Aimez-vous les uns les autres
Récit érotique écrit par Abdul75 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Aimez-vous les uns les autres
Lorsque Nicolas intégra le séminaire après avoir obtenu sans gloire un baccalauréat littéraire, cela en étonna plus d'un. Car il avait acquis au cours des années précédentes une réputation de noceur invétéré bien éloignée de celle d'un enfant de coeur. Et ceci bien qu'à la demande de son tuteur, il exerçât cette fonction l'année de ses 12 ans avant de se faire renvoyer quelques mois plus tard lorsqu'il se fit surprendre par le vicaire en train d'uriner dans un bénitier.
Nicolas avait été recueilli par son oncle après la mort accidentelle de ses parents au cours de l'année 1977. Il n'avait que 10 ans lorsque désormais orphelin, il alla s'installer chez Thomas Larouette un vieux garçon célibataire qui avait rencontré Dieu sur le tard après avoir sillonné le monde amassant à l'occasion une fortune considérable. Cette crise soudaine de mysticisme avait poussé Thomas à quitter ses affaires et à retourner sur les terres de ses ancêtres où il put acquérir une magnifique propriété un an environ avant le décès tragique de sa soeur et de son beau frère. En tant que parrain du jeune Nicolas, il l'accueillit naturellement dans sa luxueuse demeure avec la ferme idée de faire de son neveu un homme pieux, serviable et bien elevé.
Mais tout ne se passa pas comme le tuteur l'eût souhaité. Nicolas montra très tôt un goût prononcé pour les conneries en tout genre ainsi qu'un profond attrait pour les filles et accessoirement pour les garçons de son âge car il n'était nullement intégriste en matière de sexe. C'est pourquoi Thomas, fatigué des frasques de son filleul qu'il sauva des griffes de la justice à plusieurs reprises grâce à sa fortune et ses relations finit par lui fixer un ultimatum. Le parrain convoqua son neveu au moment où ce dernier devait choisir les études qu'il allait suivre s'il obtenait son bac. Il lui tint à peu près le discours suivant:
- tu es actuellement mon seul légataire mais rien ne m'oblige à faire de toi mon héritier. J'ai donc posé une condition pour que tu puisses effectivement jouir de mes biens à mon décès. Pour te motiver, lorsque cette condition sera remplie tu bénéficieras en plus d'une rente qui te permettra de vivre confortablement jusqu'à ma mort.
Je souhaite donc qu'une fois ton bac en poche, tu ailles au séminaire et que tu deviennes prêtre. Je m'arrangerai une fois ton ordination prononcée pour que tu obtiennes une paroisse dans un bourg suffisamment important pour que tu puisses avoir une vie sociale décente. Une fois le choc consécutif à la déclaration de son oncle encaissé, le jeune homme réfléchit vite et se dit que 6 ans de sa vie n'étaient pas grand chose si les 50 années suivantes lui permettaient de mener grand train sans avoir à travailler. Thomas lui trouva donc un séminaire suffisamment éloigné de sa résidence espérant ainsi retrouver un peu de sérénité si son neveu se trouvait à une distance respectable de sa demeure. Ce qui ravit évidemment le dit neveu qui put mener sa barque à sa guise tout en gardant en tête son objectif. Nicolas comprit d'ailleurs rapidement que si les voies de Dieu sont impénétrables celles du supérieur l'étaient beaucoup moins et que tant qu'il continuerait à lui défoncer régulièrement le rectum avec son dard dont l'épaisseur et la raideur faisaient le bonheur du prêtre, Celui-ci ne serait pas trop regardant sur l'assiduité de Nicolas et sur ses activités à l'extérieur du séminaire. La situation évolua donc selon le scénario défini par Monsieur Larouette et Nicolas finit par obtenir son ordination.
Comme promis, son oncle réussit à lui obtenir un sacerdoce dans une sous préfecture cossue située entre Champagne et Bourgogne et l'arrivée de ce jeune prêtre grand et bien fait dans la petite ville anima pendant quelque temps les conversations des fidèles.
La mission de Nicolas consistait principalement à assurer les sacrements, les offices du week-end et à participer aux oeuvres de la paroisse. Mais la tâche qu'il préférait plus que toute autre était le service de la confession. Ces moments passés dans l'obscurité de la cabine étaient des sources d'information inépuisables. Rapidement, Nicolas n'ignora plus grand chose des turpitudes de ses paroissiens et il s'en délectait exagérément en profitant sans aucun scrupule dès qu'il pouvait y trouver quelque intérêt, notamment sur le plan sexuel.
