Albane

- Par l'auteur HDS Clar -
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Auteur couple.
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Récit libertin : Albane Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Albane
Albane
Albane se préparait. Elle était invitée au mariage d’une de ses collègues.
Frédéric, son mari, était parti depuis une quinzaine de jours, pour donner un coup de main à ses parents qui avaient repris un hôtel au Québec, et dans lequel des travaux de remise en état de la décoration s’avéraient nécessaires. Frédéric avait perdu son travail il y a trois mois, victime économique du dépôt de bilan de son entreprise. De ce fait, ayant du temps libre, il avait accepté cette mission familiale, laissant sa femme et ses deux enfants pour deux mois.
Albane était une jolie femme de 34 ans, assez petite, aux yeux d’un bleu profond, aux cheveux mi-longs châtain clair, parsemés de quelques mèches rousses, ayant par ailleurs une belle poitrine aux seins lourds.
Albane était une femme fidèle qui n’avait jamais trompé son mari, ayant résisté par deux fois à des tentations troubles dont une avait été jusqu’au stade du flirt. La survenue de sa deuxième grossesse avait mis fin à ce flirt. Pourtant, parfois ses pensées ou ses rêves la conduisaient dans quelques bras inconnus.
En ce samedi d’octobre, il faisait frais. Albane, après avoir pris une bonne douche et s’être maquillée, était debout dans sa chambre, face au dressing, hésitant à la tenue qu’elle allait mettre. Après plusieurs hésitations, elle se décida pour des sous-vêtements en dentelle noire, des bas auto-fixant de même couleur, une robe mi-longue rose pâle qu’elle pourrait recouvrir d’un châle bleu marine. Elle compléta sa tenue avec des escarpins à petits talons, enfila une veste mi-saison, attrapa ses clés de voiture et sortit.
Se rendant à sa voiture garée un peu plus loin, elle croisa un groupe de jeunes. L’un deux émit un sifflement admiratif en la regardant. Elle se retourna. Le jeune s’était arrêté et la regardait fixement. Cela la fit sourire. Quel âge pouvait-il avoir ? seize ? dix-sept ans ? Elle se sentit toutefois flattée et s’aperçut que le regard du jeune homme provoquait de légers picotements dans son bas ventre. Elle gagna sa voiture et s’assit au volant. Les picotements étaient encore présents. S’assurant que la rue était déserte, elle retroussa rapidement sa robe et passa sa main sous sa culotte. Elle était mouillée. Elle ferma les yeux, se remémorant le regard du jeune. Elle interrompit son manège, rabattit sa robe, reprit le contrôle de sa respiration et démarra, se fondant bientôt dans la circulation.
La messe de mariage était joyeuse, les mariés se dirent mutuellement oui, et l’assemblée se retrouva bientôt dans une grande salle. Albane discuta avec les quelques collègues présentes, grapillant au passage des petits fours salés ou sucrés. Petit à petit, les invités se retirèrent. Le soir arriva, et les invités retenus pour le repas se retrouvèrent dans une ancienne halle au blé. La grandeur des lieux permettait la séparation entre le « coin » repas, constitué de plusieurs tables, et la zone de danse. Un orchestre, constitué de cinq musiciens jouait en sourdine.
