Alice allait avoir 18 ans
Récit érotique écrit par Adolphe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Alice allait avoir 18 ans
La petite histoire que je vais avoir le plaisir de vous raconter n’est pas le fruit de mon imagination mais est bien réelle.
Je me prénomme Antoine et j’avais environ 30 ans à l’époque des faits. J’étais déjà marié avec Françoise qui est toujours à mes côtés et j’étais déjà le papa de deux charmantes petites filles.
Je travaillais dans une usine sidérurgique, aujourd’hui fermée, de Meurthe et Moselle dans le bassin de Longwy.
Je faisais partie d’une petite équipe de 4 personnes et mes deux collaborateurs directs étaient plus des amis que des collègues, il régnait dans notre atelier une telle complicité que nous ne nous lassions pas de partager les détails croustillants d’aventures salaces que nous vivions hors-mariage. Je dois vous avouer que je suis extrêmement porté sur le sexe, que la fidélité n’est pas mon point fort et que j’avais, à l’époque, une belle petite collection de maîtresses de tous âges.
Un beau matin notre contremaître nous a présenté Guillaume, un jeune manoeuvre de 17 ans qui allait, avec nous, faire ses premières armes dans le difficile et cruel monde du travail. Guillaume se destinait à une autre carrière dans le milieu administratif mais devait travailler en attendant de remplir ses obligations militaires en Belgique. Nous avons tout de suite sympathisé et après seulement quelques jours guillaume était tout à fait intégré dans notre petit groupe. Il était bien plus jeune et inexpérimenté que nous en matière de cul mais il avait son franc-parler, un humour caustique et graveleux et surtout un intérêt colossal vis à vis de tout ce qui concernait le sexe de près ou de loin.
Il avait une petite amie, Alice, de quelques mois plus jeune que lui et avec laquelle il entretenait, selon lui, des rapports sexuels assez réguliers.
Je me suis rendu compte que Guillaume avait confiance en moi quand, quelques semaines seulement après notre première rencontre, il est venu me présenter une requête peu ordinaire. Il avait beaucoup parlé de moi à Alice et surtout mis l’accent sur mes frasques, ils adoraient baiser ensemble mais avaient un peu l’impression de manquer d’expérience et de technique. Afin d’approfondir leurs connaissances en la matière ils étaient arrivés à la conclusion que ce serait une bonne idée que je présente Guillaume à une de mes nombreuses copines pour une initiation plus poussée. Cette idée était assez originale et curieuse mais interpellait ma libido et me donnait une furieuse envie de rencontrer cette Alice dont il m’avait tellement vanté les mérites et qui devait être chaude comme la braise. Je lui ai répondu que c’était probablement envisageable, que j’allais y réfléchir et penser à quelle partenaire éventuelle je pourrais faire appel.
Pour des raisons de service Guillaume a été muté dans un autre secteur de l’usine, nous avons gardé le contact mais nos horaires n’étaient plus vraiment compatibles et au fil des mois nous ne nous voyions plus que de manière sporadique et cet excitant projet est tombé dans l’oubli.
Nous étions fin juin et Guillaume est venu m’annoncer qu’il avait reçu son ordre d’incorporation sous les drapeaux et nous quitterait fin juillet.
J’ai gambergé une bonne partie de la journée et en début d’après-midi je tenais mon occasion en or de voir à quoi pouvait bien ressembler cette Alice qui taquinait sans le savoir ma curiosité libidineuse depuis des mois. Le soir même j’ai proposé à mon épouse d’organiser, à la maison, un repas d’adieu pour Guillaume, dont je lui avait parlé en bien, et auquel sa copine Alice serait conviée bien légitimement. Le lendemain j’ai passé à Guillaume l’invitation pour le soir du premier jeudi de juillet, Guillaume était ravis de cette surprise et touché par l’intention et a, bien sûr accepté en son nom et en celui d’Alice dont il connaissait bien les emplois du temps. Comme ils n’avaient pas de véhicule à l’époque il était convenu que le papa d’Alice les amènerait jusqu’à mon immeuble et que je me ferais un plaisir de les reconduire en Belgique après le repas. Ils sont arrivés en fin d’après-midi avec un beau bouquet de fleurs pour Françoise et un livre de contes pour les petites.
