Alex de l'amitié ? (2)
Récit érotique écrit par Maximedu93 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Alex de l'amitié ? (2)
En réalité, même si je ne suis pas le plus grand sportif de la décennie, j'ai toujours trouvé que le sport était fascinant. Non pas l'acte en lui-même, mais ce qu'il incluait. La libération d'endorphine, l'hormone du plaisir, le désir d'aller toujours plus loin, de se surpasser. Et c'est peut-être pour ça qu'Alex et moi nous nous sommes si bien entendus dès le premier jour. Aujourd'hui encore, nous faisions un petit jogging. Quand je dis « petit », je pense surtout aux autres choses que l'on a fait depuis le collège : certaines étaient bien plus sportives.
Je suis encore choqué de ce qui s'est passé la dernière fois chez lui. Je suis attiré par les filles, ça ne fait aucun doutes, enfin ça ne faisait. Mais avec Alexandre, c'est autre chose que de l'amour. C'est disons, une attirance sexuelle bestiale que je ne peux contenir. Tout est clair entre-nous, ce jour là, nous étions juste un peu trop excité. Nous sommes allés trop loin. Nous avons discuté de ça, lui aussi pensent que nous nous sommes trompés.
Le sport aide à réfléchir, c'est peut-être pour ça que j'ai accepté de courir. Dans mon esprit, répondre à la question « Est-ce que j'éprouve de l'amour pour Alex ? » est un jeu d'enfant. La réponse me semble tellement évidente. Mais mon corps souhaite autre chose. Qui faut-il écouter ? Quelles sont les limites de l'amitié, de l'attirance sexuelle, et de l'amour ? Puis-je me prononcer amoureux ? Suis-je juste un peu trop rempli de testostérones ? Courir ne m'aide pas beaucoup, les questions s'enchainent et Alex me trouve « distant ».
« Dis-moi, tu parles pas beaucoup aujourd'hui.
*Je suis juste un peu plus essoufflé que d'habitude.
* C'est sûr que passé ses journées devant l'ordinateur, ça n'aide pas à avoir une bonne respiration. »
Mon corps pris les commandes et accéléra la cadence, comme s'il avait envie de montrer à Alex que je n'étais pas seulement un gros lard. Et puis d'ailleurs, c'était faux. Je n'étais pas particulièrement essoufflé, pas plus qu'un sportif qui vient de courir pendant 40 minutes. La véritable raison de mon silence, c'était la profonde réflexion à laquelle j'étais en proie.
« Juste un question, tu sais que tu ments mal ?
* Comment ça ?
* Ba … c'est pas crédible. Tu n'es pas du tout essoufflé.
* A vrai dire, non.
* Alors ?
* C'est juste que je pense à la derniere fois.
* Et qu'en penses-tu ?
* Que nous sommes allés trop loin, non ?
* Je ne pense pas. Moi, je ne suis pas déçu. D'autant que ta queue est d'une beauté, mon pote ! »
Et bien voilà, ce bougre a réussi à me faire rougir. La sienne n'était pas plus moche que la mienne. Elle était même tout simplement parfaite. Un bon diamètre, une taille raisonnable, je faisais pâle figure à côté de sa gueule d'ange et de son corps.
« Tu pourrais pas être un peu plus … mesuré dans tes paroles ?
* Je ne vais pas y passer par quatre chemins, ni cinq, ni cent, je t'aime. J'ai bien reflechi, je t'aime. Je sais que toi tu es déçu, que tu penses que c'était une erreur. Mais pour moi, ça n'en était pas une. J'ai rêve qu'on aille plus loin ensemble, qu'on découvre notre corps ensemble, qu'on s'unissent, une bonne fois pour toute. J'ai voulu en finir avec le désir que tu provoques en moi. Mais il est revenu au galop. J'ai eu encore plus envie de toi qu'avant. De ton sourire, de ta joie de vivre. »
Il s'était arrêté de courir, et là, j'ai vu son rôle s’effondré en un nuage de poussière dont la chute serait lente et voluptueuse. Je n'étais pas qu'un amis pour lui et ça m'attristait. Il s'était attaché à moi et je n'avais rien vu. Et aujourd'hui, même si j'étais en plein doute, je n'étais pas prêt à l'aimer, je n'étais pas non plus prêt à la faire souffrir d'avantage. Que fallait-il faire ? Lui dire qu'il n'y avait aucune chance que ça marche entre-nous ? Qu'il n'était qu'une attirance pour moi ? Sans mots dire, je l'embrassa, un de ces petits baisers qui ne veulent rien dire. Une étincelle s'alluma en moi, je ne l'aimais peut-être pas, mais je voulais son bonheur. Et il n'y avait deux possiblités, soit je lui disais la vérité maintenant, et il souffrait maintenant, soit je lui mentais et il souffrirai plus tard.