Albane chercha sa place qu’elle repéra. Le repas étant annoncé, elle alla prendre place. En face d’elle se tenait un homme jeune, séduisant, assis à côté d’une jeune femme qui semblait être sa compagne. A sa gauche, un quadragénaire qui parlait déjà avec son voisin de l’augmentation du prix de l’immobilier à Paris. A sa droite, un jeune homme, qui se présenta comme étant un cousin de la mariée. L’entée fut servie. L’homme assis en face d’Albane engagea la conversation en lui demanda ce qu’elle faisait dans la vie, s’extasiant sur le fait qu’elle était infirmière. « Gilles, laisse cette jeune femme manger, et cesse de l’importuner » le réprimanda sa compagne. Mais le Gilles en question n’avait cure des recommandations et posait mille questions sur la difficulté du métier. « Il me drague ou quoi ? et sous les yeux de sa compagne. Quel culot ! » Albane s’en amusait. Après l’entrée, le plat de viande fut servi et Gilles parla moins. Il reprit la conversation au fromage, ponctuant ses questions de petits sourires. Avant le dessert, l’orchestre se mit à jouer, invitant les danseurs sur la piste. La compagne de Gilles était partie dans une discussion animée sur l’écologie avec des voisins de droite, laissant le champ libre à Gilles qui ne se fit pas prier pour inviter Albane à danser. Un slow succéda à une salsa. Gilles enlaça sa cavalière, se serrant contre elle et posa ses mains sur les fesses de la jeune femme sur lesquelles elles entreprirent de tracer des cercles concentriques avec légèreté. Albane se sentait étrangement bien. A la fin du slow, Gilles déposa un baiser au coin des lèvres de la jeune femme. Ils reprirent place à table. Le dessert fut servi, un excellent vacherin aux poires et à la framboise. L’intensité de la lumière avait baissé. Soudain, Albane tressaillit. Elle sentait un pied caresser le sien. Elle jeta un coup d’œil vers Gilles qui dégustait son dessert, ne semblant pour l’instant pas se soucier d’elle. Le pied s’était retiré, mais revint bientôt, plus doux. Elle comprit qu’il s’était déchaussé. Le pied remontait le long de sa jambe, glissant sur le nylon. Elle écarta légèrement les jambes, en proie à une douce excitation. Mais le pied n’en profita pas. Elle comprit bientôt pourquoi en sentant une main se poser sur sa cuisse. C’était en fait son voisin, le cousin de la mariée, le propriétaire du pied…et de la main. L’air de rien, discutant avec la tablée, il exerçait une caresse avec son pied, tandis que sa main caressait la cuisse sans chercher à retrousser la robe. La caresse dura de longues minutes. Albane se sentait fondre. Elle jeta un coup d’œil vers son voisin. Il avait un physique banal. « Ni beau ni moche » pensa Albane.
L’intensité lumineuse baissa, l’orchestre se mit à jouer Angie, l’un des tubes des Rolling Stones. Le « cousin de la mariée » se leva, attrapa la main d’Albane et l’entraina sur la piste. Il l’enlaça d’autorité, et l’entraina doucement vers le fond de la piste où régnait une semi-obscurité. Les deux mains sur les fesses d’Albane, il pressait son corps contre le sien, lui faisant sentir une érection ferme. Ses mains ne restaient pas inactives, caressant les fesses, s’immisçant dans le sillon. Sa bouche papillonnait dans le cou de la jeune femme, s’attardant sur les lobes de ses oreilles. Albane se laissait faire, alanguie par les caresses et le vin. Elle sentait son corps s’éveiller, répondre aux sollicitations de son partenaire et envoya son pubis à la rencontre de la verge, écrasant ses seins contre la poitrine. Protégés par la semi-obscurité, Yvon (il s’appelait Yvon, il le lui dira plus tard) glissa sa main entre leurs deux corps, la plaquant contre le sexe féminin, envoyant deux de ses doigts exercer une pression de haut en bas le long de la fente. Albane haletait doucement. Elle sentait son sexe s’humidifier, coller contre la dentelle de sa culotte. Elle avait envie de sexe, envie de faire l’amour. Leurs bouches se rejoignirent, leurs langues s’épousèrent dans un ballet endiablé. Yvon lui susurra « je veux voir ton cul, ta chatte, le bout de tes seins. Tu m’excites. Tu sens comme tu m’excites ? » Et Albane sentait contre son ventre le témoignage de l’excitation de son partenaire. « Enlève ta culotte ». Albane, le cerveau en déroute se dirigea vers les toilettes et dans le couloir désert fit glisser sa culotte. Elle revint à table et glissa le sous-vêtement dans son sac à main. Elle retourna vers la piste de danse. Yvon l’attendait. Il l’enlaça et, laissant un espace entre eux envoya une main qui fit remonter le devant de la robe jusqu’au pubis. Il se plaqua contre elle tandis que sa main caressait le sexe dénudé et trempé, elle sentit un doigt s’introduire dans son vagin et entamer un va et vient discret. Le plaisir montait doucement en elle