Alain et sa jeune voisine
Récit érotique écrit par Alnicabe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2019 dans la catégorie Plus on est
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Alain et sa jeune voisine
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Fin février, il fait froid, il neige, Alain 57 ans, veuf, emménage dans son nouvel appartement. Il a choisi, cette petite résidence, pour Sa tranquillité, sa piscine, et tous les commerces autour.
Il a vu aussi, lors de ses visites (avant l'achat) que les résidents étaient en majorité de jeunes couples avec des enfants.
D'ailleurs, il vient de faire la connaissance de ses voisins, Lauriane et David. Ils ont une petite fille de six mois Léa.
Ils ont la trentaine, elle 163 cm pour 54kg, les cheveux noirs coupés à la garçon, un visage éclairé par de grands yeux verts, une bouche aux lèvres bien dessinées, un sourire éclatant.
De jolis seins bien ronds et bien fermes. Les hanches rondes, des fesses légèrement callipyges, des jambes fines et musclées, souvent misent en valeur par de légers talons. Elle a l'air timide est réservée. Alain adore ce genre de femmes. David, 175cm , 70 kg, sportif, et avenant. En résumé des voisins sympas.
Les semaines passent, Alain s'installe, il connaît un peu mieux ses voisins, les 2 hommes se sont rendus quelques services. Alain aimerait bien rencontrer plus souvent Lauriane. Il attend l'arrivée des beaux jours et l'ouverture de la piscine avec impatience, pour faire plus de connaissances et pour pouvoir apprécier la plastique de ses voisines.
Mi-mai, il est 23h, Alain profite de la douceur du soir pour lire nu sur sa terrasse. La sonnette de la porte d'entrée retenti.
Il attrape son peignoir et se dirige vers la porte. Il a la surprise de trouver Lauriane, toute affoléeLauriane : bonsoir Alain, je suis désolée de vous déranger à cette là, mais David à très mal au ventre, je pense qu'il doit aller à l'hôpital, mais il ne peut pas conduire, on ne peut pas laisser Léa seule, mes parents sont en vacances.
Après ce flux de paroles, elle fond en larme.
Alain : (la prenant par les épaules) : ok pas d'affolement. Vous allez emmener David aux urgences, et moi je vais rester vers Léa, qui dort de toute façon. Si elle se réveille je lui ferai un câlin. Elle me connaît, aller laissez-moi 1 minute, je me change et j'arrive. Allez-vous préparer.
Une minute plus tard, il retrouve le couple chez eux, ils échangent leur numéro de tel, elle lui donne quelques conseils, pour le cas où la petite se réveillerait. Il reste avec David le temps que Lauriane sorte la voiture du garage. Il les regarda partir en les rassurants par des paroles apaisantes, puis remonta faire la nounou. Avant d'essayer de dormir, il fit le tour de l'appartement ouvrit par simple curiosité quelques tiroirs, dans la chambre à coucher. Il tomba sans grande surprise sur 3 godes, des boules de geisha.
Quand Lauriane, rentra vers 5h du matin, tout était calme dans la maison. Alain dormait sur le canapé, avec la petite Léa, dormant elle aussi sur son ventre. Elle sourit, fit une photo, et alla se coucher.
A 7h30 le bébé se réveillât, ainsi que Alain, qui eut l'agréable surprise de voir la maman, sortir de sa chambre, simplement vêtue d'une chemise très courte, et dont les boutons mal attachés laissaient apparaître des seins, qui attiraient le regard du voisin.
Alain (souriant) vous êtes là, ça fait longtemps ?
Lauriane (essayant de se couvrir, et prenant la petite dans ses bras) : depuis 5h mais vous étiez tellement mignon, tous les 2, et vous dormiez tellement bien, que je n'ai pas voulu vous réveiller d'ailleurs j'ai fait une photo.
Alain : la petite c'est réveillé vers 2h30, elle pleurait car elle était toute mouillée. Alors je me suis rappe-lé comment je faisais avec mes fils.
Je l'ai changé, elle s'est endormie sur moi, je n'ai pas osé la remettre dans son lit, alors nous avons fini la nuit ensembles sur le canapé.
Lauriane : vous êtes adorable, je ne sais pas comment nous pourrons vous remercierAlain : pas besoin de me remercier, et ce que vous m'avez montré tout de suite, est déjà un très beau cadeauLauriane (rougissante) : oh depuis la naissance de la petite, il n'y a plus grand-chose de beau à voir.
Alain (changeant de conversation) et David ?
Lauriane : eh bien comme je vous l'ai dit vers minuit, il a fait une crise d'appendicite, il doit être, en ce moment sur le billard et ensuite 1 semaine de clinique, plus 2 semaines de convalescence à la maison.
Alain : super, si vous avez besoin que je garde de nouveau la demoiselle n'hésitez pas, la nuit comme le jour. Et si vous avez un petit coup de mou, je suis là aussi pour vous. Ok ?
Et il se penche pour faire un bisou sur le front de la petite, au même moment sa mère baisse la tête pour elle aussi faire un bisou à sa fille, et leurs lèvres se touchent. Ils se reculent, s'excusent mutuellement, et Alain sort en riant.
Après une matinée de repos, et avoir pris de nouvelles (bonnes) de son voisin Alain profite de sa terrasse. Il entend Léa gazouiller, et rire avec sa maman. Après s'être assoupi quelques instants, il se réveille, n'entends plus rien, par curiosité et voyeurisme, il monte, sur le coin de sa chaise longue, et à travers un léger espace dans les feuillages, il a une vue presque complète sur la terrasse des voisins.
D'abord il voit la petite fille endormie, sur un matelas, bien à l'ombre. En se tournant légèrement, il aperçoit sa maman, de profile, elle est allongée sur un transat, les yeux fermés. Elle porte la même chemise d'homme que ce matin, mais là elle est ouverte. D'une main elle se caresse les seins pendant que l'autre effleure son pubis à travers un petite culotte blanche en coton. Alain est ravi d'un tel spectacle. Tout à coup il décide de filmer l scène, il va vite chercher son smart phone. Quand il revient, la situation a évolué, Lauriane a passé sa main droite sous l'élastique de la culotte, et dans la main gauche elle tient un gode, qu'elle suce avec application. Alain bande comme un taureau. Il voit la jeune femme, écarter les cuisses et présenter, le sex-toy à l'entrée de son vagin. il glisse sous l'élastique et s'enfonce sans difficulté dans l'intimité de Lauriane qui soupir d'aise. Tenant le jouet à deux mains, elle commence des va et vient de plus en plus rapides. Il voit le pieux rentrer et sortir, de plus en plus vite. Elle gémit doucement, les yeux fermés les lèvres pincées. Dans un dernier sursaut, elle se cambre, et enfonce l'objet de son plaisir, resserre les jambes et jouit dans un râle roque.
Après avoir repris ses esprits, elle sort doucement le godemichet de son corps, le porte à ses lèvres. Elle l'embrasse délicatement, avant de le lécher, pour récolter et savourer sa mouille,tout en se massant les seins.
