … regarde j’ai mis tous les orteils !
- Oui mais en attendant tu inonde mes draps
- Je te les changerais ce soir
Dès que le personnel de jour est parti, je me suis débarrassée des vêtements superflus et me suis faufilée dans la chambre du jeune accidenté qui ronfle comme un bienheureux, étendu sur les draps, la ridicule chemise réglementaire d’hôpital cache à peine ses attributs, une fois la porte bloquée par le fauteuil je relève sa chemise, j’approche ma bouche de bout de chair encore mou pour le téter, celui-ci a gardé l’odeur de sa dernière éjaculation, le garçon grommèle dans son sommeil et tente de se tourner, je suis le mouvement sans lâcher la bite, qui ,miracle, commence sa mutation, le mandrin gonfle et allonge jusqu'à devenir une très belle verge pour ma plus grande satisfaction, je vais me la mettre dans la choune bientôt !
- Mais ? qu’est-ce c’est ?
- Cchhhhhhhuuuuuuuut, c’est moi
- Ahhhh ? tu as tenu parole ? t’es gonflée !!
- J’ai trop envie pour me passer de cette expérience, tu veux bien que je te chevauche ?
- J’allais t’en prier, mais ne compte pas sur moi pour faire le travail
- Je vais faire du rodéo sur ton ventre, prêt ?
- Raidi !
Je quitte ce foutu pantalon de toile blanche et monte sur le lit pour enjamber le jeune accidenté, il mate ma chatte craquelée que je finis d’ouvrir de deux doigts en m’abaissant lentement sur le mat maintenu à la verticale
- Quel dommage que je ne puisse profiter de ce clitoris rouge d’excitation avec mes doigts et ma langue
- Rien ne t’empêche de me sucer, si tu veux je m’accroupirais sur ta figure dès que tu auras déchargé dans mon con
- Chiche ? boire mon sperme ne me déplais pas, quand je me masturbe je récupère mon foutre au creux de ma paume pour le boire, c’est délicieux
- Je confirme ….aaaahhhhhhhhhhhh je te sens biiiiiiiiieeeeeeeennnnnnnnnnnnnn
- A toi de jouer, fait l’ascenseur sur ma bite
Je me suis démenée afin de faire plaisir à ce pauvre jeune privé de sexe, nous avons jouis dans un ensemble parfait, comme promis j’ai égoutté mon vagin sur sa bouche ouverte, les jours suivants nous avons expérimentés des tas de solutions pour assouvir nos envies, une fois libre de tous ses ‘membres’ nous nous somment même revus hors hôpital, c’est un véritable étalon !
Je veux faire une carrière d’infirmière mais le parcourt est long et difficile, au début alternant avec l’école je fais des stages d’aide-soignante, soit en hôpital soit en maison de retraite, bien décidée à parvenir à mes fins je ne rechigne pas devant les obstacles et d’ailleurs j’en fais une sorte de distraction… je pense à la toilette des malades, vieux ou jeunes
En accomplissant les toilettes intimes je suis devenue extrêmement curieuse de découvrir le sexe des hommes, je peux en toute légalité et impunité comparer leur dimensions et l’évolution au fil des âges, souvent au repos mais qui évoluent quelquefois très rapidement entre mes mains gantées, ceci dit certains hommes très prudes refuse de montrer leur sexe a une toute jeune fille, a l’inverse d’autres me demande d’apporter le plus grand soin à leurs testicules et leur glands, un jour j’ai demandé conseil a un infirmier fraichement promu
- Tu ne devrais pas les décalotter, ça les incitent à te demander toujours plus si tu vois ce que je veux dire …
- Que veut-tu j’aime leur rendre un séjour, quelquefois très long, le plus doux possible dans ces sinistres chambres
- Tu as besoin de bons conseils Ingrid, si tu veux je peux te donner quelques infos en privé
- Et ça se passerait où ?