provoqué par la douce intromission et l’excitation de l’exhibition. Alors qu’elle pensait atteindre le point de non-retour, Yvon retira sa main et rabattit la robe. Ils sortirent dehors et avisèrent un petit bâtiment contigu. Par chance, la porte n’était pas fermée à clé. Il s’agissait d’une sorte de régie et de local de dépôt. Une autre porte donnait sur un petit couloir qui desservait deux autres pièces. Ils pénétrèrent dans l’une d’elle. Yvon attira Albane contre lui, lui faisant sentir l’intensité de son désir. Il fit passer la robe par-dessus sa tête. Il la contourna, se plaçant derrière elle et la débarrassa de son soutien-gorge. Il s’empara de ses seins, les caressant, tantôt délicatement, tantôt de manière plus virile, pressant et pinçant les mamelons, arrachant des gémissements à la jeune femme. Délaissant la poitrine, ses mains descendirent vers le sexe affamé, le masturbant délicatement et enfonçant deux doigts dans le vagin détrempé. Albane n’en pouvait plus. Plus rien n’existait pour elle que l’inexorable plaisir qu’elle sentait monter. Il se recula et la fit pivoter. Il appuya sur sa tête pour l’obligeant à s’accroupir. Elle défit la ceinture et descendit le pantalon. Sa main épousa le relief du sexe contenu dans le slip. Elle posa sa bouche, parcourant le relief du cylindre. Elle tira sur le sous vêtement, libérant le sexe tendu. Elle le prit dans ses mains, le caressant, empoignant doucement les boules pleines, tirant sur le prépuce pour décalotter le gland. Elle approcha sa bouche, déposant de petits baisers humides sur la hampe, puis la parcourant de sa langue. Elle le prit enfin dans sa bouche, réalisant qu’il était plus gros et plus long que celui de son mari. Yvon gémissait sous la fellation, sentant son sexe aspiré comme une ventouse dans un fourreau humide.
Yvon la fit se relever et l’allongea sur le dos sur une table. Il lui releva les jambes et s’introduisit en elle d’une longue et puissante poussée, se fichant jusqu’à la garde dans le sexe détrempé. Il resta immobile quelques secondes, puis se mit à la besogner, d’abord lentement, puis de plus en plus rapidement, de plus en plus fort. Albane avait noué ses jambes autour du bas de son dos, l’emprisonnant. Elle haletait, gémissait, psalmodiait, l’implorait de la prendre encore, plus vite, plus fort. Elle prononça des mots qu’elle n’avait jamais oser dire, même à son mari.
Il la regardait dans la pénombre qu’un quartier de lune éclairait un peu. Il voyait cette femme, le visage déformé par le plaisir, les seins dressés et les pointes dardées qui s’offrait à lui sans retenue. Il la retourna et se plaça derrière elle. Sa verge pulsante trouva toute seule le chemin du sexe délaissé. Il s’inclina sur elle, prenant ses seins dans les mains, agaçant les pointes qui semblaient vouloir encore grossir. Son ventre claquait contre ses fesses. Il reprit le rythme, l’accélérant de plus en plus. Elle secouait la tête dans tous les sens, balbutiant des mots inaudibles. La jouissance les saisit en même temps. Elle l’exprima dans un cri rauque, lui dans un grondement sourd.
Après s’être rhabillés, ils regagnèrent la salle et reprirent place à table. Gilles, placé en face d’Albane la regardait avec un petit sourire. Des danseurs occupaient toujours la piste. Un slow débuta. Gilles, d’autorité, entraina Albane sur la piste. Il se colla à elle, caressant ses fesses. Il lui susurra à l’oreille : « Tu n’as plus ta petite culotte, je ne la sens plus sous mes doigts. Et tu sens la baise à plein nez. Un mélange de mouille et de sperme. Je crois que c’était bon. En te voyant je n’aurais pas cru ça de toi. » Albane, les yeux fermés, ne répondit pas, continuant de cuver son plaisir.
Quand elle regagna sa place, elle ne vit pas Yvon. Il avait quitté la noce. Elle se sentit désappointée. Elle regarda sa montre et décida qu’il était l’heure de rentrer. Elle s’éclipsa discrètement après avoir embrassé les mariés. De retour chez elle, elle se déshabilla, prit une douche et se coucha. Elle ferma les yeux, revivant sa journée, le regard du jeune du quartier qui avait fait naitre son excitation, Gilles, Yvon … Elle ne ressenti aucun remord d’avoir trompé son mari, se disant que cette aventure était sans lendemain. Elle s’endormit. Ses rêves la conduisirent dans un sous-bois. Elle était nue et haletait sous les coups de boutoir d’un jeune amant. Elle se réveilla au matin, encore humide de son rêve érotique. Elle se souvenait de son rêve. Son amant onirique avait le visage du petit jeune du quartier croisé la veille.
Quelques jours plus tard, le hasard remit le jeune sur son chemin…. (à suivre)

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Texte coquin : Albane
Histoire sexe : Une rose rouge
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