alice allait avoir 18 ans (seconde partie) - histoire érotique

Je suis Alice, le samedi 29 juillet de cette année là j’allais avoir 18 ans.
J’étais, à l’époque, la petite amie de Guillaume qui est devenu et est toujours mon époux.

Au moment de l’histoire que je vais vous narrer Guillaume travaillait dans une usine en France. Il avait fait connaissance d’un certain Antoine avec qui il s’entendait à merveille. D’après Guillaume, Antoine était un chic type mais il n’avait qu’une idée fixe en tête, c’était de baiser toutes les filles qui l’intéressaient, bien qu’étant marié et papa de deux fillettes. Guillaume m’a présenté Antoine le jeudi 6 juillet à l’occasion d’un repas qu’Antoine et Françoise, son épouse, avaient organisé en guise d’adieu à Guillaume qui quittait l’usine pour accomplir son service militaire. Antoine était un bel homme, pas un Apollon à proprement parler, mais un bel homme, il avait un je ne sais quoi dans le regard et un sourire qui en disait long sur ses pensées salaces.

Cette première rencontre a été teintée d’érotisme, car, sachant le lascar très porté sur le cul, j’avais décidé, sans en parler à Guillaume, de le taquiner sur son terrain de prédilection et de le provoquer tant par ma tenue vestimentaire que par mes attitudes. Je voulais jouer avec lui comme une chatte avec une souris afin de voir s’il existait, dans sa conscience, une barrière à franchir ou pas entre son amitié pour Guillaume et sa convoitise pour mon corps dont j’allais lui donner envie. J’aurais dû me douter que cette frontière devait être bien perméable puisqu’il trompait sa femme sans scrupules. Je dois admettre que je me suis bien amusée ce jour là et que j’avais réussi à amener Antoine à un état d’excitation extrême. Ce petit jeu était, comme la suite me l’a prouvé, une arme à double tranchant, en effet, à force de petits appels du pied, d’oeillades discrètes et autres permissivités, je me suis piégée moi- même tant et si bien qu’en l’ayant inconsciemment bien cherché, je me suis retrouvée, tard dans la soirée, enfin seule avec lui nous embrassant à pleine bouche dans sa voiture en bordure d’un chemin non éclairé. J’étais tellement chaude qu’il aurait pu faire de moi ce qu’il aurait voulu ce soir là. Je me liquéfiais littéralement sous ses doigts et je n’attendais qu’une initiative de sa part pour offrir à sa queue et ma bouche et ma chatte. Je me souviens encore d’une caresse très appuyée sur ma petite culotte, j’avais dû me faire violence pour résister à l’envie que j’avais d’écarter moi-même le tissu humide et guider son doigt dans ma fente trempée et offerte. Ce soir là il aurait pu me tirer en beauté mais il s’était ressaisi et m’avait laissée à demi pantelante de désir sur le pas de ma porte. J’avais passé une nuit torride entre mes doigts et mes pensées lubriques.

Le lendemain je me suis rendue à mon travail à la banque à Luxembourg, mes pensées n’étaient pas très claires. Je retournais sans cesse entre mes doigts un petit morceau de carton qui portait un numéro de téléphone qui sentait le soufre et le stupre. Fort heureusement nous étions enfin vendredi et le week-end arrivait, chaque fois que nous en avons eu l’occasion Guillaume et moi avons baisé comme des furieux. J’avais vraiment le feu au cul et je savais bien pourquoi, quant à Guillaume il profitait de l’aubaine sans trop chercher à comprendre. Les nuits du début de la semaine suivante ont été ponctuées de rêveries cochonnes et de masturbations frénétiques, même en journée si je laissais mon esprit vagabonder c’était pour revivre la scène dans la voiture d’Antoine, me remémorer nos baisers et le contact de sa main sur le léger tissu de ma culotte.

