Alice
Récit érotique écrit par Monsieur Pat [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-07-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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Alice
Alice était ma petite amie, elle s’était installée chez moi depuis un peu plus de 6 mois, et j’avais trouvé la perle rare. Si du point de vue physique, je n’avais pas trop à me plaindre, du côté câlins c’était le top. Lorsque je l’avais connue, elle n’avait eu que quelques flirts sans importance, et elle était encore vierge. A force de patience et de persévérance, elle était devenue folle amoureuse de moi. Je lui avais tout appris, et il faut dire qu’elle était bonne étudiante. Je pouvais lui demander ce que je voulais, elle était toujours prête à découvrir de nouveaux plaisirs dans mes bras. Le seul truc qu’elle avait refusé catégoriquement, c’était de partager notre lit avec une autre fille, et de découvrir le plaisir entre filles.
Mais comme j’étais têtu et obstiné, je lui avais posé un ultimatum : Elle avait un mois pour changer d’avis, et me présenter une de ses amies pour un câlin à trois, sinon je la renvoyais chez ses parents. Mais comme je tenais tout de même à elle, je lui avais laissé une porte de sortie : si elle était d’accord à trois, mais qu’elle n’ait pas trouvé de fille, c’est moi qui lui en proposerais une, mais elle ne pourrait pas refuser.
La date fatidique arrivant, je lui avais demandé :
- Est-ce que tu as changé d’avis ? Et, est-ce que tu vas me présenter une de tes amies ?
- Je veux bien essayer, mais je ne connais personne. Me répondit-elle.
- Tu connais la sanction : je te présente quelqu’un ou je te largue.
Devant son air contrit, et la voyant avec les yeux au bord des larmes, je lui annonçai alors.
- J’ai une petite idée pour la fille. Mais, est-ce que tu es d’accord, sans savoir qui c’est ? Une fois que je t’aurai dit son prénom, tu ne pourras pas refuser.
- D’accord. Me dit-elle, sachant qu’elle n’aurait guère le choix. Je ne veux pas que tu me quittes.
Je la pris alors dans mes bras en lui disant :
- J’ai pensé à Jenna.
Jenna était sa petite sœur âgée d’un peu plus de 18 ans. A chaque fois que je la rencontrais, elle était aux petits soins pour moi. Dans ma tête, j’étais sûr qu’elle était secrètement amoureuse de moi. De plus Jenna était en admiration pour Alice, et elle semblait la craindre, ou tout du moins, admettre les choix ou les décisions qu’Alice prenait pour elle. Pour ne rien gâcher, je trouvais que Jenna était un peu plus attirante qu’Alice.
En entendant ce prénom, Alice sembla revivre. Elle n’aurait pas à me partager avec une étrangère, et elle savait qu’elle aurait l’ascendant sur sa sœur.
- Oh oui. M’annonça-t-elle en me sautant au cou.
- Mais je te préviens, tu as intérêt à y mettre du tien.
- Je te le promets, tu seras fière de moi.
J’avais l’impression de rêver, je lui annonçais que je voulais coucher avec sa sœur, et qu’elle devrait faire l’amour avec elle. Et Alice sautait de joie. Je ne comprendrai vraiment jamais les filles.
Dés le lendemain, Jenna devait venir passer huit jours de ses vacances scolaires avec nous. J’ai expliqué à Alice comment je voyais les choses, puis nous nous sommes couché, et avons fait l’amour comme jamais.
Sa sœur à peine arrivée, et installée dans la chambre d’amis, Alice lui proposa :
- Viens, on va déjà faire un peu de bronzette.
- Je n’ai pas prévu de maillot. Annonça Jenna.
- Ce n’est pas grave, tu feras comme moi, de l’intégral. Joshua n’aime pas voir des traces de maillot. Allez suis-moi à la salle de bain, on va se déshabiller.
Jenna suivit sa sœur, malgré qu’elle soit assez pudique, et qu’elle n’ait guère envie de se mettre intégralement nue.
J’avais imposé cette décision à Alice, pour que sa sœur n’ait pas accès à ses vêtements, une fois allongée sur la pelouse.
J’avais guetté les deux sœurs depuis une pièce à l’étage, et à peine les filles installées sur l’herbe, j’allai les rejoindre. Naturellement, en me voyant arrivé, Jenna cacha sa féminité avec ses bras.
- Qu’est-ce que tu fais ? La sermonna Alice. Tu ne vas pas te cacher ainsi toute la semaine, chaque fois que tu verras Joshua.
Et derechef, elle lui retira les bras, me dévoilant sa sœur dans sa troublante féminité.
Alice mit ensuite ses mains entre les cuisses de Jenna, pour l’empêcher de les croiser, et les pour lui faire écarter.
- Comme cela, il te verra mieux. Précisa-t-elle.
Lorsque je me fus bien régalé du spectacle, Alice continua.
- Bien, à présent, mets-toi sur le ventre, qu’il voie le reste de ton corps.
Une nouvelle fois Jenna obéit à sa grande sœur, et pris la pose demandée.
Cette fois aussi, Alice fit écarter les genoux à sa petite sœur. Mais cette pose ne lui suffisait pas.
- Attend ! Tu vas te mettre à genoux, mais garder le haut de ton corps contre le sol.
Alice savait que j’adorais la voir dans cette position de soumission, les fesses en exposition, et bien relevées. Jenna ne manifestait toujours pas la moindre envie de rébellion, et se soumettait à toutes les fantaisies de sa sœur. Lorsque qu’elle fut bien positionnée, Alice plaça ses mains sur le postérieur de Jenna, et lui écarta franchement les fesses, afin de bien exposer le petit trou de sa sœur à ma vue.
Je suppose que Jenna devait être rouge de confusion, mais elle ne disait rien.
Après quelques minutes de cette magnifique vision, Alice annonça alors à mon intention:
- Alors, comment trouves-tu ma petite sœur ?
- Pas mal. Répondis-je. Mais il y a quelque chose qui ne me plait pas. Et puis, il faudra voir si elle est aussi « gourmande » que toi.
Voyant de quoi je parlais, elle me répliqua :
- Je m’en occuperai tout à l’heure. Pour le reste, tu le sauras vite. Remarque, qu’elle t’a déjà donné un petit aperçu de sa « gourmandise. »
Puis à l’intention de sa sœur :
- Maintenant que Joshua t’a bien admiré sous toutes les coutures, tu n’auras plus besoin de te cacher en sa présence. On va pouvoir commencer la bronzette, mais avant, je vais te mettre de la crème solaire. Remets-toi sur le dos.
Pendant que Jenna se retournait, Alice alla à la maison chercher la crème. J’en profitai pour dire à Jenna, combien elle était désirable, et combien elle me plaisait. Jenna rougit un peu plus, et mais en profita tout de même pour bomber la poitrine, afin de me faire mieux apprécier celle-ci.
Jenna commença à mettre un peu de crème, mais uniquement sur les seins de sa sœur, en me disant :
- Tu vas t’occuper du haut, et moi du bas. Tu verras comme elle a la peau douce.
Je commençai donc à étaler la crème sur les seins exposés. De l’extrémité des doigts, j’étalai la crème en faisant des petits cercles tout autour des pointes, sans les toucher. Quand ces dernières commencèrent à gonfler sous mes caresses, je ne m’occupai plus que d’elles, en passant lentement mes mains, doigt par doigt et très lentement, sur ces extrémités très dures à présent.
Alice avait fini de s’occuper des cuisses de sa sœur depuis un bon moment, et me regardait faire avec un petit sourire.
- Il y a encore le reste à finir. Me dit-elle, en faisant couler le liquide sur le Mont de Vénus de Jenna.
J’aurais pu le faire, mais je voulais qu’Alice commence son éducation sexuelle entre filles.
- C’est toi qui va le faire, et je veux que tu sois très, très douce.
Elle savait ce que je voulais, et fit du mieux possible pour ne pas me décevoir. Ses mains allaient et venaient tout autour de l’intimité de sa sœur, sans vouloir y pénétrer. Enfin, elle se décida à y mettre un doigt, le faisant monter et descendre le long de la fente intime de Jenna. Lorsqu’il eut l’air de trouver ce qu’il cherchait, le doigt inquisiteur caressa plus intensément l’objet du délit. Pendant ce temps, Jenna avait fermé les yeux, et semblait profiter du moment présent. Je dus arrêter Alice avant qu’elle ne donne trop de plaisir à sa sœur.
- On dirait que tu es douée pour les massages. Lui dis-je alors. Il me semble que ta sœur à l’air bien excitée par tes caresses.
Alice n’osait pas me répondre, inquiète à ce que je pourrais lui demander pour la suite. Elle eut raison, car je la poussai encore à davantage.
- Vérifie si tu lui fais du bien, et tu goûteras son plaisir.
Au début avec Alice, je la caressais, puis je lui faisais sucer mes doigts juste après. Au départ, j’ai eu beaucoup de mal à obtenir ce que je voulais, mais à présent, il suffisait que je le lui demande, pour qu’elle se caresse elle-même, et suce ses doigts avec application.
Alice glissa donc son majeur entre les cuisses de sa sœur, puis le porta à sa bouche. Je lui demandai alors de faire la même chose pour sa sœur. Elle recommença son geste en glissant son doigt entre les lèvres intimes de sa sœur, puis le fit coulisser entre les lèvres du visage de Jenna. A ma grande surprise, cette dernière l’absorba sans broncher, en me toisant fièrement du regard, avec l’air de me dire « tu vois, je suis aussi douée que ma sœur. Tout ce qu’elle fait, je le ferai aussi. » J’étais aux anges.
J’en avais profité pour caresser Alice, et j’avais pu constater qu’elle aussi était très excitée. Je lui demandai alors de refaire la même chose avec son plaisir. Comme l’instant d’avant, elle se délecta de son bonheur, puis le fit déguster à sa sœur. Là non plus, Jenna ne refusa pas l’offrande de sa sœur.