Ainsi, alors qu'il assurait sa troisième séance de confession, l'épouse du maire frappa à sa lucarne. C'était une belle femme brune de 45 ans aux rondeurs appétissantes. Elle avoua au prêtre avec une gêne évidente avoir accepté une invitation à déjeuner avec le député du coin dans un hôtel restaurant discret situé à une cinquantaine de kms de là. Elle précisa à Nicolas que l'élu l'avait courtisé très respectueusement pendant tout le repas pour finalement lui proposer de l'accompagner dans la chambre qu'il avait réservé pour l'occasion. La femme du maire avait admis au confesseur être sur le point de succomber mais heureusement elle avait su résister à l'appel de la chair. Nicolas lui accorda crédit de sa retenue mais souhaita malgré tout avoir un entretien avec elle pour connaître les causes de cet égarement et l'aider à mieux gérer ses pulsions. Moins d'une heure après le début de cette entrevue, Irène se retrouva sans robe et sans culotte à quatre pattes sur le grand lit du prêtre la tête enfouie dans l'oreiller. Ses gémissements de plaisir témoignaient qu'elle avait eu raison de ne pas s'offrir au député et de rendre visite au curé du bourg. Car elle était persuadée à ce moment là que le brave député n'aurait pu lui procurer un plaisir aussi intense que le vigoureux Nicolas.
- Rassurez vous avait dit celui-ci à Irène alors qu'elle s'apprêtait à quitter le presbytère après plus d'une heure d'entrevue éreintante,
- rien ne sortira de ces murs. Je sais garder le secret d'une confession.
Les veuves joyeuses étaient un des autres péchés mignons de Nicolas. Ainsi dès qu'une épouse éplorée suffisamment jeune et bien conservée à son goût avait besoin de réconfort, il était toujours prêt à payer de sa personne. et il se remémorait avec émotion sa rencontre avec Adeline qui était devenue depuis sa maîtresse officieuse. Adeline était une belle femme blonde de 36 ans aux formes inspirantes qui avait épousé quelques années auparavant le principal notaire de la région de 25 ans son aîné. Et celui-ci venait de connaître la plus enviable des fins puisque son coeur avait lâché alors qu'il était en train d'honorer sa volcanique épouse sur le Bureau de l'étude.
Lors de la messe d'enterrement, Nicolas eut quelque mal à conserver son sang froid lorsque Adeline entra dans l'église. Vêtue d'une robe en tulle noir au décolleté abyssal qui découvrait ses genoux, de bas nylon noirs à coutures et d'escarpins vernis noirs à talons aiguilles, elle arborait un large chapeau noir, un châle et un voile en crêpe noir censés donner l'illusion au public de sa détresse malheureuse.
Nicolas eut en outre quelque mal à ne pas éclater de rire en voyant le regard lubrique des hommes présents et les yeux révulsés de leurs épouses lorsque la jeune veuve s'installa au premier rang de la nef. La séance de condoléances au cimetière fut anormalement longue. Tous les hommes de l'assistance prirent leur temps pour saluer Adeline et se rincer l'oeil aussi longtemps que possible en louchant dans le magnifique décolleté de la jeune femme.
- J'espère vous voir bientôt à confesse chère madame, déclara Nicolas le dernier à lui serrer la main tandis que le fossoyeur commençait à recouvrir le cercueil du défunt. La jeune veuve eut quelques battements de cil et fit savoir par un sourire discret au beau curé qu'il ne tarderait pas à avoir de ses nouvelles. Effectivement moins d'une semaine plus tard, Adeline convia le jeune prêtre à prendre le thé chez elle. Elle l'accueillit juchée sur de fines sandales en cuir à talons de 13 cm, vêtue tout en noir d'une jupe en tulle plutôt courte, de bas couture, d'un porte jarretelle en dentelle et surtout d'un chemisier en soie noire transparente fort décolleté qui cachait bien mal ses seins ronds aux larges aréoles et aux pointes orgueilleuses. Nicolas apprécia le spectacle offert avant de saluer la jeune veuve par un baise main. Il la suivit ensuite jusqu'au salon où elle le pria de s'asseoir sur le canapé avant de disparaître dans la cuisine. Quelques minutes plus tard, Adeline revint avec un plateau qu'elle déposa avec grâce sur la table du salon. Une fois les deux tasses servies et l'assiette de biscuits posée sur la table basse, la blonde vint s'installer à côté de Nicolas. Celui-ci posa doucement sa main sur la cuisse de son hôtesse avant de prendre la parole. - Je vous remercie beaucoup pour votre invitation commença t-il, j'espère que vous arrivez à gérer toutes les formalités consécutives au décès de votre malheureux époux.
- Ce n'est pas toujours simple admit la blonde; notre pays a une tendance certaine à compliquer la vie de ses administrés mais je fais pour le mieux. - En tout cas, si je peux vous être utile en quelque chose, n'hésitez pas à me solliciter.
La veuve regarda Nicolas avec un sourire reconnaissant.
- C'est très aimable de votre part mon père. Le prêtre passa plus d'une heure dans la maison bourgeoise à remonter le moral de la jeune femme qui ne semblait pas affectée outre mesure.
