aire d'autoroute

- Par l'auteur HDS Ajème -
Récit érotique écrit par Ajème [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : aire d'autoroute Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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aire d'autoroute
La nuit va tomber, je m’arrête sur la première aire de repos de l’autoroute , il y a quelques voitures , je me gare entre deux véhicules et vais jusqu’aux toilettes satisfait mes besoins, fume ensuite une cigarette en rejoignant mon véhicule. Celui de derrière est parti. Comme j’arrive à hauteur du premier, je remarque que le conducteur me regarde et sourit. En passant je vois qu’il a les mains posées sur son ventre et qu’il se touche. Comme j’arrive au mien ses feux arrières s’allument deux fois, je comprends alors le signe. Sans hésiter je fais demi-tour et m’arrête à la portière avant, il me sourit et je vois qu’il a sorti son sexe et se touche, il me sourit encore et d’un signe de tête m’invite à monter. J’y vais, un trouble évident dans le ventre et la poitrine. « Salut, me dit-il, c’est gentil de venir me rejoindre, je pense que tu aimes les rencontres? Tiens mets la main et branle moi, j’aime ça. » Je m’exécute, sa queue est déjà bien dure et chaude, de la main droite, je la parcours, la décalotte et descends bien bas pour la faire durcir encore plus. En m’arrêtant sur cette aire, j’espérais bien y trouver l’aventure, je suis donc comblé mais le meilleur est encore à venir. L’homme a reculé son siège et légèrement incliné son dossier. « Tu aimes les queues? Moi, ça me plairait que tu me suces, viens, baisse la tête, lèche -moi ». Je n’hésite pas et commence à passer ma langue autour du gland, je serre sa tige pour faire grossir encore le gland et petit à petit je gobe doucement la queue. Il tend son ventre sous la caresse, sa main se pose sur ma tête et imprime un mouvement de va-et-vient tantôt lent, tantôt rapide en fonction de son plaisir. Il s’arrête par moment, sans doute quand il sent qu’il va juter. La fellation dure, il ne me demande rien d’autre et ne me caresse même pas. J’en prends enfin plein la bouche quand il décharge longuement. Nous n’échangeons plus un mot, je recrache par la vitre, m’essuie la bouche et descend du véhicule qui repart presque aussitôt.
Je vais pour remonter en voiture lorsqu’un type s’approche de moi: « je t’ai vu avec le type à la Renault, tu es une petite salope, tu suces! Est-ce que tu te fais mettre aussi? Si tu aimes le foutre viens avec moi, je te servirai ton dessert ». Je suis étonné de l’apostrophe mais désireux de prolonger ma soirée, je le suis docilement. Son véhicule, un camping car est garé derrière une haie du parking. Je ne l’avais pas remarqué. Au lieu de passer devant, il me fait monter par la porte latérale et asseoir sur la banquette. Il se place devant moi, commence à se toucher, ouvre son pantalon, sors une queue de belle taille et me la présente. « Allez petite pute, occupe-toi de celle-là, elle est plus belle que l’autre que j’ai aperçue, gobe la entière, caresse-moi les couilles en même temps, c’est bien, tu es docile et obéissant, c’est ce que je recherche et puis je crois que plus on est grossier avec toi, plus tu aimes, ça te fait mouiller hein ma pute? Arrête-toi et lève -toi. ». Il me prends alors dans ses bras et m’embrasse violemment. Ses mains courent mon corps et il commence à me déshabiller. Je me retrouve nu devant lui qui fait de même. Il m’enlace encore en me caressant particulièrement les fesses, les malaxe, les écarte . Il me fait allonger sur la banquette, sur le ventre et continue de me martyriser les globes. Je le vois prendre du gel, m’en coller une noix dans la raie. Il entre ensuite un doigt, puis deux qui se promènent dans mon ventre. J’ai un peu mal mais malgré tout beaucoup de plaisir. Il y glisse un troisième avant de me faire relever. Il s’assied à son tour, me demande de le sucer encore avant de ma prendre les hanches et de me faire asseoir sur son giron. IL glisse alors son sexe dans ma raie, et me force l’anus. Je l’aide , je me soulève un peu et me laisse doucement retomber. Je sens d’abord le passage de la partie la plus épaisse, le gland, puis il cale contre mes boyaux. La sensation est délicieuse, je me sens empli, l’anneau dilaté. Il m’embrasse dans le cou, me pince les seins, c’est dans cette douleur que je le sens exploser en moi et le remplir le derrière de foutre. « C’était bien me dit-il j’adore les petites salopes comme toi. Reste un peu avec moi, on va casser une petite croûte, on ira sur un camping voisin et on se couchera dans le lit que je vais préparer.

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