J’étais excité au possible, mais ne voulais pas encore en profiter. Je proposai alors aux deux sœurs de bien profiter de leur bronzette. Je partis ensuite pour les observer discrètement. Je pensais qu’Alice allait continuer sur sa lancée, mais elle n’en fit rien. Les deux filles bavardèrent un moment, malheureusement sans que je puisse entendre ce qu’elles se disent, puis se laissèrent uniquement caresser par les rayons du soleil.
En fin d’après-midi, lorsque je les entendis dans la salle de bain, je me précipitai alors pour les voir. Je voulais les voir prendre la douche ensemble, malheureusement j’arrivai trop tard. Alice finissait de se sécher les cheveux, et Jenna s’essuyait. Ce que je voulais serait pour plus tard. Mais j’étais agréablement surpris de voir que Jenna était aussi lisse qu’Alice. Cette dernière avait rasé le « ticket de métro » de sa sœur qui me déplaisait tant.
Dés le début de notre rencontre, j’avais dit à Alice que je la voulais toujours intégralement épilée. Elle n’avait pas fait d’histoire, et depuis, elle était toujours aussi douce qu’à sa naissance.
Comme elles cherchaient leurs habits, je les arrêtai immédiatement en leur disant :
- Vous êtes trop belles toutes les deux, pour vous cacher dans vos habits. A présent, à la maison, vous resterez toujours comme vous êtes en ce moment, c'est-à-dire entièrement nues.
Les deux opinèrent simultanément du chef. Une nouvelle victoire pour moi.
Voyant qu’elles répondaient bien à mes sollicitations, j’en profitai pour leur imposer une nouvelle règle:
- Je ne veux plus vous voir les jambes croisées, ou les cuisses serrées. Vous êtes vraiment trop excitantes pour que je ne profite pas de la vue de vos corps splendides. Chaque fois que vous serez assises, debout ou même couchées, je devrai toujours pouvoir voir ou caresser votre intimité.
Quelques flagorneries ne pouvaient pas faire de mal. Nouvel accord silencieux de mes deux amoureuses. J’avais l’esprit de plus en plus serein pour la suite des événements, et j’allai leur faire passer un petit cap supplémentaire.
- Venez vers moi que je vous embrasse, je suis très fier de vous deux, pour la petite séance d’avant votre bronzette.
Je pris l’une et l’autre dans chacun de mes bras, et commençai par embrasser très tendrement mon officielle. J’offris le même cadeau à Jenna, qui se fit tout aussi câline qu’Alice.
- Vous aussi, vous pouvez être fière l’une de l’autre, et vous embrasser aussi comme je viens de le faire.
Elles s’approchèrent l’une de l’autre mais semblaient encore hésiter à franchir ce nouveau cap Comme leurs lèvres n’étaient plus qu’à quelques centimètres, je les poussai discrètement dans les bras l’une de l’autre. Les deux filles firent comme lorsqu’elles se disaient bonjour, et se prirent mutuellement dans leurs bras tendrement. La différence était qu’elles étaient entièrement nues, et qu’elles s’embrassèrent avec beaucoup de passion.
C’est vrai que j’avais de bonnes raisons d’être fier d’elles. De Jenna, car elle avait très bien réagi à mes sollicitations, et surtout à celles de sa sœur. Mais particulièrement d’Alice, qui n’avait jamais montré le moindre soupçon de jalousie, mais surtout qui avait abondé à chaque fois dans le sens de mes envies. Je ne m’étais pas trompé non plus sur Jenna, seule une fille amoureuse aurait accepté tout ce qu’il lui avait été demandé auparavant.
De nouveau émoustillé au plus haut point, je n’allais pas rester dans cet état éternellement. Je pris alors Alice à partie :
- Regarde dans quel état vous m’avez mis. Si tu montrais à Jenna ce qui me fait particulièrement plaisir, quand je suis comme ça.
Alice compris immédiatement le message, se mit à genoux, et invita sa sœur à faire de même. Elle prit ensuite une main de sa sœur, qu’elle plaça sur un côté de mon boxer, tandis qu’elle plaçait une des siennes de l’autre côté. Côte à côte, et dans un même ensemble, les deux sœurs firent coulisser mon vêtement vers le bas, libérant ainsi ma virilité, qui ne demandait qu’à voir le grand jour.
Jenna ne semblait jamais avoir vu de sexe de garçon, car elle resta de nombreuses secondes les yeux fixés sur le mien. Alice s’approcha et fit un tendre bisou à mon extrémité, puis elle approcha le visage de sa sœur en lui disant :
- Fais comme moi, commence par l’embrasser tendrement.
Jenna n’hésita qu’une fraction de seconde, puis posa ses lèvres à l’extrémité du membre offert. Je ne pense pas qu’elle eut déjà pratiqué, mais elle devait avoir une petite notion de ce qu’il fallait faire, car je sentis immédiatement la pointe de sa langue entrer en action.
Alice lui imprégna ensuite le mouvement et la cadence à adopter. Jenna n’eut pas le loisir de s’escrimer trop longtemps, car je ne pus contenir l’ardeur que je réfrénais depuis le début d’après-midi. Aussi, c’est sans aucune hésitation que je me libérai dans ce fourreau si savoureux.
- N’en perds pas une goutte. Conseilla Alice. Joshua n’aime pas cela.
Jenna avala donc tout mon plaisir, sans la moindre seule esquisse de refus. Bien au contraire elle me garda en bouche jusqu’à être sûre de ne rien gaspiller. Si Alice avait été bonne étudiante lors mes leçons, sa sœur l’était tout autant.
Pour féliciter sa sœur, Alice l’embrassa de nouveau à pleine bouche. Loin de se refuser, Jenna lui offrit ses lèvres. Elle me surprit même d’avantage dans son attitude, car je vis une de ses mains remonter et caresser les seins de sa sœur. Alice eut l’air un peu surprise, mais pour ne pas être en reste, elle fit de même. Je les laissai faire, et appréciai le si doux spectacle que les deux sœurs m’octroyaient. Après un petit moment, et voyant qu’elles ne semblaient pas vouloir en rester là, je leur proposai :
- Vous seriez mieux dans la chambre pour continuer.
De concert elles se levèrent, et main dans la main, allèrent directement s’étendre sur le lit.
Je demandai alors :
- Alice, si tu continuais le petit massage que tu avais commencé cet après-midi.
Elle embrassa sa sœur très tendrement tout en lui flattant les seins. Jenna était étendue, les cuisses bien écartées, jouissant doucement des caresses de sa sœur. J’exigeai ensuite qu’Alice se serve aussi de sa bouche.
Elle débuta par inonder de bisous un sein après l’autre. Puis ce fut sa langue qui prit le relais, en s’attardant particulièrement sur les pointes tendues. Si je ne la connaissais pas si bien, j’aurais pu croire qu’elle avait déjà pratiqué avec une autre fille. Mais je pense qu’elle m’avait bien observé, et reproduisait ce qui lui faisait le plus plaisir.
Une nouvelle fois Jenna me saisit par sa réaction, elle posa ses mains sur les épaules de sa sœur, et l’incita à descendre plus bas. Alice reçut le message 5 sur 5, et commença une longue reptation, sans avoir l’air choquée. Je pensais que ce serait plus difficile que cela, pour l’amener à faire une telle chose.
Les baisers se succédaient aux petits coups de langue, Jenna commençait à se trémousser sur le lit.
Vint le moment où la langue d’Alice approchait sérieusement du Mont de Vénus de sa sœur, comment Alice allait-elle réagir ? Je n’eus guère longtemps à attendre, car elle plongea directement dans l’antre bouillante, à la recherche du centre névralgique. Lorsqu’il l’eut trouvé, l’assaillant ne lui laissa guère de répit, l’attaquant de tous côtés, avec douceur ou avec fermeté. L’occupant finit alors par avoir raison de la résistance en place. Jenna après s’être tortillée dans tous les sens, délaissa les seins de sa sœur, pour bloquer sa tête dans la fourche de ses cuisses, et se laissa aller à un premier orgasme.
Lorsqu’elle eut un peu repris ses esprits, elle remercia sa sœur.
- Merci Alice, c’est la première fois que j’ai du plaisir, et c’est grâce à toi. J’espère qu’il y aura encore de nombreuses occasions comme celles-ci.
Alice accepta silencieusement le compliment, et remonta pour offrir un long baiser à sa sœur.
Il n’y avait que quelques heures que Jenna était là, et j’avais déjà obtenu presque tout ce que je souhaitais des deux filles.
Décidément Jenna était bien surprenante, elle m’annonça alors :
- Si tu me laisses quelques minutes de répit Joshua, j’aimerais que ce soit toi qui fasses de moi une vraie femme.
Dans mes plans, je n’avais pas prévu de prendre la virginité de Jenna. J’avais trop de respect pour ce cadeau intime, et je voulais qu’elle reste vierge pour l’homme de sa vie, comme sa sœur l’avait fait avec moi. Alice détendit alors l’atmosphère :
- Si elle en a envie, il n’y a pas de raison pour lui refuser, surtout après ce qu’elle vient de faire pour te faire plaisir.
Si Alice soutenait sa sœur, et que c’était le désir le plus cher de Jenna, je n’avais plus qu’à obtempérer. Il y avait des demandes bien plus difficiles à réaliser. Je proposai alors d’aller se restaurer pour que tout le monde reprenne des forces, d’autant qu’il était déjà passé 20 heures, cet après-midi était passé à une vitesse folle. De plus, excité comme je l’étais, je n’aurais pas pu me retenir longtemps, et Jenna aurait certainement été déçue par ce « baptême du feu ».
