AIRE DE REPOS (6 et fin) : Militaire très chaud.

- Par l'auteur HDS DeeWar -
Récit érotique écrit par DeeWar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : AIRE DE REPOS (6 et fin) : Militaire très chaud. Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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AIRE DE REPOS (6 et fin) : Militaire très chaud.
AIRE DE REPOS (6 et fin) : Militaire bien chaud.


Je m'appelle Tiago Mendès, j'ai dix-huit ans et je suis gitan.

Tout le monde dit que je suis beau comme un Dieu. J'ai la chance d'être bien bronzé avec un visage ovale, des yeux noisettes et une petite fossette à la joue droite. J'ai aussi des cheveux mi-longs couleur jais qui retombent en boucle sur mon front.

Niveau physique, c'est pas terrible. J'ai un corps fin, presque maigre. Il faut dire que je ne mange pas toujours à ma faim. Aussi, il me faut bien gagner ma croûte, pour moi et ma communauté. C'est pour cette raison que mon père m'a laissé seul sur cette aire d'autoroute et qu'il viendra me récupérer ce soir à la tombée de la nuit.

C'est mon terrain de chasse, l'espace d'une journée. À moi de me faire un maximum de blé en détroussant quelques touristes naïfs ou des occasionnels qui viennent se reposer ou draguer.

Ce sont ces derniers qui retiennent mon attention. Ils sont les plus faciles à berner. Il suffit de les aguicher et une fois isolés dans un bosquet, j'ai tout loisir de subtiliser leur portefeuille pendant que je leur administre une bonne turlute.

Bon, n'allez pas croire que je sois pédé, c'est juste pour le taf. Et puis, une fois les billets de banque récupérés, je glisse les papiers dérobés dans la boîte aux lettres d'une gendarmerie ou d'un commissariat et à eux de contacter le proprio.

Vous voyez que je ne suis pas bien méchant...

Aujourd'hui, nous sommes mardi et mon père a choisi une aire de repos à proximité d'un camp de tir militaire. On entend au loin crépiter les balles des fusils mitrailleurs. J'aime bien me frotter à de beaux soldats en uniforme même si ce sont les plus dangereux. Ils ne plaisantent pas et il me faut redoubler de vigilance, si je ne veux pas me faire pincer.

Par contre, ce sont ceux qui trimbalent le plus de fric sur eux.

Et justement, je viens de repérer un homme en treillis qui s'apprête à stopper sa jeep près des sanitaires. C'est un gradé, ça se voit. Au regard noir qu'il me lance, je suppose que ses hommes ne doivent pas rigoler tous les jours.

Il sort de son véhicule, me fixe tout en rajustant son paquet, puis disparaît dans les chiottes. Il en ressort quelques minutes plus tard et prend la direction du sentier qui sert de lieu de rencontres. J'hésite un peu avant de le rejoindre.

Je grimpe le talus boisé. Nous sommes en été et les cigales chantent dans les pins. Je crois l'avoir perdu lorsque je le repère un peu à l'écart. Il est adossé contre un arbre, les mains enfoncées dans son pantalon de camouflage et se caresse la teub sans gêne. Elle est toute en longueur et déforme la fine toile marron.Un vrai chapiteau! J'arrive même à discerner l'énorme gland qui pointe en direction du ceinturon de cuir.

Je m'approche et joue les habitués. Il m'aborde direct.

- Tu veux que je te gave de jus avec ma grosse queue?

J'incline la tête positivement.

-Tu vas me vider mes couilles bien pleines, hein?

- Oui.

Il m'empoigne par le col du t-shirt.

- Parfait, parce que j'ai pas baisé ma femme depuis cinq jours.

Le mec a la quarantaine, un regard de fauve en chasse, encadré par un visage carré, buriné par le soleil. Il est terriblement viril avec un physique de sportif accompli, habillé genre commando...

Humm! Tout ce que j'aime...

Il n'attend pas, déjà collé contre moi, et me pelote le cul. Comme hypnotisé par son regard féroce, je me laisse faire. Face à lui, je ne fais pas le poids et attends la suite. Je suis chaud bouillant. Ce type m'excite, même si je n'oublie pas ce pour quoi je suis là. Je constate avec satisfaction qu'il a calé son portefeuille dans la poche arrière de son falzar.

