Aimer sans compter 1/2
Récit érotique écrit par Demain [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 6 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Aimer sans compter 1/2
Cet été là Martine respirait à nouveau la joie de vivre, faisant fi du passé ...
Après sa douloureuse séparation suivi d'un divorce houleux, elle s'était retrouvée à la rue. Son désormais ex mari, cadre sup dans une grande société, l'avait virée manu militari hors de leur somptueuse villa avec parc arboré devenue pour elle au fil des années, une prison aux barreaux dorés.
Avec son maigre salaire d'aide-soignante et sans personne pour l'aider, la quinquagénaire se retrouva fort dépourvue avec le sentiment d'être foutue, se projetant dans un avenir semé d'embûches tendues par une légion d'avocats officiant pour le compte d'une grande société, mais aussi désormais, pour le compte de l'un de ses éminents membre.
C'est chez Damien, qu'elle trouvât refuge, mais nous reviendrons plus tard sur cet emménagement contraint et forcé.
Damien, ce collègue infirmier de plus de trente ans son cadet, était devenu, au fil des nuits de travail partagées, un épenchoir de mauvaises pensées, puis un ami, pour finir par être le confident. Tous deux formait un binôme intergénérationnel qui fonctionnait bien, malgré les craintes que Martine avait exprimé à l'embauche de ce récemment diplômé. " C'est vrai ! Ce n'est pas ce jeune freluquet fraîchement " depucelé ", si tant est qu'il le soit, qui va m'apprendre mon métier ! " avait-elle une fois vociféré. Puis chemin faisant, enchaînant les tours de soins, elle avait mis de l'eau dans son vin et finit par apprécier leur duo puis Damien lui-même, rendue à l'évidence que tout en lui n'était que bienveillance. Après avoir pris du recul sur cette nouvelle collaboration nocturne, Martine comprit que c'était son mal-être lié à la déliquescence de son couple, qui l'a rendait aigrie et véhémente à l'égard de son jeune collègue.
Enfin, c'est tout naturellement, que ces deux là s'étaient apprivoiser pour finir par apprendre à se connaître et enfin par s'entendre.
Il était plutôt BG et bien fait le Damien. Sa grande silhouette élancée, son crâne rasé, ses yeux verts parsemés d'éclats de noisette, son visage anguleux souligné par une belle mâchoire carrée, ses bras finement sculptés laissant deviner une musculature aiguisée ... Tous ces attraits ne laissaient pas notre quinqua desamourée de marbre. Sexuellement délaissée par un mari volage, Martine était en manque. Au-delà d'avoir été toutes ces années une épouse dévouée doublée d'une mère aimante, elle était avant tout une Femme avec des besoins ; et plus que d'attention, affection et autre tendresse, c'était une bite qu'il lui fallait, et prestement, afin d'éteindre le feu qui lui dévorait l'entrecuisse.
Un soir, nue devant le grand miroir de sa chambre, Martine s'était détaillée sous tous les angles. Elle se trouvait de beaux restes au regard de ses 56 printemps. Sa chevelure blonde et cendrée, de petits seins fermes dont les pointes étaient en permanence érigées, une taille fine associée une douce chute de rein, elle-même débouchant sur de petites fesses biens rondes et d'un bon maintien. Martine était fière de la fermeté de ses cuisses, résultat de son abonnement annuel au club de fitness. Tous ces atouts étaient enveloppés d'une peau laiteuse que les années n'avaient pas fanée. Certes, quelques rides aux contours de ses jolis yeux noisette, des bajoues un tantinet prononcées ... mais dans son ensemble, Martine se trouvait toujours désirable, pour ne pas dire baisable !
Au cours de cette séance, Martine laissa son esprit vagabonder, s'imaginant les mains d'un jeune infirmier parcourant son corps, l'explorant dans ses moindres replis, l'inondant de baisers déposés au creux des zones les plus érogènes ... son cou, la pointe de ses seins, le bas de son ventre, sa vulve impatiente et affamée ... Vulve qui, à l'idée de ces pensées, ne tarda pas à s'humidifier.
C'est honteuse, non pas de son état mais à l'idée d'être une cougar avide de chaire fraîche, que Martine rejoignit le lit conjugal, la couche étant une fois de plus déserté par son mari, soit-disant en réunion de travail. " Réunion de travail ... Mon cul oui, il est encore flanqué chez une de ses nombreuses maîtresses ! "
Après extinction des feux, Martine ferma les yeux et ne pu s'empêcher de replonger dans ses pensées libidineuses, car c'est bien de cela dont elle avait envie, besoin ! Du sexe pour du sexe, sans fioritures, sans aucune pudeur, sans ménagement ! Comprenant d'emblée qu'elle ne pourrait ni ne souhaitait vraiment y échapper, elle laissa libre cours à son imaginaire ... ... ... .. .. .. . . .
. . . .. .. .. ... ... ... Damien était allongé à ses côtés, ses yeux transpirant de désir. Pour Martine, c'est plus bas que le flot s'accentuait ...
Finissant par rejoindre Morphée, son sommeil fût troublé par le corps fuselé d'un jeune mâle fougueux et survitaminé, par sa bouche englobant la pointe de ses seins, par ses doigts inquisiteurs fouillant son vagin, par sa queue raide et dure dont elle se regalait, par Damien son jeune collègue infirmier.
Au petit matin, Martine se réveilla fourbue par cette nuit sexuellement agitée. Dubitative, elle glissa sa main entre ses cuisses. Sous ses doigts, sa chatte poisseuse ne fit que confirmer son voyage au pays des songes érotiques. " Ne prends pas tes rêves pour des réalités. À mon âge, me taper un godelureau qui a l'âge de mon fils ? " se dit-elle ... ... ... " Et pourquoi pas après tout ? "" Quand on aime, on ne compte pas. "
... .. .