Après un repas assez simple mais régénérateur, nous avons décidé de prendre une douche les trois ensemble. Comme j’avais été le seul à me rhabiller, juste mon short, ma mise à nu a été assez rapide, mais l’objet d’un petit jeu entre les filles. Elles ont décidé chacune à leur tour, de faire descendre un peu mon vêtement avec leurs dents. Et pour me mettre en forme, bien je n’en n’ai guère besoin, pendant qu’une œuvrait à mon strip-tease, l’autre me faisait des petits bisous partout.
Arrivé dans la douche, les sœurs ont trouvé un nouveau jeu à mon égard : la douche froide. Pour calmer mon ardeur, et afin de ne pas décevoir Jenna lors de notre rapport, elles m’ont arrosé à l’eau froide jusqu’à ce que mon érection soit éteinte. Ceci fait, la douche pouvait débuter. Les deux sœurs prirent chacune un gant, et entamèrent mon lavage. Pendant que l’une s’occupait de mon côté pile, l’autre s’attaqua à mon côté face, puis elles inversèrent leurs rôles. Aucune partie de mon anatomie ne fut oublié, si bien que je me retrouvai rapidement en pleine forme. De nouveau, j’eus droit à une petite séance de douche froide.
Les deux sœurs entreprirent alors de se laver mutuellement. C’est Jenna qui commença par savonner sa grande sœur, mais plutôt que de prendre un gant, elle fit couler le gel douche sur sa poitrine, et se colla à Alice. De ses seins, Jenna frotta, ou plutôt caressa habilement, tout le corps de sa sœur, s’appliquant particulièrement lorsqu’ils atteignirent l’intimité d’Alice. Cette dernière ne resta pas insensible à ce doux manège, et en profita pour se caresser les siens. Jenna remplaça rapidement sa poitrine par sa bouche, et continua le travail commencé sur le petit bourgeon déjà fort sollicité. Alice ne tarda pas à atteindre l’extase, et le fit savoir par un râle éclatant. Ne voulant pas bénéficier d’un troisième jet d’eau fraîche, je proposai alors à mes compagnes de finir sur le lit.
Jenna se sachant au centre de l’épisode qui allait venir, demanda à sa sœur de lui refaire les mêmes cajoleries qu’avant le repas. Elle n’attendit même pas sa réponse, et ouvrit largement les cuisses dans une invite muette. Alice ne se fit pas prier, et plongea directement la tête en avant, pour satisfaire la demande de sa sœur.
Si Jenna au début semblait accepter tout de sa sœur, les rôles avaient tendances à présent à s’inverser : Alice acceptait peu à peu toutes les sollicitations de Jenna, qui prenait tout doucement de l’ascendant sur son aînée.
Une fois de plus Alice excita au plus au point Jenna, mais cette fois c’est moi qui allais lui donner du plaisir. Comme j’étais déjà droit comme un i, je m’allongeai sur le dos et invitai Jenna à s’allonger sur moi. Ce qu’elle fit sans tarder. Une fois en position je l’invitai à se frotter sur ma protubérance, et à me chevaucher lorsqu’elle se sentirait prête. Heureusement que son petit manège ne dura pas très longtemps, je n’aurais pas pu me retenir. Pendant tout ce temps, Alice s’était occupée à caresser le dos et les fesses de sa sœur.
Jenna se releva ensuite et se mit à genoux, son intimité juste au-dessus de la mienne. Elle remua et tâtonna à la recherche de la bonne position, une fois qu’elle pensa être bien positionnée, elle descendit tout doucement sur ma virilité. Je la vis se mordre doucement les lèvres lorsque nos deux bassins se rejoignirent. Quelques secondes de répit, puis elle commença ses ondulations de bas en haut. Mes mains s’accrochèrent directement à ses seins qui pointaient fièrement, et Alice glissa un doigt dans la fente de sa sœur, en suivant ses mouvements. Jenna s’agita ainsi sous nos caresses pendant quelques minutes, tout en secouant la tête dans tous les sens, et en poussant de petits cris, qui ressemblaient à des miaulements.
Un nouvel orgasme, peut-être plus puissant que le premier, la laissa affalée sur moi un long moment, avant qu’elle ne reprenne ses esprits.
- Si j’avais su que c’était cela, il y a longtemps que je ne serais plus vierge. Finit-elle par déclamer. J’en veux tous les jours maintenant, et même plusieurs fois.
Mais moi j’étais resté sur ma faim, j’attirai alors la bouche d’Alice pour qu’elle finisse l’ouvrage débuté par sa sœur. Je repris enfin mon état normal alors qu’Alice eut fini de déguster mon plaisir.
C’est ainsi que cette première journée se termina. Naturellement Jenna n’alla pas dormir dans la chambre d’ami, et c’est entre ces deux adorables créatures prêtes à tout pour mon plaisir que je m’endormis.
Le lendemain matin, c’est par les gloussements et les gesticulations des deux filles que je fus réveillé. Le temps que je sois complètement conscient, elles étaient en train de se faire un magnifique 69. Jenna était sous Alice, et un de ses doigts s’agitait frénétiquement dans le petit trou fessier de sa sœur. Lorsqu’elles eurent trouvé le bonheur, Alice après sa sœur, elles se cachèrent sous les draps. Je sentis alors leurs deux langues titiller toutes les parties de mon corps. L’une s’était attaquée à mon cou et faisait darder la pointe de mes seins à présent, tandis que l’autre venait de délaisser mes orteils, et remontait doucement. Leur point de jonction se fit bien naturellement sur mon service trois pièces. Je ne saurais dire laquelle s’occupait de quoi, car elles étaient aussi douces l’une que l’autre. Mes petites boules étaient choyées et câlinées, tandis que mon extrémité était aspirée goulûment. Puis je sentis un changement de position, l’une prenant la place de l’autre. Pendant ce temps, mes mains caressaient un sein, une fesse, ou un minou en fonction de ce qui se trouvait à leurs portées. Puis les deux langues se retrouvèrent au même endroit, se délectant d’abord l’une de l’autre, puis de moi. Lorsque je me libérai, je constatai qu’une seule m’avait aspiré, mais ne pus deviner laquelle. Ce n’est que lorsqu’elles refirent surface, que je pus voir que c’était Alice. Décidément Jenna prenait de plus en plus le pas sur sa sœur.
Ce n’est que l’après-midi, au cours de la séance de bronzette, que nos ébats reprirent. Alice proposa que Jenna fasse connaissance avec un nouveau plaisir : celui de la sodomie.
Couchée sur le ventre, les jambes écartées, ses fesses au centre des préoccupations de sa sœur, Jenna se laissait aller à une douce torpeur. Alice s’activait quant à elle, à préparer sa sœur pour la nouvelle pénétration qu’elle allait subir.
- Jenna, mets-toi donc à quatre pattes comme hier, en gardant le bas de ton corps prés du sol. Dis-je.
Cette dernière pris facilement la pose, les fesses, et en particulier son petit trou, bien en vue. Alice repris aussitôt ses caresses. La vue des deux sœurs ainsi à ma disposition, me mit dans un état incroyable, mais j’en exigeai d’avantage à Alice.
- Sert toi de ta langue. Annonçai-je alors sur un ton assez ferme. Tu commenceras par son minou, puis tu remonteras tout doucement.
Alice n’avait jamais fait cela, et semblait en éprouver une certaine réticence. Après quelques secondes de réflexion, elle lança timidement sa langue entre les cuisses de sa sœur. Elle ne semblait pas vouloir quitter la fente intime, mais se décida tout de même à relever sa tête. Elle fit ensuite remonter sa langue entre les 2 monticules, puis s’arrêta là ou je le désirais. Ayant vaincu sa première appréhension, elle tournoya doucement autour du petit trou, en rentrant sa langue, ou en redescendant vers le minou, afin de bien l’humidifier. Elle repartait ensuite à l’assaut, en la faisant pénétrer à chaque fois un peu plus en profondeur. Jenna ne semblait pas goûter spécialement à ce traitement, mais se laissait faire patiemment. A un moment donné, les deux sœurs semblaient collées l’une à l’autre par un lien invisible, mais je voyais au visage d’Alice, qu’elle s’activait du mieux possible pour donner du plaisir à sa sœur.
- Tu peux la préparer avec tes doigts à présent. Dis-je à Alice qui parut soulagée.
Elle ne se le fit pas dire deux fois, et dans la seconde suivante, un index d’Alice pénétra dans la cavité sombre. Après plusieurs aller et retour, un deuxième doigt vint à la rescousse du premier. Jenna se balançait doucement au rythme de la main de sa sœur, je pensai qu’elle était prête à me recevoir. Je m’approchai du visage d’Alice, qui me prit immédiatement en bouche pour bien me lubrifier. Mon entrée se fit sans aucun problème, Alice avait bien préparé le terrain. Je m’accrochai alors au hanches de Jenna, et commençai alors à de doux mouvements de va et vient. En même temps, j’invitai Alice à caresser le clitoris de sa sœur. Malgré mes efforts, assistés par ceux d’Alice, il ne me semblait pas que Jenna appréciait cette pénétration. Je finis par me libérer sans que Jenna ne semble ressentir le moindre plaisir. Lorsque je me fus retiré, Jenna annonça alors d’un air désolé :
- A priori, je ne suis pas douée pour cela. Mais tu pourras toujours profiter de ma sœur à chaque fois que tu le désireras.
Alors que c’est moi qui aurais dû être vexé, c’est Jenna qui s’excusait de ne pas avoir prit son pied.
C’était mon premier échec pendant ces deux jours, et mon honneur de mâle était un peu mis à mal. Je me promis de tout faire pour relever cet affront avant la fin de la semaine.
Cette semaine passa trop vite. Je pouvais demander ce que je voulais aux deux filles, elles me l’accordaient sans problème. Je n’eus pas l’occasion d’essayer à nouveau de faire jouir Jenna par derrière, mais je pus me consoler souvent entre les reins de sa sœur.
