Alain au Château – (suite de l'épisode précédent N°1009) - histoire érotique

Alain au Château – (suite de l'épisode précédent N°1009) –
Le système est donc très pervers mais certainement très excitant aussi au vue de la forte érection d’Alain et de la cyprine qui coule sur les cuisses d’Aphrodite MDE …
- Magnifique !

C'est la voix du Maître. Tandis que Monsieur le Marquis approche, les deux esclaves présents, tout en pédalant, se prosternent humblement en se penchant en avant et baissant la tête du mieux possible provoquant involontairement un ralentissement et une extrême douleur dans leurs fondements, amenant un éclat de rire amusé du Maître. Le Maître prend les commandes de l'ordinateur, faisant varier les vitesses imposées et la résistance du pédalier. Les deux soumis sont appliqués, les erreurs se font de plus en plus rare mais, dans sa grande bonté, le Maître augmente les difficultés, la rapidité des variations et puis, bascule un sélecteur qui permet à ces deux sujets de ressentir en même temps les moindres manquements. La fatigue aidant, les écarts deviennent plus fréquents. Les grimaces de la chienne MDE, son sourire soumis intriguent Alain au milieu de ses hurlements mélangés à son excitation. Alain est complètement perdu, entre douleurs et mille plaisirs jouissifs, entre ses cris et l'acceptation incroyable de sa formatrice et ses cris finissent par faiblir comme il se laisse imprégner de cette paix intérieure qu'émane Aphrodite MDE. Les deux soumis résignés et heureux de servir et de satisfaire le Maître, sont maintenant épuisés et l'exercice s’arrête dès que Monsieur le Marquis le décide et le Maître appelle l'esclave de service…
De suite, aidé par son adjoint, le bel esclave musclé détache le binôme pour déposer nos deux cyclistes éreintés doucement sur le sol. La chienne soumise MDE se précipite aussitôt aux pieds du Maître, le remerciant de ces merveilleux gestes de gratitude qui Lui sont propres, pour ses bienfaits en lui baisant les pieds avec une réelle dévotion. Alain suit l'exemple donné, il se précipite vers l'autre pied et garde une posture immobile de soumission totale. Lorsque le Maître s'écarte, les deux soumis suivent au plus près les Nobles pieds en quadrupédie… Le Maître précède le groupe de ses quatre esclaves (avec les deux esclaves de service) et s’arrête devant deux tapis roulant pour le moment à l’arrêt et équipés pour chacun d’un appareil commandant le déroulement du tapis. Le Maître, un large sourire illuminant son visage autoritaire a de longues fines chaînes équipées de sublimes pinces maléfiques entre ses Nobles mains. Les deux esclaves de service fixent les poignets de la chienne MDE et d’Alain sur le devant de chaque appareil. Les deux soumis sont donc en position debout mais penchés en avant les poignets immobilisés. L'utilisation du tapis semble évidente mais l'ingéniosité perverse du Maître réside en l'usage de fines chaînes pour relier les deux soumis visiblement masochistes. Le Maître, lui-même, prend le plaisir à placer stratégiquement les chaînes. La première pince vient mordre le mamelon gauche de Sa chienne MDE, puis la pince à l'autre extrémité vient rapidement ancrer ses vicieuses mâchoires dans le téton droit du chiot-soumis qui grimace en contenant un cri…
La seconde chaîne vient relier savoureusement l’autre pointe libre dressée pour chacun des deux soumis. Alain peut voir qu'il reste trois chaînes et il appréhende le placement dans des zones encore plus sensibles. Alain reste calme comme il sent son excitation monter, sa verge tendue et ses couilles bouillonner, il reste en contact visuel de cet immense énergie paisible de sa formatrice qui, elle-même, à des yeux remplis d'un amour total littéralement vissés sur le Maître. Alain prend de plus en plus conscience de l'influence de cette superbe femme sur lui et de sa soumission inconditionnelle et le fait d'être rassemblé ici et maintenant avec le Maître qui dégage un impressionnant charisme, une incroyable autorité, lui donnant un sentiment de protection et de juste autorité naturelle et puis, cette formatrice soumise et dévouée qui irradie d'une joie si pure simplement pour servir Monsieur le Marquis, Le Maître. Ses incroyables pensées se répandent si profondément en lui qu'il ne sent même pas les pinces lorsque le Maître les plante vigoureusement dans la peau flétrie à la base de chacun de ses testicules et la troisième dans la peau sensible sous sa nouille complètement dressée et toujours dégoulinante d’excitation...