- Dans la lingerie vite fait
- Si tu veux continuer à exercer n’y pense même pas !
- Je disais ça comme ça loin de moi l’idée de profiter de mon statut
- Statut de quoi ? pauvre mec, si encore tu étais chirurgien j’y réfléchirais!
Avec le temps je me suis enhardie et je savais avec qui je pouvais aller plus loin dans la toilette intime… par exemple ce vieillard bien conservé à l’ œil encore vif et ses réflexions qui ne laissent aucun doutes sur ses intentions lorsque sans gênes il me déshabille du regard
- Quel gâchis ! de mon temps les infirmières ne portaient qu’une blouse quasi transparente sous laquelle on pouvait deviner la couleur et l’importance de leurs sous-vêtements à condition qu’elles en aient ! et toi petite que portes-tu sous ces maudits pantalon et blouse ?
- String et balconnet assortis a fleurs pourquoi ?
- Menteuse !
- Vous en voulez la preuve ? regardez dans mon décolleté…. Alors ?
- Putain !ça n’as pas duré assez longtemps, j’aimerais bien en voir plus
- Stop ! passons à la toilette à présent, ôtez cette blouse ridicule
- Pour être ridicule c’est foutrement ridicule d’avoir le cul à l’air !
- Hé bien monsieur Gustave que vous arrive-t-il ? vous êtes tout raide
- Ben quoi ? c’est ta faute si je bande Ingrid
- Ce n’est pas grave... mais vous êtes encore vert dites-donc ? qu’est-ce qu’elle est grosse
- Si tu savais combien cette verge en a carambolées ! on ne risque pas d’être dérangés ?
- Le rouge est mis à la porte donc aucuns risques
- Prend ton temps pour me laver ma grande …
- Je vais faire ça bien soyez rassuré … mais surtout tenez votre langue avec mes collègues
- Ma langue je saurais bien quoi en faire !
- Gustave ! ….
- Vas-y petite tire sur ma peau, lave bien derrière le gland haaaaaaaaaaaaaaaa, recommence encore … encore … hhhhhoooooooooooo que c’est boooooooonnnnnnn Vas-y yyyyyyyyyyyy !
Ça n’a plus rien à voir avec une toilette, c’est une masturbation en règle que je fais subir à Gustave pour son plus grand plaisir, sa queue grossit encore jusqu'à ce que le sperme encore fourni explose entre mes doigts, le vieillard retombe sur sa couche tout essoufflé, mon dieu pourvu que je n’ai pas été trop loin …
- Monsieur Gustave ? monsieur Gustave ??? réveillez-vous !
- Quoi ? ha c’est toi Ingrid ? putain y’a des années que je n’avais pas autant déchargé ! merci ma puce, nous recommençons demain ?
- Certainement pas, vous m’avez trop fait peur !
- J’ai fait semblant idiote, si tu recommence je te récompenserais, promis, à condition que tu ne portes rien sous ce satané pantalon de toile
- Reposez-vous à présent
- A demain ??
Je n’ai rien répondu mais il a réveillé la pulsion libertine qui sommeillait en moi ….j’ai le cœur battant lorsque j’entre le chariot dans sa chambre ferme la porte et appuie sur le bouton rouge …
- Bonjour monsieur Gustave, bien dormi ? c’est l’heure de la toilette
- Je suis prêt …regarde sur la tablette… tu as pensé à ce que j’ai dit ?
- Asseyez-vous …
L’homme déjà nu exhibe une verge au garde-à-vous, sur la tablette un billet de cinquante euros est étalé, le papy se laisse frotter le torse, sa main décharnée glisse sur mon dos, il semble chercher une éventuelle fermeture de soutient gorge puis descend encore jusqu'à mes fesses et reprend son exploration où devraient se situer les contours d’une petite culotte, il n’a pas oublié où chercher, ses gestes sont précis
- Tu es nue dessous ?
