ALICE (4) : LE SEXSHOP - histoire érotique

Je suis une nouvelle Alice. Quand je suis salope, je me sens MOI, pleine et entière ! Je me sens toute puissante en quelque sorte. Je ne suis plus la petite souris qui se cache et souhaiterait se terrer dans un tout petit trou.
Justement un samedi, avec Fabien, on prend la voiture et on va dans un sexshop qu'a recommandé un ami à Vincent. C'est suffisamment loin de chez nous pour que personne ne nous connaissent.
Fabien m’a choisi une tenue très classe : tailleur jupe noire à fine rayure blanche, des bas noirs, un string en dentelles de la même couleur. Un chemisier blanc sans soutif complète la tenue. J’ai les cheveux attachés en une queue de cheval haute.

On se balade dans les allées à la recherche de ce qui nous excite le plus et Fabien tombe sur un rosebud particulièrement gros et charmant avec une pierre de couleur à son extrémité. On l'achète et provocante je lui lance que je veux le mettre tout de suite. Je parle un peu fort car un bel homme, la cinquantaine avec barbe de trois jours, est aussi dans le magasin et j'aimerais bien qu'il voit mon cul. Ce mâle respire le danger et l’expérience. Le vendeur nous jette un regard complice et nous indique un petit couloir sombre pour nos activités.

Fabien effleure ma croupe ce qui provoque immédiatement en moi une inondation de chaleur. Il passe délicatement sa main sous ma jupe et la remonte sur mes fesses. Il écarte le string, tâte ma cramouille qui est déjà trempée. "Ma salope" me susurre-t-il. Il remonte sa main pleine de mouille sur ma raie et titille ma corolle avant d'enfoncer un doigt. Hummm ça fait un peu mal mais vite remplacer par le plaisir. Quelle salope je fais! Je cambre bien mon cul pour le faire encore plus ressortir et que l'œil concupiscent du bel homme derrière nous puisse se rincer.

Fabien me met ensuite les doigts dans fente et étale ma cyprine sur mes petites lèvres. Il s'accroupie et me broute maintenant la rondelle. Je sens sa langue frétiller dans mon sphincter et ses doigts aller et venir dans ma chatte. Hummm que c'est bon. Je ne peux me retenir de gémir en fermant les yeux.
Toujours en fermant les yeux, je sens maintenant l'extrémité du plug qui pousse sur ma rondelle. Il est métallique. C'est froid même si Fabien vient de le lécher. Je pousse un peu et hop il est dans mon cul. Je sers le sphincter pour mieux le sentir en moi. Je me sens remplie mas pas trop. En un mot, je me sens chienne ! En plus, je commence à sentir de la moule à 10m.

Une claque sur mes fesses me fait sortir de ma torpeur. Quelle n'est pas ma surprise de découvrir notre voyeur une main sur ma croupe! Je mouille instantanément et abondamment et je soutiens son regard avec effronterie en essayant de lui transmettre : "Oui je suis une salope folle de sexe et même si tu as un tableau de chasse impressionnant, tu vas t'en souvenir de cette séance de baise avec moi! "

Le vendeur qui a repéré notre manège sur sa caméra, vient nous informer qu’il existe des salles derrière et que nous pourrions utiliser. Accompagnée de mes deux mâles dont le quiqua qui a laissé sa main sur mon postérieur en signe de domination, nous allons vers l’une de ces fameuses pièces. Je suis très excitée par ce qui m’attend. Le mec est hyper bien monté vu la bosse monstrueuse de son pantalon. Il va me démonter grave et j'en mouille comme une dingue! Je suis tellement excitée que pour la première fois de ma vie je me sens aussi mouiller du cul! Je ne savais meme pas que c'etait possible! Quelle salope je suis! Je vais prendre mon pied, c'est sûr !

Déjà à l'adolescence je fantasmais sur des hommes mûrs. Je les préférés largement aux jeunes et branchés. Ils me paraissent tellement moins gauches et plus expérimentés. Et flûte, une nenette comme moi qui en plus paraît plus jeune que son âge, qui réussit à attirer un mec pareil, qui a l'air d'avoir connu des dizaines et des dizaines d'aventures vu l'aura sulfureuse qu'il dégage, ça me met une confiance en moi terrible.

A peine arrivés dans la salle, l'homme me bloque dans un coin et me pince un téton à travers mon chemisier. Il m'arrache un cri de surprise.
Fabien va parler pour intervenir mais le mec le coupe dans son élan en lui intimant
-"non aujourd'hui c'est moi qui baise ta chienne de femme et toi tu la fermes et tu regardes!"

L’homme me flatte la croupe et détache ma jupe. Je ne suis plus qu’en bas avec mes talons. Il continue à me pincer les tétons. Je ferme les yeux, pince mon sphincter qui épouse avec délice mon rosebud toujours dans mon cul et me laisse aller au plaisir. L’homme me fait s’agenouiller devant lui et je déboutonne son jean qui lui moule si bien son beau cul (j’adore regarder le cul des mecs). Il a une queue, juste ENORME. De la même taille que Vincent, en dessous des 20cm mais hyper large. Près de 6 cm le salaud ! La crainte disparaît très vite. Mon corps entier réclame cette bite. Une nouvelle vague de mouille arrive et je bave d’excitation. Fabien me lance
« Tu as tiré le gros lot et tu as l’air d’apprécier : tes lèvres sont encore plus rouges que d’habitude ! »