J’ai eu comme un électro-choc dans les testicules quand j’ai vu Alice. C’était une superbe jeune fille d’environ 1m60, ses cheveux d’un beau châtain clair étaient coupés courts sur un joli minois parsemé de taches de rousseur et qu’éclairaient de beaux yeux bruns, deux lèvres sensuelles soulignaient un petit nez mutin mais, ce qui attira encore plus mon regard c’était sa poitrine, sous un tee-shirt moulant elle dissimulait difficilement deux splendides nichons d’un bon 95 C ou D. Elle portait une mini-jupe plissée blanche, des socquettes et des baskets de la même couleur, son sourire m’a désarmé en me dévoilant ses dents impeccables que je ne pus m’empêcher d’imaginer tel un collier d’ivoire autour de mon gland.
Je me suis ressaisi sans attendre et ai fait les présentations d’usage puis sommes sommes passés au salon pour prendre l’apéritif. Nous avions un canapé assez profond que redoutent nombre de personnes de petite taille et c’est donc avec une idée derrière la tête que j’ai prié Alice d’y prendre place juste en face de moi, j’allais, du moins je l’espérais, pouvoir me rincer l’oeil si la chance me souriait et si Françoise ou Guillaume ne perçaient pas à jour mon coupable mais bandant dessein.
Nous avons discuté de choses et d’autres ainsi que de l’usine et de la banque à Luxembourg pour laquelle Alice travaillait. Mes yeux étaient attirés comme par des aimants par les jambes d’Alice mais j’avais quand même remarqué qu’elle m’observait souvent à la dérobée avec un petit sourire en coin qui me faisait penser à de la curiosité ou, peut-être, de l’envie. Guillaume devait lui avoir beaucoup parlé de moi et probablement plus encore de mes écarts de conduite à répétitions ce qui aurait pu provoquer cet air dubitatif que je lui trouvais à ce moment. J’éprouvais de plus en plus de difficultés à détacher mon regard de sa jupe et il ne fallait surtout pas que Françoise ou Guillaume ne surprenne mon émoi. Grâce à ce confortable complice qu’était mon canapé chaque fois qu’elle devait bouger pour saisir l’un ou l’autre objet Alice devait avancer sa poitrine et ce mouvement, extrêmement agréable à mes yeux par ailleurs, faisait, qu’immanquablement , ses jambes s’écartaient légèrement et, rien qu’à entrevoir l’intérieur de ses cuisses, je devinais la douceur et la chaleur de sa peau.
Je commençais à attraper une trique d’enfer et je ressentais comme des fourmis dans les bourses, il me fallait me créer une auto-diversion pour éviter le pire et j’ai proposé de fumer une cigarette, Guillaume en a pris une et a demandé à Alice de lui passer son briquet, en le lui tendant, elle l’a fait tomber sur la moquette, je me suis penché pour le ramasser en même temps qu’Alice se baissait pour le même motif et c’est à cet instant que j’ai eu le bonheur et la chance d’apercevoir sa petite culotte blanche et le léger mais troublant renflement de son pubis, ce fut une vision brève mais délicieusement puissante.
J’ai vu tout de suite, dans les yeux d’Alice qu’elle n’avait pas perdu une miette de mon manège de voyeur pervers et je me suis même demandé si elle ne venait pas de provoquer ce petit événement. J’avais soudain très chaud et, craignant de rougir comme un collégien, je me suis levé pour me rendre à la salle de bains. Une fois isolé j’ai repris mes esprits non sans m’imaginer glissant une main sous la jupe vers cette petite culotte ou même risquant une langue sur le fin tissu à l’endroit de sa petite fente et, pourquoi pas ma queue ?
C’est dans cet état fébrile que j’ai rejoint l’assemblée en m’efforçant de ne rien faire paraître de mon trouble ni de mon érection quelque peu maîtrisée.
