Alex, de l'amitié ?
Récit érotique écrit par Maximedu93 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Alex, de l'amitié ?
Une éternelle relation d'amitié me liait avec Alex, Nous nous connaissions effectivement depuis quelques années, nous nous étions rencontrés, si mes souvenirs sont bons, alors que nous entrions en sixième. Puis, nous avons grandi ensembles, partageant nos déboires amoureux, nos premiers ébats et tout ce que la vie nous réservait. Si j'étais au courant de l'homosexualité d'Alex, notre relation n'avait jamais atteint ce que l'on nomme « l'amour ». Et pour cause, j'étais plutôt attiré par les filles que par les gars. Même si, pour être totalement franc avec vous, je n'étais pas insensible aux charmes d'Alexandre. Il émanait de lui une sorte de classe à toute épreuve. Dans toute les situations, il gardait son calme et sa prestance. Il restait toujours égal à lui même. S'en était d'ailleurs très étonnant. Il n'était jamais insultant, transformant les blagues vulgaires en simples blagues osées.
Non seulement, son caractère était très charmant, mais son physique ne décevait pas tant il était à la hauteur. Sa musculature était bien développée, sans l'être de trop.
Ses tablettes de chocolat, que j'ai souvent eu l'occasion d'observer (ou plutôt de mater allègrement), ne manquaient pas de faire naître en moi une sorte de jalousie mais également une envie d'en voir toujours plus. C'est quand ces moments se firent de plus en plus présents, que je me mis à douter de mon hétérosexualité. Son visage était, lui aussi, d'une pure beauté. Il était brun, les cheveux courts et les yeux verts. Je lui aurai très facilement mit une auréole sur la tête tant il était angélique. Je l'imaginais prenant le nom d'un archange. Gabriel, Raphael.
Nous avions aujourd'hui 18 ans tout les deux et nous terminions notre année de terminale S. On se donnait souvent rendez-vous pendant nos week-ends. Nous faisions du sport la matinée et jouons à la console l'après midi. Ni l'un ni l'autre ne m'attirait vraiment, je faisais ça pour rester proche d'Alex qui était lui, un grand joueur. Nous venions de terminer un jogging et la sueur coulait sur nos peaux. Le soleil du matin ajoutant à la douce chaleur provoquée par le sport. J'entamai la discussion qui avait été rompue par notre besoin de respirer pendant l'effort.
Combien de temps avons-nous mis ?
Je dirais une bonne heure.
Et bien, Alex, on a bien couru aujourd'hui. Une petite pause ?
Tu rigoles ? On a fait beaucoup mieux que ça la semaine dernière ! Mais soit, je commence à avoir faim. Et puis, j'ai besoins d'une bonne douche.
Oui ! Moi aussi !
Nous étions repartis en direction de la maison d'Alex. Le salon y était grand, le jardin immense et la chambre d'Alex décorée avec goût. De belles couleurs s'associaient, le pourpre et le noir dominaient. Après nous avoir déchausser, Alex me proposa un verre de jus d'orange que j'accepta avec plaisir. Il parla ensuite de la douche que nous allions faire. Il passerai en premier, je passerai ensuite. Il but d'une traite et se dirigea vers la salle de bain en me laissant la télécommande de la télévision.
La salle de bain était à l'étage, et pendant que je l'entendais monter les marches de l'escalier en marbre, je pensais à ce que j'allais faire. J'étais pris d'une envie folle de monter avec lui, de toucher sa peau, ses muscles. Des tas d'images m’assaillirent. Des images que je ne voulais accepter. Il avait aussi autre chose, une irrépressible envie de me masturber, là, maintenant, en pensant à lui, à sa beauté, à notre proximité. Je l'entendais entrer dans la salle de bain, se déshabiller, enlever son pantalon en effleurant lui-même sa peau douce et chaleureuse, je le voyais mentalement placer sa main sous son caleçon pour l'ôter ensuite. Et là, on le voyant soudain nu devant ma vision fantasmée, je sens comme une révélation. Je l'aime, ou du moins, je le désire. Plus que tout. Je l'ai vu nu à plusieurs reprises déjà, à la piscine, dans les vestiaires de sport, mais je n'ai jamais ressenti ce que je ressens maintenantAlors je monte, je grimpe les marches qui me séparent de lui. Je me retrouve devant la salle de bain. J'hésite quelques instants. Et s'il m'entend l'observer ? Je tremble, de peur mais en même j'ai envie de continuer. Je colle mon œil sur la fente, je le contemple. Elle se dresse, fiere, devant moi en s’imposant à ma vision. Sa belle, mais pas immense, queue. Je suis pris d'un autre désir, plus ardent encore, l'envie d'ouvrir cette porte, de la toucher, de lui dire à quel point j'ai envie de lui. Je me sens gay, ça ne m'attriste pas, mais j'ai l'impression de m'être totalement gouré depuis le début.
