Aimons-nous, les uns les autres... - histoire érotique

J’ai toujours trouvé l’endroit très idéal pour y faire du naturisme. En me levant ce matin là, ma décision est prise, je vais m’y rendre. J’ai tout de même quelques kilomètres à faire. Et à pied, de sur plus. J’ai une envie folle de me dévoiler complètement au soleil. Totalement nu ?
J’aime me sentir en harmonie avec la nature. Un besoin de sentir les rayons de soleil me caresser le corps. Quoi qu’il en soit, dès que j’en ai l’occasion, je m’isole dans la nature pour m’adonner aux joies du plaisir solitaire.
Ce matin-là, je suis déjà très excité. Une furieuse envie de me faire du bien me tiraille. Je me dirige tranquillement dirigé vers mon coin. J’ai dans mon sac une serviette dans laquelle j’ai dissimulé mon masturbateur. Toujours le même depuis des années.
J’éprouve déjà des picotements. Je suis confortablement installé dans mon coin préféré. Je suis bien seul, perdu dans des pensées très cochonnes. Je me plais à m’imaginer des femmes cachées qui profitent du spectacle que je leur offre. Le désir transpire par tous mes pores. Comme toujours chez moi je suis gravement en manque de chatte. Mon excitation est à son comble. Toutes ses chattes poilues qui emplissent mon esprit.
Il m’arrive lors de mes séances de plaisir solitaire, je m’amuse à prendre des clichés de ma queue bandée.
Mon excitation est telle que j’ai déjà enfilé ma queue dans le masturbateur. Après l’avoir mis en branle je commence à me laisser emporter par le plaisir.
Mais voilà qu’à peine quelques instants je suis importuné par un chien qui vient tout de suite me flairer. S’en suis alors une femme tenant une laisse en main. Je ne fais rien pour cacher ma petite affaire. Tout au contraire, je l’expose même à qui veux la voir.
-Oh excusez-moi ! Ne vous dérangez pas pour moi. Je récupère mon chien et je file…
Je trouve ses propos plutôt courtois. Sans être vraiment mon style de femme, et vu comment je suis chaud patate, je ne suis pas contre une petite relation avec elle.
-Bon… bon, je pense qu’il serait plus sage pour moi de quitter les lieux.
-Et je peux savoir pourquoi ? Lui fais-je sans réfléchir.
-De vous à moi, vous me donnez des idées là !
-Ne vous gênez pas pour moi. Surtout que je vous trouve très à mon goût.
-Merci jeune homme ! Me fait-elle d’un regard appuyé qui ne cesse de me scruter.
-Alors ? Lui fais-je, vous acceptez l’invitation ?
-C’est bien parce que vous assistez.
Très vite elle commence par m’exhiber ses nichons. Elle ne porte pas de soutien-gorge. Au centre des deux mamelons, je distingue nettement ses tétons. Je ne sais pas ce qui me retient de ne pas les prendre entre mes lèvres, mais en garçon bien élevé, je n’en fis rien.
Elle dépose soigneusement son vêtement sur son sac. Elle n’est qu’à quelques centimètres de moi. En déployant le bras je peux la toucher, mais ce geste est pour moi, tout à fait déplacé. Je suis du genre patient pour cet exercice.
Elle me sourit, épanouie, satisfaite de l’effet que produit déjà sur moi sa poitrine dénudée. J’ai tout loisir de découvrir plus bas une culotte de nylon noir. Je devine l’ombre de son sexe. Mais cette première vision est loin de me satisfaire. Le tissu n’est pas suffisamment transparent à mon goût.
- Si j’avais su cela j’aurais passé une autre lingerie… plus sexy.
-Je la trouve Sexy, moi…
-Vous n’allez pas me faire croire que c’est la cause de votre érection ?
-En quelque sorte, oui...
-Remarquez, de mon côté ce n’est pas mal aussi.
Là, elle éloigne les cuisses et m‘exhibe le devant de sa culotte. Une section de tissu bouleversant à souhait et auquel je voue depuis toujours un culte certain. Il s’enfonce complètement à un endroit que je n’arrive pas à distinguer nettement. Que souhaite-t-elle m’indiquer par cette attitude qu’elle accote ?