Comme le temps était au beau fixe et que le repas n’était pas encore prêt d’être servi j’ai émis la proposition de faire profiter, à nos jeunes invités, de la vue exceptionnelle qu’offrait le toit plat de notre tour de 15 étages. Françoise déclina l’invitation ayant encore une ou deux petites choses à faire et comme j’interdisais aux deux (trop) petites de monter sur le toit c’est avec Guillaume et Alice que j’ai emprunté l’ascenseur vers le dernier étage. Il nous fallait traverser toute la largeur du toit pour parvenir du côté nord-est de l’immeuble, je prenais bien soin de laisser un peu d’avance au jeune couple pour me délecter du subtil déhanchement d’Alice et du léger flottement de sa petite jupe qui dévoilait, par intermittence, la naissance de ses fesses. Arrivée au muret de protection et, comme elle n’était pas bien grande, Alice a dû se mettre sur la pointe des pieds pour profiter de la vue, cette position jambes tendues a souligné le galbe de son petit cul et a instantanément fait durcir mon mandrin qui était vraiment mis à rude épreuve.
Guillaume était en train d’expliquer à Alice que la maison de ses parents était juste à l’autre orée de la petite forêt que l’on pouvait voir à quelques centaines de mètres à vol d’oiseau, il s’extasiait sur ces aspects de paysages qu’il n’avait encore jamais vus sous ces angles, de mon côté je n’étais pas en reste mais pour d’autres perspectives. Profitant que Guillaume était occupé à regarder dans une autre direction je me suis rapproché d’Alice et j’ai posé ma main sur sa jupe juste au creux de ses reins. Elle a continué, comme si de rien n’était, à commenter les propos de Guillaume. J’ai entamé une lente caresse vers le bas, je pouvais sentir la douce chaleur de sa croupe sous le tissu de sa jupette et de sa culotte et je me sentais comme sur un petit nuage. Je n’ai pas insisté au-delà d’une poignée de secondes, de peur de me faire surprendre par Guillaume et aussi pour calmer l’incendie de ma bite dans mon jeans.
Après quelques minutes nous nous sommes rendus à table et le repas s’est très bien passé, Françoise avait été parfaite comme d’habitude. Nous avons encore discuté un bon moment, Guillaume et Alice étaient de très bonne compagnie et s’intéressaient à une foule de sujets, pour ma part je regrettais un peu que la table ne fût pas transparente car cela faisait bien deux heures que le spectacle des cuisses d’Alice m’était enlevé, il faut dire qu’en consolation j’avais droit à son dècolleté vertigineux et son visage souriant et tellement troublant.
L’heure tournait et le soir était déjà bien tombé, Guillaume m’a demandé si cela ne me dérangeait pas de les reconduire en Belgique. Françoise a répondu à ma place que c’était une idée raisonnable et que j’allais me charger de cette mission pendant qu’elle débarrasserait la table. Nous sommes descendus dans mon garage, Guillaume s’est installé à côté de moi et Alice derrière lui. Dans mon rétroviseur je pouvais voir luire son sourire à chaque passage sous un reverbère.
En arrivant dans leur village j’ai demandé qui je devais déposer en premier lieu, tout en espérant secrètement que ce serait Guillaume, et j’ai vu, dans mon rétroviseur, Alice avec un doigt sur sa bouche qui me désignait Guillaume du menton. Guillaume a proposé de nous rendre d’abord chez Alice qui, d’emblée, lui a fait remarquer que nous venions juste de dépasser le croisement que nous aurions dû emprunter pour la déposer chez elle et qu’il ne fallait pas abuser de ma serviabilité.
Quelques minutes plus tard nous étions devant le domicile de Guillaume, Alice est sortie de la voiture avec lui, l’a embrassé et souhaité une bonne nuit. Puis elle est remontée à bord mais à côté de moi cette fois tout en clamant haut et fort, en manière de reproche déguisé à l’intention de Guillaume, qu’avec elle comme convoyeur on ne risquait pas de manquer le croisement comme tout à l’heure.
J’ai démarré et nous avons pris la direction de sa maison. Ce n’était pas commode de conduire avec les yeux rivés sur la lisière de sa petite jupe. Elle m’a sorti de ma rêverie en me priant de tourner à gauche pour emprunter la rue menant à son quartier.