Beaucoup plus entreprenant que je n'aurais imaginé, il me serre, me tâte le corps un peu partout, me masse les fesses de façon vicieuse, très intéressé par ma raie. Emballé par sa frénésie, je malaxe sa braguette et c'est dur là-dedans. Je suis impressionné par la longueur du manche que je caresse.

Complètement électrisé par le geste que je viens de faire, pris par son envie de baise, il me plaque contre le tronc de l'arbre et me roule un patin d'enfer. Il m'impose sa langue râpeuse, dominateur, sûr de lui, n'acceptant aucune rébellion de ma part. Mon militaire crache toute sa salive dans ma bouche, comme pour me rincer les amygdales puis vient me fouiller le palais avec sa langue épaisse. Il s'impose en moi, me domine de sa force virile jusqu'à ce qu'il me sente lâcher prise et céder à sa volonté.

Dans ce corps à corps imposé, il répand sur moi des effluves de cuir, de sueur, de poudre de cartouches,... Toute son odeur de mâle m'envahit, me pénètre, m'enivre...

Ses mains pétrissent tout mon corps, passent sous mon t-shirt puis retournent à mes fesses. Je suis son terrain de jeu.

Ok, j'ai dis plus haut que j'étais pas pédé mais bon, à force de pratiquer j'y ai pris goût. Et maintenant, ben... je joins l'utile à l'agréable. Mais n'allez pas vous imaginer des trucs...

Il s'arrête quelques secondes, déboutonne sa chemise kaki puis colle ma bouche contre ses pectoraux durs et puissants. Il m'offre ses magnifiques tétons, perdus dans une broussaille de poils. Je m'applique à bien les sucer. Je les mordille légèrement, ce qui a l'air de lui plaire. Il s'amuse à me faire passer de l'un à l'autre. Je bave sur sa toison odorante.

Mon gradé est couvert de tatouages. C'est un dur, pas le genre mauviette. Je sens qu'avec celui-là, je vais passer un quart d'heure viril et que j'ai intérêt à le satisfaire. Si jamais j'échoue dans ma mission
''kleptomanie'', je suis mort.

Il soupire d'aise, se pince l'autre téton, triture son énorme paquet avant de défaire la boucle du ceinturon. J'entends le zip de sa braguette. D'autorité, il m'appuie sur la nuque, me faisant comprendre d'aller lui sucer son pieu.

Une queue superbe, légèrement arquée, bien raide et fièrement dressée vers son nombril. Il arbore un gland exceptionnellement gros qui attend mes faveurs buccales. Le prépuce se déploie et glisse sous mes doigts. Son dard libéré, suinte d'une sève translucide. Bordel, qu'est-ce qu'il est bien monté. C'est sa femme qui doit être contente...

J'ai sa bite à quelques centimètres de ma bouche. Il en a vraiment une magnifique, longue et veinée, relevée, triomphante... Le symbole absolu du mâle dominant. Son gland, tel un gros abricot gorgé de vitamines, sent la transpiration, l'effort physique. L'urine, aussi... et je le gobe pour le laver de toutes les souillures de la journée. Sa mouille a un goût exquis. Je salive sur ce bijou et enroule ma langue sur toute sa longueur. Quand je l'ai bien en bouche, mon militaire force encore. Il m'impose sa volonté et n'y va pas par quatre chemins.

Il donne des coups de queue volontaires et s'enfonce bien profond dans ma bouche en même temps qu'il me tient la tête.

- Ouais!!! C'est ça, prends-la en entier...

Il en a une super grosse. J'ai des haut-le-cœur, il me bloque, je suffoque... Il insiste et je finis par m'habituer à son nœud qui vient frapper le fond de ma gorge et farfouiller mes amygdales.

- Lèche-moi les couilles!

Je m'exécute, tout en agrippant le précieux sésame rangé dans la poche arrière. C'est le moment de passer à l'action. Je sors ma langue. Ma bave coule sur ses bourses. Je lui gobe ses œufs de mâle bien fermes puis je repasse à sa queue qui m'intéresse davantage. Je sais que lorsque je l'entendrai gémir, je pourrai exercer mes dons de kleptomane.

La forme arquée de sa bite pointe vers les nuages. Je mets en œuvre tout mon savoir faire pour l'envoyer au septième ciel. C'est vital si je veux réussir mon coup. Il commence à râler de plaisir. Je salive sur son nœud proéminent et tente d'engloutir son manche jusqu'aux couilles. Il m'attrape la tête. Sa jouissance est imminente. J'en profite pour lui subtiliser l'objet de toutes mes convoitises que j'ouvre, sans pouvoir regarder ce qu'il y a à l'intérieur. Je crois sentir une liasse de billets, mais une mauvaise manipulation envoie valser l'étui dans l'herbe.