Je sens son regard, dans le vide, posé sur moi. Il est beau. C'est à ce moment qu'il décide de se masturber, sous le choc, je trébuche. Il m'entend et se dirige vers moi, il ouvre la porte et effectue un de ses sourires bons marchés.
Si tu voulais me mater, fallait le dire grand con.
C'est que... euh... Je ne suis pas homosexuel. Je … Je … suis désolé. Je sais pas ce qui m'a pris.
Tant fait pas, c'est pas la première fois que je te matte moi aussi.
Je rougis d'autant plus.
Ah. Ok.
Le silence s'installent, lourd et honteux.
Bon allez, rentre, on va prendre notre douche ensemble.
Alors, il me déshabille, je sens ses mains se balader sur la surface de mon corps.
J'ai tellement honte de ce que je fais, mais au délà de la honte, j'ai du plaisir à le faire. Nous entrâmes dans la douche où nous étions serrés. Sa peau se collait à la mienne et lorsque l'eau ajouta de la chaleur à un contact déjà comme de la braise, je ne pus retenir une érection sans pareil.
Je te fais envie je vois.
Non c'est pas ça. C'est … un reflexe disons. J'ai souvent l'habitude de me masturber dans la douche.
Et bien, faisons le.
Il se baissa, prit mon pénis entre ses mains et commença a effectuer des va et vient.
Il exerça ce geste pendant plusieurs minutes et je ferma les yeux, incapable de résister à tout le plaisir qu'il m'apportait, lui et ses mains expertes. Il continua, de plus en plus rapidement. Avant de s'arrêter presque brusquement.
Et quand je sentis, sans m'en rendre compte tout de suite, une chaleur nouvelle, celle de sa bouche, je me retira tout de suite. Je ne voulais pas qu'il fasse ça, mais il persista. Je ne pus, là encore pas résister. Alors, il me semblait atteindre le septime ciel lorsque sa langue se promenait sur mon gland, lorsqu'il me léchait les testicules, ou que ma verge pénétrait sa bouche. Il me jeta parfois des regards rassurants, et je me laissais aller à son apparent savoir faire.
Très vite, je fus secoué de spasme d'orgasme, je me sentais venir, incapable de me contrôler. Je sentais sortir de mon corps toute cette jouissance que j'essayais de contenir comme le démon de mes fantasmes. Voilà une semaine que je ne mettais pas masturber, et voilà que tout ressort dans un flo continu de plaisir. Il continu pourtant, et je l'arrête en l'embrassant.
Je sens le goût de mon sperm dans sa bouche, nos langues s'entrechoquent, nos plaisirs se melent et j'ai envie d'aller plus loin, bien plus loin.
Non seulement, son caractère était très charmant, mais son physique ne décevait pas tant il était à la hauteur. Sa musculature était bien développée, sans l'être de trop.
Ses tablettes de chocolat, que j'ai souvent eu l'occasion d'observer (ou plutôt de mater allègrement), ne manquaient pas de faire naître en moi une sorte de jalousie mais également une envie d'en voir toujours plus. C'est quand ces moments se firent de plus en plus présents, que je me mis à douter de mon hétérosexualité. Son visage était, lui aussi, d'une pure beauté. Il était brun, les cheveux courts et les yeux verts. Je lui aurai très facilement mit une auréole sur la tête tant il était angélique. Je l'imaginais prenant le nom d'un archange. Gabriel, Raphael.
Nous avions aujourd'hui 18 ans tout les deux et nous terminions notre année de terminale S. On se donnait souvent rendez-vous pendant nos week-ends. Nous faisions du sport la matinée et jouons à la console l'après midi. Ni l'un ni l'autre ne m'attirait vraiment, je faisais ça pour rester proche d'Alex qui était lui, un grand joueur. Nous venions de terminer un jogging et la sueur coulait sur nos peaux. Le soleil du matin ajoutant à la douce chaleur provoquée par le sport. J'entamai la discussion qui avait été rompue par notre besoin de respirer pendant l'effort.
Combien de temps avons-nous mis ?
Je dirais une bonne heure.
Et bien, Alex, on a bien couru aujourd'hui. Une petite pause ?
Tu rigoles ? On a fait beaucoup mieux que ça la semaine dernière ! Mais soit, je commence à avoir faim. Et puis, j'ai besoins d'une bonne douche.
Oui ! Moi aussi !
Nous étions repartis en direction de la maison d'Alex. Le salon y était grand, le jardin immense et la chambre d'Alex décorée avec goût. De belles couleurs s'associaient, le pourpre et le noir dominaient. Après nous avoir déchausser, Alex me proposa un verre de jus d'orange que j'accepta avec plaisir. Il parla ensuite de la douche que nous allions faire. Il passerai en premier, je passerai ensuite. Il but d'une traite et se dirigea vers la salle de bain en me laissant la télécommande de la télévision.