Avant de nous quitter le dimanche soir, Jenna me stupéfia une ultime fois en disant :
- Ce serait bien d’inviter une autre fille.
- Pourquoi pas. Répondis-je alors machinalement.
Pour remercier les deux filles de la semaine de bonheur qu’elles m’avaient offert, je leur remis un présent à chacune. Pour Jenna, c’était des boules de Geisha, et pour Alice un plug anal. Ni l’une ni l’autre ne savaient à quoi pouvait bien servir ces drôles d’objet. Je le leur montrai en les plaçant directement à l’endroit où ils étaient prévu, et en leur précisant qu’elles devaient le garder 24 heures sur 24. Elles me sautèrent immédiatement au cou pour un baiser à trois des plus passionnés.
Les semaines à présent se suivaient et se ressemblaient. Chaque week-end Jenna venait le passer avec nous, et ce n’était que parties de plaisir à n’en plus finir. Jenna commandait à présent, de plus en plus souvent sa sœur. Alice était de plus en plus fréquemment sollicitée pour nous donner du plaisir à Jenna et moi.
Leurs parents étaient heureux que les deux sœurs soient si proches, s’ils avaient pu se douter de ce qui se passait, ils ne seraient pas si fiers.
Un dimanche Jenna nous annonça :
- J’ai une amie dans ma classe que j’aimerais vous présenter, il s’agit de Clémentine. D’après certains au lycée, elle est déjà sortie avec des garçons, mais il semblerait qu’elle préfère les filles. De plus je pense que je lui plais beaucoup, et qu’elle aimerait sortir avec moi. Elle s’inquiète toujours de moi, de savoir si je suis bien, et si je n’ai besoin de rien. Après chaque cours de gym, elle est toujours vers moi à la douche, et me regarde toujours bizarrement. De plus voyant que j’étais épilée, et lui ayant dit que c’était plus beau et plus hygiénique, le cours suivant elle a tenu à me montrer qu’elle était aussi glabre que moi. Si tu veux Joshua, je viendrai avec elle samedi prochain.
Il y un moment maintenant que Jenna ne prenait plus l’avis de sa sœur, pour elle, seul le mien comptait. Je lui répondis qu’elle pouvait l’emmener, et que nous verrions de quoi elle était capable.
Comme convenu, Jenna arriva le samedi d’après avec Clémentine, Clem comme elle l’appelait. C’était une belle fille, âgée elle aussi de 18 ans, qui couvait littéralement Jenna du regard. Si elle n’était pas amoureuse de ma belle-sœur, je n’y connaissais plus rien.
Après avoir fait les présentations, et émis quelques banalités, Jenna attaqua directement dans le vif du sujet qui nous intéressait :
- Est-ce que je peux te poser quelques questions indiscrètes Clem ?
Celle-ci parut un eu gênée, mais répondit par l’affirmative.
- C’est vrai que tu préfères les filles ? Ne sois pas gênée pour répondre, moi j’aime autant faire l’amour avec ma sœur qu’avec Joshua.
On ne pouvait pas être plus franc, ni plus direct.
Après quelques secondes de gêne, Clem répondit que les rumeurs qui courraient sur elles étaient bien fondées. Qu’elle rêvait de sortir avec une fille en particulier, mais qu’elle n’avait pas encore osé lui en parler.
Jenna ne la laissa pas aller plus loin, et lui posa une nouvelle fois une question franche et embarrassante :
- Est-ce que cette fille, ça ne serait pas moi par hasard ?
Clem était vraiment mal à l’aise devant tant de sincérité. Après plusieurs minutes de silence, elle répondit un petit « oui » timidement.
Jenna continua son monologue avec autant de spontanéité.
- Tu me plais beaucoup, et je pense que tu plais beaucoup à Joshua et à ma sœur également. Tu sais, je suis très exigeante, et je veux bien sortir avec toi, à condition que tu fasses tout ce que je te demande sans te poser de questions. Est-ce que tu es d’accord pour tout faire ce que je te désirerai pour me faire plaisir?
Clem ne mit qu’un court instant pour répondre favorablement. On aurait pu croire qu’elle n’attendait que cela.
Jenna l’embrassa franchement, et lui passa directement une main sur les seins.
Une Jenna plus autoritaire que je ne l’avait vu jusqu’à présent, annonça :
- Et bien pour le prouver, tu vas commencer par te mettre nue. C’est comme cela que l’on vit habituellement ici.
Clem écouta Jenna et commença à se dévêtir face à elle. Jenna la prit par les épaules, et la retourna face à moi en lui disant :
- Moi je t’ai déjà vu nue, c’est à Joshua qu’il faut que tu montres comme tu es faite.
Je vis dans les yeux de Clem que cela lui plaisait moins, mais elle continua tout de même son strip-tease. Une fois entièrement nue, elle eut un réflexe de pudeur, et tenta de dissimulé sa nudité avec ses bras. Jenna s’interposa une nouvelle fois, en lui enlevant ses caches.
- Je t’ai dis que l’on vivait nue ici, il faut que tu t’habitues.
Après quelques secondes, le temps que j’apprécie le spectacle, elle lui demanda de se retourner, afin que j’admire également son dos et ses fesses. Pour la faire patienter pendant ce temps, Jenna se colla à Clem, et l’embrassa tendrement.
- Maintenant tu vas déshabiller Alice, et moi ensuite. Ordonna Jenna.
Si pour Alice ce fut assez rapide, Clem prit davantage son temps pour dénuder Jenna. Lorsqu’elle fut nue, Jenna ordonna à Clem de lui embrasser la poitrine. Sans hésiter, Clem ne pencha un peu et dorlota les seins de Jenna de la pointe de sa langue.
- Embrasse-les, tête-les, suce-les. Commanda Jenna. J’adore cela.
Lorsqu’elle en eut assez, Jenna appuya doucement sur les épaules de son amie, jusqu’à ce qu’elle fut à genoux. Sa tête se trouvant juste au niveau de l’intimité de Jenna, Clem se doutait de ce que Jenna attendait. Sans marquer la moindre hésitation, elle approcha ses lèvres du Mont de Vénus, et lui fit de nombreux bisous. Jenna appréciait, mais était impatiente de plus de participation.
- Ta langue maintenant. Exigea-t-elle.
Clem ne marquait toujours pas la moindre réticence, soit elle était vraiment très amoureuse de Jenna, soit l’obéissance était sa seconde nature. Ce n’était pas pour me déplaire, ni à Jenna d’ailleurs non plus.
La langue de Clem s’engagea alors directement dans l’intimité de Jenna, et commença à parcourir tous les recoins. Sentant qu’elle commençait à y prendre plaisir, Jenna s’allongea sur le dos à même le sol, pour être plus à l’aise. Dans le même temps, elle enjoignit à sa camarade de classe de continuer à quatre pattes. Clem n’avait guère le choix, son visage était entre les cuisses de Jenna, et reposant sur ses genoux, elle m’offrait le spectacle de son fessier bien exposé.
Je fis alors un signe discret à Alice, qui n’avait été jusqu’à présent que spectatrice, lui expliquant ce que je voulais. Alice se mit à genoux à côté de Clem, et lui écarta bien les genoux. Cette fois la position était parfaite, et j’avais le bas-ventre en feu.
Après avoir bien profité du tableau, je pris la tête d’Alice, et l’approchai des fesses offertes. Cette dernière sut immédiatement ce que j’attendais d’elle. Comme elle l’avait fait lors de l’initiation à la sodomie de Jenna, Alice plongea la langue en avant, mais cette fois sans retenue.
Clem marqua une petite surprise lorsque la langue pénétra entre ses fesses, mais reprit immédiatement ce la besogne qu’elle venait d’abandonner.
Pour gagner du temps, je m’étais déshabillé, et j’attendais le moment propice. Lorsque celui-ci arriva, Alice me prit quelques secondes dans sa bouche, et me guida à l’ouverture qui m’attendait. Je pénétrai alors Clem doucement pour ne pas lui faire mal. Alice avait bien fait son travail, ou alors Clem avait déjà pratiqué cette position, car je pus m’introduire sans difficultés. Clem qui se doutait de ce qui l’attendait, m’avait également bien facilité les choses. Son corps s’agitait maintenant au rythme de mes secousses, en les répercutant via sa tête et sa langue, à l’intimité de Jenna.
Le tableau était presque complet, seule Alice n’y participait pas. Mais il n’y avait pas de raison, pour qu’elle n’ait pas elle aussi sa part de bonheur. Je lui fis alors signe de se mettre à genoux au dessus du visage de sa sœur.
Maintenant tout était bien. Jenna léchait sa sœur, Clem léchait Jenna, et moi je m’activais entre les fesses de Clem. Naturellement je fus le premier à prendre mon plaisir, un tel spectacle ne pouvait que faire craquer ma résistance rapidement. Jenna se lâcha très peu de temps après moi. Mais comme elle n’était plus en état de satisfaire sa sœur, elle obligea les deux dernières participantes à parvenir à leurs fins en position de 69. Clem parut déçue de ne pas continuer avec Jenna, mais n’osa pas la contrarier. Alice et Clem continuèrent alors seules, pendant que Jenna et moi continuions à profiter de la vue des deux corps emmêlés. A même pas quelques secondes d’intervalle, les deux filles lâchèrent un râle de libération.
Clem avait bien réussi son examen d’entrée.
Nous passions à présent presque tous nos week-ends à quatre, Alice et Clem faisaient tout ce que leur demandait à Jenna, et moi j’étais chef de cette magnifique troupe. De plus je n’avais pas à demander quoi que ce soit. Jenna semblait avoir un don de voyance, et prévenait tous mes désirs, soit par l’intermédiaire d’Alice, soit par celui de Clem. De plus elle avait une imagination débordante dans le domaine des plaisirs sexuels. Il m’arrivait parfois de lui demander de freiner son ardeur, le temps que je reprenne des forces. Elle ne se calmait que lorsque les deux autres filles l’avaient comblé de jouissance.