Nous nous sommes engagés dans une petite rue mal éclairée, sans la moindre habitation, et bordée de haies et de champs, voyant ma surprise, Alice m’a confirmé que nous étions bien sur la bonne voie et que sa rue était un peu plus loin, juste au bord de la forêt que je devinais proche, cette même forêt dont Guillaume nous avait parlé auparavant.
Elle me lançait des regards furtifs dans lesquels je voyais comme une attente ou une impatience et j’ai pris le risque de ralentir et de m’arrêter sur le côté de cette petite route, à proximité de ce qui me semblait être une petite école ou une chapelle.
Alice n’a pas eu l’air d’être surprise et a tourné son visage dans ma direction alors que ma main a pris sa nuque et attiré ses lèvres contre les miennes, elle avait la bouche entr’ouverte et nos langues qui s’attendaient se sont rencontrées immédiatement, le baiser que nous étions en train d’échanger était violent et terriblement sensuel. Alice tremblait légèrement et sa langue se lançait sans cesse à la recherche de la mienne.
J’ai posé ma main gauche sur son genou et l’ai glissée tout doucement le long de sa cuisse douce et incroyablement chaude. Ma main ètait maintenant sous sa jupe blanche, ses cuisses s’écartaient lentement au fur et à mesure de la progression de mes doigts qui sont arrivés contre sa petite culotte, juste au niveau de sa petite chatte. Mon coeur battait dans mon gland, sa culotte était brûlante et trempée, mes doigts caressaient, à travers le tissu, ses grandes lèvres qui formaient un sillon en feu, mon pouce était en contact avec la peau nue de sa cuisse qui vibrait. Je sentais que sous mes doigts sa fente se lubrifiait en abondance et qu’Alice devait être déjà prête à se faire enchatter par un doigt ou un manche, ma queue était sur le point d’exploser et nos langues étaient devenues folles.
Je ne voulais pas aller plus loin ce soir là sachant que Françoise m’attendait à la maison et qu’elle ne me connaissait que trop bien et aussi parce que l’endroit choisi n’était pas des plus discrets. Tout en continuant à lui explorer la bouche avec ma langue j’ai exercé une pression assez appuyée sur cette petite culotte avec mes doigts, cela laisserait un souvenir physique à Alice et imprégnait mes doigts de sa mouille intime.
Malgré une furieuse envie d’écarter ce tissu et de glisser au moins un doigt dans cette fente toute humide à la recherche de son clitoris j’ai retiré ma main lentement tout en continuant à caresser sa cuisse nue. Notre baiser a encore duré une petite minute, nos bouches se sont détachées et nos langues se sont séparées. Nous avons repris notre respiration et avons attendu que la tension retombe. Je lui ai donné une carte avec un numéro de téléphone sur lequel elle pourrait me contacter si jamais elle avait envie de me revoir sans Guillaume ni Françoise, elle a fait disparaître ce carton dans son sac
et, quelques secondes plus tard, je la déposais devant la maison de ses parents. Elle m’a fait un petit signe de la main et est entrée dans la maison tandis que je prenais le chemin du retour.
J’ai pris mon temps pour rentrer chez moi, je portais sans cesse mes doigts à mes narines pour humer le parfum entêtant et terriblement excitant de sa petite chatte tout en imaginant Alice probablement en train de se finir dans son lit.
Nul doute que j’allais culbuter Françoise en rentrant, qu’une petite ou grande pensée serait pour Alice et que ma giclée de ce soir lui serait dédiée, j’avais de nouveau une trique d’acier.
Le lundi suivant j’ai croisé Guillaume devant la pointeuse de l’usine, il m’a remercié pour cette délicieuse soirée, m’a prié de transmettre ses remerciements à Françoise ainsi que ceux d’Alice avec qui il avait passé un week-end torride.
J’avais un peu de remords quant à ma conduite avec Alice qui, certainement, devait déjà avoir oublié toute cette histoire, pour leur plus grand bien d’ailleurs.
Il devait être 9h20 ou 9h25 quand Alice m’a téléphoné le 13 juillet...
Je me prénomme Antoine et j’avais environ 30 ans à l’époque des faits. J’étais déjà marié avec Françoise qui est toujours à mes côtés et j’étais déjà le papa de deux charmantes petites filles.