- Robert, mon mari appréciait particulièrement mes dons de cuisinière déclara t-elle sur le pas de la porte au prêtre qui s'apprêtait à rejoindre son presbytère. J'organise un dîner jeudi prochain. Je serai ravie que vous vous joigniez à nous.
- Je suis certain que ce n'était pas seulement vos qualités de cordon bleu qui faisaient le bonheur de feu votre mari déclara Nicolas en se perdant dans le décolleté d'Adeline et j'accepte bien sûr votre invitation avec grand plaisir.
Le soir venu, étaient présents autour de la table monsieur le maire et madame, le docteur Leblay médecin du défunt ainsi que Lydie son épouse une petite femme rousse et potelée. Les femmes avaient toutes opté pour de sobres robes noires et des escarpins à talons. Ceux d'Adeline mesuraient une douzaine de cms et elle n'avait pas dérogé à ses bas nylon et son porte jarettelle habituels. Nicolas apprit par la suite qu'elle ne portait que ce genre de lingerie et il trouva ce choix délicieux. Assis en bout de table, il faisait face à la maîtresse de maison. À sa gauche se trouvait la femme du maire et Lydie Leblay se tenait à sa droite. Après l'apéritif et la délicieuse entrée concoctée par Adeline, la troisième bouteille de vin était déjà bien entamée et l'ambiance beaucoup moins guindée. Irène se risquait même à faire du pied à Nicolas espérant que celui-ci lui proposerait sous peu une de ces "entrevues" qu'ils avaient de temps en temps depuis la confession de la mairesse. Elle s'était d'ailleurs mise à mouiller en se remémorant leur dernière rencontre lorsque le fougueux prêtre avait défriché son trou du cul alors vierge. Une fois la douleur intense procurée par l'epais tenon oubliée, les sensations provoquées par le limage énergique de ses boyaux n'avaient pas tardé à envoyer la femme de l'édile au firmament du plaisir.
Mais ce soir là, Nicolas avait des vues sur Adeline et il était bien décidé à ne pas se laisser perturber par les autres convives présents. Lorsque le beau curé fut enfin seul avec son hôtesse, Celle-ci lui proposa un petit verre d'Armagnac mais le jeune homme s'autorisa une autre suggestion:
- Pourquoi n'irions nous pas plutôt visiter votre chambre chère amie demanda t-il simplement.
Adeline sourit, prit son invité par la main et le conduisit où il souhaitait. Les deux heures qui suivirent ne furent qu'une succession d'étreintes débridées. Nicolas mit toute son ardeur à honorer la volcanique Adeline remplissant de sa sève tous ses orifices brûlants à plusieurs reprises.
- Bon sang! lâcha t-il avant de s'écrouler complètement rincé sur le lit. Quel tempérament mon amie ! Adeline comblée déposait de petits baisers sur le torse de son amant.
- Et vous mon père quelle belle crosse et quelle dextérité pour vous en servir, je comprends mieux pourquoi vous avez opté pour le célibat.
- Vous me flattez chère Adeline. La crosse est l'apanage des évêques. Mais il est vrai admit Nicolas que comme les prêtres catholiques ne peuvent pas se marier, il leur est plus aisé de dispenser leur affection aux femmes en manque d'affection.
- Vraiment ? Lâcha Adeline en riant. Remarque! ça ne m'étonne qu'à moitié vu la manière dont vous regardait l'épouse du maire. Aurait elle bénéficié elle aussi de votre amour débordant du prochain ?
- Je ne saurais trahir le secret de la confession se contenta de répondre Nicolas ce qui fit bien rire la belle blonde.
- Mais il est bien tard et demain je dois être levé à l'aube pour célébrer la première messe. Heureusement je suis venu à pied et vos voisins ne s'étonneront donc pas de voir la voiture du curé garée à 2 heures du matin devant la maison d'une jeune et désirable Veuve.
- Vous seriez à mon avis plus ennuyé que moi si cela se produisait reprit Adeline. Ma réputation est faite. La votre pas encore. Mais je serais néanmoins ravie de faire un bout de chemin avec un beau et vigoureux prêtre fut-il défroqué.
- Je doute que vous me soyez aussi fidèle que notre seigneur ma belle Adeline même si l'idée de partager votre vie et que vous me fassiez cocu aussitôt m'est plutôt agréable répliqua Nicolas. Adeline éclata de rire.
- Robert était comme vous mon ami, il aimait voir sa chère épouse troussée par de vigoureux étalons avec une prédilection certaine pour ceux dotés de phallus d'ébène très imposants et j'avoue que j'y trouvais mon compte lors de nos séjours aux Caraïbes. Nicolas enchaîna aussitôt:
- Je connais un confrère camerounais qui officie dans un bourg de la région et je suis persuadé qu'il serait ravi de m'aider à vous rappeler ces délicieux souvenirs.