Le jeudi 13 juillet, à peine arrivée au bureau j’ai décidé de composer le numéro de téléphone et j’ai appelé Antoine. Il a décroché après deux ou trois sonneries et était très étonné et surpris de mon appel. Après avoir pris de ses nouvelles et sans prendre le temps d’échanger des banalités je lui ai proposé directement de venir, le lendemain, me chercher en voiture à la sortie de mon bureau, que j’avais déjà prévenu Guillaume que je devrais prester des heures supplémentaires jusque tard dans la soirée. Antoine écoutait mais ne répondait rien, il devait être sidéré et, je l’espérais, furieusement excité. Je lui ai asséné le coup de grâce en lui faisant remarquer qu’il lui restait un peu plus de 30 heures pour s’organiser s’il ne voulait pas passer à côté de l’occasion de me sauter. Je l’ai entendu bredouiller des mots sans suite: demain... 14 juillet... férié...fête...Françoise...les petites...caravane...puis, enfin, le mot de ma libération: D’accord! en entendant cet accord j’ai mouillé instantanément. Je lui ai communiqué toutes les coordonnées nécessaires pour me retrouver à Luxembourg et j’ai raccroché le combiné, satisfaite de moi, tremblante de trouille et au bord de l’orgasme.
La journée a été très spéciale et j’avais un mal fou à me concentrer sur mon travail tant j’étais assaillie de pensées lubriques et de songes honteux. J’imaginais déjà la queue d’Antoine entre mes doigts et dans ma bouche, je ne connaissais que celle de Guillaume, à quoi pouvait bien ressembler la bite d’un mec de 30 ans et comment devait-il manier ce membre? N’allait-il pas me trouver naïve et maladroite? Comment allais-je m’habiller demain matin? Comment serais-je déshabillée demain soir? Toutes ces questions et bien d’autres se bousculaient dans ma tête, j’étais vraiment en proie à un vertige libidineux. Je me suis procuré quelques jouissances sur mon lieu de travail ce fameux jeudi.
Le soir Guillaume est venu manger chez mes parents, il travaillait de nuit cette semaine là et prenait le bus pour l’usine vers 21h15, ce qui ne nous laissait pas beaucoup de temps ni d’occasions pour nous isoler. J’étais tiraillée par l’envie de lui faire partager mon excitation et l’obligation de ne surtout rien lui divulguer de mes vicieux projets du lendemain. Je suis allée me coucher tôt et avant de me glisser entre mes draps et m’abandonner à mes doigts j’ai choisi un très joli tailleur à motif floral pour le jour suivant, la mini jupe était un peu courte pour le bureau mais tout à fait adaptée pour la main d’un malhonnête homme, elle se fermait, et donc s’ouvrait aussi, comme la veste au moyen de boutons-pression, les hommes n’apprécient pas trop de déjouer les pièges des boutonnières.

