Albert le routier et le commercial - histoire érotique

Merci pour vos messages et commentaires sur les histoires d’Albert. Voici donc une nouvelle histoire de mon pote Albert le routier. Je vais encore prendre sa place pour le JE.

Je revenais d’une livraison dans le sud de la France. Encore une nuit avant de rentrer à la maison pour retrouver ma femme. Pendant ce voyage j’ai été très sage, mais là je dois faire ma dernière nuit autour de Lyon et je ne peux pas résister à l’envie d’aller faire un tour dans un coin, le long du Rhône, où j’avais déjà fait de belles rencontres.
Je gare donc mon camion devant une ancienne gravière le long du fleuve. C’est l’appelle du ventre qui prend le dessus, à quelques centaines de mètres il y a un hôtel avec un restaurant où beaucoup de routiers se retrouvent.
Il est pas encore 21h quand je pousse la porte du resto, il est vide. Je m’installe au bar, commande un apéritif et je demande si les cuisine sont toujours ouvertes. Le barman me répond qu’elle ne ferme qu’à 22h30, j’ai donc le temps de boire mon verre tranquille avant de passer à table avec un peu de chance il y a peut être du monde qui arrivera.

J’étais installé à table depuis une dizaine de minutes, la serveuse m’apporte mon entrée quand un autre client rentre enfin. Il doit mesurer un 1m75 plutôt fin, il est en costume cravate mais n’a ni valise ni mallette. Son regard croise le mien, nous nous fixons quelques secondes mais qui m’ont paru très longues. Il se dirige vers le bar alors que je commence à attaquer mon assiette. Quand je relève la tête, il est assis au bar son verre à la main mais son tabouret tourner vers moi. Je le fixe également tout en avalant ma bouchée et lui sourit gentiment. L’homme se lève, va vers les toilettes. Il y reste un moment, le temps pour moi de finir mon entrée, puis il retourne au bar, attrape son verre, viens vers moi et me dit:
« Nous sommes que tous les deux dans ce restaurant, vous ne voulez pas que l’on dine ensemble comme ça on pourra se tenir compagnie. »
Je lui répond en souriant « Avec plaisir » et lui désigne une des chaises puis je tend ma main vers lui en ajoutant « Moi c’est Albert ».
Il serre fermement ma main et me répond « Esteban ».
Quand la serveuse vient prendre la commande d’Esteban je lui demande d’apporter nos plats en même temps. En attendant nous discutons de nos boulots et nos vies.
Vers la fin du repas nous sommes déjà passé au tutoiement, je sais qu’il a 32 ans, qu’il est marié depuis moins d’un an mais il ne semble pas très heureux en ménage. Il habite à côte de Chambéry et travaille comme commercial pour une compagnie de Gaz. Il est souvent en déplacement pour le boulot et ne passe presque que les week end chez lui. Nous avons un peu la même vie.