J’étais le plus heureux des hommes, mais c’était sans compter sur les envies de Jenna. Elle avait déjà repérer une autre fille qu’elle promit de m’amener bientôt.
Mais ce récit sera pour une autre fois. Je vous laisse, Jenna à une surprise pour moi.
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Mais comme j’étais têtu et obstiné, je lui avais posé un ultimatum : Elle avait un mois pour changer d’avis, et me présenter une de ses amies pour un câlin à trois, sinon je la renvoyais chez ses parents. Mais comme je tenais tout de même à elle, je lui avais laissé une porte de sortie : si elle était d’accord à trois, mais qu’elle n’ait pas trouvé de fille, c’est moi qui lui en proposerais une, mais elle ne pourrait pas refuser.
La date fatidique arrivant, je lui avais demandé :
- Est-ce que tu as changé d’avis ? Et, est-ce que tu vas me présenter une de tes amies ?
- Je veux bien essayer, mais je ne connais personne. Me répondit-elle.
- Tu connais la sanction : je te présente quelqu’un ou je te largue.
Devant son air contrit, et la voyant avec les yeux au bord des larmes, je lui annonçai alors.
- J’ai une petite idée pour la fille. Mais, est-ce que tu es d’accord, sans savoir qui c’est ? Une fois que je t’aurai dit son prénom, tu ne pourras pas refuser.
- D’accord. Me dit-elle, sachant qu’elle n’aurait guère le choix. Je ne veux pas que tu me quittes.
Je la pris alors dans mes bras en lui disant :
- J’ai pensé à Jenna.
Jenna était sa petite sœur âgée d’un peu plus de 18 ans. A chaque fois que je la rencontrais, elle était aux petits soins pour moi. Dans ma tête, j’étais sûr qu’elle était secrètement amoureuse de moi. De plus Jenna était en admiration pour Alice, et elle semblait la craindre, ou tout du moins, admettre les choix ou les décisions qu’Alice prenait pour elle. Pour ne rien gâcher, je trouvais que Jenna était un peu plus attirante qu’Alice.
En entendant ce prénom, Alice sembla revivre. Elle n’aurait pas à me partager avec une étrangère, et elle savait qu’elle aurait l’ascendant sur sa sœur.
- Oh oui. M’annonça-t-elle en me sautant au cou.
- Mais je te préviens, tu as intérêt à y mettre du tien.
- Je te le promets, tu seras fière de moi.
J’avais l’impression de rêver, je lui annonçais que je voulais coucher avec sa sœur, et qu’elle devrait faire l’amour avec elle. Et Alice sautait de joie. Je ne comprendrai vraiment jamais les filles.
Dés le lendemain, Jenna devait venir passer huit jours de ses vacances scolaires avec nous. J’ai expliqué à Alice comment je voyais les choses, puis nous nous sommes couché, et avons fait l’amour comme jamais.
Sa sœur à peine arrivée, et installée dans la chambre d’amis, Alice lui proposa :
- Viens, on va déjà faire un peu de bronzette.
- Je n’ai pas prévu de maillot. Annonça Jenna.
- Ce n’est pas grave, tu feras comme moi, de l’intégral. Joshua n’aime pas voir des traces de maillot. Allez suis-moi à la salle de bain, on va se déshabiller.
Jenna suivit sa sœur, malgré qu’elle soit assez pudique, et qu’elle n’ait guère envie de se mettre intégralement nue.
J’avais imposé cette décision à Alice, pour que sa sœur n’ait pas accès à ses vêtements, une fois allongée sur la pelouse.
J’avais guetté les deux sœurs depuis une pièce à l’étage, et à peine les filles installées sur l’herbe, j’allai les rejoindre. Naturellement, en me voyant arrivé, Jenna cacha sa féminité avec ses bras.
- Qu’est-ce que tu fais ? La sermonna Alice. Tu ne vas pas te cacher ainsi toute la semaine, chaque fois que tu verras Joshua.
Et derechef, elle lui retira les bras, me dévoilant sa sœur dans sa troublante féminité.
Alice mit ensuite ses mains entre les cuisses de Jenna, pour l’empêcher de les croiser, et les pour lui faire écarter.
- Comme cela, il te verra mieux. Précisa-t-elle.
Lorsque je me fus bien régalé du spectacle, Alice continua.
- Bien, à présent, mets-toi sur le ventre, qu’il voie le reste de ton corps.
Une nouvelle fois Jenna obéit à sa grande sœur, et pris la pose demandée.
Cette fois aussi, Alice fit écarter les genoux à sa petite sœur. Mais cette pose ne lui suffisait pas.
- Attend ! Tu vas te mettre à genoux, mais garder le haut de ton corps contre le sol.
Alice savait que j’adorais la voir dans cette position de soumission, les fesses en exposition, et bien relevées. Jenna ne manifestait toujours pas la moindre envie de rébellion, et se soumettait à toutes les fantaisies de sa sœur. Lorsque qu’elle fut bien positionnée, Alice plaça ses mains sur le postérieur de Jenna, et lui écarta franchement les fesses, afin de bien exposer le petit trou de sa sœur à ma vue.
Je suppose que Jenna devait être rouge de confusion, mais elle ne disait rien.
Après quelques minutes de cette magnifique vision, Alice annonça alors à mon intention:
- Alors, comment trouves-tu ma petite sœur ?
- Pas mal. Répondis-je. Mais il y a quelque chose qui ne me plait pas. Et puis, il faudra voir si elle est aussi « gourmande » que toi.
Voyant de quoi je parlais, elle me répliqua :
- Je m’en occuperai tout à l’heure. Pour le reste, tu le sauras vite. Remarque, qu’elle t’a déjà donné un petit aperçu de sa « gourmandise. »
Puis à l’intention de sa sœur :
- Maintenant que Joshua t’a bien admiré sous toutes les coutures, tu n’auras plus besoin de te cacher en sa présence. On va pouvoir commencer la bronzette, mais avant, je vais te mettre de la crème solaire. Remets-toi sur le dos.
Pendant que Jenna se retournait, Alice alla à la maison chercher la crème. J’en profitai pour dire à Jenna, combien elle était désirable, et combien elle me plaisait. Jenna rougit un peu plus, et mais en profita tout de même pour bomber la poitrine, afin de me faire mieux apprécier celle-ci.
Jenna commença à mettre un peu de crème, mais uniquement sur les seins de sa sœur, en me disant :
- Tu vas t’occuper du haut, et moi du bas. Tu verras comme elle a la peau douce.
Je commençai donc à étaler la crème sur les seins exposés. De l’extrémité des doigts, j’étalai la crème en faisant des petits cercles tout autour des pointes, sans les toucher. Quand ces dernières commencèrent à gonfler sous mes caresses, je ne m’occupai plus que d’elles, en passant lentement mes mains, doigt par doigt et très lentement, sur ces extrémités très dures à présent.
Alice avait fini de s’occuper des cuisses de sa sœur depuis un bon moment, et me regardait faire avec un petit sourire.
- Il y a encore le reste à finir. Me dit-elle, en faisant couler le liquide sur le Mont de Vénus de Jenna.
J’aurais pu le faire, mais je voulais qu’Alice commence son éducation sexuelle entre filles.
- C’est toi qui va le faire, et je veux que tu sois très, très douce.
Elle savait ce que je voulais, et fit du mieux possible pour ne pas me décevoir. Ses mains allaient et venaient tout autour de l’intimité de sa sœur, sans vouloir y pénétrer. Enfin, elle se décida à y mettre un doigt, le faisant monter et descendre le long de la fente intime de Jenna. Lorsqu’il eut l’air de trouver ce qu’il cherchait, le doigt inquisiteur caressa plus intensément l’objet du délit. Pendant ce temps, Jenna avait fermé les yeux, et semblait profiter du moment présent. Je dus arrêter Alice avant qu’elle ne donne trop de plaisir à sa sœur.
- On dirait que tu es douée pour les massages. Lui dis-je alors. Il me semble que ta sœur à l’air bien excitée par tes caresses.
Alice n’osait pas me répondre, inquiète à ce que je pourrais lui demander pour la suite. Elle eut raison, car je la poussai encore à davantage.
- Vérifie si tu lui fais du bien, et tu goûteras son plaisir.
Au début avec Alice, je la caressais, puis je lui faisais sucer mes doigts juste après. Au départ, j’ai eu beaucoup de mal à obtenir ce que je voulais, mais à présent, il suffisait que je le lui demande, pour qu’elle se caresse elle-même, et suce ses doigts avec application.
Alice glissa donc son majeur entre les cuisses de sa sœur, puis le porta à sa bouche. Je lui demandai alors de faire la même chose pour sa sœur. Elle recommença son geste en glissant son doigt entre les lèvres intimes de sa sœur, puis le fit coulisser entre les lèvres du visage de Jenna. A ma grande surprise, cette dernière l’absorba sans broncher, en me toisant fièrement du regard, avec l’air de me dire « tu vois, je suis aussi douée que ma sœur. Tout ce qu’elle fait, je le ferai aussi. » J’étais aux anges.
J’en avais profité pour caresser Alice, et j’avais pu constater qu’elle aussi était très excitée. Je lui demandai alors de refaire la même chose avec son plaisir. Comme l’instant d’avant, elle se délecta de son bonheur, puis le fit déguster à sa sœur. Là non plus, Jenna ne refusa pas l’offrande de sa sœur.
J’étais excité au possible, mais ne voulais pas encore en profiter. Je proposai alors aux deux sœurs de bien profiter de leur bronzette. Je partis ensuite pour les observer discrètement. Je pensais qu’Alice allait continuer sur sa lancée, mais elle n’en fit rien. Les deux filles bavardèrent un moment, malheureusement sans que je puisse entendre ce qu’elles se disent, puis se laissèrent uniquement caresser par les rayons du soleil.