- Vous êtes vraiment plein de ressources mon père lâcha alors Adeline en se redressant pour saisir la verge de son amant. Mais vous m'avez à nouveau bien excitée et Il va maintenant falloir que vous éteigniez le feu que vous venez d'allumer dans ma grotte intime.
Nicolas prit alors conscience de ce mal qui avait eu raison de la santé du notaire. Mais cela ne le refroidit nullement, heureux d'avoir rencontré une femme belle, bien éduquée et très salope avec laquelle il allait pouvoir laisser libre cours à ses penchants les moins avouables. C'est ainsi qu'il proposa lors de sa visite suivante à Adeline de venir de temps à autre lui prodiguer une fellation pendant qu'il recueillait la confession de ses paroissiennes. La blonde loin de s'en offusquer trouva au contraire l'idée fort plaisante.
Outre la confession, le père Nicolas consacrait deux après midi par semaine à recevoir les fidèles qui avaient besoin d'aide ou de conseils particuliers. Un des sujets régulièrement abordés par ces âmes en peine concernait les relations intimes dans le couple. Généralement les femmes se plaignaient du manque d'entrain de leur mari pour accomplir leur devoirs conjugaux mais le cas de l'époux un peu trop empressé au goût de madame n'avait rien d'exceptionnel. Certaines se plaignaient que leur mari était monté un peu trop fin alors que d'autres lui affirmaient que outre son appétit sexuel excessif monsieur était de surcroît doté d'une virilité beaucoup trop imposante. Dans ces cas là, Nicolas ne pouvait s'empêcher de penser à Adeline certain que la belle blonde eût aimé rencontrer le compagnon de son interlocutrice. D'ailleurs il ne manquait pas de faire part à sa maîtresse des dispositions du monsieur avec la certitude, s'il était suffisamment présentable qu'Adeline déploierait des trésors d'ingéniosité pour le séduire et s'assurer de la sorte que les confidences de la paroissienne n'étaient pas mensongères. La blonde volcanique se ferait ensuite un plaisir de relater avec force détails les performances de l'étalon à son prêtre favori. Un autre sujet récurrent de ces entrevues avec ses ouailles concernait les infidélités supposées ou réelles des conjoints. Ce thème valut à Nicolas quelques parties de jambes en l'air mémorables lorsqu'il estimait que la femme trompée était tout à fait baisable. Dans ces cas là, la formule oeil pour oeil dent pour dent était toute adaptée d'autant plus que quoi qu'il se passât, le prêtre serait évidemment disponible pour recueillir la confession de l'épouse délaissée. Celle-ci n'y voyait que des avantages : elle se vengeait du mari indélicat avec à la clef quelques orgasmes bienvenus et obtenait dans la foulée l'absolution. Comme Nicolas était fort bel homme, la femme comprenait vite que sa vengeance serait moins risquée si elle l'exécutait avec lui plutôt qu'avec un éventuel amant qui aurait pu devenir incontrôlable. Et cerise sur le gâteau, le curé usait de son magnifique goupillon avec un grand art ce qui n'était pas toujours le cas de l'époux volage.
Nicolas appréciait aussi beaucoup les séances de préparation au mariage avec ses jeunes ouailles. Il avait le don pour identifier parmi les futures épouses celles qui avaient le plus gros tempérament et qui allaient sous peu ajouter un cocu de plus à la population du canton. Ainsi repensait-il parfois avec émotion à Claudine C. qui avait absolument tenu à garder son petit trésor pour la nuit de noces mais qui avant de convoler fit profiter pendant plus d'un mois et sans retenue le fougueux curé de ses autres orifices.
Évidemment on ne baise pas impunément la moitié des plus jolies femmes d'un canton et de ses environs voire accessoirement quelques maris à l'orientation sexuelle contrariée sans susciter jalousie ou ressentiment. Et l'évêque du diocèse finit par avoir vent du comportement un peu trop aimant du beau curé. Il le convoqua donc pour connaître le fin mot de l'histoire.
La rencontre débuta par un échange courtois au cours duquel Nicolas comprit que le responsable ecclésiastique n'etait pas insensible à son charme. Le jeune curé sut donc apprivoiser son interlocuteur avant de lui révéler que son coeur avait chaviré pour une ravissante veuve et que son plus grand bonheur serait de l'épouser pour qu'ils cessent de vivre cette relation dans le péché.
- vous me demandez donc de vous démettre de votre sacerdoce avait déclaré l'évêque.
- Mieux que ça monseigneur, je souhaiterais que vous bénissiez ce mariage.
- Vous savez que c'est impossible sauf si vous obtenez la réduction à l'état laïc. Et Rome accorde très peu ce statut depuis la disparition de Paul VI.
- Je pense qu'un amour transcendant tel que celui que nous ressentons l'un pour l'autre Adeline et moi mérite au moins que vous en fassiez la demande auprès du Saint Père.