Qu’elle est aussi excitée que moi, peut-être? La bande de sa lingerie est légèrement humide, plus sombre à hauteur de sa vulve dont je perçois nettement le renflement. Cette irradiation ne cesse de s’agrandir.
-Confidence pour confidence, ça fait bien longtemps que je n’ai pas eu la joie d’avoir sous mon regard, une si belle chose, aussi en forme !
-Vous m’envoyez ravie Madame. Vous ne pouvez pas savoir comment j’aime rendre service….
-C’est bien ce que vous faites !
Ses seins sont opulents, ils semblent faits pour recevoir toutes les caresses. Mon sexe frémit plus que jamais. Elle comme moi avons complètement oublié le lieu où nous nous trouvions. Nous sommes, seul au monde.
Elle glisse sa main entre eux, sous eux. Les palpes tendrement. Elle passe et repasse ses doigts sur les pointes qui sont maintenant parfaitement érigées. Ses doigts accrochent les bouts proéminents, ils les tiraillent, les pincent, les étirent et les titillent avec ardeur. D’une couleur rouge ils se transforment en tétons violacés.
J’enfourne ma queue dans le masturbateur. Mes testicules sont durs.
Je suis plus que jamais affamé par le corps de cette inconnue qui s’anime de plus en plus devant mes yeux.
-C’est bon ? Me fait-elle.
-A défaut d’autre chose, oui !
-Tu ne s’es peut-être pas mais je suis toute chaude, me lance-t-elle en abandonnant sa poitrine. Ta queue me tente bien si tu veux le savoir. Mais je n’oblige rien à personne.
Là elle s’incline un peu plus, projetant en avant son sexe. Elle repousse d’un geste vif le tissu de sa culotte et m’exhibe sa chatte. Une chatte ouverte et luisante. Je reste sans bouger. Elle me lorgne avec une malice mêlée d’aimables reproches.
Insatiable, je ne parviens pas à me calmer. Je suis pris par une sorte de fièvre de folie sexuelle qui me donne et envie de faire des choses sales. Je reconnais mon tempérament immodéré.
Alors je me lance, pour cela je pose mes doigts sur le haut du slip et le baisse, dévoilant son intimité. Je prends tout mon temps, lui caressant les jambes au fur et à mesure que je fais glisser son petit sous-vêtement moite au toucher le long de ses jambes. Les joues de la femme ont pris une jolie teinte rose, signe d’excitation ?
Je me retrouve à hauteur de son sexe. Je pose les mains sur ses fesses, l’attirant contre moi, et lui dépose de légers baisers sur le Mont de Vénus. Elle ne peut s’empêcher d’étouffer quelques légers gémissements, indiquant qu’elle apprécie mon initiative. Elle a une chatte absolument délicieuse. D’ailleurs je n’en es jamais trouvé des affligeantes.
La valse de mes baisers continue sur ses cuisses, tout autour de sa chatte impatiente d’être cajoler et de surcroît très odorante. Sans la brusquer, je l’amène vers l’abîme de la jouissance.
Pour mon plus grand plaisir je l’entends haleter. Balançant la tête de droite et de gauche, projetant son pubis en avant à la recherche d’une caresse absente que son corps enflammé réclame avec insistance. Jugeant qu’il est cruel de prolonger l’attente, je glisse ma bouche entre ses jambes. Elle se cambre un peu pour s’ouvrir davantage et je colle mes lèvres sur elle dans un élan de tendresse éblouie. Elle sourit vaguement tandis que j’ouvre son ventre de la pointe durcie de ma langue, puis lèche son clitoris avec des gémissements incontrôlés de jeunes chiots. Je la suce, la lèche, la sens tressaillir et cela jusqu’à ce qu’elle arrive à la jouissance. Exhorter, je continue mon étreinte jusqu’à l’entendre jouir une seconde fois. La bouche emplie de son odeur, je me redresse pour la découvrir toute épanoui.
Il lui en a faut pas plus pour lui donner l’envie de revenir me voir, quatre fois dans la semaine pour autant d’orgasme. Mais je tiens à le noter aucune pénétration, juste des caresses buccales, pour son plus grand plaisir et le mien.