Il s’absente à nouveau pour aller aux toilettes et quand il revient nous prenons notre café au bar. Il me demande où est garé mon camion. Je lui explique où je me suis mis et il devient rouge. Timide et à voix basse il me dit: « Tu sais que c’est un lieu de drague pour les gays? »
Je lui répond mais avec une voix normale « C’est bien pour ça que je me suis garé là bas! »
Aucune réaction de sa part alors je continue de boire mon café. Il est plus de 22h, et je voulais quand même me trouver un petit mec pour un moment chaud alors je me lève pour payer l’addition et quand je vais dire au revoir à Esteban il me demande:
« Tu peux me montrer ton camion, j’ai toujours voulu voir comment est l’intérieur des cabines ».
Intérieurement je me dis qu’il a mis du temps à se décoincer mais je lui répond juste un « Ok ».
Nous marchons, sans dire un mot, jusqu’au camion. J’ouvre les portières et l’invite à monter côté passager. Je lui montre la cabine et mon lit derrière. Je lui demande s’il veut s’assoir derrière le volant et toujours sans dire un mot il se lève, m’enjambe et viens s’assoir sur mes genoux mais il me fait face. Toujours sans dire un mot il colle ses lèvres contre les miennes et commence à m’embrasser doucement. J’attrape bien comme il le faut sa bouche, je fais rentrer ma langue dans sa bouche pour trouver sa langue et danser avec elle alors que mes mains parcourent son dos et descendent jusqu’à ses fesses. Son pantalon est fermé par une ceinture du coup je n’arrive pas à glisser ma main à l’intérieur alors je le fais basculer sur les places passagers et m’allonge sur lui. Nous continuons à nous embrasser fougueusement, avec mes mains je commence à déboutonner sa chemise quand il m’arrête et me dit:
« J’ai réservé une chambre dans l’hôtel au dessus du restaurant où on a mangé, tu ne veux pas venir y passer la nuit avec moi? »
J’accepte rassemble quelques affaires de toilettes et une changée. Dans sa chambre nous recollons nos lèvres tout en nous déshabillant mutuellement. Une fois entièrement nu nous filons sous la douche, un peu petite pour 2 mais ce n’est pas grave, et continuons nos caresses tout en nous savonnant. Je le tire hors de la douche et sans même nous sécher je le pousse sur le lit. J’ai très envie de goûter à sa bite qui est plus courte que la mienne mais bien plus large. Je commence par lui embrasser les couilles et ma langue remonte le long de sa tige qui est droite comme un piquet. Arrivé sur son gland, je le décalotte avec la main et avale directement sa queue en compressant bien mes lèvres autour. Ma langue joue avec le replis de son prépuce, puis son frein. Au bout de 10 minutes de ce traitement à le lécher, l’aspirer, l’embrasser… la bite mais aussi régulièrement ses couilles, il m’attrape et me place sur lui en 69. Maintenant il me fait tout ce que je lui fait, sauf que lui a un bien plus libre axés à mon cul et tout en me sucent il commence par me caresser les fesses. J’arrive à le prendre entièrement dans ma bouche, j’ai le bout de sa queue dans ma gorge alors que lui s’occupe de mon gland et de mon frein et surtout de mon cul puisque j’ai déjà 2 de ses doigts en moi.
Je me connais, ça fait plus d’une semaine que je n’ai rien fait et je ne vais pas encore tenir très longtemps alors je me soulève pour sortir de sa bouche, sa queue quitte ma bouche au même moment où ses doigts sortent de mon cul. Je vais à ma trousse de toilettes, je prends du gel et des capotes que je lui tend et lui demande de me sodomiser.
Je me place à 4 pattes sur le lit, j’écarte avec mes 2 mains mes fesses. J’entends le bruit du préservatif que l’on ouvre et que l’on place puis je sens une truc froid sur ma rondelle, c’est le gel. Je penche ma tête pour voir ce qui se passe entre mes jambes, Esteban étale du gel sur sa queue plastifier, il empoigne son sexe et présente son gland sur ma rondelle. Un petit coup de pression par mes sphincters et une poussée d’Esteban et le voila qui rentre en moi tout doucement mais sans s’arrêter avant que ses couilles viennent taper contre les miennes. Il est vraiment bien large, je l’ai bien senti passer, mais heureusement la douleur était moins forte que le plaisir. Maintenant il me ramone doucement mais sûrement. Je tends mon bras au maximum pour lui caresser les couilles à chaque fois qu’il est au fond de moi. Il me baise comme ça pendant 15 bonnes minutes quand il s’immobilise au fond de moi, je sens sa bite gonfler alors je contracte mon cul le plus possible autour de lui et il lâche plusieurs grosses giclées de sperme dans la capote que j’aurai préféré avaler. Quand il sort de mon cul sa capote est pleine. Il l’a retire, je me retourne pour lui nettoyer la tige encore recouverte de sperme. Ca l’excite tellement qu’il lâche une petite dernière giclée directement dans ma bouche. Une fois que je lui ai entièrement nettoyer la queue, je lui demande:
« Je peux te prendre? j’ai très envie d’être en toi. » Pour toute réponse il se met à 4 pattes mais je lui demande de s’allonger sur le dos comme ça je peux l’embrasser pendant que je le baise. J’ai enduit sa rondelle de gel, j’y ai facilement rentré un doigt. J’aurai pu longuement lui préparer le cul mais j’avais trop envie de le prendre alors j’ai rentré un deuxième puis un troisième doigts. Son cul est prêt, juste le temps d’enfiler un préservatif et je pose mon gland sur son trou et comme lui tout à l’heure je rentre lentement en lui jusqu’à ce que ma queue soit entièrement avaler par son cul. Je me penche et nous nous embrassons longuement pendant que je lui donner des petits coups de reins très sec. Cela faisait longtemps que je me retiens alors j’éjacule trop rapidement au fond de ma capote. J’avais envie de continuer à sentir ma queue serrée par son trou du coup je reste en lui et nous nous embrassons langoureusement. Je sors lentement de son cul qui reste grand ouvert. Je retire ma capote et du sperme continue de couler le long de ma queue, immédiatement la langue d’Esteban vient lécher tout le sperme qui reste sur ma tige avant de me rouler une pelle la bouche pleine. Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.

Au petit matin je me réveille le premier, j’admire son corps nu et surtout sa large queue. Il se réveille pas longtemps après et sans se dire un mot nous nous nous dirigeons chacun vers le sexe de l’autre pour finir notre nuit par un magnifique 69 où nous avons presque éjaculé en même temps mais seulement après que je lui ai rentré 2 doigts dans son trou et lui 3 dans le mien. Je me retourne vers lui, je colle mes lèvres au siennes et nous mélangeons nos 2 spermes avant d’avaler une grosse gorgée chacun.

Nous nous sommes douchés l’un après l’autre puis nous avons pris le petit déjeuner ensemble. J’ai repris la route vers 8h du matin, en partant il m’a dit qu’il venait régulièrement dans cette hôtel mais à chaque arrêt sur Lyon où je suis allé manger dans ce restaurant, je ne l’ai jamais revu. J’ai même posé la question au barman qui ne l’a pas non plus revu…