Alain est fou de joie, il a tout filmé et il à jouit intensément dans son slip. Il se dit qu'il va pouvoir aborder certains sujets avec sa charmante voisine.
Les jours s'écoulent lentement Alain pense et regarde souvent la vidéo de Lauriane. Il a très envie d'elle, de toucher se corps souple, cette peau soyeuse. Il se dit qu'il faut qu'il fasse vite avant que David ne revienne.
C'est David qui va lui donner l'occasion de passer à l'acte. Ce matin en lui rendant visite :David : désolé de te demander ça, mais est-ce que tu pourrais accompagner Lauriane en course, elle à plein de choses relativement lourdes à acheter et à porter, et avec la petite ce n'est pas très facile.
Et en plus elle n'osera pas te demander pour ne pas te déranger. Et d'habitude c'est moi qui le faitAlain : aucun problème, il suffit qu'elle me dise quand elle souhaite que nous allions en course.
David : je lui en parle14h, la sonnette retentit, Alain va ouvrir, c'est Lauriane, elle porte une robe en jean, courte, qui s'attache, avec des boutons pressions sur le devant.
Alain : bonjour charmante voisine, on va en course, je suis prêtLauriane : bonjour Alain, non, j'ai fait les courses tout à l'heureAlain : mais il fallait m'appeler, je vous aurais accompagné, David m'a dit qu'il y avait des choses lourdes.
Lauriane : je me suis débrouillée, mais ici, j'ai besoin de vous pour tout remonter. Je profite que Léa fasse la sieste, et à deux elle ne restera pas longtemps seuleAlain (prenant son téléphone et ses clefs) alors allons y vite.
Dans l'ascenseur, relativement étroit ils ne parlent pas. Il s'est placé volontairement derrière elle, pour avoir une vue plongeante sur son décolleté. Il a là très heureuse surprise de voir que ses seins sont libres sou la robe. Il commence à bander. Il s'approche de la jeune femme, s'arrange pour que son bras frôle son bras. Elle ne réagit pas. Ils arrivent aux garages trop tard. Arrivé à la voiture, Alain est content, car vu le volume à remonter, il se dit qu'ils vont devoir faire plusieurs voyages.
Lauriane est confuse, le bras d'Alain contre son bras, la perturbé. L'a-t-il fait exprès ? Ou sans arrière-pensée ?
L"ascenseur est presque plein, ils vont devoir être proche. Alain s'en réjouit, Lauriane est soucieuse. Au moment où la porte va se refermer, un voisin, se précipite et rentre en les bousculant, les obligeant à être , l'un contre l'autre, Lauriane face au mur, Alain de face contre elle, et l'intrus leur tournant le dos, face à la porte.
Le voisin : bonjour, quel étageLauriane et Alain (ensembles) : le dernierLe voisin : moi avant dernier, mais je dois m'arrêter au rez de chaussé et ensuite au 3ème.
Les portes se referment, Alain se dit c'est maintenant ou jamais. Sans s'occuper du voisin qui leur tourne le dos, il se serre un peu plus contre sa jolie voisine. Il sent qu'elle sursaute et se raidie. Mais elle ne dit rien. Il passe son bras droit sur son ventre, remonte rapidement sur les seins. il les malaxe à travers le tissu de la petite robe.
Rez de chaussé, arrêtLe voisin : je bloque la porte je vais récupérer mon courrierAlain (coller contre Lauriane) : prenez votre temps nous ne sommes pas pressésLauriane (une foi le voisin sorti) mais ça ne va pas, vous allez arrêter immédiatement, je vais crier.
Alain (la main toujours sur son sein) vas y fait un scandaleLe voisin (reprenant sa place) ça va ? je n'ai pas été trop long, bon encore 2 arrêts et vous serez arrivés.
Délicatement Alain fait sauter une pression, et glisse sa main, dès qu'il touche la peau douce du sein, il se met à bander. Lauriane sursaute et se raidit. Sa tête dit non, elle voudrait se débattre, elle essaie mollement de se dégager. Mais elle a peur que le voisin remarque quelque chose. Elle sent les doigts passer sous le téton, elle frissonne, se mord les lèvres. Alain lentement poursuit son exploration. Il adore, coller contre ce corps jeune, il sait, qu'elle sent sont sexe tendu contre ses reins. Il remonte doucement, ses doigts il est agréablement surpris de constater que le téton est tout dure, il le pince le titille.
Le voisin : 2eme arrêt, je donne le journal à Mme Martin et j'arrive.
Alain : alors ma coquine on tu ne dit rien, tu aimes ça te faire peloter dans un ascenseur.
Lauriane : non je n'aime pas du tout, mais je ne veux pas faire de scandale, en plus je pense que les gens diraient qu'il n'y a pas de fumée sans feu. Allé arrêtez s'il vous plait.
Alain : j'ai trop envie de toi, tu le sens, j'arrête si tu me laisses te caresser ton minou tout lisse jusqu'à notre étage Lauriane : (surprise) : comment vous savez ?
le voisin (revenant) : dernière ligne droite la main gauche d'Alain, descend le long du corps souple, passe sur le ventre, fait sauter quelques pressions, et glisse vers le pubis. Très vite, il écarte l'élastique, et son majeur, vient se poser sur le clitoris qu'il masse délicatement. Il sent la jeune femme se cambrer sous la caresse.
le voisin : je suis arrivé bonne fin de journée.
A peine l'ascenseur reparti, Alain s'écarte, retourne Lauriane, qui ne réagit pas appuyée contre la paroi. Il tire sur les 2 côtés de la robe, qui s'ouvre. Il lui arrache sa culotte et lui met la main à la chatte. Il constate que le sexe est très très humide.
Lauriane (avant qu'il aille plus loin) : non pas ici,Elle le bouscule, pousse sur le palier, les colis, ouvre la porte, de l'appartement, sans ménagement il la pousse à l'intérieur, elle est complètement nue, sa robe a glissé, elle veut se retourner, il l'en empêche, il l'entraine dans la cuisine, l'allonge face contre table.
Elle essaye à nouveau de se retourner. Mais il l'a maintien d'une main, pendant qu'il se dégrafe avec l'autre main. Il sort son sexe, et le guide vers la chatte humide de la jeune femme. Il n'a aucun mal à la pénétrer, il s'enfonce en elle, brutalement. Sous le choc elle essaye de se redresser, mais s'empale de plus belle sur le sexe. Alain lui empoigne les hanches et la lime à grands coups de reins puissants. Elle gémit, se mord la main. pour ne pas crier.
Il va de plus ne plus vite, de plus en plus fort. Leurs plaisirs montent. Au moment ou il va jouir,Lauriane (dans un sursaut de lucidité) n'éjacule pas en moiMais il est trop tard dans un cri libérateur, envoie de grands jets chauds, dans la chatte en feuLauriane jouit elle aussi très fort, avant de se reprendreLauriane (en colère) : salaud je t'ai demandé de ne pas te vider en moiAlain (un peu géné) désolé mais tu me l'as dit un peu tardLauriane (au bord des larmes) je ne voulais pas tromper David, il est le seul à avoir le droit de jouir en moiAlain : trempé comme tu étais trempée tu ne vas pas me dire que tu n'vais pas envie ?