Je travaillais dans une usine sidérurgique, aujourd’hui fermée, de Meurthe et Moselle dans le bassin de Longwy.
Je faisais partie d’une petite équipe de 4 personnes et mes deux collaborateurs directs étaient plus des amis que des collègues, il régnait dans notre atelier une telle complicité que nous ne nous lassions pas de partager les détails croustillants d’aventures salaces que nous vivions hors-mariage. Je dois vous avouer que je suis extrêmement porté sur le sexe, que la fidélité n’est pas mon point fort et que j’avais, à l’époque, une belle petite collection de maîtresses de tous âges.
Un beau matin notre contremaître nous a présenté Guillaume, un jeune manoeuvre de 17 ans qui allait, avec nous, faire ses premières armes dans le difficile et cruel monde du travail. Guillaume se destinait à une autre carrière dans le milieu administratif mais devait travailler en attendant de remplir ses obligations militaires en Belgique. Nous avons tout de suite sympathisé et après seulement quelques jours guillaume était tout à fait intégré dans notre petit groupe. Il était bien plus jeune et inexpérimenté que nous en matière de cul mais il avait son franc-parler, un humour caustique et graveleux et surtout un intérêt colossal vis à vis de tout ce qui concernait le sexe de près ou de loin.
Il avait une petite amie, Alice, de quelques mois plus jeune que lui et avec laquelle il entretenait, selon lui, des rapports sexuels assez réguliers.
Je me suis rendu compte que Guillaume avait confiance en moi quand, quelques semaines seulement après notre première rencontre, il est venu me présenter une requête peu ordinaire. Il avait beaucoup parlé de moi à Alice et surtout mis l’accent sur mes frasques, ils adoraient baiser ensemble mais avaient un peu l’impression de manquer d’expérience et de technique. Afin d’approfondir leurs connaissances en la matière ils étaient arrivés à la conclusion que ce serait une bonne idée que je présente Guillaume à une de mes nombreuses copines pour une initiation plus poussée. Cette idée était assez originale et curieuse mais interpellait ma libido et me donnait une furieuse envie de rencontrer cette Alice dont il m’avait tellement vanté les mérites et qui devait être chaude comme la braise. Je lui ai répondu que c’était probablement envisageable, que j’allais y réfléchir et penser à quelle partenaire éventuelle je pourrais faire appel.
Pour des raisons de service Guillaume a été muté dans un autre secteur de l’usine, nous avons gardé le contact mais nos horaires n’étaient plus vraiment compatibles et au fil des mois nous ne nous voyions plus que de manière sporadique et cet excitant projet est tombé dans l’oubli.
Nous étions fin juin et Guillaume est venu m’annoncer qu’il avait reçu son ordre d’incorporation sous les drapeaux et nous quitterait fin juillet.
J’ai gambergé une bonne partie de la journée et en début d’après-midi je tenais mon occasion en or de voir à quoi pouvait bien ressembler cette Alice qui taquinait sans le savoir ma curiosité libidineuse depuis des mois. Le soir même j’ai proposé à mon épouse d’organiser, à la maison, un repas d’adieu pour Guillaume, dont je lui avait parlé en bien, et auquel sa copine Alice serait conviée bien légitimement. Le lendemain j’ai passé à Guillaume l’invitation pour le soir du premier jeudi de juillet, Guillaume était ravis de cette surprise et touché par l’intention et a, bien sûr accepté en son nom et en celui d’Alice dont il connaissait bien les emplois du temps. Comme ils n’avaient pas de véhicule à l’époque il était convenu que le papa d’Alice les amènerait jusqu’à mon immeuble et que je me ferais un plaisir de les reconduire en Belgique après le repas. Ils sont arrivés en fin d’après-midi avec un beau bouquet de fleurs pour Françoise et un livre de contes pour les petites.