Je prends cette grosse bite dans ma bouche. J'ai quelques difficultés ne serait ce que pour mettre le gland en entier. Je crache dessus pour mieux lubrifier et passe ma langue sur le gland comme si je léchais une glace en le regardant droit dans les yeux
-"tu aimes ma queue et les bites en général, hein, salope?!"
Et avant d'attendre ma réponse, alors que j'avais son gland en bouche, il me maintient la tête et me plante son pieu au fond de la gorge. Je suffoque, ai une envie furieuse de vomir, ma gorge qui brûle et les larmes aux yeux. Il me libère mais loin de le repousser je me laisse faire pour une 2eme gorge profonde. Je suis fière d'y arriver.
Il me baise la bouche et me laisse respirer de temps à autre.
Je prends le temps de me lécher deux doigts avant de lui enfoncer dans sa rondelle entre deux succions. Depuis ma séance de baise chez mon patron David (voir Alice (3)) je pense de plus en plus au petit trou de ces messieurs. Le mec a l’air d’adorer car il lâche des soupirs de plus en plus fréquents.
"Prends ça sale garce" "Tu as vu ce qu'un quinqua peut te faire?! Et tu as encore rien vu, je vais te défoncer ta jolie petite chatte et ton joli petit cul de chienne en chaleur" "Je vais te casser le cul et tu vas couiner de plaisir, salope!"

Enfin il me libère
Je m'essuie peu élégamment la bouche avec le dos de ma main et enlève les cheveux de mon visage.
Il me relève, me met à quatre pattes, claque mes fesses et ma vulve qui a gonflé et sort maintenant des grosses lèvres. J’ai le con béant ruisselant de mouille et le rosebud toujours dans mon cul.
"Ça va te faire monter le sang et tu deviendras plus sensible!" M'assène-t-il avec une autre claque et un pincement des tétons de l'autre main
Il me fouille le sexe de ses gros doigts. "Tu es trempée, tu es vraiment une garce, je vais te démonter. Tu vas prendre ton pied salope!"
Et ni une ni deux il me pénètre la chatte. Je suis aux anges. Il me remplit divinement.

"Comme tu es belle Alice, tu irradies de bonheur" me dit Fabien
"Tu aimes mater, hein?" Lance le mec
Ce dernier me relève contre son torse en me prenant les bras.
"Allez viens lécher la chatte de ta femme pendant que je la ramone"
Et je vois Fabien s'agenouiller devant moi et approcher sa langue. J'ouvre les cuisses pour m'offrir à sa caresse. Hummm sentir la langue de Fabien sur mes petites lèvres, mon clito. Je suis sûre qu'il passe aussi la langue sur le zob de mon amant par inadvertance. C'est trop bon. Le plaisir monte, monte, monte !

Alors que je vais partir, le mec se retire d'un coup. Je suis frustrée !! Je commence à réclamer et là il m'enlève le rosebud et me pénètre la rondelle jusqu'aux couilles.
"Oh oui!!"
Il ne bouge plus, le temps que je m'habitue et commence doucement ses va et vient.
"Ah mais c'est que tu mouilles du cul, salope!!"
Et là il passe la deuxième et entame un rythme endiablé. Son pubis claque sur mes fesses. Je suis pure sensation. Je ne pense qu'à cette bite qui me ramone le fion, qui m'éclate la rondelle. Je m'entends dire des sons sans queue ni tête
Lui me lance encore "tu es un garage à bites, salope!" "Tu aimes ma grosse queue, hein, sale chienne en chaleur!"

Fabien approche alors sa queue de mon visage. Il s'est branlé tout le long et vient juter dans ma bouche de pute. Lui qui d’habitude est plutôt doux et tendre, là il ne fait pas dans la dentelle et me fourre son dard turgescent dans ma gueule.
« Avale, petite catin » ! me lance-t-il J'avale tout. Je me sens salope. C'est une sensation de pleine puissance.
Le mec fait encore quelques va-et-vient puissants dans mon cul et là je pars en un orgasme puissant : je jouis comme jamais! Je m’écroule sur ses bras.

Le mec se retire d’un coup, vire la capote et me retourne.
"Je vais décharger dans ta bouche de salope"
Je leche tout, cette bite qui m’a donné tant de plaisir, ses couilles qui vont me donner mon dessert. Je remets deux doigts dans son cul et il balance son foutre au fond de ma gorge. Le goût est horrible, moins bon que celui de Fabien mais je suis une salope, une vraie et je me force à avaler
Le mec a un petit sourire
"Hummm petite garce! Tu as aimé ma bite, hein?!" Et il m'embrasse la joue.
Gentleman, il m'aide à me remettre debout et à me rhabiller en baladant ses mains sur mon corps.

Fabien m'embrasse aussi. "Tu es belle ma chérie, surtout quand tu jouis. Je t'aime".
Comme je l’aime mon homme ! Je l’aime encore plus qu’il me laisse me faire démonter par d’autres mecs et assouvir mes pulsions de salope.
Je me blottis dans ses bras pendant que le mec prend congé.
Je suis dans un état second quand il glisse une carte dans mon sac.
"Tu es plutôt bonne. Tu as un sacré potentiel mais tu pourrais devenir meilleure. Et moi je prendrais aussi mon pied à te former. Si vous voulez me revoir, en couple ou en séparer, voilà mon numéro. J'en ai baisé des tas des couples comme vous et j'adore! Allez salut!"

Alors qu'on regagne la voiture, sous l’œil goguenard du vendeur, je sors la carte et découvre le prénom du mec: Nico