Lauriane ; je ne sais plus, Alain (la prenant par les épaule et l'attirant à lui) moi je saisEt sa bouche se colle à la sienne, sa langue la pénètre, elle répond favorablement, leurs salives se mélangent. Ce baiser fougueux et le corps doux et ferme contre le sien, redonne de la vigueur à Alain.
Il s'écarte légèrement, leurs lèvres se séparent, elle le regarde surprise. Elle comprend vite quand il exerce une pression sur ses épaules. Elle se laisse faire, descend le long de son corps, et gobe le sexe tendu, encore plein de sperme et de mouille de leur étreinte. Elle commence sa fellation, quand la petite Cloé se met à pleurer. Lauriane entendant sa fille pleurer, interrompt sa pipe, se lève en ramassant sa robe, et a chercher la petite. Quand elle revient, Alain fini juste de se rhabiller.
Alain : (se retournant) : je vais chercher le reste des courses, nous finirons notre conversation plus tardUn peu plus tard Lauriane téléphone à Alain, pour lui dire, qu'elle a beaucoup aimé leurs ébats,mais qu'ils ne pouvaient pas continuer, que David allait rentrer, et que tout devait recommencer comme avant.
Alain, ne répond pas, il demande simplement à la jeune femme de passer le voir dès qu'elle aura un instant. Lauriane, se présenta chez Alain avec la petite Léa, elle pensait qu'il ne tenterait rien si la petite était là.
Il lui ouvrit avec un grand sourire, fit un bisou à l'enfant, et il se dirigea vers le salon, ou la télévision était allumée.
En pénétrant dans la pièce Lauriane eu un mouvement de recul, le regard horrifié. Elle se voyait sur l'écran, le corps découvert, les cuisses écartées en train de se goder, sur la terrasse.
Lauriane : (en colère les yeux plein de larmes) ou as-tu eu ça ?
Alain : je t'ai filmé l'autre jour, tu es très belle.
Lauriane : je suppose que tu vas me faire chanterAlain : je n'aime pas ce terme, bien que tu chantes très bien quand tu jouis. J'espère seulement que grâce à ce petit film, qui pour l'instant est chez moi, tu ne pourras pas me refuser quelques faveurs. Mais tu sais à mon âge, j'ai peu de besoins.
Lauriane : (retenant ses larmes) : tu es un salaud, si je refuse tu n'oseras jamais l'envoyer à mon mari ni.....
Alain (lui coupant la parole) : tu sais je suis mauvais en informatique, je peux par inadvertance l'envoyer à nos voisins, ou le mettre sur un site érotique, et dire à ton mari en douce, de regarder.
Lauriane (posant la petite par terre et s'approchant en déboutonnant son chemisier), que veux-tu que je te fasse pour oublier tout ça ?
Alain (la repoussant délicatement) : rien maintenant je te dirai en temps et en heure.
Lauriane commençait par penser, qu'Alain l'avait oublié. Depuis leur dernière tête à tête, ils s'étaient revus, avec ou sans David, chez elle ou chez lui, il n'avait pas ré abordé le sujet.
Un jour il lui fait un SMS, lui demandant de passer rapidement.
Elle se dit la petite dort, il veut se vider rapidement, elle se met nue sous son peignoir, et va sonner, chez AlainIl lui ouvre, la prend par la main, et l'emmène vers l'ordinateur. Lui demande d'ouvrir un site érotique Canadien. Elle est inquiète, elle craint le pire. Son inquiétude était fondée, elle se voit tout à coup sur l'écran dans une position sans équivoque. Elle éteintLauriane (baissant la tête) que veux-tu ?
Alain : que tu viennes ici cet après-midi, je sais que David, est sur Paris, qu'il ne va pas rentrer tôtLauriane : tu sais il y a la petite je ne pourrai pas rester trop longtempsAlain : tu te débrouilles, tu la fais garder, mais je te veux ici de 14h à minimum 18hLauriane : maisAlain (la coupant sèchement) : tu as vu la vidéo, je peux la mettre sur n'importe quel site, penses à ton mari, ta réputationLauriane (tournant les talons) je serai làAlain : parure, chemisier, jupe courte, bas et talons a plus14h10 Lauriane rentre sans frapper chez Alain, les talons donnent à ses jambes gainées de bas noir, un galbe envoûtant, mettant en valeur sa chute de reins. Sous le chemisier blanc transparent, on distingue la rondeur de ses seins.
Alain : ayant entendu son arrivée (je suis dans la chambre)Elle stoppe sur le seuil de la porte, l'air effrayé. Sur le lit et dans un fauteuil, ils sont trois hommes nus, qui la regardent avec les yeux d'un loup qui va se taper un agneau. Elle les détaille en même temps qu'Alain fait les présentations.
Michel elle pense 70 ans, 170, 70kg, un peu ridé, une crinière blanche, un visage maigre, avec de grands yeux bleus, un sexe qui paraît long mais pas très épais.
Robert elle pense 65 ans 185, 110kg, chauve, un visage avenant avec des yeux marron foncé, un sexe épais au repos.
Sans réfléchir elle se retourne et par en direction de la sortie.
Alain (la rattrapant par le bras) tu vas où ? tu fais quoi ?
Lauriane (se dégageant) tu ne penses pas que je vais me laisser baiser par vous trois ?
Alain (lui prenant le bras pour la ramener dans la pièce) allons allons, ne parle pas comme ça, pense à ta fille, à ton mari.
Dans la chambre, il la lâcha, la laissant sous le regard, avide et gourmand de ses deux amis.
Les voyant se rapprocher elle ferma les yeux, ne voulut penser à rien, se disant que c'était pour son mari, sa fille.
Elle sursauta quand elle senti, une caresse le long de son genou. Elle essayait de garder les jambes serrées, mais les doigts, se faisaient pressants. Tout à coup, des bras l'entourèrent, un corps se serra contre le sien en la tirant en arrière. Croyant qu'elle allait tomber, elle fit un pas en arrière, ouvrant ainsi ses cuisses au passage de la main, qui délicatement vint se poser sur son sexe.
Alain : (qui était derrière elle murmurant et l'embrassant dans le cou) laisses toi faire, tu vas voir ils sont doux et câlins, donnes toi, ils sont cleans Au même moment, la main passait sous l'élastique de la culotte, Alain défaisait les boutons du chemisier et des lèvres chaudes et humides venaient se poser sur les siennes.
Elle résiste, ferme très fort la bouche, essaie de se dérober. Mais Alain qui a réussi à ouvrir son chemisier la tient ferment dans ses bras. Robert lui empoigne la tête à 2 mains, pendant que sa langue force l'entrée de sa bouche, mais reste coincée par les dents serrées (comme un enfant qui refuse de manger sa soupe). Michel a genou a fait glisser sa jupe et lui a arraché sa culotte, il a posé sa bouche sur son sexe et commence à la lécher, en lui enfonçant deux doigts dans le vagin.