J’ai eu comme un électro-choc dans les testicules quand j’ai vu Alice. C’était une superbe jeune fille d’environ 1m60, ses cheveux d’un beau châtain clair étaient coupés courts sur un joli minois parsemé de taches de rousseur et qu’éclairaient de beaux yeux bruns, deux lèvres sensuelles soulignaient un petit nez mutin mais, ce qui attira encore plus mon regard c’était sa poitrine, sous un tee-shirt moulant elle dissimulait difficilement deux splendides nichons d’un bon 95 C ou D. Elle portait une mini-jupe plissée blanche, des socquettes et des baskets de la même couleur, son sourire m’a désarmé en me dévoilant ses dents impeccables que je ne pus m’empêcher d’imaginer tel un collier d’ivoire autour de mon gland.
Je me suis ressaisi sans attendre et ai fait les présentations d’usage puis sommes sommes passés au salon pour prendre l’apéritif. Nous avions un canapé assez profond que redoutent nombre de personnes de petite taille et c’est donc avec une idée derrière la tête que j’ai prié Alice d’y prendre place juste en face de moi, j’allais, du moins je l’espérais, pouvoir me rincer l’oeil si la chance me souriait et si Françoise ou Guillaume ne perçaient pas à jour mon coupable mais bandant dessein.
Nous avons discuté de choses et d’autres ainsi que de l’usine et de la banque à Luxembourg pour laquelle Alice travaillait. Mes yeux étaient attirés comme par des aimants par les jambes d’Alice mais j’avais quand même remarqué qu’elle m’observait souvent à la dérobée avec un petit sourire en coin qui me faisait penser à de la curiosité ou, peut-être, de l’envie. Guillaume devait lui avoir beaucoup parlé de moi et probablement plus encore de mes écarts de conduite à répétitions ce qui aurait pu provoquer cet air dubitatif que je lui trouvais à ce moment. J’éprouvais de plus en plus de difficultés à détacher mon regard de sa jupe et il ne fallait surtout pas que Françoise ou Guillaume ne surprenne mon émoi. Grâce à ce confortable complice qu’était mon canapé chaque fois qu’elle devait bouger pour saisir l’un ou l’autre objet Alice devait avancer sa poitrine et ce mouvement, extrêmement agréable à mes yeux par ailleurs, faisait, qu’immanquablement , ses jambes s’écartaient légèrement et, rien qu’à entrevoir l’intérieur de ses cuisses, je devinais la douceur et la chaleur de sa peau.
Je commençais à attraper une trique d’enfer et je ressentais comme des fourmis dans les bourses, il me fallait me créer une auto-diversion pour éviter le pire et j’ai proposé de fumer une cigarette, Guillaume en a pris une et a demandé à Alice de lui passer son briquet, en le lui tendant, elle l’a fait tomber sur la moquette, je me suis penché pour le ramasser en même temps qu’Alice se baissait pour le même motif et c’est à cet instant que j’ai eu le bonheur et la chance d’apercevoir sa petite culotte blanche et le léger mais troublant renflement de son pubis, ce fut une vision brève mais délicieusement puissante.
J’ai vu tout de suite, dans les yeux d’Alice qu’elle n’avait pas perdu une miette de mon manège de voyeur pervers et je me suis même demandé si elle ne venait pas de provoquer ce petit événement. J’avais soudain très chaud et, craignant de rougir comme un collégien, je me suis levé pour me rendre à la salle de bains. Une fois isolé j’ai repris mes esprits non sans m’imaginer glissant une main sous la jupe vers cette petite culotte ou même risquant une langue sur le fin tissu à l’endroit de sa petite fente et, pourquoi pas ma queue ?
C’est dans cet état fébrile que j’ai rejoint l’assemblée en m’efforçant de ne rien faire paraître de mon trouble ni de mon érection quelque peu maîtrisée.
Comme le temps était au beau fixe et que le repas n’était pas encore prêt d’être servi j’ai émis la proposition de faire profiter, à nos jeunes invités, de la vue exceptionnelle qu’offrait le toit plat de notre tour de 15 étages. Françoise déclina l’invitation ayant encore une ou deux petites choses à faire et comme j’interdisais aux deux (trop) petites de monter sur le toit c’est avec Guillaume et Alice que j’ai emprunté l’ascenseur vers le dernier étage. Il nous fallait traverser toute la largeur du toit pour parvenir du côté nord-est de l’immeuble, je prenais bien soin de laisser un peu d’avance au jeune couple pour me délecter du subtil déhanchement d’Alice et du léger flottement de sa petite jupe qui dévoilait, par intermittence, la naissance de ses fesses. Arrivée au muret de protection et, comme elle n’était pas bien grande, Alice a dû se mettre sur la pointe des pieds pour profiter de la vue, cette position jambes tendues a souligné le galbe de son petit cul et a instantanément fait durcir mon mandrin qui était vraiment mis à rude épreuve.