« Ecoute, l'amour ne se contrôle pas. Et je ne te cache pas que je ne sais pas où j'en suis. Je ne veux pas te faire de faux-espoir. Mais, j'ai toujours cru que notre relation était claire, nous n'étions que des amis.
*Je sais, je t'ai caché mon plus lourd secret. J'ai besoin de ta réponse, maintenant. Quand tu penses à notre avenir en tant que couple que vois-tu ? Un portait idyllique, plein de beauté, ou un portrait horrifiant ?
* Et si je te disais que je voyais une œuvre de nature morte, beau et effrayant à la fois.
* Et bien … je te dirais que tu dois tenté ta chance, car la peur est celle de l'inconnu. Et si cet inconnu, ne l'est plus, la peur disparaîtra au profit de l'amour. »
Ces paroles avaient réussi à me convaincre. A quoi bon ne pas tenter ? Il m'embrassa, et prit de cours, je ne pu rien faire d'autre que de m'y adonner. Non sans plaisir. Ce n'était plus le sport qui liberait l'hormone du plaisir en moi, c'était son baiser. On rentra chez lui, mains dans la main, on se mits sur le lit. Et je vécu ainsi ma première relation sexuelle. Quand on eumes fini, il dit, dans un souffle lent « Je t'aime » et effectuant une caresse sensuelle que je refusa pas.
Nous étions repartis, les rôles s'inversant cette fois. Il posa d'abord sa langue sur la mienne, sa main sur ma verge. « Laisse moi t'aimer » Il ressera son empreinte sur moi-même « plus fort ». Son baiser se fit plus fougueux, il brulait d'envie « Je m'abandonnerai à ce plaisir, qu'est-celui de t'aimer ». Il fit pénétré deux doigts en moi, puis trois. Et lorsqu'il eu inserer son penis en entier, une immense vague de plaisir et de douleur m'immergea. Je gémis, il s'arreta. Il continua son va et vien peu de temps après. Et chuchotant, entre quelques râles d'orgasme, « Je t'ai toujours aimé. Je t'aime toujours. Je t'aimerai toujours ».
Je suis encore choqué de ce qui s'est passé la dernière fois chez lui. Je suis attiré par les filles, ça ne fait aucun doutes, enfin ça ne faisait. Mais avec Alexandre, c'est autre chose que de l'amour. C'est disons, une attirance sexuelle bestiale que je ne peux contenir. Tout est clair entre-nous, ce jour là, nous étions juste un peu trop excité. Nous sommes allés trop loin. Nous avons discuté de ça, lui aussi pensent que nous nous sommes trompés.
Le sport aide à réfléchir, c'est peut-être pour ça que j'ai accepté de courir. Dans mon esprit, répondre à la question « Est-ce que j'éprouve de l'amour pour Alex ? » est un jeu d'enfant. La réponse me semble tellement évidente. Mais mon corps souhaite autre chose. Qui faut-il écouter ? Quelles sont les limites de l'amitié, de l'attirance sexuelle, et de l'amour ? Puis-je me prononcer amoureux ? Suis-je juste un peu trop rempli de testostérones ? Courir ne m'aide pas beaucoup, les questions s'enchainent et Alex me trouve « distant ».
« Dis-moi, tu parles pas beaucoup aujourd'hui.
*Je suis juste un peu plus essoufflé que d'habitude.
* C'est sûr que passé ses journées devant l'ordinateur, ça n'aide pas à avoir une bonne respiration. »
Mon corps pris les commandes et accéléra la cadence, comme s'il avait envie de montrer à Alex que je n'étais pas seulement un gros lard. Et puis d'ailleurs, c'était faux. Je n'étais pas particulièrement essoufflé, pas plus qu'un sportif qui vient de courir pendant 40 minutes. La véritable raison de mon silence, c'était la profonde réflexion à laquelle j'étais en proie.
« Juste un question, tu sais que tu ments mal ?
* Comment ça ?