Elle ne se débat plus, elle est presque nue (elle ne porte plus que ses bas). Elle garde les dents serrées, elle sent le sexe d'Alain entre ses fesses, pendant qu'il lui malaxe les seins.
Michel (décollant légèrement les lèvres du sexe) : les gars elle commence à aimer ça, elle mouille la coquine. Il attaqua le petit bouton rose à grands coups de langue, tout en continuant de la limer vigoureusement avec ses doigtsLa jeune femme voulu protester, mais au moment, ou elle ouvrit la bouche pour parler, la langue de Robert s'engouffra et vint s'enrouler autour de la sienne.
Elle sentait aussi la pression du sexe d'Alain sur son petit trou. Elle se recommença à se débattre, mais les trois hommes étaient beaucoup trop fort. Et même si sa tête disait non, son ventre commençait à lui dire oui. C'était trop, être touchée, embrassée, caressée, par trois vieux, la dégoûtait. Mais au plus profond d'elle-même, le plaisir et l'envie montait. Quand Alain, la jeta sur le lit, elle ne chercha pas à s'enfuir, elle resta allongée sur le dos, les cuisses légèrement ouvertes.
Elle fut vite rejointe par les 3 hommes. Une bouche s'écrasa sur la sienne, une langue chaude vint se coller à la sienne. Des mains prennent possession de son corps. On lui écarte les cuisses on lui caresse le sexe, et le clitoris, elle aime beaucoup. Elle tend la main, constate, que c'est un gland, tenu par une main ferme, qui lui donne ce doux plaisir.Son corps a gagné, sa tête a perdu. Elle qui était dégoûtée à l'idée d'être touchée par un homme plus vieux de 10 ans plus qu'elle, savourait les caresses de 3 hommes qui pourraient presque être ses grands pères. Elle se sentait partir dans la débauche. Elle aspira la langue de Robert, leurs salives se mélangèrent. Elle ne savait que faire, que dire, devait elle attendre, se laisser faire, ou demander, faire ressortir ses envies, ses fantasmes.
Alain : (la sortant de sa réflexion) Robert mets-toi sur le dos, Loriane assieds-toi sur lui.
Loriane (hésitante) : mais je n'ai ???.
Alain (ordonnant) empale toi sur sa bite et penche-toi en avant, Michel derrièreLoriane (soupirant de plaisir en glissant sur le gros sexe tendu) il va faire quoi derrière ?
Michel qui avait compris, commençais à lui lécher le petit trou, à l?enduire de salive, Loriane (elle aussi venait de comprendre) non pas ça, pas çaRobert lui tira sur les bras pour qu'elle s'allonge sur lui, dans le même temps d'un grand coup de reins il s'enfonça en elle, et sa bouche se colla à la sienne.
Alain la retenait par les épaules, il fit un signe à Michel, qui lentement pris possession de ses fesses. Elle essayait de se débattre, la douleur était atténuée par le sexe de Robert dans sa chatte.
Michel ne bougeait plus, il était rentré entièrement, ses couilles touchaient les fesses de la jeune femme, qui attendait. Alain lui releva la tête, et lui présenta son sexe à sucer. Sans réfléchir elle entrouvrit les lèvres et aspira le sexe tendu.
Alain (en soupirant d'aise) : eh bien ma cochonne te faire remplir les trois trous en même temps, tu es une sacrée.
Ce fut le point de départ. Chacun se mis à la limer, d'abord doucement, puis de plus en plus fort C'était tellement intense qu'elle ne savait pas d'où venait son plaisir. Elle eu un premier orgasme par le sexe quand Robert jouit dans sa chatte. Elle ressentit une sensation très agréable, quand le sperme de Michel éclaboussa ses intestins. Ils étaient encore en elle, quand Alain lui tenant la tête lui explosa à grands jets dans la bouche. Elle ne put tout avaler, et une grande partie coula de ses lèvres. Elle avait les larmes aux yeux, son maquillage coulait.
Chacun se retira, et resta allongé sur le lit, à reprendre son souffle.
Loriane sortit la première de sa torpeur, elle se dirigea vers la salle de bain, et pris une bonne douche, elle était couverte de sperme. En sortant enroulée dans une serviette qui couvrait à peine son joli corps, elle tomba nez à nez avec Michel, qui la pris dans ses bras, la souleva, et la porta dans la salle d'eau, ou il la posa sur le rebord du lavabo.
Loriane : (essayant de rattraper la serviette tombée) mais que faites-vous, vous avez eu ce que vous vouliezMichel (souriant et se collant contre elle) : je n'ai pas eu ta chatte, ni tes lèvres.
Elle s'aperçût à cet instant, qu'elle avait les cuisses ouvertes, que le gland de Michel, était coller à ses grandes lèvres. Avant qu'elle ne réagisse, il la prit par la nuque, écrasa sa bouche avec la sienne, colla sa poitrine contre ses seins, et l'a pénétra d'un coups sec.
En voulant se débattre, elle écarta encore plus les jambes, et il rentra au plus profond de son vagin. Son pubis se colla au clitoris, il était encore très sensible, et elle ne put réprimer un soupir. Michel sentant l'humidité revenir, la lima de plus en plus fort. Très vite elle se cramponna à lui, frottait son ventre contre celui de son amant. Leurs langues et leurs salives, se mélangeaient, dans un baiser fougueux. Ils jouirent ensembles, dans un dernier sursaut. Ils finirent leur baiser, Michel se retira lentement. Il regardait son sexe tout gluant de sperme et de mouille sortir, vite suivit par le trop plein de sperme qui coulait dans la raie de la jeune femme qui n'avait pas bougé.
Avec un sourire de coquine, elle passa ses doigts sur sa chatte, récupéra du liquide, et les donna à lécher à Michel qui hésita un instant avant de les prendre en bouche pour les sucer.
Michel se mis à genou, et entrepris de lécher le sexe dégoulinant. Elle aimait cette langue douce, qui pénétrait sa moule, le plus profond possible, revenait s'attardait sur son petit bouton, puis refaisait le même chemin. Après plusieurs passages, elle jouit doucement. Il se releva l'embrassa, lui ouvrit la porte, pour qu'elle retourne dans la chambre. Robert et Alain, attendaient allongés sur le lit, bandant tous les deux très fort. Elle tout de suite, que l'après midi n'était pas finie. Elle vint s'allonger entre les 2 hommes, qui prirent possession de son corps.
Durant les 3 heures suivantes, chacun de ses partenaires, jouit dans sa bouche, sa chatte, et son petit trou. Elle était épuisée, elle ne comptait plus les jouissances et les orgasmes.
Vers 18 heures, elle put rentrer chez elle, elle prit un bon bain, en sortant, son mari était là, il la regardait avec envie. Elle lui sourit, se dirigeant vers leur chambre elle pensait (je vais le vider rapidement et ensuite dodo.