Vous pouvez imaginer que je ne tenais plus en place le lendemain, j’avais l’impression que ma culotte était devenue trop petite et ma montre semblait rechigner à afficher 16h45. J’avais donné rendez-vous à Antoine le long du parc, dans la rue juste derrière ma banque et je me mordais les lèvres en marchant vers cet endroit d’un pas mal assuré. Serait-il déjà arrivé? M’aurait-il posé un lapin? Aurait-il fait marche arrière pris de remords? N’aurait-il pas trouvé l’excuse judicieuse pour Françoise? Toutes ces interrogations s’entrechoquaient dans ma tête mais quand je suis arrivée à l’endroit convenu sa deuche était bien là et il m’attendait en fumant une gitane maïs. En le voyant j’ai ressenti un lancement dans le bas-ventre et l’impression que mes petites lèvres s’écartaient sous la pression de ma mouille. L’heure n’était plus aux fantasmes d’écolière mais il fallait passer aux choses si peu sérieuses. Nous nous sommes salués sobrement d’une chaste bise sur la joue, il savait se faire discret ne sachant pas qui aurait pu me connaître parmi tous ces passants, puis nous sommes montés en voiture et avons quitté la ville en direction de Longwy. Nous ne parlions guère ou juste un peu de Guillaume, que j’allais bientôt tromper sans vergogne. Après une dizaine de kilomètres Antoine m’a proposé de prendre un verre dans un petit café-restaurant portugais au bord de la route. J’aurais préféré ne pas perdre de temps et aller me jeter directement dans la gueule du loup mais Antoine m’a expliqué qu’il s’agissait, en fait, d’une escale stratégique. Il avait prévu que nous irions nous «amuser» dans la caravane qu’il possédait dans le département de la Meuse, à Rouvroy-sur-Othain, mais que Françoise et les petites y passaient cette journée, fériée en France, et qu’elles y seraient jusqu’aux environs de 18h30, compte tenu de l’heure actuelle et du trajet à faire il nous fallait sacrifier à cet agréable pause en tête à tête. Nous avons donc passé notre commande et, prise d’une envie coquine et saugrenue, je me suis rendue aux toilettes, j’ai enlevé ma petite culotte et l’ai enfouie dans mon sac à main puis je suis retournée m’asseoir devant lui comme si de rien n’était. Un quart d'heure plus tard, nous étions de retour dans la deuche, Antoine commençait à mâter mes cuisses de plus en plus souvent, il faut dire que ma jupe remontait le long des jambes à chaque mouvement du bassin que je faisais et que je m'évertuais à bouger le plus possible tout en prenant bien soin de ne pas lui faire voir que j'avais ma petite chatte sans protection aucune et à la portée de sa main. Nous avons traversé des endroits connus et je me faisais toute petite dans la voiture, je me suis sentie plus à l'aise quand nous avons dépassé Longuyon et qu'il m'a dit que nous n'étions plus qu'à une dizaine de minutes de notre destination. Il devait être plus détendu lui aussi car il s'est enfin décidé à poser une main sur ma cuisse tout en discutant du raccourci qu'il allait prendre afin d'être certain de ne pas croiser la voiture de Françoise si cette dernière avait pris du retard dans son timing. Le contact de ses doigts m'électrisait et ils n'étaient plus qu'à quelques centimètres de mon petit mont de Vénus. Profitant qu'il avait le regard fixé sur la route étroite et sinueuse j'ai pris discrètement ma petite culotte dans mon sac et, faisant mine de repousser sa main polissonne, je la lui ai glissée au creux de ses doigts. Il a d'abord eu l'air déçu de ma réaction de rejet mais quand il a vu ce qu'il tenait, j'ai vu son regard s'allumer et un sourire coquin s'est dessiné sur ses lèvres quand il a porté le petit morceau de tissu à ses narines. Il a remis sa main sur ma cuisse et l'a serrée en me disant que je ne perdais rien pour attendre, comme l'autre soir la voiture était chargée d'électricité. Je devenais de plus en plus nerveuse au fur et à mesure que nous nous rapprochions de cette fameuse caravane à l'intérieur de laquelle il allait me faire je ne sais quoi,. Mes grandes lèvres rythmaient les battements de mon coeur, j'avais une envie folle de lui, de ses mains sur moi, de sa langue à nouveau dans ma bouche, de son sexe sur mes lèvres, toutes mes lèvres. Quelque part, en pensant à Guillaume, je me sentais l'âme d'une parfaite salope et j'aurais aimé me trouver à cent kilomètres de là et plus jeune de deux jours, avant mon coup de fil qui était plutôt un coup de folie et, paradoxalement, j'aurais voulu être déjà à l'intérieur de cette caravane.

Antoine a ralenti la voiture dans le dernier virage avant l'entrée du village, de cet endroit il avait une vue sur le terrain que nous devions atteindre et il pouvait se rendre compte si la voie était libre ou non son sourire vicelard m'a tout de suite confirmé qu'il n'y avait aucun problème et que, dans quelques minutes, j'allais passer à la casserole. Nous nous sommes engagés dans un petit chemin agricole et quelques secondes plus tard il garait la voiture à l'abri des regards derrière une haie vive. Il m'a demandé de rester un peu dans la deux chevaux pendant qu'il allait s'assurer, une dernière fois, que tout danger était écarté et il est parti procéder à ces vérifications. Il est revenu très rapidement et m'a fait signe de le rejoindre. Je suis allée vers lui en rougissant, ses yeux allaient et venaient sans cesse de mes seins à mes cuisses et plus je m'approchait plus je pouvais voir grossir la bosse que sa queue formait sous son jeans. Arrivée à sa hauteur il m'a souhaité la bienvenue et m'a priée d'entrer. Il y avait deux petites marches à gravir et il me tenait la porte ouverte, alors même que je posais le pied sur la première marche ma jupe est remontée tout en haut de ma cuisse, laissant entrevoir le duvet roux de ma petite motte toute vibrante, il n'a rien perdu du spectacle et m'a murmuré à l'oreille que cette vision furtive lui ouvrait l'appétit tout en glissant une main à l'arrière de ma cuisse, je sentais la chaleur de sa paume à la base de ma fesse nue, d'une légère mais ferme poussée, il me fit entrer dans son antre. Ce n'était pas bien spacieux et sobrement meublé d'une petite table, quelques chaises et un petit canapé mais ce qui attira d'emblée mon attention c'était le lit familial qui me semblait immense, sulfureux et terriblement tentant. A peine dans la place il a fermé la porte à clef et s'est approché de moi en me disant qu'il avait attendu et espéré ce moment depuis plus d'une semaine.