- Nom de Dieu!!! Mais qu'est-ce que tu fais?!

Me relevant sans ménagement...

- Ma parole, mais tu étais en train de me voler!!!

Je panique. Putain, je sens que je vais passer un mauvais quart d'heure.

- Non, non, je vous assure... Il est tombé tout seul.

- C'est ça, prends-moi pour un con. Allez, ouste, contre l'arbre, je vais t'apprendre à truander les honnêtes gens.

Il me retourne violemment et me plaque contre le pin parasol. Sa colère est telle que je n'ose résister. Il me baisse le pantalon et m'introduit un doigt dans le cul. La brutalité du geste m'arrache un cri de douleur, très vite remplacé par un couinement d'extase.

- Et t'as intérêt à être docile où je t'en colle une!

Ce mec me fait triquer, soudain. Il est le fantasme ambulant de mes rêves les plus chauds. Bon, je peux bien vous l'avouer à présent, je suis pédé comme un foc et le fait que mon père me force à côtoyer ce genre d'individu ajoute à mon excitation. En même temps, je sais que j'ai merdé et que je dois en assumer les conséquences. Je calme mes ardeurs et décide de jouer le jeu. Faire croire à cette bête de sexe que je suis en panique totale.

Je ferme les yeux, sans trop savoir ce qui m'attend. Je m'imagine déjà les quatre fers en l'air, comme ces hardeurs dans les films pornos qui gueulent à pleins poumons leur envie d'être entubés par de grosses queues.

Il vient de retirer mon boxer et me demande de tendre mon cul vers lui, bien en appui sur le tronc de l'arbre. Il mouille deux doigts puis me les fourre direct entre les fesses. Je beugle comme si j'avais mal mais en réalité il me faut mordre mes lèvres jusqu'au sang pour ne pas trahir le désir qui monte en moi.

Après quelques aller-retour, mes plaintes se transforment en gémissements. C'est trop bon! Putain, il sait vraiment y faire. Sa pogne s'active sur mon boule et ses phalanges coulissent bien. Ce n'est pas la première fois qu'on malmène ma rondelle mais là, c'est super agréable. Il présente trois, puis quatre doigts que j'aspire aussitôt. Je suis surpris que mon trou se détende à ce point et qu'il arrive à me doigter si facilement. Cette sensation qu'il me procure en me massant les boyaux me fait grimper aux rideaux.

- Ouais... Fais bien ta pute. Regarde comme je traite les voleurs de ton espèce!

Humm, il me traite comme une reine. Je pousse mon cul en arrière et m'empale sur ses grosses phalanges. C'est moi qui fais tout le travail, je ne pense à rien d'autre qu'à m'offrir. Au bout d'un certain temps, il finit par retirer ses doigts, ce qui m'arrache un soupir de déception.

- Attends, petite traînée, il va pas rester longtemps orphelin ton trou.

Il se positionne, présente son gland à l'entrée de mon œillet puis m'appuie sur les reins pour ajuster la hauteur...

Comme une brûlure d'eau bouillante, une grosse sensation de chaleur et de feu m'envahit. Je gémis, la bouche ouverte, sous le coup de la surprise. Son gros dard a perforé ma rondelle sans prévenir, son manche m'a pénétré. Je soulève mes fesses par réflexe, pour une meilleure prise.

D'office, il m'appuie sur le dos afin que je me cabre au maximum. Je sens cette monstrueuse bite en moi qui m'a ouvert le fion. Mon haut gradé m'a emboîté direct, sachant qu'il avait affaire à une bonne salope passive.

- T'es serré. Mon zob se sent bien dans ton petit cul de pédé. Mais j'ai pas encore tout rentré.

Et pour cause, il inaugure le passage avec son char d'assaut en mode commando. Mon anus me brûle, pénétré à l'extrême. Mais je ne vais pas protester. Il en aurait rien à foutre. Et puis, je kiffe grave son manche de pioche dans mes boyaux et son ramonage qu'il débute tout en douceur. La déception se lit sur mon visage car je m'attendais à plus de vigueur de sa part. Alors, je le lui fais savoir en collant mes fesses contre son bout et en entamant une savante danse du cul sur son membre tendu. (oui, je suis aussi poète à mes heures per... dues)

Ce con, ça le fait marrer. Mais pas à cause des rimes. Il est complètement indifférent à mon plaisir. Il cherche simplement à me donner une bonne leçon.