L'évêque avait considéré Nicolas avec une certaine sidération, estomaqué par le culot phénoménal du jeune homme. Mais il s'etait senti bien incapable de repousser sa requête se demandant alors si l'être qui lui faisait face était une créature de Dieu ou celle du diable...
Nicolas avait été recueilli par son oncle après la mort accidentelle de ses parents au cours de l'année 1977. Il n'avait que 10 ans lorsque désormais orphelin, il alla s'installer chez Thomas Larouette un vieux garçon célibataire qui avait rencontré Dieu sur le tard après avoir sillonné le monde amassant à l'occasion une fortune considérable. Cette crise soudaine de mysticisme avait poussé Thomas à quitter ses affaires et à retourner sur les terres de ses ancêtres où il put acquérir une magnifique propriété un an environ avant le décès tragique de sa soeur et de son beau frère. En tant que parrain du jeune Nicolas, il l'accueillit naturellement dans sa luxueuse demeure avec la ferme idée de faire de son neveu un homme pieux, serviable et bien elevé.
Mais tout ne se passa pas comme le tuteur l'eût souhaité. Nicolas montra très tôt un goût prononcé pour les conneries en tout genre ainsi qu'un profond attrait pour les filles et accessoirement pour les garçons de son âge car il n'était nullement intégriste en matière de sexe. C'est pourquoi Thomas, fatigué des frasques de son filleul qu'il sauva des griffes de la justice à plusieurs reprises grâce à sa fortune et ses relations finit par lui fixer un ultimatum. Le parrain convoqua son neveu au moment où ce dernier devait choisir les études qu'il allait suivre s'il obtenait son bac. Il lui tint à peu près le discours suivant:
- tu es actuellement mon seul légataire mais rien ne m'oblige à faire de toi mon héritier. J'ai donc posé une condition pour que tu puisses effectivement jouir de mes biens à mon décès. Pour te motiver, lorsque cette condition sera remplie tu bénéficieras en plus d'une rente qui te permettra de vivre confortablement jusqu'à ma mort.
Je souhaite donc qu'une fois ton bac en poche, tu ailles au séminaire et que tu deviennes prêtre. Je m'arrangerai une fois ton ordination prononcée pour que tu obtiennes une paroisse dans un bourg suffisamment important pour que tu puisses avoir une vie sociale décente. Une fois le choc consécutif à la déclaration de son oncle encaissé, le jeune homme réfléchit vite et se dit que 6 ans de sa vie n'étaient pas grand chose si les 50 années suivantes lui permettaient de mener grand train sans avoir à travailler. Thomas lui trouva donc un séminaire suffisamment éloigné de sa résidence espérant ainsi retrouver un peu de sérénité si son neveu se trouvait à une distance respectable de sa demeure. Ce qui ravit évidemment le dit neveu qui put mener sa barque à sa guise tout en gardant en tête son objectif. Nicolas comprit d'ailleurs rapidement que si les voies de Dieu sont impénétrables celles du supérieur l'étaient beaucoup moins et que tant qu'il continuerait à lui défoncer régulièrement le rectum avec son dard dont l'épaisseur et la raideur faisaient le bonheur du prêtre, Celui-ci ne serait pas trop regardant sur l'assiduité de Nicolas et sur ses activités à l'extérieur du séminaire. La situation évolua donc selon le scénario défini par Monsieur Larouette et Nicolas finit par obtenir son ordination.
Comme promis, son oncle réussit à lui obtenir un sacerdoce dans une sous préfecture cossue située entre Champagne et Bourgogne et l'arrivée de ce jeune prêtre grand et bien fait dans la petite ville anima pendant quelque temps les conversations des fidèles.
La mission de Nicolas consistait principalement à assurer les sacrements, les offices du week-end et à participer aux oeuvres de la paroisse. Mais la tâche qu'il préférait plus que toute autre était le service de la confession. Ces moments passés dans l'obscurité de la cabine étaient des sources d'information inépuisables. Rapidement, Nicolas n'ignora plus grand chose des turpitudes de ses paroissiens et il s'en délectait exagérément en profitant sans aucun scrupule dès qu'il pouvait y trouver quelque intérêt, notamment sur le plan sexuel.