Je n'ai pas eu le temps de répondre quoi que ce soit que nous étions déjà dans les bras l'un de l'autre en train de nous embrasser comme des affamés, mes jambes avaient du mal à me soutenir et le fait de sentir ses doigts me caresser la nuque tandis que son autre main tâtait mes nichons au travers de ma petite veste m'enlevait le peu qu'il me restait d'assurance. Le vertigineux régal d'avaler nos salives allait se décupler quand j'ai senti que les boutons-pression lâchaient prise et que sa main prenait la mesure de mon sein gauche par dessus mon soutien-gorge, à travers la dentelle il faisait rouler mon téton entre ses doigts, j'ai gémi de surprise et de plaisir ce qui fut pour lui le signal de passer à l'étape suivante. Sa main libre est passée dans mon dos et, avec une habileté rare, ou une expérience aiguisée, il a fait sauter la fermeture de mon soutien et mes nichons ont jailli hors de leurs bonnets, il les a tout de suite attrapés à pleines mains et les a pétris avec insistance mais douceur avant que sa langue ne vienne taquiner les pointes dressées et lécher les aréoles claires.
Il s'était assis sur le lit et j'étais debout devant lui, les seins offerts à ses yeux, ses doigts et sa bouche, mes mains jouaient dans ses cheveux roux, rares et doux. Entre deux succions de mes tétons durcis il m'a chuchoté qu'il n'avait encore jamais eu l'occasion de tripoter une telle paire de nibards et un si beau cul, en joignant le geste à la parole, il a glissé une main sous ma jupe et a commencé à caresser mes fesses nues. J'ai été agitée de frissons quand il m'a remercié de lui avoir mâché le travail en lui offrant ma petite culotte dans la voiture et, malgré moi, mes cuisses se sont écartées pour lui laisser poser sa paume toute entière sur mon entrecuisses, il a effleuré ma raie brûlante et, à chaque passage, je sentais son majeur qui s'enfonçait un peu plus profond dans ma fente trempée et d'ores et déjà bien lubrifiée pour ce qui allait suivre, son pouce massait mon mont de vénus à travers mes poils pubiens et je ne pouvais m'empêcher de fléchir mes jambes et aller au devant de son doigt qui venait de trouver le chemin du bonheur et me pénétrait déjà de quelques centimètres. Ma jupe venait de rejoindre ma veste sur le canapé et, à part mes petites chaussures ouvertes, mon corps était entièrement nu et prêt à offrir tout ce qu'il aurait envie de revendiquer, désormais il n'avait plus à demander ce qu'il pouvait prendre.