- Tu mériterais que je te plante là et que je me casse.

Je grogne en signe de désaccord.

-... Mais ma femme m'a pas vidé les couilles depuis plusieurs jours et depuis, elles débordent.

Alors, je m'empale de plus belle sur cette bite de cheval. Je voudrais tellement le vidanger, là, sur cette aire d'autoroute. Devant ma bonne volonté, il finit par lâcher un premier compliment.

- T'es trop bon, toi. J'adore défoncer des petits culs comme le tien. T'as quel âge?

- Aahhh!!! Dix-huit aaannns...

- Huummm! C'est les meilleurs, bien fermes, bien neufs... Ma queue adore leur dilater le trou.

Je n'entends pas ses autres commentaires, trop pris dans mon désir de défonce.

Il reprend les choses en mains et manœuvre son engin avec de puissants coups de bélier, ce qui me fait geindre encore plus fort. Il recommence plusieurs fois, se régalant de mes cris aiguës. Il apprécie ma façon de me cabrer pour accompagner cette sodomie virile. Vainqueur et fier de sa domination, il me maintient fermement avec ses mains plaquées sur ma croupe. Il m'impose sa volonté sans limite. Je finis par trouver la force de gueuler mon envie d'encore.

- S'il vous plaît, plus fort... PLUS FOOOOORT!!!!

- Ferme ta gueule! Tu vas ameuter du monde.

Il accroît sa baise hard. J'imagine que sa queue rigide est fourrée entièrement dans mon cul. Je passe rapidement une main derrière mes fesses et je constate l'incroyable. Sa grosse pine, tendue à l'extrême, n'est logée qu'aux trois-quart dans mon fondement. Je tâte ses couilles gorgées de jus et salive à l'idée de ce qu'il va bientôt m'envoyer.

- C'est ça, chauffe-moi bien les burnes. Tu sens comme ça bouillonne à l'intérieur?!

Il ressort complètement, me soulageant du feu qui me brûle, tartine mon œillet de salive et me ré-encule à la hussarde. Cette fois, il entre avec une facilité déconcertante tant mon trou est resté ouvert. Je grogne à peine, ne maîtrisant plus rien. Je suis anéanti par la bouffée de chaleur que me procure ce pilonnage en règle. Des sensations nouvelles se répandent en moi. J'avais débandé sous l'attaque mais je sens la sève revenir comme une grosse vague, tellement le plaisir que je ressens est fort. Je bande à nouveau et je sais que je pourrais jouir à tout instant.

Mon militaire m'a vu me branler et d'un coup rageur s'est planté au fond de moi. Ce coup-ci, j'ai vraiment senti l'enculage. À ma grande surprise, ma pastille est restée déployée pour le recevoir et son gros mandrin a pu glisser en moi, distendre mon boyau et me remplir comme une femelle en chaleur.

- Bouge pas! J'ai presque fini.

Le feu s'est estompé, laissant place au bonheur d'être possédé. D'instinct, comme la pute que je suis devenue, je me cambre pour offrir mon cul à ce mâle dominant qui comprend le message. Un dernier coup de rein et il finit le travail. Ses boules viennent buter contre mes fesses, m'arrachant au passage un couinement d'enculé.

- Salope, t'aimes ça, hein?! C'est rentré tout seul.

Ses coups de boutoir deviennent plus erratiques. Il n'est pas loin de jouir. Il manque me faire tomber mais je m'agrippe à l'arbre. J'ai trop peur qu'il se déboîte, même si je suis fermement arrimé à son mât. Je l'entends haleter. Il se régale de m'enculer. Je me cramponne par confort et pour l'avoir complètement en moi.

Nos corps s'ajustent. Son piston entre en action. Le festival peut se poursuivre.

Mes dernières plaintes de petit puceau se mêlent à ses insultes. J'ai droit aux ''salope'', ''vide-couilles'', ''garage à bites''... et autres formules du même acabit. Il ne cesse de me dire de fermer ma gueule, ravi d'emmancher un jeune tout juste majeur et de lui faire goûter sa grosse pine.