Cette situation étrange n'empêche pas Alain d'entendre le tapis se mettre en route et les ordres lui disant de commencer à courir et les explications qui suivent, révélant le doux calvaire qu'il va subir quand les deux tapis tourneront à des vitesses différents et variables. La course commence et Alain laisse ses yeux admirer la douceur du visage de sa formatrice. Dès le premier changement de vitesse, Alain retient un cri venu du plus profond de ses entrailles quand les pinces étirent subitement ses couilles, sa nouille, puis ses tétons de chiot. Et ses yeux suivent la magnifique ligne invisible qui rejoint les yeux de sa compagne d’infortune et de tourment vers les magnifiques yeux bleus et Dominant du divin Maître. Alain peut percevoir cette aura de pouvoir entourer le visage rayonnant et joyeux de Monsieur le Marquis, il peut sentir sa puissance débordante, son incroyable Domination émaner vers lui sans même le regarder. Quel plaisir, quelle saveur, quelle jouissance de pouvoir servir pareil Homme !

La douleur devient insupportable et le plaisir excessif aussi, grimpant tous deux au fur et à mesure des horribles tractions et piqûres des pinces qui s’accentuent à chaque fois que le tapis roulant défile un peu plus vite. L'esprit d'Alain vient de se recentrer sur les points de tourment, des larmes coulent de ses yeux et sa nouille est au zénith, il bande à l’extrême. Mais le Maître est toujours là, toujours présent, toujours conscient de ce qui est bon pour Ses esclaves. Plus il faut courir sur place tout en étant penchés en avant les poignets liés, plus les tensions des pinces se font ressentir et plus l’excitation des deux soumis s’accroit. La cyprine de la chienne MDE dégouline abondamment le long de ses cuisses autant que la verge du soumis, qui elle, est prête à exploser de foutre !... Mais pour ponctuer le tout, de solides coups de fouet sur le dos et la croupe d'Alain ramène son cœur sur la juste satisfaction de pouvoir plaire au Maître. Même s'Il ne le voit pas, il perçoit Son image dans les doux yeux tendres de sa formatrice comme un reflet, non, comme une gravure. La course semble durer une éternité, ni plus, ni moins, juste ce dont il a besoin pour son apprentissage. Sans plus vraiment le contrôler, son corps ralentit avec la décélération du tapis puis l’arrêt final. Alain est maintenant immobile, chancelant et essoufflé. Le retrait des pinces amène un hurlement quasi jouissif tant le mélange de l’excitation à cette forte douleur est puissant. Alain affaibli manque de tomber… dans les puissants bras du Maître. Alain se sent atterrir sur un merveilleux matelas d'ouate réconfortante, il a dû tourner de l'œil quelque secondes car il n’a plus les poignets entravés. Alain prend maintenant conscience du sol froid sous son corps car il n’est plus sur le tapis mais à côté et quand il rouvre les yeux, son regard croise directement celui de sa formatrice. Il peut voir par son large sourire de la pure satisfaction qu'il prend en partie pour lui. Mais ce regard ne dure que quelques instants car la chienne soumise MDE est déjà aux pieds du Maître pour le remercier. Cette vue rend un reflux d'énergie dans le corps endolori d'Alain et il se précipite à son tour, toujours tremblant, vers le pied libre de Monsieur le Marquis qu'il vénère, le cœur léger et plein de gratitude osant embrasser du bout des lèvres le bout de la chaussure du Vénéré Maitre...

Les esclaves de service rééquipent mais sans la cage de chasteté afin de le laisser bander à souhait, selon les Exigences du Maître et donc Alain est équipé avec ses lourdes entraves et le binôme est entraîné à quatre pattes par les laisses tenues fermement dans la large main musclée du Châtelain. D'un pas souple et sans se presser, Monsieur le Marquis entraîne Sa chienne soumise MDE et Son chiot-soumis jusqu'à l'étage. Devant la porte de son bureau, le Maître confie le binôme au Majordome qui l'attendait. Toujours à quatre pattes, l'un contre l'autre avec Alain qui tente constamment d'être au plus près possible de sa formatrice, ils traversèrent un nouveau dédale de luxueux couloirs capitonnés d’épaisses moquettes ou d’immenses tapis d’orient, aux murs, possédant de riches tapisseries, décorés de tableaux valant certainement une véritable fortune. De riches tentures de velours bordeaux ornent les murs à chaque virage entre deux couloirs. Couloirs où Alain n'était jamais venu. Finalement, Monsieur Walter les fait entrer dans une magnifique pièce au centre de laquelle se trouve ce qui ressemble à une piscine. Le Majordome les amène devant deux jeunes esclaves, un garçon et une fille, totalement nus, la tête inclinée. Alain est totalement surpris et il sent son cœur palpiter et son sang fait rougir son corps entier alors qu'il relève légèrement la tête, ses yeux à hauteur de deux magnifiques jeunes sexes parfaitement rasés, glabre de tout poil. Le garçon est en pleine érection et, merci le cours du matin car Alain comprend ce qu’il y a appris, que la fille est toute aussi excitée comme le montrent ses lèvres vaginales humides et gonflées de désirs. Mais Alain détourne rapidement la tête, à contrecœur, car il ne sait pas quoi faire et il a absolument besoin de l'exemple d'Aphrodite MDE pour ne pas faire une bêtise qu'il aurait faite sans aucun doute. Mais Monsieur Walter s'éloigne et disparait…
(A suivre...)