En fin d’après-midi, lorsque je les entendis dans la salle de bain, je me précipitai alors pour les voir. Je voulais les voir prendre la douche ensemble, malheureusement j’arrivai trop tard. Alice finissait de se sécher les cheveux, et Jenna s’essuyait. Ce que je voulais serait pour plus tard. Mais j’étais agréablement surpris de voir que Jenna était aussi lisse qu’Alice. Cette dernière avait rasé le « ticket de métro » de sa sœur qui me déplaisait tant.
Dés le début de notre rencontre, j’avais dit à Alice que je la voulais toujours intégralement épilée. Elle n’avait pas fait d’histoire, et depuis, elle était toujours aussi douce qu’à sa naissance.
Comme elles cherchaient leurs habits, je les arrêtai immédiatement en leur disant :
- Vous êtes trop belles toutes les deux, pour vous cacher dans vos habits. A présent, à la maison, vous resterez toujours comme vous êtes en ce moment, c'est-à-dire entièrement nues.
Les deux opinèrent simultanément du chef. Une nouvelle victoire pour moi.
Voyant qu’elles répondaient bien à mes sollicitations, j’en profitai pour leur imposer une nouvelle règle:
- Je ne veux plus vous voir les jambes croisées, ou les cuisses serrées. Vous êtes vraiment trop excitantes pour que je ne profite pas de la vue de vos corps splendides. Chaque fois que vous serez assises, debout ou même couchées, je devrai toujours pouvoir voir ou caresser votre intimité.
Quelques flagorneries ne pouvaient pas faire de mal. Nouvel accord silencieux de mes deux amoureuses. J’avais l’esprit de plus en plus serein pour la suite des événements, et j’allai leur faire passer un petit cap supplémentaire.
- Venez vers moi que je vous embrasse, je suis très fier de vous deux, pour la petite séance d’avant votre bronzette.
Je pris l’une et l’autre dans chacun de mes bras, et commençai par embrasser très tendrement mon officielle. J’offris le même cadeau à Jenna, qui se fit tout aussi câline qu’Alice.
- Vous aussi, vous pouvez être fière l’une de l’autre, et vous embrasser aussi comme je viens de le faire.
Elles s’approchèrent l’une de l’autre mais semblaient encore hésiter à franchir ce nouveau cap Comme leurs lèvres n’étaient plus qu’à quelques centimètres, je les poussai discrètement dans les bras l’une de l’autre. Les deux filles firent comme lorsqu’elles se disaient bonjour, et se prirent mutuellement dans leurs bras tendrement. La différence était qu’elles étaient entièrement nues, et qu’elles s’embrassèrent avec beaucoup de passion.
C’est vrai que j’avais de bonnes raisons d’être fier d’elles. De Jenna, car elle avait très bien réagi à mes sollicitations, et surtout à celles de sa sœur. Mais particulièrement d’Alice, qui n’avait jamais montré le moindre soupçon de jalousie, mais surtout qui avait abondé à chaque fois dans le sens de mes envies. Je ne m’étais pas trompé non plus sur Jenna, seule une fille amoureuse aurait accepté tout ce qu’il lui avait été demandé auparavant.
De nouveau émoustillé au plus haut point, je n’allais pas rester dans cet état éternellement. Je pris alors Alice à partie :
- Regarde dans quel état vous m’avez mis. Si tu montrais à Jenna ce qui me fait particulièrement plaisir, quand je suis comme ça.
Alice compris immédiatement le message, se mit à genoux, et invita sa sœur à faire de même. Elle prit ensuite une main de sa sœur, qu’elle plaça sur un côté de mon boxer, tandis qu’elle plaçait une des siennes de l’autre côté. Côte à côte, et dans un même ensemble, les deux sœurs firent coulisser mon vêtement vers le bas, libérant ainsi ma virilité, qui ne demandait qu’à voir le grand jour.
Jenna ne semblait jamais avoir vu de sexe de garçon, car elle resta de nombreuses secondes les yeux fixés sur le mien. Alice s’approcha et fit un tendre bisou à mon extrémité, puis elle approcha le visage de sa sœur en lui disant :
- Fais comme moi, commence par l’embrasser tendrement.
Jenna n’hésita qu’une fraction de seconde, puis posa ses lèvres à l’extrémité du membre offert. Je ne pense pas qu’elle eut déjà pratiqué, mais elle devait avoir une petite notion de ce qu’il fallait faire, car je sentis immédiatement la pointe de sa langue entrer en action.
Alice lui imprégna ensuite le mouvement et la cadence à adopter. Jenna n’eut pas le loisir de s’escrimer trop longtemps, car je ne pus contenir l’ardeur que je réfrénais depuis le début d’après-midi. Aussi, c’est sans aucune hésitation que je me libérai dans ce fourreau si savoureux.
- N’en perds pas une goutte. Conseilla Alice. Joshua n’aime pas cela.
Jenna avala donc tout mon plaisir, sans la moindre seule esquisse de refus. Bien au contraire elle me garda en bouche jusqu’à être sûre de ne rien gaspiller. Si Alice avait été bonne étudiante lors mes leçons, sa sœur l’était tout autant.
Pour féliciter sa sœur, Alice l’embrassa de nouveau à pleine bouche. Loin de se refuser, Jenna lui offrit ses lèvres. Elle me surprit même d’avantage dans son attitude, car je vis une de ses mains remonter et caresser les seins de sa sœur. Alice eut l’air un peu surprise, mais pour ne pas être en reste, elle fit de même. Je les laissai faire, et appréciai le si doux spectacle que les deux sœurs m’octroyaient. Après un petit moment, et voyant qu’elles ne semblaient pas vouloir en rester là, je leur proposai :
- Vous seriez mieux dans la chambre pour continuer.
De concert elles se levèrent, et main dans la main, allèrent directement s’étendre sur le lit.
Je demandai alors :
- Alice, si tu continuais le petit massage que tu avais commencé cet après-midi.
Elle embrassa sa sœur très tendrement tout en lui flattant les seins. Jenna était étendue, les cuisses bien écartées, jouissant doucement des caresses de sa sœur. J’exigeai ensuite qu’Alice se serve aussi de sa bouche.
Elle débuta par inonder de bisous un sein après l’autre. Puis ce fut sa langue qui prit le relais, en s’attardant particulièrement sur les pointes tendues. Si je ne la connaissais pas si bien, j’aurais pu croire qu’elle avait déjà pratiqué avec une autre fille. Mais je pense qu’elle m’avait bien observé, et reproduisait ce qui lui faisait le plus plaisir.
Une nouvelle fois Jenna me saisit par sa réaction, elle posa ses mains sur les épaules de sa sœur, et l’incita à descendre plus bas. Alice reçut le message 5 sur 5, et commença une longue reptation, sans avoir l’air choquée. Je pensais que ce serait plus difficile que cela, pour l’amener à faire une telle chose.
Les baisers se succédaient aux petits coups de langue, Jenna commençait à se trémousser sur le lit.
Vint le moment où la langue d’Alice approchait sérieusement du Mont de Vénus de sa sœur, comment Alice allait-elle réagir ? Je n’eus guère longtemps à attendre, car elle plongea directement dans l’antre bouillante, à la recherche du centre névralgique. Lorsqu’il l’eut trouvé, l’assaillant ne lui laissa guère de répit, l’attaquant de tous côtés, avec douceur ou avec fermeté. L’occupant finit alors par avoir raison de la résistance en place. Jenna après s’être tortillée dans tous les sens, délaissa les seins de sa sœur, pour bloquer sa tête dans la fourche de ses cuisses, et se laissa aller à un premier orgasme.
Lorsqu’elle eut un peu repris ses esprits, elle remercia sa sœur.
- Merci Alice, c’est la première fois que j’ai du plaisir, et c’est grâce à toi. J’espère qu’il y aura encore de nombreuses occasions comme celles-ci.
Alice accepta silencieusement le compliment, et remonta pour offrir un long baiser à sa sœur.
Il n’y avait que quelques heures que Jenna était là, et j’avais déjà obtenu presque tout ce que je souhaitais des deux filles.
Décidément Jenna était bien surprenante, elle m’annonça alors :
- Si tu me laisses quelques minutes de répit Joshua, j’aimerais que ce soit toi qui fasses de moi une vraie femme.
Dans mes plans, je n’avais pas prévu de prendre la virginité de Jenna. J’avais trop de respect pour ce cadeau intime, et je voulais qu’elle reste vierge pour l’homme de sa vie, comme sa sœur l’avait fait avec moi. Alice détendit alors l’atmosphère :
- Si elle en a envie, il n’y a pas de raison pour lui refuser, surtout après ce qu’elle vient de faire pour te faire plaisir.
Si Alice soutenait sa sœur, et que c’était le désir le plus cher de Jenna, je n’avais plus qu’à obtempérer. Il y avait des demandes bien plus difficiles à réaliser. Je proposai alors d’aller se restaurer pour que tout le monde reprenne des forces, d’autant qu’il était déjà passé 20 heures, cet après-midi était passé à une vitesse folle. De plus, excité comme je l’étais, je n’aurais pas pu me retenir longtemps, et Jenna aurait certainement été déçue par ce « baptême du feu ».
Après un repas assez simple mais régénérateur, nous avons décidé de prendre une douche les trois ensemble. Comme j’avais été le seul à me rhabiller, juste mon short, ma mise à nu a été assez rapide, mais l’objet d’un petit jeu entre les filles. Elles ont décidé chacune à leur tour, de faire descendre un peu mon vêtement avec leurs dents. Et pour me mettre en forme, bien je n’en n’ai guère besoin, pendant qu’une œuvrait à mon strip-tease, l’autre me faisait des petits bisous partout.