Fin février, il fait froid, il neige, Alain 57 ans, veuf, emménage dans son nouvel appartement. Il a choisi, cette petite résidence, pour Sa tranquillité, sa piscine, et tous les commerces autour.
Il a vu aussi, lors de ses visites (avant l'achat) que les résidents étaient en majorité de jeunes couples avec des enfants.
D'ailleurs, il vient de faire la connaissance de ses voisins, Lauriane et David. Ils ont une petite fille de six mois Léa.
Ils ont la trentaine, elle 163 cm pour 54kg, les cheveux noirs coupés à la garçon, un visage éclairé par de grands yeux verts, une bouche aux lèvres bien dessinées, un sourire éclatant.
De jolis seins bien ronds et bien fermes. Les hanches rondes, des fesses légèrement callipyges, des jambes fines et musclées, souvent misent en valeur par de légers talons. Elle a l'air timide est réservée. Alain adore ce genre de femmes. David, 175cm , 70 kg, sportif, et avenant. En résumé des voisins sympas.
Les semaines passent, Alain s'installe, il connaît un peu mieux ses voisins, les 2 hommes se sont rendus quelques services. Alain aimerait bien rencontrer plus souvent Lauriane. Il attend l'arrivée des beaux jours et l'ouverture de la piscine avec impatience, pour faire plus de connaissances et pour pouvoir apprécier la plastique de ses voisines.
Mi-mai, il est 23h, Alain profite de la douceur du soir pour lire nu sur sa terrasse. La sonnette de la porte d'entrée retenti.
Il attrape son peignoir et se dirige vers la porte. Il a la surprise de trouver Lauriane, toute affoléeLauriane : bonsoir Alain, je suis désolée de vous déranger à cette là, mais David à très mal au ventre, je pense qu'il doit aller à l'hôpital, mais il ne peut pas conduire, on ne peut pas laisser Léa seule, mes parents sont en vacances.
Après ce flux de paroles, elle fond en larme.
Alain : (la prenant par les épaules) : ok pas d'affolement. Vous allez emmener David aux urgences, et moi je vais rester vers Léa, qui dort de toute façon. Si elle se réveille je lui ferai un câlin. Elle me connaît, aller laissez-moi 1 minute, je me change et j'arrive. Allez-vous préparer.
Une minute plus tard, il retrouve le couple chez eux, ils échangent leur numéro de tel, elle lui donne quelques conseils, pour le cas où la petite se réveillerait. Il reste avec David le temps que Lauriane sorte la voiture du garage. Il les regarda partir en les rassurants par des paroles apaisantes, puis remonta faire la nounou. Avant d'essayer de dormir, il fit le tour de l'appartement ouvrit par simple curiosité quelques tiroirs, dans la chambre à coucher. Il tomba sans grande surprise sur 3 godes, des boules de geisha.
Quand Lauriane, rentra vers 5h du matin, tout était calme dans la maison. Alain dormait sur le canapé, avec la petite Léa, dormant elle aussi sur son ventre. Elle sourit, fit une photo, et alla se coucher.
A 7h30 le bébé se réveillât, ainsi que Alain, qui eut l'agréable surprise de voir la maman, sortir de sa chambre, simplement vêtue d'une chemise très courte, et dont les boutons mal attachés laissaient apparaître des seins, qui attiraient le regard du voisin.
Alain (souriant) vous êtes là, ça fait longtemps ?
Lauriane (essayant de se couvrir, et prenant la petite dans ses bras) : depuis 5h mais vous étiez tellement mignon, tous les 2, et vous dormiez tellement bien, que je n'ai pas voulu vous réveiller d'ailleurs j'ai fait une photo.
Alain : la petite c'est réveillé vers 2h30, elle pleurait car elle était toute mouillée. Alors je me suis rappe-lé comment je faisais avec mes fils.
Je l'ai changé, elle s'est endormie sur moi, je n'ai pas osé la remettre dans son lit, alors nous avons fini la nuit ensembles sur le canapé.
Lauriane : vous êtes adorable, je ne sais pas comment nous pourrons vous remercierAlain : pas besoin de me remercier, et ce que vous m'avez montré tout de suite, est déjà un très beau cadeauLauriane (rougissante) : oh depuis la naissance de la petite, il n'y a plus grand-chose de beau à voir.
Alain (changeant de conversation) et David ?
Lauriane : eh bien comme je vous l'ai dit vers minuit, il a fait une crise d'appendicite, il doit être, en ce moment sur le billard et ensuite 1 semaine de clinique, plus 2 semaines de convalescence à la maison.
Alain : super, si vous avez besoin que je garde de nouveau la demoiselle n'hésitez pas, la nuit comme le jour. Et si vous avez un petit coup de mou, je suis là aussi pour vous. Ok ?
Et il se penche pour faire un bisou sur le front de la petite, au même moment sa mère baisse la tête pour elle aussi faire un bisou à sa fille, et leurs lèvres se touchent. Ils se reculent, s'excusent mutuellement, et Alain sort en riant.
Après une matinée de repos, et avoir pris de nouvelles (bonnes) de son voisin Alain profite de sa terrasse. Il entend Léa gazouiller, et rire avec sa maman. Après s'être assoupi quelques instants, il se réveille, n'entends plus rien, par curiosité et voyeurisme, il monte, sur le coin de sa chaise longue, et à travers un léger espace dans les feuillages, il a une vue presque complète sur la terrasse des voisins.
D'abord il voit la petite fille endormie, sur un matelas, bien à l'ombre. En se tournant légèrement, il aperçoit sa maman, de profile, elle est allongée sur un transat, les yeux fermés. Elle porte la même chemise d'homme que ce matin, mais là elle est ouverte. D'une main elle se caresse les seins pendant que l'autre effleure son pubis à travers un petite culotte blanche en coton. Alain est ravi d'un tel spectacle. Tout à coup il décide de filmer l scène, il va vite chercher son smart phone. Quand il revient, la situation a évolué, Lauriane a passé sa main droite sous l'élastique de la culotte, et dans la main gauche elle tient un gode, qu'elle suce avec application. Alain bande comme un taureau. Il voit la jeune femme, écarter les cuisses et présenter, le sex-toy à l'entrée de son vagin. il glisse sous l'élastique et s'enfonce sans difficulté dans l'intimité de Lauriane qui soupir d'aise. Tenant le jouet à deux mains, elle commence des va et vient de plus en plus rapides. Il voit le pieux rentrer et sortir, de plus en plus vite. Elle gémit doucement, les yeux fermés les lèvres pincées. Dans un dernier sursaut, elle se cambre, et enfonce l'objet de son plaisir, resserre les jambes et jouit dans un râle roque.
Après avoir repris ses esprits, elle sort doucement le godemichet de son corps, le porte à ses lèvres. Elle l'embrasse délicatement, avant de le lécher, pour récolter et savourer sa mouille,tout en se massant les seins.