Ainsi, alors qu'il assurait sa troisième séance de confession, l'épouse du maire frappa à sa lucarne. C'était une belle femme brune de 45 ans aux rondeurs appétissantes. Elle avoua au prêtre avec une gêne évidente avoir accepté une invitation à déjeuner avec le député du coin dans un hôtel restaurant discret situé à une cinquantaine de kms de là. Elle précisa à Nicolas que l'élu l'avait courtisé très respectueusement pendant tout le repas pour finalement lui proposer de l'accompagner dans la chambre qu'il avait réservé pour l'occasion. La femme du maire avait admis au confesseur être sur le point de succomber mais heureusement elle avait su résister à l'appel de la chair. Nicolas lui accorda crédit de sa retenue mais souhaita malgré tout avoir un entretien avec elle pour connaître les causes de cet égarement et l'aider à mieux gérer ses pulsions. Moins d'une heure après le début de cette entrevue, Irène se retrouva sans robe et sans culotte à quatre pattes sur le grand lit du prêtre la tête enfouie dans l'oreiller. Ses gémissements de plaisir témoignaient qu'elle avait eu raison de ne pas s'offrir au député et de rendre visite au curé du bourg. Car elle était persuadée à ce moment là que le brave député n'aurait pu lui procurer un plaisir aussi intense que le vigoureux Nicolas.
- Rassurez vous avait dit celui-ci à Irène alors qu'elle s'apprêtait à quitter le presbytère après plus d'une heure d'entrevue éreintante,
- rien ne sortira de ces murs. Je sais garder le secret d'une confession.
Les veuves joyeuses étaient un des autres péchés mignons de Nicolas. Ainsi dès qu'une épouse éplorée suffisamment jeune et bien conservée à son goût avait besoin de réconfort, il était toujours prêt à payer de sa personne. et il se remémorait avec émotion sa rencontre avec Adeline qui était devenue depuis sa maîtresse officieuse. Adeline était une belle femme blonde de 36 ans aux formes inspirantes qui avait épousé quelques années auparavant le principal notaire de la région de 25 ans son aîné. Et celui-ci venait de connaître la plus enviable des fins puisque son coeur avait lâché alors qu'il était en train d'honorer sa volcanique épouse sur le Bureau de l'étude.
Lors de la messe d'enterrement, Nicolas eut quelque mal à conserver son sang froid lorsque Adeline entra dans l'église. Vêtue d'une robe en tulle noir au décolleté abyssal qui découvrait ses genoux, de bas nylon noirs à coutures et d'escarpins vernis noirs à talons aiguilles, elle arborait un large chapeau noir, un châle et un voile en crêpe noir censés donner l'illusion au public de sa détresse malheureuse.
Nicolas eut en outre quelque mal à ne pas éclater de rire en voyant le regard lubrique des hommes présents et les yeux révulsés de leurs épouses lorsque la jeune veuve s'installa au premier rang de la nef. La séance de condoléances au cimetière fut anormalement longue. Tous les hommes de l'assistance prirent leur temps pour saluer Adeline et se rincer l'oeil aussi longtemps que possible en louchant dans le magnifique décolleté de la jeune femme.
- J'espère vous voir bientôt à confesse chère madame, déclara Nicolas le dernier à lui serrer la main tandis que le fossoyeur commençait à recouvrir le cercueil du défunt. La jeune veuve eut quelques battements de cil et fit savoir par un sourire discret au beau curé qu'il ne tarderait pas à avoir de ses nouvelles. Effectivement moins d'une semaine plus tard, Adeline convia le jeune prêtre à prendre le thé chez elle. Elle l'accueillit juchée sur de fines sandales en cuir à talons de 13 cm, vêtue tout en noir d'une jupe en tulle plutôt courte, de bas couture, d'un porte jarretelle en dentelle et surtout d'un chemisier en soie noire transparente fort décolleté qui cachait bien mal ses seins ronds aux larges aréoles et aux pointes orgueilleuses. Nicolas apprécia le spectacle offert avant de saluer la jeune veuve par un baise main. Il la suivit ensuite jusqu'au salon où elle le pria de s'asseoir sur le canapé avant de disparaître dans la cuisine. Quelques minutes plus tard, Adeline revint avec un plateau qu'elle déposa avec grâce sur la table du salon. Une fois les deux tasses servies et l'assiette de biscuits posée sur la table basse, la blonde vint s'installer à côté de Nicolas. Celui-ci posa doucement sa main sur la cuisse de son hôtesse avant de prendre la parole. - Je vous remercie beaucoup pour votre invitation commença t-il, j'espère que vous arrivez à gérer toutes les formalités consécutives au décès de votre malheureux époux.
- Ce n'est pas toujours simple admit la blonde; notre pays a une tendance certaine à compliquer la vie de ses administrés mais je fais pour le mieux. - En tout cas, si je peux vous être utile en quelque chose, n'hésitez pas à me solliciter.
La veuve regarda Nicolas avec un sourire reconnaissant.
- C'est très aimable de votre part mon père. Le prêtre passa plus d'une heure dans la maison bourgeoise à remonter le moral de la jeune femme qui ne semblait pas affectée outre mesure.
- Robert, mon mari appréciait particulièrement mes dons de cuisinière déclara t-elle sur le pas de la porte au prêtre qui s'apprêtait à rejoindre son presbytère. J'organise un dîner jeudi prochain. Je serai ravie que vous vous joigniez à nous.