- Comme le petit agneau qui vient de naitre
- Merci Hooo merci ! prend ce billet il est pour toi
- Je ne fais pas ça pour l’argent c’est uniquement pour vous être agréable… la ceinture du pantalon est élastique …
- Ingrid …hhhaaaaaaaaaa tu as de belle petites fesse pommées …une raie très serrée … muuuummmm ce petit trou n’as pas dût servir souvent …
- Jamais Gustave …
- Tu as raison Ingrid, réserve le pour celui qui saura te faire vibrer… et voilà ta fentine ! tu n’es pas avare de sécrétions dit donc … branle moi maintenant …plus fort ! rraaaaaaahhhhhhhhhoooooooouuuuuuuuiiiiiii !
- Enfoncez vos doigts papy, je veux jouir avec vous
- Jouit salope !
- Hhhhhoooooooooooo astique moi le bonbon salaud ! oooooooouuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiii !!!
- Haaaaaaaaaaaaaaaa ça y est !!!!
Je me penche vivement pour absorber les dernières gouttes de foutre liquide poivré et âpre, Gustave comme hier, s’allonge et ronfle paisiblement, je tire le drap sur le vieillard, il était temps la porte s’ouvre …
- Tout va bien Ingrid ? j’ai entendu des plaintes ! tu es toute rouge ? tu es sûre que ça va ?
- Ça va très bien merci !
- Ton malade aussi ?
- Regardez il dort comme un bébé
- Ah bon…va vite donner le bassin a l’accidenté de la 214
- Le jeune qui a les deux mains dans le plâtre ?
- Et la jambe dans une gouttière, du coup il ne peut pas se lever pour aller s’assoir sur la cuvette
- Bien, j’y vais de suite …
Mon fond de pantalon taché colle à ma chatte, je sens le frais car ma mouille s’est refroidie mais pas mon excitation
- Bonjour c’est pour le bassin !
- Oui … vous avez quel âge ?
- Dix-huit et demi pourquoi ?
- J’en ai dix-neuf ! ça me gêne que vous soyez obligée de fourrer ma queue dans le bassin …
- Votre petite verge va rentrer dans le tube comme une lettre à la poste !
- Pas si sûr … vous avez fait pipi dans votre futal ? c’est tout mouillé
- C’est de l’eau, alors ? montrez-moi cette quéquette … hhooouuuuuuuaaaa mais elle est vachement raide ?
- Ça s’est produit lorsque vous êtes entrée, je m’attendais à voir une vielle peau
- Merci pour mes collègues ! bon, impossible de la courber, de toute façon vous ne pouvez uriner dans un tel état d’érection, comment allons-nous procéder ……
- Comme vous faites avec votre copain pour le faire débander pardi !
- Vous rigolez ?
- Suce-moi …l’humidité de ton pantalon révèle ta couleur de tes poils, tu es brune ?
- Oui …
- Penche-toi sur moi … dommage que je ne puisse me servir de mes doigts
- Aiiiiie ! pas la peine d’appuyer votre plâtre sur ma tête je vais le faire de mon plein gré
- Avale ma bite cochonne ! plotte moi aussi les couilles, haaaaaaaaahhhhhhhhhhhh, aspire bien quand ça va sortir, ne tache pas les draps
Cet hôpital n’est plus un lieu de souffrances, c’est un endroit de réjouissances ! je branle et suce en faisant rouler les testicules dans leurs poches toute lisses, j’espère que ses râles ne s’entendent pas dans le couloir …
- Avale tout salope ! rhhhhhooooooooooooo c’est super booooooooonnnnnnnnn !
- Ça va mieux ? ta bite va enfin dégonfler ?
- Dépêche-toi à la foutre dans le bassin sinon elle va reprendre de la vigueur …. Mmmmmuuuuummmmmm ça soulage de pisser, j’avais vachement envie
- Tu ne te soucie pas de la mienne d’envie …
- Si tu veux il me reste cinq doigts de pieds …
- je crois que je m’en contenterais, je n’arrête pas de mouiller
- Monte au pied du lit et baisse ton froc je vais te branler
- Donne-moi ton mollet je vais m’enfoncer le plus possible d’orteils dans la choune
- Merde, de voir ta chatte aussi ouverte je rebande !
