Alain au Château – (suite de l'épisode N°1016) - histoire érotique

Alain au Château – (suite de l'épisode N°1016) –
Tous les Invités sont passés à table et la tendre Aphrodite MDE, ma formatrice me conduit dans les soubassements, vers notre cage… Je vacille dans ses solides bras maternels tandis que nous traversons les somptueux corridors, descendons les marches de pierre lisse pour nous diriger dans les obscurs couloirs gris et le petit cachot d'Aphrodite MDE. Je suis toujours en pleurs tandis que je sombre sur le sol de pierre froide. Ma formatrice me réprimande sèchement, m'intimant de réagir comme un bon esclave, de me tourner sur mon ventre et, surtout, d'arrêter de pleurer. Surpris, je me ressaisis progressivement tandis que cette voie féminine rassurante me liste en détail tous les points à améliorer absolument. Chaque réprimande est accompagnée par une ferme claque sur ma croupe fortement endolorie. Mon corps a mal, mais mon cœur accepte chaque remarque même si la liste est longue. Une fois terminé, je me tourne brusquement sur mon côté et agrippe doucement sa main pour la remercier. Surprise, soumise Aphrodite MDE, ma formatrice s'attendrit quelques instants avant de se reculer et de m'ordonner de reprendre ma position. Je peux alors sentir ses douces mains oindre mon dos entier et ma croupe totalement lacérés d’une agréable crème apaisante.

La combinaison de la douceur de sa main et de bienfaits du fluide utilisé m'amènent de suite à une paisible relaxation. Après un moment, bien trop court, ma formatrice me fait répéter les positions de base. Elle est exigeante et la courte cravache qui lui a été aimablement fournie par le Maître, corrige violemment chaque manquement, rectifie sèchement chaque mouvement… Pendant ce temps, dans la salle à manger, le somptueux repas se poursuit. Un peu plus tard et avant de passer au dessert, Monsieur le Marquis propose à ses Invités de profiter des dernières lueurs du jour dans son merveilleux et immense parc. Il amène ses Convives devant un vieux, haut et majestueux marronnier au tronc impressionnant par son envergure.

- Mes amis, voyez ce vieil arbre ! Eh bien sachez qu’il a été planté par le fameux Marquis de Sade et mon aïeul en 1785 ! (NDLA : voir Les Origines de la Saga des esclaves …).

Durant ce temps, la table est rapidement desservie, vidée et nettoyée. Une étrange construction et amenée au centre de la table et solidement scellée. Le bas de la construction est constitué d'une épaisse planche de bois d'environ 2.5m de long et 1m de large. Trois gros montants métalliques se dressent de chaque côté, un à chaque coin et un au centre. L'ensemble est coiffé par une solide armature rectangulaire métallique sur laquelle sont installés quatre rails. Rapidement, par-dessus les rails, surgissent quatre petits chariots, deux sur chaque paire de rails. Un gros réservoir en inox de mêmes dimensions que la planche est fixé au-dessus du tout et l'installation se termine par le raccordement de différents tuyaux et câbles électriques.

Dans le froid cachot, je suis exténué par les rapides successions d'exercices et la détermination de ma formatrice. Cette fermeté entraîne de suite un sentiment de réconfort et une grande excitation. Entre chaque pause, Aphrodite MDE me force à lécher le suc dégoulinant de ma nouille tendue qui s'est répandu sur le sol. Le temps passe et ma formatrice me ramène vaillamment vers le luxueux rez-de-chaussée, puis dans la salle à manger vide. Aphrodite MDE marque un temps d'arrêt de surprise et mes yeux se sont écarquillés par l'incroyable vue. La table est somptueusement dressée avec des petites assiettes en faïence de Quimper, de couverts en argent gravé aux Armoiries de la Famille Evans, des verres en cristal du Val Saint Lambert et des serviettes en soie de Lyon. Mais, le plus inquiétant, le plus excitant aussi et l'imposante construction métallique scellée au centre de la table. Dès leur entrée, six solides esclaves apparaissent et commencent à retirer tous l'équipement de Aphrodite MDE et le mien. Seul, le fin collier de cuir ciselé et gravé orne maintenant le magnifique corps de ma formatrice tandis que je reste avec mon épais et lourd collier de métal. De suite, je sens mon fondement fortement lubrifié et je crains le pire et je m'attends au meilleur.

L'action suivante me surprend, elle me fait même sourire tandis que je vois un esclave peindre au marqueur des cercles sur le corps d'Aphrodite MDE, un cercle sur chacun de ses généreux seins, centré sur le mamelon et un cercle entre ses cuisses centré sur ses lèvres gonflées et dégoulinantes. Je suis intrigué lorsque trois cercles de même taille sont dessinés sur mon corps, un sur chacun de mes tétons de petits chiot-soumis et un autour de mon sexe dressé et dégoulinant… Deux esclaves mâles musclés agrippent mes bras et me conduisent vers un espace libre sur la table, permettant un accès vers la construction métallique. Je me retrouve donc couché sur le dos, mes poignets sont entravés mais pas tendus, mes jambes sont soulevées et écartées avant d'être solidement fixées au sommet de la construction. Une solide sangle est ensuite fermement serrée autour de mon bassin, puis une autre immobilise ma tête. Une fois mon installation terminée, je peux entendre ma formatrice subir le même traitement mais, avant qu'elle ne soit entravée, je peux sentir un long et épais cylindre au bout conique et arrondi à l’extrémité de caoutchouc forcer mon cul, le déchirant, le dilatant grand ouvert par l’introduction. J'entends les esclaves s'éloigner et puis, c'est le silence, un long silence presque angoissant... Tout ce que je peux faire, c'est sentir la présence de ma formatrice à travers le double plug qui nous réunit.

Des voix se font entendre, elles se rapprochent quand les Invités reviennent à table pour le dessert. Des éclats de voix, des émerveillements et des applaudissements font échos dans la salle à manger quand ils découvrent la machinerie. Je peux apercevoir, de temps en temps, un visage ou une main quand certains Convives intrigués tentent de comprendre le système. Dès que tous les Invités sont assis, plusieurs esclaves nus, femelles et mâles sont amenés dans le pourtour de la salle et suspendus au plafond, sous le regard admiratif des Convives. Une fois que tout est installé, Monsieur le Marquis demande le silence devant des Invités semblant fortement excités par la surprise qui les attend.

- Mesdames, Messieurs, mes amis, je vous propose un petit jeu délicieusement pervers qui vous divertira tandis que vous pourrez savourer vos desserts. Quatre petits boîtiers de télécommande vont constamment circuler parmi vous. Dessus, vous trouverez une manette et un bouton et ainsi ...

(A suivre…)