Il s'est relevé et m'a couchée tendrement sur le lit pendant qu'il se déshabillait en hâte. Dans ma fièvre et, je dois bien l'avouer, dans ma trouille, je n'ai pas regardé ce qu'il faisait. Il n'a pas fallu longtemps pour qu'Antoine soit nu contre moi, il s'était agenouillé et a guidé une de mes mains sur sa cuisse que j'ai caressée doucement pendant qu'il avait recommencé à me peloter les seins et que son doigt allait et venait dans ma chatte et sur mon clitoris. Il m'a dit en plaisantant que nous avions un point commun, que nous étions de vrais rouquins, je lui ai répondu dans un souffle que Guillaume avait baptisée ma chatte du nom de roussette puis j'ai rouvert les yeux pour m'apercevoir que sa queue était à quelques centimètres de mon visage, ma main est remontée le long de sa cuisse et mes doigts se sont refermés sur cette hampe chaude et douce, je tenais cette belle bite dans ma main, elle était moins longue que celle de Guillaume mais plus épaisse, ses couilles, bien gonflées, étaient recouvertes d'une toison fauve qui donnait une note sauvage à ce sexe qui durcissait entre mes doigts qui avaient commencé à le branler. Au fur et à mesure de mes caresses son gland devenait plus gros, plus luisant et dégageait une odeur entêtante et follement excitante de mâle en rut.
Il s'est penché vers ma chatte et a glissé un bras sous ma cuisse de telle sorte qu'il avait sous les yeux la totalité de mon intimité, depuis mon tout petit trou jusqu'à mon clitoris qui était sorti de sa gaine de satin, j'étais en transe et délicieusement humiliée de cette posture, je l'imaginais se délectant du spectacle que je lui offrais. La chaleur de son souffle a précédé la douceur humide de sa langue qui a entamé une lente et méticuleuse exploration de toute cette fente de plaisir. Je me liquéfiais littéralement sous cette caresse buccale et mon excitation avait atteint son comble, tout en continuant à branler doucement le membre que j'avais entre les doigts je l'ai approché de mes lèvres et aspiré dans ma bouche. Cette queue avait un goût fort et très parfumé, je le suçais avec délice et ma langue léchait chaque replis en salivant d'abondance, chaque gorgée avalée me rendait folle de plaisir. C'est quand sa langue a taquiné mon petit bouton et que ses lèvres l'ont happé pour une intense mais délicate succion que le premier orgasme est arrivée comme une vague déferlante. Cette jouissance m'a tétanisée et j'ai cru perdre connaissance, mon nectar a jailli de mon vagin comme une source et la bouche d'Antoine s'est immédiatement collée à cette fontaine pour ne pas perdre la moindre goutte de cet élixir pendant que je pompais toujours cette bite qui me remplissait toute la bouche.
J'ai fermé les yeux quelques instants pour me laisser aller à cette tornade de plaisir et quand je les ai rouverts Antoine était étendu sur moi, son visage était contre le mien, nos bouches presque jointes, il m'a chuchoté qu'il allait enfin me prendre toute entière, ses cuisses se frayaient un passage entre les miennes qui s'écartaient et je sentais sa queue monter imperturbablement à la rencontre de mes petites lèvres trempées qui s'ouvraient pour accueillir ce gland que je désirais de tout mon corps. Sa queue est arrivée au bord de ma chatte et remuait lentement d'avant en arrière, il a glissé sa langue dans ma bouche et pendant que nos salives commençaient à se mélanger à nouveau il a commencé à me pénétrer lentement. Millimètre par millimètre son gland prenait possession de mon vagin dont les parois enserraient l'engin comme pour le retenir prisonnier. J'avais le souffle court et comme dans un brouillard je l'ai entendu murmurer que c'était merveilleux tant j'étais étroite et serrée et, soudain, il est entré tout entier dans ma chatte. Sa bite m'emplissait bien et il a commencé à me ramoner avec vigueur et passion, mes cuisses étaient largement ouvertes et ses lourdes couilles claquaient contre mon cul à chaque butée, une forte odeur de mouille, de sexe et de sueur intime nous entourait. Il me léchait les lèvres, les joues, le menton et le nez, sa queue allait et venait en cadence et chaque mouvement m'emplissait de frissons, mes cuisses étaient trempées de nos mouilles et mon fourreau se resserrait de plus en plus sur son mandrin qui me pilonnait avec force. Le second orgasme est arrivé comme une anesthésie, j'ai dû pousser un cri car il a aussitôt ralenti son allure, ayant vite compris qu'il m'avait fait jouir une deuxième fois il m'a demandé de venir le chevaucher tout en se retirant d'entre mes cuisses et se couchant sur le dos. Il a saisi son sexe à pleine main et l'a maintenu à la verticale, gland à l'air en me disant: Viens le prendre! Ma main a tôt fait de remplacer la sienne et ma bouche a tout de suite englouti ce noeud odorant. Je l'ai sucé ainsi avec délectation, en plus de l'odeur de sa queue il y avait celle de ma chatte et le goût avait de quoi me rendre folle. J'ai arrêté de le pomper et l'ai enjambé, j'ai entamé un massage de son