- Réserve-toi pour plus tard
- Tu reviendras ?
- Qui sait ? je suis de garde jusqu'à minuit … fait bouger tes doigts de pieds … mmmmmmmuuuuuuuuummmmmmmm c’est bon, c’est comme des mini doigts qui me chatouillent la chatte !
- Dommage que je sois plâtré sinon je te ramonerais la pastille avec le gros doigt que j’ai entre les jambes !
- Patience … regarde j’ai mis tous les orteils !
- Oui mais en attendant tu inonde mes draps
- Je te les changerais ce soir
Dès que le personnel de jour est parti, je me suis débarrassée des vêtements superflus et me suis faufilée dans la chambre du jeune accidenté qui ronfle comme un bienheureux, étendu sur les draps, la ridicule chemise réglementaire d’hôpital cache à peine ses attributs, une fois la porte bloquée par le fauteuil je relève sa chemise, j’approche ma bouche de bout de chair encore mou pour le téter, celui-ci a gardé l’odeur de sa dernière éjaculation, le garçon grommèle dans son sommeil et tente de se tourner, je suis le mouvement sans lâcher la bite, qui ,miracle, commence sa mutation, le mandrin gonfle et allonge jusqu'à devenir une très belle verge pour ma plus grande satisfaction, je vais me la mettre dans la choune bientôt !
- Mais ? qu’est-ce c’est ?
- Cchhhhhhhuuuuuuuut, c’est moi
- Ahhhh ? tu as tenu parole ? t’es gonflée !!
- J’ai trop envie pour me passer de cette expérience, tu veux bien que je te chevauche ?
- J’allais t’en prier, mais ne compte pas sur moi pour faire le travail
- Je vais faire du rodéo sur ton ventre, prêt ?
- Raidi !
Je quitte ce foutu pantalon de toile blanche et monte sur le lit pour enjamber le jeune accidenté, il mate ma chatte craquelée que je finis d’ouvrir de deux doigts en m’abaissant lentement sur le mat maintenu à la verticale
- Quel dommage que je ne puisse profiter de ce clitoris rouge d’excitation avec mes doigts et ma langue
- Rien ne t’empêche de me sucer, si tu veux je m’accroupirais sur ta figure dès que tu auras déchargé dans mon con
- Chiche ? boire mon sperme ne me déplais pas, quand je me masturbe je récupère mon foutre au creux de ma paume pour le boire, c’est délicieux
- Je confirme ….aaaahhhhhhhhhhhh je te sens biiiiiiiiieeeeeeeennnnnnnnnnnnnn
- A toi de jouer, fait l’ascenseur sur ma bite
Je me suis démenée afin de faire plaisir à ce pauvre jeune privé de sexe, nous avons jouis dans un ensemble parfait, comme promis j’ai égoutté mon vagin sur sa bouche ouverte, les jours suivants nous avons expérimentés des tas de solutions pour assouvir nos envies, une fois libre de tous ses ‘membres’ nous nous somment même revus hors hôpital, c’est un véritable étalon !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Georges
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je suis en retard dans mes lectures, mais il faut absolument que je vous dise mon cher Georges que l'histoire de cette jeune infirmière salope me plaît particulièrement, car je suis moi-même infirmière, et au moins aussi salope, sinon plus.
Il ne se passe pratiquement pas de journées sans que je lèche une ou deux paire de couilles et que je suce autant de queues et j'adore avaler la crème.
Maria, 35 ans qui aime jouer à la salope
Il ne se passe pratiquement pas de journées sans que je lèche une ou deux paire de couilles et que je suce autant de queues et j'adore avaler la crème.
Maria, 35 ans qui aime jouer à la salope