Alain est fou de joie, il a tout filmé et il à jouit intensément dans son slip. Il se dit qu'il va pouvoir aborder certains sujets avec sa charmante voisine.
Les jours s'écoulent lentement Alain pense et regarde souvent la vidéo de Lauriane. Il a très envie d'elle, de toucher se corps souple, cette peau soyeuse. Il se dit qu'il faut qu'il fasse vite avant que David ne revienne.
C'est David qui va lui donner l'occasion de passer à l'acte. Ce matin en lui rendant visite :David : désolé de te demander ça, mais est-ce que tu pourrais accompagner Lauriane en course, elle à plein de choses relativement lourdes à acheter et à porter, et avec la petite ce n'est pas très facile.
Et en plus elle n'osera pas te demander pour ne pas te déranger. Et d'habitude c'est moi qui le faitAlain : aucun problème, il suffit qu'elle me dise quand elle souhaite que nous allions en course.
David : je lui en parle14h, la sonnette retentit, Alain va ouvrir, c'est Lauriane, elle porte une robe en jean, courte, qui s'attache, avec des boutons pressions sur le devant.
Alain : bonjour charmante voisine, on va en course, je suis prêtLauriane : bonjour Alain, non, j'ai fait les courses tout à l'heureAlain : mais il fallait m'appeler, je vous aurais accompagné, David m'a dit qu'il y avait des choses lourdes.
Lauriane : je me suis débrouillée, mais ici, j'ai besoin de vous pour tout remonter. Je profite que Léa fasse la sieste, et à deux elle ne restera pas longtemps seuleAlain (prenant son téléphone et ses clefs) alors allons y vite.
Dans l'ascenseur, relativement étroit ils ne parlent pas. Il s'est placé volontairement derrière elle, pour avoir une vue plongeante sur son décolleté. Il a là très heureuse surprise de voir que ses seins sont libres sou la robe. Il commence à bander. Il s'approche de la jeune femme, s'arrange pour que son bras frôle son bras. Elle ne réagit pas. Ils arrivent aux garages trop tard. Arrivé à la voiture, Alain est content, car vu le volume à remonter, il se dit qu'ils vont devoir faire plusieurs voyages.
Lauriane est confuse, le bras d'Alain contre son bras, la perturbé. L'a-t-il fait exprès ? Ou sans arrière-pensée ?
L"ascenseur est presque plein, ils vont devoir être proche. Alain s'en réjouit, Lauriane est soucieuse. Au moment où la porte va se refermer, un voisin, se précipite et rentre en les bousculant, les obligeant à être , l'un contre l'autre, Lauriane face au mur, Alain de face contre elle, et l'intrus leur tournant le dos, face à la porte.
Le voisin : bonjour, quel étageLauriane et Alain (ensembles) : le dernierLe voisin : moi avant dernier, mais je dois m'arrêter au rez de chaussé et ensuite au 3ème.
Les portes se referment, Alain se dit c'est maintenant ou jamais. Sans s'occuper du voisin qui leur tourne le dos, il se serre un peu plus contre sa jolie voisine. Il sent qu'elle sursaute et se raidie. Mais elle ne dit rien. Il passe son bras droit sur son ventre, remonte rapidement sur les seins. il les malaxe à travers le tissu de la petite robe.
Rez de chaussé, arrêtLe voisin : je bloque la porte je vais récupérer mon courrierAlain (coller contre Lauriane) : prenez votre temps nous ne sommes pas pressésLauriane (une foi le voisin sorti) mais ça ne va pas, vous allez arrêter immédiatement, je vais crier.
Alain (la main toujours sur son sein) vas y fait un scandaleLe voisin (reprenant sa place) ça va ? je n'ai pas été trop long, bon encore 2 arrêts et vous serez arrivés.
Délicatement Alain fait sauter une pression, et glisse sa main, dès qu'il touche la peau douce du sein, il se met à bander. Lauriane sursaute et se raidit. Sa tête dit non, elle voudrait se débattre, elle essaie mollement de se dégager. Mais elle a peur que le voisin remarque quelque chose. Elle sent les doigts passer sous le téton, elle frissonne, se mord les lèvres. Alain lentement poursuit son exploration. Il adore, coller contre ce corps jeune, il sait, qu'elle sent sont sexe tendu contre ses reins. Il remonte doucement, ses doigts il est agréablement surpris de constater que le téton est tout dure, il le pince le titille.
Le voisin : 2eme arrêt, je donne le journal à Mme Martin et j'arrive.
Alain : alors ma coquine on tu ne dit rien, tu aimes ça te faire peloter dans un ascenseur.
Lauriane : non je n'aime pas du tout, mais je ne veux pas faire de scandale, en plus je pense que les gens diraient qu'il n'y a pas de fumée sans feu. Allé arrêtez s'il vous plait.
Alain : j'ai trop envie de toi, tu le sens, j'arrête si tu me laisses te caresser ton minou tout lisse jusqu'à notre étage Lauriane : (surprise) : comment vous savez ?
le voisin (revenant) : dernière ligne droite la main gauche d'Alain, descend le long du corps souple, passe sur le ventre, fait sauter quelques pressions, et glisse vers le pubis. Très vite, il écarte l'élastique, et son majeur, vient se poser sur le clitoris qu'il masse délicatement. Il sent la jeune femme se cambrer sous la caresse.
le voisin : je suis arrivé bonne fin de journée.
A peine l'ascenseur reparti, Alain s'écarte, retourne Lauriane, qui ne réagit pas appuyée contre la paroi. Il tire sur les 2 côtés de la robe, qui s'ouvre. Il lui arrache sa culotte et lui met la main à la chatte. Il constate que le sexe est très très humide.
Lauriane (avant qu'il aille plus loin) : non pas ici,Elle le bouscule, pousse sur le palier, les colis, ouvre la porte, de l'appartement, sans ménagement il la pousse à l'intérieur, elle est complètement nue, sa robe a glissé, elle veut se retourner, il l'en empêche, il l'entraine dans la cuisine, l'allonge face contre table.
Elle essaye à nouveau de se retourner. Mais il l'a maintien d'une main, pendant qu'il se dégrafe avec l'autre main. Il sort son sexe, et le guide vers la chatte humide de la jeune femme. Il n'a aucun mal à la pénétrer, il s'enfonce en elle, brutalement. Sous le choc elle essaye de se redresser, mais s'empale de plus belle sur le sexe. Alain lui empoigne les hanches et la lime à grands coups de reins puissants. Elle gémit, se mord la main. pour ne pas crier.
Il va de plus ne plus vite, de plus en plus fort. Leurs plaisirs montent. Au moment ou il va jouir,Lauriane (dans un sursaut de lucidité) n'éjacule pas en moiMais il est trop tard dans un cri libérateur, envoie de grands jets chauds, dans la chatte en feuLauriane jouit elle aussi très fort, avant de se reprendreLauriane (en colère) : salaud je t'ai demandé de ne pas te vider en moiAlain (un peu géné) désolé mais tu me l'as dit un peu tardLauriane (au bord des larmes) je ne voulais pas tromper David, il est le seul à avoir le droit de jouir en moiAlain : trempé comme tu étais trempée tu ne vas pas me dire que tu n'vais pas envie ?