Arrivé dans la douche, les sœurs ont trouvé un nouveau jeu à mon égard : la douche froide. Pour calmer mon ardeur, et afin de ne pas décevoir Jenna lors de notre rapport, elles m’ont arrosé à l’eau froide jusqu’à ce que mon érection soit éteinte. Ceci fait, la douche pouvait débuter. Les deux sœurs prirent chacune un gant, et entamèrent mon lavage. Pendant que l’une s’occupait de mon côté pile, l’autre s’attaqua à mon côté face, puis elles inversèrent leurs rôles. Aucune partie de mon anatomie ne fut oublié, si bien que je me retrouvai rapidement en pleine forme. De nouveau, j’eus droit à une petite séance de douche froide.
Les deux sœurs entreprirent alors de se laver mutuellement. C’est Jenna qui commença par savonner sa grande sœur, mais plutôt que de prendre un gant, elle fit couler le gel douche sur sa poitrine, et se colla à Alice. De ses seins, Jenna frotta, ou plutôt caressa habilement, tout le corps de sa sœur, s’appliquant particulièrement lorsqu’ils atteignirent l’intimité d’Alice. Cette dernière ne resta pas insensible à ce doux manège, et en profita pour se caresser les siens. Jenna remplaça rapidement sa poitrine par sa bouche, et continua le travail commencé sur le petit bourgeon déjà fort sollicité. Alice ne tarda pas à atteindre l’extase, et le fit savoir par un râle éclatant. Ne voulant pas bénéficier d’un troisième jet d’eau fraîche, je proposai alors à mes compagnes de finir sur le lit.
Jenna se sachant au centre de l’épisode qui allait venir, demanda à sa sœur de lui refaire les mêmes cajoleries qu’avant le repas. Elle n’attendit même pas sa réponse, et ouvrit largement les cuisses dans une invite muette. Alice ne se fit pas prier, et plongea directement la tête en avant, pour satisfaire la demande de sa sœur.
Si Jenna au début semblait accepter tout de sa sœur, les rôles avaient tendances à présent à s’inverser : Alice acceptait peu à peu toutes les sollicitations de Jenna, qui prenait tout doucement de l’ascendant sur son aînée.
Une fois de plus Alice excita au plus au point Jenna, mais cette fois c’est moi qui allais lui donner du plaisir. Comme j’étais déjà droit comme un i, je m’allongeai sur le dos et invitai Jenna à s’allonger sur moi. Ce qu’elle fit sans tarder. Une fois en position je l’invitai à se frotter sur ma protubérance, et à me chevaucher lorsqu’elle se sentirait prête. Heureusement que son petit manège ne dura pas très longtemps, je n’aurais pas pu me retenir. Pendant tout ce temps, Alice s’était occupée à caresser le dos et les fesses de sa sœur.
Jenna se releva ensuite et se mit à genoux, son intimité juste au-dessus de la mienne. Elle remua et tâtonna à la recherche de la bonne position, une fois qu’elle pensa être bien positionnée, elle descendit tout doucement sur ma virilité. Je la vis se mordre doucement les lèvres lorsque nos deux bassins se rejoignirent. Quelques secondes de répit, puis elle commença ses ondulations de bas en haut. Mes mains s’accrochèrent directement à ses seins qui pointaient fièrement, et Alice glissa un doigt dans la fente de sa sœur, en suivant ses mouvements. Jenna s’agita ainsi sous nos caresses pendant quelques minutes, tout en secouant la tête dans tous les sens, et en poussant de petits cris, qui ressemblaient à des miaulements.
Un nouvel orgasme, peut-être plus puissant que le premier, la laissa affalée sur moi un long moment, avant qu’elle ne reprenne ses esprits.
- Si j’avais su que c’était cela, il y a longtemps que je ne serais plus vierge. Finit-elle par déclamer. J’en veux tous les jours maintenant, et même plusieurs fois.
Mais moi j’étais resté sur ma faim, j’attirai alors la bouche d’Alice pour qu’elle finisse l’ouvrage débuté par sa sœur. Je repris enfin mon état normal alors qu’Alice eut fini de déguster mon plaisir.
C’est ainsi que cette première journée se termina. Naturellement Jenna n’alla pas dormir dans la chambre d’ami, et c’est entre ces deux adorables créatures prêtes à tout pour mon plaisir que je m’endormis.
Le lendemain matin, c’est par les gloussements et les gesticulations des deux filles que je fus réveillé. Le temps que je sois complètement conscient, elles étaient en train de se faire un magnifique 69. Jenna était sous Alice, et un de ses doigts s’agitait frénétiquement dans le petit trou fessier de sa sœur. Lorsqu’elles eurent trouvé le bonheur, Alice après sa sœur, elles se cachèrent sous les draps. Je sentis alors leurs deux langues titiller toutes les parties de mon corps. L’une s’était attaquée à mon cou et faisait darder la pointe de mes seins à présent, tandis que l’autre venait de délaisser mes orteils, et remontait doucement. Leur point de jonction se fit bien naturellement sur mon service trois pièces. Je ne saurais dire laquelle s’occupait de quoi, car elles étaient aussi douces l’une que l’autre. Mes petites boules étaient choyées et câlinées, tandis que mon extrémité était aspirée goulûment. Puis je sentis un changement de position, l’une prenant la place de l’autre. Pendant ce temps, mes mains caressaient un sein, une fesse, ou un minou en fonction de ce qui se trouvait à leurs portées. Puis les deux langues se retrouvèrent au même endroit, se délectant d’abord l’une de l’autre, puis de moi. Lorsque je me libérai, je constatai qu’une seule m’avait aspiré, mais ne pus deviner laquelle. Ce n’est que lorsqu’elles refirent surface, que je pus voir que c’était Alice. Décidément Jenna prenait de plus en plus le pas sur sa sœur.
Ce n’est que l’après-midi, au cours de la séance de bronzette, que nos ébats reprirent. Alice proposa que Jenna fasse connaissance avec un nouveau plaisir : celui de la sodomie.
Couchée sur le ventre, les jambes écartées, ses fesses au centre des préoccupations de sa sœur, Jenna se laissait aller à une douce torpeur. Alice s’activait quant à elle, à préparer sa sœur pour la nouvelle pénétration qu’elle allait subir.
- Jenna, mets-toi donc à quatre pattes comme hier, en gardant le bas de ton corps prés du sol. Dis-je.
Cette dernière pris facilement la pose, les fesses, et en particulier son petit trou, bien en vue. Alice repris aussitôt ses caresses. La vue des deux sœurs ainsi à ma disposition, me mit dans un état incroyable, mais j’en exigeai d’avantage à Alice.
- Sert toi de ta langue. Annonçai-je alors sur un ton assez ferme. Tu commenceras par son minou, puis tu remonteras tout doucement.
Alice n’avait jamais fait cela, et semblait en éprouver une certaine réticence. Après quelques secondes de réflexion, elle lança timidement sa langue entre les cuisses de sa sœur. Elle ne semblait pas vouloir quitter la fente intime, mais se décida tout de même à relever sa tête. Elle fit ensuite remonter sa langue entre les 2 monticules, puis s’arrêta là ou je le désirais. Ayant vaincu sa première appréhension, elle tournoya doucement autour du petit trou, en rentrant sa langue, ou en redescendant vers le minou, afin de bien l’humidifier. Elle repartait ensuite à l’assaut, en la faisant pénétrer à chaque fois un peu plus en profondeur. Jenna ne semblait pas goûter spécialement à ce traitement, mais se laissait faire patiemment. A un moment donné, les deux sœurs semblaient collées l’une à l’autre par un lien invisible, mais je voyais au visage d’Alice, qu’elle s’activait du mieux possible pour donner du plaisir à sa sœur.
- Tu peux la préparer avec tes doigts à présent. Dis-je à Alice qui parut soulagée.
Elle ne se le fit pas dire deux fois, et dans la seconde suivante, un index d’Alice pénétra dans la cavité sombre. Après plusieurs aller et retour, un deuxième doigt vint à la rescousse du premier. Jenna se balançait doucement au rythme de la main de sa sœur, je pensai qu’elle était prête à me recevoir. Je m’approchai du visage d’Alice, qui me prit immédiatement en bouche pour bien me lubrifier. Mon entrée se fit sans aucun problème, Alice avait bien préparé le terrain. Je m’accrochai alors au hanches de Jenna, et commençai alors à de doux mouvements de va et vient. En même temps, j’invitai Alice à caresser le clitoris de sa sœur. Malgré mes efforts, assistés par ceux d’Alice, il ne me semblait pas que Jenna appréciait cette pénétration. Je finis par me libérer sans que Jenna ne semble ressentir le moindre plaisir. Lorsque je me fus retiré, Jenna annonça alors d’un air désolé :
- A priori, je ne suis pas douée pour cela. Mais tu pourras toujours profiter de ma sœur à chaque fois que tu le désireras.
Alors que c’est moi qui aurais dû être vexé, c’est Jenna qui s’excusait de ne pas avoir prit son pied.
C’était mon premier échec pendant ces deux jours, et mon honneur de mâle était un peu mis à mal. Je me promis de tout faire pour relever cet affront avant la fin de la semaine.
Cette semaine passa trop vite. Je pouvais demander ce que je voulais aux deux filles, elles me l’accordaient sans problème. Je n’eus pas l’occasion d’essayer à nouveau de faire jouir Jenna par derrière, mais je pus me consoler souvent entre les reins de sa sœur.
Avant de nous quitter le dimanche soir, Jenna me stupéfia une ultime fois en disant :
- Ce serait bien d’inviter une autre fille.
- Pourquoi pas. Répondis-je alors machinalement.