Après sa douloureuse séparation suivi d'un divorce houleux, elle s'était retrouvée à la rue. Son désormais ex mari, cadre sup dans une grande société, l'avait virée manu militari hors de leur somptueuse villa avec parc arboré devenue pour elle au fil des années, une prison aux barreaux dorés.
Avec son maigre salaire d'aide-soignante et sans personne pour l'aider, la quinquagénaire se retrouva fort dépourvue avec le sentiment d'être foutue, se projetant dans un avenir semé d'embûches tendues par une légion d'avocats officiant pour le compte d'une grande société, mais aussi désormais, pour le compte de l'un de ses éminents membre.
C'est chez Damien, qu'elle trouvât refuge, mais nous reviendrons plus tard sur cet emménagement contraint et forcé.
Damien, ce collègue infirmier de plus de trente ans son cadet, était devenu, au fil des nuits de travail partagées, un épenchoir de mauvaises pensées, puis un ami, pour finir par être le confident. Tous deux formait un binôme intergénérationnel qui fonctionnait bien, malgré les craintes que Martine avait exprimé à l'embauche de ce récemment diplômé. " C'est vrai ! Ce n'est pas ce jeune freluquet fraîchement " depucelé ", si tant est qu'il le soit, qui va m'apprendre mon métier ! " avait-elle une fois vociféré. Puis chemin faisant, enchaînant les tours de soins, elle avait mis de l'eau dans son vin et finit par apprécier leur duo puis Damien lui-même, rendue à l'évidence que tout en lui n'était que bienveillance. Après avoir pris du recul sur cette nouvelle collaboration nocturne, Martine comprit que c'était son mal-être lié à la déliquescence de son couple, qui l'a rendait aigrie et véhémente à l'égard de son jeune collègue.
Enfin, c'est tout naturellement, que ces deux là s'étaient apprivoiser pour finir par apprendre à se connaître et enfin par s'entendre.
Il était plutôt BG et bien fait le Damien. Sa grande silhouette élancée, son crâne rasé, ses yeux verts parsemés d'éclats de noisette, son visage anguleux souligné par une belle mâchoire carrée, ses bras finement sculptés laissant deviner une musculature aiguisée ... Tous ces attraits ne laissaient pas notre quinqua desamourée de marbre. Sexuellement délaissée par un mari volage, Martine était en manque. Au-delà d'avoir été toutes ces années une épouse dévouée doublée d'une mère aimante, elle était avant tout une Femme avec des besoins ; et plus que d'attention, affection et autre tendresse, c'était une bite qu'il lui fallait, et prestement, afin d'éteindre le feu qui lui dévorait l'entrecuisse.
Un soir, nue devant le grand miroir de sa chambre, Martine s'était détaillée sous tous les angles. Elle se trouvait de beaux restes au regard de ses 56 printemps. Sa chevelure blonde et cendrée, de petits seins fermes dont les pointes étaient en permanence érigées, une taille fine associée une douce chute de rein, elle-même débouchant sur de petites fesses biens rondes et d'un bon maintien. Martine était fière de la fermeté de ses cuisses, résultat de son abonnement annuel au club de fitness. Tous ces atouts étaient enveloppés d'une peau laiteuse que les années n'avaient pas fanée. Certes, quelques rides aux contours de ses jolis yeux noisette, des bajoues un tantinet prononcées ... mais dans son ensemble, Martine se trouvait toujours désirable, pour ne pas dire baisable !
Au cours de cette séance, Martine laissa son esprit vagabonder, s'imaginant les mains d'un jeune infirmier parcourant son corps, l'explorant dans ses moindres replis, l'inondant de baisers déposés au creux des zones les plus érogènes ... son cou, la pointe de ses seins, le bas de son ventre, sa vulve impatiente et affamée ... Vulve qui, à l'idée de ces pensées, ne tarda pas à s'humidifier.
C'est honteuse, non pas de son état mais à l'idée d'être une cougar avide de chaire fraîche, que Martine rejoignit le lit conjugal, la couche étant une fois de plus déserté par son mari, soit-disant en réunion de travail. " Réunion de travail ... Mon cul oui, il est encore flanqué chez une de ses nombreuses maîtresses ! "
Après extinction des feux, Martine ferma les yeux et ne pu s'empêcher de replonger dans ses pensées libidineuses, car c'est bien de cela dont elle avait envie, besoin ! Du sexe pour du sexe, sans fioritures, sans aucune pudeur, sans ménagement ! Comprenant d'emblée qu'elle ne pourrait ni ne souhaitait vraiment y échapper, elle laissa libre cours à son imaginaire ... ... ... .. .. .. . . .
. . . .. .. .. ... ... ... Damien était allongé à ses côtés, ses yeux transpirant de désir. Pour Martine, c'est plus bas que le flot s'accentuait ...
Finissant par rejoindre Morphée, son sommeil fût troublé par le corps fuselé d'un jeune mâle fougueux et survitaminé, par sa bouche englobant la pointe de ses seins, par ses doigts inquisiteurs fouillant son vagin, par sa queue raide et dure dont elle se regalait, par Damien son jeune collègue infirmier.
Au petit matin, Martine se réveilla fourbue par cette nuit sexuellement agitée. Dubitative, elle glissa sa main entre ses cuisses. Sous ses doigts, sa chatte poisseuse ne fit que confirmer son voyage au pays des songes érotiques. " Ne prends pas tes rêves pour des réalités. À mon âge, me taper un godelureau qui a l'âge de mon fils ? " se dit-elle ... ... ... " Et pourquoi pas après tout ? "" Quand on aime, on ne compte pas. "
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