Lauriane ; je ne sais plus, Alain (la prenant par les épaule et l'attirant à lui) moi je saisEt sa bouche se colle à la sienne, sa langue la pénètre, elle répond favorablement, leurs salives se mélangent. Ce baiser fougueux et le corps doux et ferme contre le sien, redonne de la vigueur à Alain.
Il s'écarte légèrement, leurs lèvres se séparent, elle le regarde surprise. Elle comprend vite quand il exerce une pression sur ses épaules. Elle se laisse faire, descend le long de son corps, et gobe le sexe tendu, encore plein de sperme et de mouille de leur étreinte. Elle commence sa fellation, quand la petite Cloé se met à pleurer. Lauriane entendant sa fille pleurer, interrompt sa pipe, se lève en ramassant sa robe, et a chercher la petite. Quand elle revient, Alain fini juste de se rhabiller.
Alain : (se retournant) : je vais chercher le reste des courses, nous finirons notre conversation plus tardUn peu plus tard Lauriane téléphone à Alain, pour lui dire, qu'elle a beaucoup aimé leurs ébats,mais qu'ils ne pouvaient pas continuer, que David allait rentrer, et que tout devait recommencer comme avant.
Alain, ne répond pas, il demande simplement à la jeune femme de passer le voir dès qu'elle aura un instant. Lauriane, se présenta chez Alain avec la petite Léa, elle pensait qu'il ne tenterait rien si la petite était là.
Il lui ouvrit avec un grand sourire, fit un bisou à l'enfant, et il se dirigea vers le salon, ou la télévision était allumée.
En pénétrant dans la pièce Lauriane eu un mouvement de recul, le regard horrifié. Elle se voyait sur l'écran, le corps découvert, les cuisses écartées en train de se goder, sur la terrasse.
Lauriane : (en colère les yeux plein de larmes) ou as-tu eu ça ?
Alain : je t'ai filmé l'autre jour, tu es très belle.
Lauriane : je suppose que tu vas me faire chanterAlain : je n'aime pas ce terme, bien que tu chantes très bien quand tu jouis. J'espère seulement que grâce à ce petit film, qui pour l'instant est chez moi, tu ne pourras pas me refuser quelques faveurs. Mais tu sais à mon âge, j'ai peu de besoins.
Lauriane : (retenant ses larmes) : tu es un salaud, si je refuse tu n'oseras jamais l'envoyer à mon mari ni.....
Alain (lui coupant la parole) : tu sais je suis mauvais en informatique, je peux par inadvertance l'envoyer à nos voisins, ou le mettre sur un site érotique, et dire à ton mari en douce, de regarder.
Lauriane (posant la petite par terre et s'approchant en déboutonnant son chemisier), que veux-tu que je te fasse pour oublier tout ça ?
Alain (la repoussant délicatement) : rien maintenant je te dirai en temps et en heure.
Lauriane commençait par penser, qu'Alain l'avait oublié. Depuis leur dernière tête à tête, ils s'étaient revus, avec ou sans David, chez elle ou chez lui, il n'avait pas ré abordé le sujet.
Un jour il lui fait un SMS, lui demandant de passer rapidement.
Elle se dit la petite dort, il veut se vider rapidement, elle se met nue sous son peignoir, et va sonner, chez AlainIl lui ouvre, la prend par la main, et l'emmène vers l'ordinateur. Lui demande d'ouvrir un site érotique Canadien. Elle est inquiète, elle craint le pire. Son inquiétude était fondée, elle se voit tout à coup sur l'écran dans une position sans équivoque. Elle éteintLauriane (baissant la tête) que veux-tu ?
Alain : que tu viennes ici cet après-midi, je sais que David, est sur Paris, qu'il ne va pas rentrer tôtLauriane : tu sais il y a la petite je ne pourrai pas rester trop longtempsAlain : tu te débrouilles, tu la fais garder, mais je te veux ici de 14h à minimum 18hLauriane : maisAlain (la coupant sèchement) : tu as vu la vidéo, je peux la mettre sur n'importe quel site, penses à ton mari, ta réputationLauriane (tournant les talons) je serai làAlain : parure, chemisier, jupe courte, bas et talons a plus14h10 Lauriane rentre sans frapper chez Alain, les talons donnent à ses jambes gainées de bas noir, un galbe envoûtant, mettant en valeur sa chute de reins. Sous le chemisier blanc transparent, on distingue la rondeur de ses seins.
Alain : ayant entendu son arrivée (je suis dans la chambre)Elle stoppe sur le seuil de la porte, l'air effrayé. Sur le lit et dans un fauteuil, ils sont trois hommes nus, qui la regardent avec les yeux d'un loup qui va se taper un agneau. Elle les détaille en même temps qu'Alain fait les présentations.
Michel elle pense 70 ans, 170, 70kg, un peu ridé, une crinière blanche, un visage maigre, avec de grands yeux bleus, un sexe qui paraît long mais pas très épais.
Robert elle pense 65 ans 185, 110kg, chauve, un visage avenant avec des yeux marron foncé, un sexe épais au repos.
Sans réfléchir elle se retourne et par en direction de la sortie.
Alain (la rattrapant par le bras) tu vas où ? tu fais quoi ?
Lauriane (se dégageant) tu ne penses pas que je vais me laisser baiser par vous trois ?
Alain (lui prenant le bras pour la ramener dans la pièce) allons allons, ne parle pas comme ça, pense à ta fille, à ton mari.
Dans la chambre, il la lâcha, la laissant sous le regard, avide et gourmand de ses deux amis.
Les voyant se rapprocher elle ferma les yeux, ne voulut penser à rien, se disant que c'était pour son mari, sa fille.
Elle sursauta quand elle senti, une caresse le long de son genou. Elle essayait de garder les jambes serrées, mais les doigts, se faisaient pressants. Tout à coup, des bras l'entourèrent, un corps se serra contre le sien en la tirant en arrière. Croyant qu'elle allait tomber, elle fit un pas en arrière, ouvrant ainsi ses cuisses au passage de la main, qui délicatement vint se poser sur son sexe.
Alain : (qui était derrière elle murmurant et l'embrassant dans le cou) laisses toi faire, tu vas voir ils sont doux et câlins, donnes toi, ils sont cleans Au même moment, la main passait sous l'élastique de la culotte, Alain défaisait les boutons du chemisier et des lèvres chaudes et humides venaient se poser sur les siennes.
Elle résiste, ferme très fort la bouche, essaie de se dérober. Mais Alain qui a réussi à ouvrir son chemisier la tient ferment dans ses bras. Robert lui empoigne la tête à 2 mains, pendant que sa langue force l'entrée de sa bouche, mais reste coincée par les dents serrées (comme un enfant qui refuse de manger sa soupe). Michel a genou a fait glisser sa jupe et lui a arraché sa culotte, il a posé sa bouche sur son sexe et commence à la lécher, en lui enfonçant deux doigts dans le vagin.