Pour remercier les deux filles de la semaine de bonheur qu’elles m’avaient offert, je leur remis un présent à chacune. Pour Jenna, c’était des boules de Geisha, et pour Alice un plug anal. Ni l’une ni l’autre ne savaient à quoi pouvait bien servir ces drôles d’objet. Je le leur montrai en les plaçant directement à l’endroit où ils étaient prévu, et en leur précisant qu’elles devaient le garder 24 heures sur 24. Elles me sautèrent immédiatement au cou pour un baiser à trois des plus passionnés.
Les semaines à présent se suivaient et se ressemblaient. Chaque week-end Jenna venait le passer avec nous, et ce n’était que parties de plaisir à n’en plus finir. Jenna commandait à présent, de plus en plus souvent sa sœur. Alice était de plus en plus fréquemment sollicitée pour nous donner du plaisir à Jenna et moi.
Leurs parents étaient heureux que les deux sœurs soient si proches, s’ils avaient pu se douter de ce qui se passait, ils ne seraient pas si fiers.
Un dimanche Jenna nous annonça :
- J’ai une amie dans ma classe que j’aimerais vous présenter, il s’agit de Clémentine. D’après certains au lycée, elle est déjà sortie avec des garçons, mais il semblerait qu’elle préfère les filles. De plus je pense que je lui plais beaucoup, et qu’elle aimerait sortir avec moi. Elle s’inquiète toujours de moi, de savoir si je suis bien, et si je n’ai besoin de rien. Après chaque cours de gym, elle est toujours vers moi à la douche, et me regarde toujours bizarrement. De plus voyant que j’étais épilée, et lui ayant dit que c’était plus beau et plus hygiénique, le cours suivant elle a tenu à me montrer qu’elle était aussi glabre que moi. Si tu veux Joshua, je viendrai avec elle samedi prochain.
Il y un moment maintenant que Jenna ne prenait plus l’avis de sa sœur, pour elle, seul le mien comptait. Je lui répondis qu’elle pouvait l’emmener, et que nous verrions de quoi elle était capable.
Comme convenu, Jenna arriva le samedi d’après avec Clémentine, Clem comme elle l’appelait. C’était une belle fille, âgée elle aussi de 18 ans, qui couvait littéralement Jenna du regard. Si elle n’était pas amoureuse de ma belle-sœur, je n’y connaissais plus rien.
Après avoir fait les présentations, et émis quelques banalités, Jenna attaqua directement dans le vif du sujet qui nous intéressait :
- Est-ce que je peux te poser quelques questions indiscrètes Clem ?
Celle-ci parut un eu gênée, mais répondit par l’affirmative.
- C’est vrai que tu préfères les filles ? Ne sois pas gênée pour répondre, moi j’aime autant faire l’amour avec ma sœur qu’avec Joshua.
On ne pouvait pas être plus franc, ni plus direct.
Après quelques secondes de gêne, Clem répondit que les rumeurs qui courraient sur elles étaient bien fondées. Qu’elle rêvait de sortir avec une fille en particulier, mais qu’elle n’avait pas encore osé lui en parler.
Jenna ne la laissa pas aller plus loin, et lui posa une nouvelle fois une question franche et embarrassante :
- Est-ce que cette fille, ça ne serait pas moi par hasard ?
Clem était vraiment mal à l’aise devant tant de sincérité. Après plusieurs minutes de silence, elle répondit un petit « oui » timidement.
Jenna continua son monologue avec autant de spontanéité.
- Tu me plais beaucoup, et je pense que tu plais beaucoup à Joshua et à ma sœur également. Tu sais, je suis très exigeante, et je veux bien sortir avec toi, à condition que tu fasses tout ce que je te demande sans te poser de questions. Est-ce que tu es d’accord pour tout faire ce que je te désirerai pour me faire plaisir?
Clem ne mit qu’un court instant pour répondre favorablement. On aurait pu croire qu’elle n’attendait que cela.
Jenna l’embrassa franchement, et lui passa directement une main sur les seins.
Une Jenna plus autoritaire que je ne l’avait vu jusqu’à présent, annonça :
- Et bien pour le prouver, tu vas commencer par te mettre nue. C’est comme cela que l’on vit habituellement ici.
Clem écouta Jenna et commença à se dévêtir face à elle. Jenna la prit par les épaules, et la retourna face à moi en lui disant :
- Moi je t’ai déjà vu nue, c’est à Joshua qu’il faut que tu montres comme tu es faite.
Je vis dans les yeux de Clem que cela lui plaisait moins, mais elle continua tout de même son strip-tease. Une fois entièrement nue, elle eut un réflexe de pudeur, et tenta de dissimulé sa nudité avec ses bras. Jenna s’interposa une nouvelle fois, en lui enlevant ses caches.
- Je t’ai dis que l’on vivait nue ici, il faut que tu t’habitues.
Après quelques secondes, le temps que j’apprécie le spectacle, elle lui demanda de se retourner, afin que j’admire également son dos et ses fesses. Pour la faire patienter pendant ce temps, Jenna se colla à Clem, et l’embrassa tendrement.
- Maintenant tu vas déshabiller Alice, et moi ensuite. Ordonna Jenna.
Si pour Alice ce fut assez rapide, Clem prit davantage son temps pour dénuder Jenna. Lorsqu’elle fut nue, Jenna ordonna à Clem de lui embrasser la poitrine. Sans hésiter, Clem ne pencha un peu et dorlota les seins de Jenna de la pointe de sa langue.
- Embrasse-les, tête-les, suce-les. Commanda Jenna. J’adore cela.
Lorsqu’elle en eut assez, Jenna appuya doucement sur les épaules de son amie, jusqu’à ce qu’elle fut à genoux. Sa tête se trouvant juste au niveau de l’intimité de Jenna, Clem se doutait de ce que Jenna attendait. Sans marquer la moindre hésitation, elle approcha ses lèvres du Mont de Vénus, et lui fit de nombreux bisous. Jenna appréciait, mais était impatiente de plus de participation.
- Ta langue maintenant. Exigea-t-elle.
Clem ne marquait toujours pas la moindre réticence, soit elle était vraiment très amoureuse de Jenna, soit l’obéissance était sa seconde nature. Ce n’était pas pour me déplaire, ni à Jenna d’ailleurs non plus.
La langue de Clem s’engagea alors directement dans l’intimité de Jenna, et commença à parcourir tous les recoins. Sentant qu’elle commençait à y prendre plaisir, Jenna s’allongea sur le dos à même le sol, pour être plus à l’aise. Dans le même temps, elle enjoignit à sa camarade de classe de continuer à quatre pattes. Clem n’avait guère le choix, son visage était entre les cuisses de Jenna, et reposant sur ses genoux, elle m’offrait le spectacle de son fessier bien exposé.
Je fis alors un signe discret à Alice, qui n’avait été jusqu’à présent que spectatrice, lui expliquant ce que je voulais. Alice se mit à genoux à côté de Clem, et lui écarta bien les genoux. Cette fois la position était parfaite, et j’avais le bas-ventre en feu.
Après avoir bien profité du tableau, je pris la tête d’Alice, et l’approchai des fesses offertes. Cette dernière sut immédiatement ce que j’attendais d’elle. Comme elle l’avait fait lors de l’initiation à la sodomie de Jenna, Alice plongea la langue en avant, mais cette fois sans retenue.
Clem marqua une petite surprise lorsque la langue pénétra entre ses fesses, mais reprit immédiatement ce la besogne qu’elle venait d’abandonner.
Pour gagner du temps, je m’étais déshabillé, et j’attendais le moment propice. Lorsque celui-ci arriva, Alice me prit quelques secondes dans sa bouche, et me guida à l’ouverture qui m’attendait. Je pénétrai alors Clem doucement pour ne pas lui faire mal. Alice avait bien fait son travail, ou alors Clem avait déjà pratiqué cette position, car je pus m’introduire sans difficultés. Clem qui se doutait de ce qui l’attendait, m’avait également bien facilité les choses. Son corps s’agitait maintenant au rythme de mes secousses, en les répercutant via sa tête et sa langue, à l’intimité de Jenna.
Le tableau était presque complet, seule Alice n’y participait pas. Mais il n’y avait pas de raison, pour qu’elle n’ait pas elle aussi sa part de bonheur. Je lui fis alors signe de se mettre à genoux au dessus du visage de sa sœur.
Maintenant tout était bien. Jenna léchait sa sœur, Clem léchait Jenna, et moi je m’activais entre les fesses de Clem. Naturellement je fus le premier à prendre mon plaisir, un tel spectacle ne pouvait que faire craquer ma résistance rapidement. Jenna se lâcha très peu de temps après moi. Mais comme elle n’était plus en état de satisfaire sa sœur, elle obligea les deux dernières participantes à parvenir à leurs fins en position de 69. Clem parut déçue de ne pas continuer avec Jenna, mais n’osa pas la contrarier. Alice et Clem continuèrent alors seules, pendant que Jenna et moi continuions à profiter de la vue des deux corps emmêlés. A même pas quelques secondes d’intervalle, les deux filles lâchèrent un râle de libération.
Clem avait bien réussi son examen d’entrée.
Nous passions à présent presque tous nos week-ends à quatre, Alice et Clem faisaient tout ce que leur demandait à Jenna, et moi j’étais chef de cette magnifique troupe. De plus je n’avais pas à demander quoi que ce soit. Jenna semblait avoir un don de voyance, et prévenait tous mes désirs, soit par l’intermédiaire d’Alice, soit par celui de Clem. De plus elle avait une imagination débordante dans le domaine des plaisirs sexuels. Il m’arrivait parfois de lui demander de freiner son ardeur, le temps que je reprenne des forces. Elle ne se calmait que lorsque les deux autres filles l’avaient comblé de jouissance.
J’étais le plus heureux des hommes, mais c’était sans compter sur les envies de Jenna. Elle avait déjà repérer une autre fille qu’elle promit de m’amener bientôt.
Mais ce récit sera pour une autre fois. Je vous laisse, Jenna à une surprise pour moi.
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