* Ba … c'est pas crédible. Tu n'es pas du tout essoufflé.
* A vrai dire, non.
* Alors ?
* C'est juste que je pense à la derniere fois.
* Et qu'en penses-tu ?
* Que nous sommes allés trop loin, non ?
* Je ne pense pas. Moi, je ne suis pas déçu. D'autant que ta queue est d'une beauté, mon pote ! »
Et bien voilà, ce bougre a réussi à me faire rougir. La sienne n'était pas plus moche que la mienne. Elle était même tout simplement parfaite. Un bon diamètre, une taille raisonnable, je faisais pâle figure à côté de sa gueule d'ange et de son corps.
« Tu pourrais pas être un peu plus … mesuré dans tes paroles ?
* Je ne vais pas y passer par quatre chemins, ni cinq, ni cent, je t'aime. J'ai bien reflechi, je t'aime. Je sais que toi tu es déçu, que tu penses que c'était une erreur. Mais pour moi, ça n'en était pas une. J'ai rêve qu'on aille plus loin ensemble, qu'on découvre notre corps ensemble, qu'on s'unissent, une bonne fois pour toute. J'ai voulu en finir avec le désir que tu provoques en moi. Mais il est revenu au galop. J'ai eu encore plus envie de toi qu'avant. De ton sourire, de ta joie de vivre. »
Il s'était arrêté de courir, et là, j'ai vu son rôle s’effondré en un nuage de poussière dont la chute serait lente et voluptueuse. Je n'étais pas qu'un amis pour lui et ça m'attristait. Il s'était attaché à moi et je n'avais rien vu. Et aujourd'hui, même si j'étais en plein doute, je n'étais pas prêt à l'aimer, je n'étais pas non plus prêt à la faire souffrir d'avantage. Que fallait-il faire ? Lui dire qu'il n'y avait aucune chance que ça marche entre-nous ? Qu'il n'était qu'une attirance pour moi ? Sans mots dire, je l'embrassa, un de ces petits baisers qui ne veulent rien dire. Une étincelle s'alluma en moi, je ne l'aimais peut-être pas, mais je voulais son bonheur. Et il n'y avait deux possiblités, soit je lui disais la vérité maintenant, et il souffrait maintenant, soit je lui mentais et il souffrirai plus tard.
« Ecoute, l'amour ne se contrôle pas. Et je ne te cache pas que je ne sais pas où j'en suis. Je ne veux pas te faire de faux-espoir. Mais, j'ai toujours cru que notre relation était claire, nous n'étions que des amis.
*Je sais, je t'ai caché mon plus lourd secret. J'ai besoin de ta réponse, maintenant. Quand tu penses à notre avenir en tant que couple que vois-tu ? Un portait idyllique, plein de beauté, ou un portrait horrifiant ?
* Et si je te disais que je voyais une œuvre de nature morte, beau et effrayant à la fois.
* Et bien … je te dirais que tu dois tenté ta chance, car la peur est celle de l'inconnu. Et si cet inconnu, ne l'est plus, la peur disparaîtra au profit de l'amour. »
Ces paroles avaient réussi à me convaincre. A quoi bon ne pas tenter ? Il m'embrassa, et prit de cours, je ne pu rien faire d'autre que de m'y adonner. Non sans plaisir. Ce n'était plus le sport qui liberait l'hormone du plaisir en moi, c'était son baiser. On rentra chez lui, mains dans la main, on se mits sur le lit. Et je vécu ainsi ma première relation sexuelle. Quand on eumes fini, il dit, dans un souffle lent « Je t'aime » et effectuant une caresse sensuelle que je refusa pas.
Nous étions repartis, les rôles s'inversant cette fois. Il posa d'abord sa langue sur la mienne, sa main sur ma verge. « Laisse moi t'aimer » Il ressera son empreinte sur moi-même « plus fort ». Son baiser se fit plus fougueux, il brulait d'envie « Je m'abandonnerai à ce plaisir, qu'est-celui de t'aimer ». Il fit pénétré deux doigts en moi, puis trois. Et lorsqu'il eu inserer son penis en entier, une immense vague de plaisir et de douleur m'immergea. Je gémis, il s'arreta. Il continua son va et vien peu de temps après. Et chuchotant, entre quelques râles d'orgasme, « Je t'ai toujours aimé. Je t'aime toujours. Je t'aimerai toujours ».
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