- Je suis certain que ce n'était pas seulement vos qualités de cordon bleu qui faisaient le bonheur de feu votre mari déclara Nicolas en se perdant dans le décolleté d'Adeline et j'accepte bien sûr votre invitation avec grand plaisir.
Le soir venu, étaient présents autour de la table monsieur le maire et madame, le docteur Leblay médecin du défunt ainsi que Lydie son épouse une petite femme rousse et potelée. Les femmes avaient toutes opté pour de sobres robes noires et des escarpins à talons. Ceux d'Adeline mesuraient une douzaine de cms et elle n'avait pas dérogé à ses bas nylon et son porte jarettelle habituels. Nicolas apprit par la suite qu'elle ne portait que ce genre de lingerie et il trouva ce choix délicieux. Assis en bout de table, il faisait face à la maîtresse de maison. À sa gauche se trouvait la femme du maire et Lydie Leblay se tenait à sa droite. Après l'apéritif et la délicieuse entrée concoctée par Adeline, la troisième bouteille de vin était déjà bien entamée et l'ambiance beaucoup moins guindée. Irène se risquait même à faire du pied à Nicolas espérant que celui-ci lui proposerait sous peu une de ces "entrevues" qu'ils avaient de temps en temps depuis la confession de la mairesse. Elle s'était d'ailleurs mise à mouiller en se remémorant leur dernière rencontre lorsque le fougueux prêtre avait défriché son trou du cul alors vierge. Une fois la douleur intense procurée par l'epais tenon oubliée, les sensations provoquées par le limage énergique de ses boyaux n'avaient pas tardé à envoyer la femme de l'édile au firmament du plaisir.
Mais ce soir là, Nicolas avait des vues sur Adeline et il était bien décidé à ne pas se laisser perturber par les autres convives présents. Lorsque le beau curé fut enfin seul avec son hôtesse, Celle-ci lui proposa un petit verre d'Armagnac mais le jeune homme s'autorisa une autre suggestion:
- Pourquoi n'irions nous pas plutôt visiter votre chambre chère amie demanda t-il simplement.
Adeline sourit, prit son invité par la main et le conduisit où il souhaitait. Les deux heures qui suivirent ne furent qu'une succession d'étreintes débridées. Nicolas mit toute son ardeur à honorer la volcanique Adeline remplissant de sa sève tous ses orifices brûlants à plusieurs reprises.
- Bon sang! lâcha t-il avant de s'écrouler complètement rincé sur le lit. Quel tempérament mon amie ! Adeline comblée déposait de petits baisers sur le torse de son amant.
- Et vous mon père quelle belle crosse et quelle dextérité pour vous en servir, je comprends mieux pourquoi vous avez opté pour le célibat.
- Vous me flattez chère Adeline. La crosse est l'apanage des évêques. Mais il est vrai admit Nicolas que comme les prêtres catholiques ne peuvent pas se marier, il leur est plus aisé de dispenser leur affection aux femmes en manque d'affection.
- Vraiment ? Lâcha Adeline en riant. Remarque! ça ne m'étonne qu'à moitié vu la manière dont vous regardait l'épouse du maire. Aurait elle bénéficié elle aussi de votre amour débordant du prochain ?
- Je ne saurais trahir le secret de la confession se contenta de répondre Nicolas ce qui fit bien rire la belle blonde.
- Mais il est bien tard et demain je dois être levé à l'aube pour célébrer la première messe. Heureusement je suis venu à pied et vos voisins ne s'étonneront donc pas de voir la voiture du curé garée à 2 heures du matin devant la maison d'une jeune et désirable Veuve.
- Vous seriez à mon avis plus ennuyé que moi si cela se produisait reprit Adeline. Ma réputation est faite. La votre pas encore. Mais je serais néanmoins ravie de faire un bout de chemin avec un beau et vigoureux prêtre fut-il défroqué.
- Je doute que vous me soyez aussi fidèle que notre seigneur ma belle Adeline même si l'idée de partager votre vie et que vous me fassiez cocu aussitôt m'est plutôt agréable répliqua Nicolas. Adeline éclata de rire.
- Robert était comme vous mon ami, il aimait voir sa chère épouse troussée par de vigoureux étalons avec une prédilection certaine pour ceux dotés de phallus d'ébène très imposants et j'avoue que j'y trouvais mon compte lors de nos séjours aux Caraïbes. Nicolas enchaîna aussitôt:
- Je connais un confrère camerounais qui officie dans un bourg de la région et je suis persuadé qu'il serait ravi de m'aider à vous rappeler ces délicieux souvenirs.
- Vous êtes vraiment plein de ressources mon père lâcha alors Adeline en se redressant pour saisir la verge de son amant. Mais vous m'avez à nouveau bien excitée et Il va maintenant falloir que vous éteigniez le feu que vous venez d'allumer dans ma grotte intime.