La salle de bain était à l'étage, et pendant que je l'entendais monter les marches de l'escalier en marbre, je pensais à ce que j'allais faire. J'étais pris d'une envie folle de monter avec lui, de toucher sa peau, ses muscles. Des tas d'images m’assaillirent. Des images que je ne voulais accepter. Il avait aussi autre chose, une irrépressible envie de me masturber, là, maintenant, en pensant à lui, à sa beauté, à notre proximité. Je l'entendais entrer dans la salle de bain, se déshabiller, enlever son pantalon en effleurant lui-même sa peau douce et chaleureuse, je le voyais mentalement placer sa main sous son caleçon pour l'ôter ensuite. Et là, on le voyant soudain nu devant ma vision fantasmée, je sens comme une révélation. Je l'aime, ou du moins, je le désire. Plus que tout. Je l'ai vu nu à plusieurs reprises déjà, à la piscine, dans les vestiaires de sport, mais je n'ai jamais ressenti ce que je ressens maintenantAlors je monte, je grimpe les marches qui me séparent de lui. Je me retrouve devant la salle de bain. J'hésite quelques instants. Et s'il m'entend l'observer ? Je tremble, de peur mais en même j'ai envie de continuer. Je colle mon œil sur la fente, je le contemple. Elle se dresse, fiere, devant moi en s’imposant à ma vision. Sa belle, mais pas immense, queue. Je suis pris d'un autre désir, plus ardent encore, l'envie d'ouvrir cette porte, de la toucher, de lui dire à quel point j'ai envie de lui. Je me sens gay, ça ne m'attriste pas, mais j'ai l'impression de m'être totalement gouré depuis le début.
Je sens son regard, dans le vide, posé sur moi. Il est beau. C'est à ce moment qu'il décide de se masturber, sous le choc, je trébuche. Il m'entend et se dirige vers moi, il ouvre la porte et effectue un de ses sourires bons marchés.
Si tu voulais me mater, fallait le dire grand con.
C'est que... euh... Je ne suis pas homosexuel. Je … Je … suis désolé. Je sais pas ce qui m'a pris.
Tant fait pas, c'est pas la première fois que je te matte moi aussi.
Je rougis d'autant plus.
Ah. Ok.
Le silence s'installent, lourd et honteux.
Bon allez, rentre, on va prendre notre douche ensemble.
Alors, il me déshabille, je sens ses mains se balader sur la surface de mon corps.
J'ai tellement honte de ce que je fais, mais au délà de la honte, j'ai du plaisir à le faire. Nous entrâmes dans la douche où nous étions serrés. Sa peau se collait à la mienne et lorsque l'eau ajouta de la chaleur à un contact déjà comme de la braise, je ne pus retenir une érection sans pareil.
Je te fais envie je vois.
Non c'est pas ça. C'est … un reflexe disons. J'ai souvent l'habitude de me masturber dans la douche.
Et bien, faisons le.
Il se baissa, prit mon pénis entre ses mains et commença a effectuer des va et vient.
Il exerça ce geste pendant plusieurs minutes et je ferma les yeux, incapable de résister à tout le plaisir qu'il m'apportait, lui et ses mains expertes. Il continua, de plus en plus rapidement. Avant de s'arrêter presque brusquement.
Et quand je sentis, sans m'en rendre compte tout de suite, une chaleur nouvelle, celle de sa bouche, je me retira tout de suite. Je ne voulais pas qu'il fasse ça, mais il persista. Je ne pus, là encore pas résister. Alors, il me semblait atteindre le septime ciel lorsque sa langue se promenait sur mon gland, lorsqu'il me léchait les testicules, ou que ma verge pénétrait sa bouche. Il me jeta parfois des regards rassurants, et je me laissais aller à son apparent savoir faire.
Très vite, je fus secoué de spasme d'orgasme, je me sentais venir, incapable de me contrôler. Je sentais sortir de mon corps toute cette jouissance que j'essayais de contenir comme le démon de mes fantasmes. Voilà une semaine que je ne mettais pas masturber, et voilà que tout ressort dans un flo continu de plaisir. Il continu pourtant, et je l'arrête en l'embrassant.
Je sens le goût de mon sperm dans sa bouche, nos langues s'entrechoquent, nos plaisirs se melent et j'ai envie d'aller plus loin, bien plus loin.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci à vous tous. La suite devrait être publié dans quelques semaines.
Waww, c'est super excitant!
Très belle amitié et histoire, j'espère pouvoir lire bientôt la suite :D
J'AI EJACULÉ
Très belle histoire mais un peu courte ! Vivement la suite ! :p
j'espère que cela ira plus loin !
MERCI POUR CETTE HISTOIRE ELLE MA FAIT JOUIR