bas-ventre avec mon pubis. Presque immédiatement son pénis est venu butter contre mon anus, j'ai donné un petit coup de rein et sa bite toute entière a été comme aspirée dans ma fente en feu. Je me suis redressée, dans cette position je le dominais et lui offrais une vue splendide sur mes nichons que ses mains ont saisis immédiatement en me suppliant de le baiser fort et au plus profond de ma chatte. Je l'ai limé quelques longues secondes, ses mains allaient de mes seins à mes fesses qu'il soulevait et abaissait à un rythme bien calculé, de cette façon je le prenais en moi jusqu'à la garde et mes lèvres émettaient un bruit de succion indécent à chaque contact avec son ventre. Il est sorti de moi, m'a fermement soulevée et gentiment couchée sur le lit à côté de lui. Alors que ses doigts repartaient explorer l'entrée de ma grotte il m'a demandé, dans un souffle, ce que je pensais d'une bonne levrette. J'étais excitée à mort par cette évocation car c'était la position que nous préférions Guillaume et moi. Antoine a souri, m'a dit que, finalement, nous n'avions pas chômé, mon copain et moi. Cela me troublait de parler de Guillaume pendant que j'étais en train de le cocufier en beauté mais quand Antoine m'a demandé de prendre la position la plus lascive, la plus excitante et la plus offerte possible je me suis mise à quatre pattes sur le lit, me suis bien cambrée et lui ai présenté ma plus belle croupe sans hésiter un seul instant. Je lui ouvrais tout grand mes cuisses et lui offrait tout mon cul. Il était à genoux à côté de moi et me caressait les reins et les fesses avec une main tandis qu'il me tortillait les tétons de l'autre en m'assurant qu'il allait me sauter comme je le méritais. Il s'est positionné derrière moi, ses mains palpaient et écartaient mes fesses, ses pouces allaient de mes petites lèvres bien ouvertes à mon petit bouton de rose avec une extrême mais sensuelle douceur.
Je me laissais faire avec bonheur et honte à la fois, plus il me touchait plus je me détendais et plus je mouillais. Sa langue venait taquiner mes orifices trempés et j'en avais des fourmis dans tout le sexe et le cul. Ses deux mains sont revenues sur mes fesses, les maintenant plus fermement, il a posé son gland brûlant sur mon anus et a commencé à le faire glisser le long de mon sillon, de mon cul à mon clitoris. A chaque passage, il appuyait un peu plus fort sur mon anus ou insistait à l'entrée de mon vagin, ce petit manège a duré une ou deux minutes, me plongeant dans un délire insensé, je me demandais ce qu'il allait choisir de me faire, je redoutais qu'il ne choisisse mon petit trou du cul, qui était encore vierge et dont je lui aurais refusé l'accès, enfin très probablement. Au beau milieu d'un de ses aller retours il s'est arrêté à l'entrée de mon vagin, ses pouces ont aidé son gland à y pénétrer, je me suis offerte d'avantage et sa queue toute entière s'est enfournée au plus profond de ma chatte. C'était divin et il a commencé à me bourrer avec vigueur tout en malaxant mon petit trou avec ses pouces qui s'y aventuraient d'une phalange hardie de temps en temps. J'ai cru défaillir pendant qu'il me défonçait de la sorte, mon vagin et sa queue ne faisaient plus qu'un et je me sentais lubrifier comme une fontaine. J'ai joui intensément et très longuement en gémissant. Soudain, il s'est arrêté net de me triquer, il avait l'air aux aguets, j'ai eu peur que quelqu'un ne nous surprenne puis, après trois ou quatre secondes, il est reparti de plus belle, j'étais encore plus trempée et il m'a ramonée encore une trentaine de secondes avant de se retirer en soufflant. Il s'est laissé tomber près de moi et nous sommes restés dans cette position deux ou trois minutes sans dire le moindre mot, de mon côté je redescendais doucement sur terre. Tout en embrassant tendrement mes seins il m'a dit que l'heure était venue de prendre le chemin du retour. Il est vrai qu'à cette époque l'heure d'été n'étais pas encore instaurée et qu'à 20h15 il commençait déjà à faire noir. Avec le sentiment de frustration d'une enfant qui aurait bien fait un tour de manège supplémentaire j'ai entrepris de me rhabiller pendant qu'il faisait de même de son côté. Il m'a tendu ma petite culotte et je lui ai dit que, s'il le désirait, il pouvait la conserver en guise de souvenir de ce merveilleux après-midi. J'aimerais beaucoup m'a t-il répondu mais je l'ai déjà fait une fois avec une petite culotte d'une vendeuse d'un magasin de prêt à porter qui m'avait bien dépanné dans une cabine d'essayage et Françoise avait trouvé cette petite lingerie et j'ai eu toutes les peines du monde à me sortir de ce pétrin. J'ai donc enfilé ma culotte et, quelques instants plus tard, il avait fini de remettre le lit en ordre et s'assurait que rien de compromettant ne traînait dans la caravane. Comme à l'aller, nous n'avons pas beaucoup parlé pendant le trajet du retour, il m'a cependant complimentée sur mon corps et l'aisance avec laquelle je m'étais débrouillée pendant nos étreintes.