Elle ne se débat plus, elle est presque nue (elle ne porte plus que ses bas). Elle garde les dents serrées, elle sent le sexe d'Alain entre ses fesses, pendant qu'il lui malaxe les seins.
Michel (décollant légèrement les lèvres du sexe) : les gars elle commence à aimer ça, elle mouille la coquine. Il attaqua le petit bouton rose à grands coups de langue, tout en continuant de la limer vigoureusement avec ses doigtsLa jeune femme voulu protester, mais au moment, ou elle ouvrit la bouche pour parler, la langue de Robert s'engouffra et vint s'enrouler autour de la sienne.
Elle sentait aussi la pression du sexe d'Alain sur son petit trou. Elle se recommença à se débattre, mais les trois hommes étaient beaucoup trop fort. Et même si sa tête disait non, son ventre commençait à lui dire oui. C'était trop, être touchée, embrassée, caressée, par trois vieux, la dégoûtait. Mais au plus profond d'elle-même, le plaisir et l'envie montait. Quand Alain, la jeta sur le lit, elle ne chercha pas à s'enfuir, elle resta allongée sur le dos, les cuisses légèrement ouvertes.
Elle fut vite rejointe par les 3 hommes. Une bouche s'écrasa sur la sienne, une langue chaude vint se coller à la sienne. Des mains prennent possession de son corps. On lui écarte les cuisses on lui caresse le sexe, et le clitoris, elle aime beaucoup. Elle tend la main, constate, que c'est un gland, tenu par une main ferme, qui lui donne ce doux plaisir.Son corps a gagné, sa tête a perdu. Elle qui était dégoûtée à l'idée d'être touchée par un homme plus vieux de 10 ans plus qu'elle, savourait les caresses de 3 hommes qui pourraient presque être ses grands pères. Elle se sentait partir dans la débauche. Elle aspira la langue de Robert, leurs salives se mélangèrent. Elle ne savait que faire, que dire, devait elle attendre, se laisser faire, ou demander, faire ressortir ses envies, ses fantasmes.
Alain : (la sortant de sa réflexion) Robert mets-toi sur le dos, Loriane assieds-toi sur lui.
Loriane (hésitante) : mais je n'ai ???.
Alain (ordonnant) empale toi sur sa bite et penche-toi en avant, Michel derrièreLoriane (soupirant de plaisir en glissant sur le gros sexe tendu) il va faire quoi derrière ?
Michel qui avait compris, commençais à lui lécher le petit trou, à l?enduire de salive, Loriane (elle aussi venait de comprendre) non pas ça, pas çaRobert lui tira sur les bras pour qu'elle s'allonge sur lui, dans le même temps d'un grand coup de reins il s'enfonça en elle, et sa bouche se colla à la sienne.
Alain la retenait par les épaules, il fit un signe à Michel, qui lentement pris possession de ses fesses. Elle essayait de se débattre, la douleur était atténuée par le sexe de Robert dans sa chatte.
Michel ne bougeait plus, il était rentré entièrement, ses couilles touchaient les fesses de la jeune femme, qui attendait. Alain lui releva la tête, et lui présenta son sexe à sucer. Sans réfléchir elle entrouvrit les lèvres et aspira le sexe tendu.
Alain (en soupirant d'aise) : eh bien ma cochonne te faire remplir les trois trous en même temps, tu es une sacrée.
Ce fut le point de départ. Chacun se mis à la limer, d'abord doucement, puis de plus en plus fort C'était tellement intense qu'elle ne savait pas d'où venait son plaisir. Elle eu un premier orgasme par le sexe quand Robert jouit dans sa chatte. Elle ressentit une sensation très agréable, quand le sperme de Michel éclaboussa ses intestins. Ils étaient encore en elle, quand Alain lui tenant la tête lui explosa à grands jets dans la bouche. Elle ne put tout avaler, et une grande partie coula de ses lèvres. Elle avait les larmes aux yeux, son maquillage coulait.
Chacun se retira, et resta allongé sur le lit, à reprendre son souffle.
Loriane sortit la première de sa torpeur, elle se dirigea vers la salle de bain, et pris une bonne douche, elle était couverte de sperme. En sortant enroulée dans une serviette qui couvrait à peine son joli corps, elle tomba nez à nez avec Michel, qui la pris dans ses bras, la souleva, et la porta dans la salle d'eau, ou il la posa sur le rebord du lavabo.
Loriane : (essayant de rattraper la serviette tombée) mais que faites-vous, vous avez eu ce que vous vouliezMichel (souriant et se collant contre elle) : je n'ai pas eu ta chatte, ni tes lèvres.
Elle s'aperçût à cet instant, qu'elle avait les cuisses ouvertes, que le gland de Michel, était coller à ses grandes lèvres. Avant qu'elle ne réagisse, il la prit par la nuque, écrasa sa bouche avec la sienne, colla sa poitrine contre ses seins, et l'a pénétra d'un coups sec.
En voulant se débattre, elle écarta encore plus les jambes, et il rentra au plus profond de son vagin. Son pubis se colla au clitoris, il était encore très sensible, et elle ne put réprimer un soupir. Michel sentant l'humidité revenir, la lima de plus en plus fort. Très vite elle se cramponna à lui, frottait son ventre contre celui de son amant. Leurs langues et leurs salives, se mélangeaient, dans un baiser fougueux. Ils jouirent ensembles, dans un dernier sursaut. Ils finirent leur baiser, Michel se retira lentement. Il regardait son sexe tout gluant de sperme et de mouille sortir, vite suivit par le trop plein de sperme qui coulait dans la raie de la jeune femme qui n'avait pas bougé.
Avec un sourire de coquine, elle passa ses doigts sur sa chatte, récupéra du liquide, et les donna à lécher à Michel qui hésita un instant avant de les prendre en bouche pour les sucer.
Michel se mis à genou, et entrepris de lécher le sexe dégoulinant. Elle aimait cette langue douce, qui pénétrait sa moule, le plus profond possible, revenait s'attardait sur son petit bouton, puis refaisait le même chemin. Après plusieurs passages, elle jouit doucement. Il se releva l'embrassa, lui ouvrit la porte, pour qu'elle retourne dans la chambre. Robert et Alain, attendaient allongés sur le lit, bandant tous les deux très fort. Elle tout de suite, que l'après midi n'était pas finie. Elle vint s'allonger entre les 2 hommes, qui prirent possession de son corps.
Durant les 3 heures suivantes, chacun de ses partenaires, jouit dans sa bouche, sa chatte, et son petit trou. Elle était épuisée, elle ne comptait plus les jouissances et les orgasmes.
Vers 18 heures, elle put rentrer chez elle, elle prit un bon bain, en sortant, son mari était là, il la regardait avec envie. Elle lui sourit, se dirigeant vers leur chambre elle pensait (je vais le vider rapidement et ensuite dodo.
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