Pour lui, je ne suis qu'un cul. Il me machine comme une bête sans savoir que son enculage s'est transformé en baise du siècle. Il accélère ses va-et-vient, s'accroche à mes hanches. Je finis par gicler et j'éjacule tout le sperme de mes couilles, tant mon excitation est violente. Les mauvaises herbes devant moi, mon pantalon baissé, mes chaussures noires sont aspergés de crème dans tous les sens, tellement il me secoue.

Il me défonce comme un animal en rut. Je suis sa femelle soumise. Après un dernier coup de reins, il s'immobilise. Ses mains restent bloquées sur mon dos, les couilles collées contre mon derche. Je le sens se vider en moi. Sa queue crache des jets de foutre ininterrompus. Une bonne semence chaude, épaisse, fertile...

Celle d'un mâle reproducteur.

Il n'en finit pas de juter. Je sens les soubresauts de son énorme pieu pulser dans mon ventre. Il me remplit, me féconde de son précieux nectar. Son gland gorgé de sang crache toute sa sauce dans mes entrailles. Le plaisir est si intense que deux nouvelles giclées s'échappent de ma queue. Je les récupère sur mon doigt avant de les porter à la bouche.

- T'es jamais rassasié, à ce que je vois. T'es un bon aspirateur de foutre, toi!

Il finit par se retirer. Je me retourne et vois sa fente dégorger une dernière goutte blanchâtre. Je sens un filet de liquide chaud descendre le long de mes jambes. Sa saillie était d'une telle puissance que mes intestins n'ont pu tout retenir.

Il me contemple avec fierté. Je n'ose soutenir son regard. Il vient de m'engrosser comme le font les animaux, par instinct de reproduction. Je ne sais comment réagir face à ce mâle si conquérant.

Il se penche pour récupérer son portefeuille, fouille dans ses papiers puis en ressort un billet de cinq euros qu'il me tend.

- Tiens, c'est pour toi. Après tout, tu l'as bien mérité.

Je le remercie, puis il se casse. Putain, le radin! Cinq euros!!! Il m'a démonté le cul pour cinq euros!!!

C'est mon père qui va être content.

FIN


PS: Je remercie par avance Caramel35 sans qui ce texte n'aurait pas existé. En effet, je me suis largement inspiré de l'un de ses écrits publié sur un autre site.
Merci à lui. :)

Les avis des lecteurs

Merci lecteur "anonyme", je suis vraiment touché. Après, j'ai pleins d'autres histoires publiées sur trois sites différents (bon, je ne dirai pas lesquels pour ne pas faire de pub sur un site concurrent) et en rapprochant nos deux fantasmes + mon style d'écriture, tu peux trouver. (bon, petit indice, un de mes pseudos se termine par...X :) )

En fait mon fantasme, outre l'uniforme est de soumettre tout ce qui représente une autorité. (profs, flics, directeurs d'entreprise... maître nageur,...)

Merci pour ton post super agréable à lire.

Histoire Erotique
Franchement tu as un don pour l'écriture, j'adore ton style. Je me suis bouffé toutes tes histoires et franchement j'ai énormément apprécié ces histoires indépendantes sur les aires de repos . Tu sais comment faire monter graduellement le désir et l'envie de posséder et être posséder . Comme toi j'ai un énorme fantasme sur les flics et les militaires autant actif que passif . C'était vraiment jouissif de voir ce beau militaire "punir" notre protagoniste de la sorte avec davantage de passion et de hargne ( honnêtement une punition comme ça je dis pas non ) . C'était tellement drôle de voir ce mec lui donner 5€ à la fin pour ses faveurs , ce gros rat 🤣.

Merci à vous deux, Gaston (que je suis enfin heureux de voir poster un commentaire sur mes histoires) et Caramel.

Il faut savoir que le texte initial m'a été refusé deux fois (pour ''viol'', bon c'est vrai que ton histoire de départ était plutôt hard et j'avais kiffé la lire et l'adapter il y a trois ans déjà).

Du coup, j'ai été obligé de la remanier mais dommage car elle a perdu toute la violence qu'elle contenait.

Bises à vous deux. :)

DeeWar

Histoire Erotique
Je me suis régalé en te lisant. Merci d'avoir fait allusion à mon récit et d'en tirer une si belle histoire. Personnellement, je te donnerais plus de 5 euros...LOL. Décrire le désir qui monte, le contexte, les sens qui s'affolent, ce feu allumé qui dévore la mèche et explose enfin, c'est tout un art et tu sais le réussir. J'adore tes histoires.
Caramel35

Faut reconnaître que ça vaut le détour !



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