Nous avons roulé presque 3 quarts d'heure avant d'arriver à Mont-st-Martin quand Antoine a subitement mis le clignoteur et s'est garé dans un coin sombre au bord de la route. Mais que fais tu? Lui ais-je demandé. La réponse était simple mais encore fallait il y penser. En face de nous, il y avait une véritable colonne d'autobus qui amenaient de Belgique les ouvriers qui allaient travailler de nuit et Antoine me fit remarquer que Guillaume devait se trouver à l'intérieur d'un de ces bus, qu'il connaissait la deux-chevaux et que, par mesure de précaution, il valait mieux se montrer discrets et attendre qu'ils soient tous passés avant de continuer. Antoine m'a conseillé de me cacher des regards en me baissant au niveau du tableau de bord et, accompagnant cet avis, d'une pression de sa main sur mon épaule il m'a fait me pencher vers son volant. Il faisait vraiment très sombre dans la voiture mais l'obscurité ne m'empêchait pas de reconnaître une odeur devenue familière, Antoine avait sorti sa queue et j'avais ma bouche presque sur son gland. J'étais surprise mais ravie de ce traquenard, j'ai d'abord léché cette bite bien dure de la base vers le noeud qui exhalait un mélange de parfums subtils puis je l'ai prise à pleine bouche et ai entamé une lente et savante pipe. Antoine avait amorcé un va et vient de son bassin qui accompagnait avec harmonie mes lèvres qui le branlaient en le pompant. La situation était des plus piquantes, j'étais sensée me planquer, couverte de honte, afin d'échapper aux regards de Guillaume, que je venais de trahir et j'étais , en fait, en train de tailler une pipe à un mec dans une bagnole. Sa queue avait un goût différent de cet après-midi, comme si une autre substance était venue s'ajouter à nos mouilles, c'était délicieux, je salivais à mort et avalais la moindre goutte de ce mélange inhabituel à mon palais. J'entendais Antoine gémir de plaisir et me prier de continuer. Une autre saveur est apparue, un peu plus douce et légèrement sucrée et, alors que j'essayais de discerner sa texture, Antoine a arrêté son mouvement, j'ai senti sa queue se raidir encore plus et comme un battement de coeur entre mes lèvres. Un jet chaud et puissant est arrivé sur ma langue et a rempli ma bouche. Il était en train de jouir dans ma bouche et moi dans ma culotte. C'était obscène et follement excitant à la fois. Un second jet de sperme a suivi et j'ai avalé ce foutre avec délice. Je me sentais flattée de ce cadeau et scandalisée qu'il ait pu oser décharger dans ma bouche sans même me prévenir, d'un autre côté la quantité de jus qu'il venait de m'envoyer dans la gorge me rassurait, bien naïvement, sur le fait qu'il n'avait pas pu, physiquement, avoir joui dans ma chatte lors de nos ébats. Je continuais à sucer sa queue et à avaler le peu de sperme qu'il lui restait à m'offrir, j'ai adoré boire cette substance salée et épaisse, cela avait un goût étrange et extrêmement excitant. Quand j'ai eu le sentiment qu'il avait fini sa coupable éjaculation j'ai pris bien soin de lui nettoyer le gland avec ma langue, il ne devait pas rester la moindre trace que Françoise aurait pu trouver. Il s'est reboutonné, m'a dit que j'étais un fameux numéro et, comme tous les bus étaient passés, il a redémarré la voiture.

C'est devant la même petite école que la semaine dernière qu'il m'a embrassée une dernière fois avant de me déposer à l'angle de ma rue. Nous n'avons pas évoqué le moindre futur rendez-vous et il est parti dans la nuit Je me suis couchée avec le goût de son sperme encore bien présent dans ma gorge et son odeur iodée dans mes narines.
Malgré l'obscurité de ma chambre je sais que j'ai rougi de honte en pensant qu'il me faudrait feindre la surprise la première fois que Guillaume me jouirait dans la bouche, ce qui ne devrait pas tarder maintenant que j'y avais goûté avec bonheur.

Je me suis endormie après une ultime caresse.




J'étais à cent lieues de me douter que ce serait Guillaume qui me remettrait dans le lit d'Antoine bien plus tard.