Nicolas prit alors conscience de ce mal qui avait eu raison de la santé du notaire. Mais cela ne le refroidit nullement, heureux d'avoir rencontré une femme belle, bien éduquée et très salope avec laquelle il allait pouvoir laisser libre cours à ses penchants les moins avouables. C'est ainsi qu'il proposa lors de sa visite suivante à Adeline de venir de temps à autre lui prodiguer une fellation pendant qu'il recueillait la confession de ses paroissiennes. La blonde loin de s'en offusquer trouva au contraire l'idée fort plaisante.
Outre la confession, le père Nicolas consacrait deux après midi par semaine à recevoir les fidèles qui avaient besoin d'aide ou de conseils particuliers. Un des sujets régulièrement abordés par ces âmes en peine concernait les relations intimes dans le couple. Généralement les femmes se plaignaient du manque d'entrain de leur mari pour accomplir leur devoirs conjugaux mais le cas de l'époux un peu trop empressé au goût de madame n'avait rien d'exceptionnel. Certaines se plaignaient que leur mari était monté un peu trop fin alors que d'autres lui affirmaient que outre son appétit sexuel excessif monsieur était de surcroît doté d'une virilité beaucoup trop imposante. Dans ces cas là, Nicolas ne pouvait s'empêcher de penser à Adeline certain que la belle blonde eût aimé rencontrer le compagnon de son interlocutrice. D'ailleurs il ne manquait pas de faire part à sa maîtresse des dispositions du monsieur avec la certitude, s'il était suffisamment présentable qu'Adeline déploierait des trésors d'ingéniosité pour le séduire et s'assurer de la sorte que les confidences de la paroissienne n'étaient pas mensongères. La blonde volcanique se ferait ensuite un plaisir de relater avec force détails les performances de l'étalon à son prêtre favori. Un autre sujet récurrent de ces entrevues avec ses ouailles concernait les infidélités supposées ou réelles des conjoints. Ce thème valut à Nicolas quelques parties de jambes en l'air mémorables lorsqu'il estimait que la femme trompée était tout à fait baisable. Dans ces cas là, la formule oeil pour oeil dent pour dent était toute adaptée d'autant plus que quoi qu'il se passât, le prêtre serait évidemment disponible pour recueillir la confession de l'épouse délaissée. Celle-ci n'y voyait que des avantages : elle se vengeait du mari indélicat avec à la clef quelques orgasmes bienvenus et obtenait dans la foulée l'absolution. Comme Nicolas était fort bel homme, la femme comprenait vite que sa vengeance serait moins risquée si elle l'exécutait avec lui plutôt qu'avec un éventuel amant qui aurait pu devenir incontrôlable. Et cerise sur le gâteau, le curé usait de son magnifique goupillon avec un grand art ce qui n'était pas toujours le cas de l'époux volage.
Nicolas appréciait aussi beaucoup les séances de préparation au mariage avec ses jeunes ouailles. Il avait le don pour identifier parmi les futures épouses celles qui avaient le plus gros tempérament et qui allaient sous peu ajouter un cocu de plus à la population du canton. Ainsi repensait-il parfois avec émotion à Claudine C. qui avait absolument tenu à garder son petit trésor pour la nuit de noces mais qui avant de convoler fit profiter pendant plus d'un mois et sans retenue le fougueux curé de ses autres orifices.
Évidemment on ne baise pas impunément la moitié des plus jolies femmes d'un canton et de ses environs voire accessoirement quelques maris à l'orientation sexuelle contrariée sans susciter jalousie ou ressentiment. Et l'évêque du diocèse finit par avoir vent du comportement un peu trop aimant du beau curé. Il le convoqua donc pour connaître le fin mot de l'histoire.
La rencontre débuta par un échange courtois au cours duquel Nicolas comprit que le responsable ecclésiastique n'etait pas insensible à son charme. Le jeune curé sut donc apprivoiser son interlocuteur avant de lui révéler que son coeur avait chaviré pour une ravissante veuve et que son plus grand bonheur serait de l'épouser pour qu'ils cessent de vivre cette relation dans le péché.
- vous me demandez donc de vous démettre de votre sacerdoce avait déclaré l'évêque.
- Mieux que ça monseigneur, je souhaiterais que vous bénissiez ce mariage.
- Vous savez que c'est impossible sauf si vous obtenez la réduction à l'état laïc. Et Rome accorde très peu ce statut depuis la disparition de Paul VI.
- Je pense qu'un amour transcendant tel que celui que nous ressentons l'un pour l'autre Adeline et moi mérite au moins que vous en fassiez la demande auprès du Saint Père.
L'évêque avait considéré Nicolas avec une certaine sidération, estomaqué par le culot phénoménal du jeune homme. Mais il s'etait senti bien incapable de repousser sa requête se demandant alors si l'être qui lui faisait face était une créature de Dieu ou celle du diable...
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