Guillaume était en train d’expliquer à Alice que la maison de ses parents était juste à l’autre orée de la petite forêt que l’on pouvait voir à quelques centaines de mètres à vol d’oiseau, il s’extasiait sur ces aspects de paysages qu’il n’avait encore jamais vus sous ces angles, de mon côté je n’étais pas en reste mais pour d’autres perspectives. Profitant que Guillaume était occupé à regarder dans une autre direction je me suis rapproché d’Alice et j’ai posé ma main sur sa jupe juste au creux de ses reins. Elle a continué, comme si de rien n’était, à commenter les propos de Guillaume. J’ai entamé une lente caresse vers le bas, je pouvais sentir la douce chaleur de sa croupe sous le tissu de sa jupette et de sa culotte et je me sentais comme sur un petit nuage. Je n’ai pas insisté au-delà d’une poignée de secondes, de peur de me faire surprendre par Guillaume et aussi pour calmer l’incendie de ma bite dans mon jeans.
Après quelques minutes nous nous sommes rendus à table et le repas s’est très bien passé, Françoise avait été parfaite comme d’habitude. Nous avons encore discuté un bon moment, Guillaume et Alice étaient de très bonne compagnie et s’intéressaient à une foule de sujets, pour ma part je regrettais un peu que la table ne fût pas transparente car cela faisait bien deux heures que le spectacle des cuisses d’Alice m’était enlevé, il faut dire qu’en consolation j’avais droit à son dècolleté vertigineux et son visage souriant et tellement troublant.
L’heure tournait et le soir était déjà bien tombé, Guillaume m’a demandé si cela ne me dérangeait pas de les reconduire en Belgique. Françoise a répondu à ma place que c’était une idée raisonnable et que j’allais me charger de cette mission pendant qu’elle débarrasserait la table. Nous sommes descendus dans mon garage, Guillaume s’est installé à côté de moi et Alice derrière lui. Dans mon rétroviseur je pouvais voir luire son sourire à chaque passage sous un reverbère.
En arrivant dans leur village j’ai demandé qui je devais déposer en premier lieu, tout en espérant secrètement que ce serait Guillaume, et j’ai vu, dans mon rétroviseur, Alice avec un doigt sur sa bouche qui me désignait Guillaume du menton. Guillaume a proposé de nous rendre d’abord chez Alice qui, d’emblée, lui a fait remarquer que nous venions juste de dépasser le croisement que nous aurions dû emprunter pour la déposer chez elle et qu’il ne fallait pas abuser de ma serviabilité.
Quelques minutes plus tard nous étions devant le domicile de Guillaume, Alice est sortie de la voiture avec lui, l’a embrassé et souhaité une bonne nuit. Puis elle est remontée à bord mais à côté de moi cette fois tout en clamant haut et fort, en manière de reproche déguisé à l’intention de Guillaume, qu’avec elle comme convoyeur on ne risquait pas de manquer le croisement comme tout à l’heure.
J’ai démarré et nous avons pris la direction de sa maison. Ce n’était pas commode de conduire avec les yeux rivés sur la lisière de sa petite jupe. Elle m’a sorti de ma rêverie en me priant de tourner à gauche pour emprunter la rue menant à son quartier.
Nous nous sommes engagés dans une petite rue mal éclairée, sans la moindre habitation, et bordée de haies et de champs, voyant ma surprise, Alice m’a confirmé que nous étions bien sur la bonne voie et que sa rue était un peu plus loin, juste au bord de la forêt que je devinais proche, cette même forêt dont Guillaume nous avait parlé auparavant.
Elle me lançait des regards furtifs dans lesquels je voyais comme une attente ou une impatience et j’ai pris le risque de ralentir et de m’arrêter sur le côté de cette petite route, à proximité de ce qui me semblait être une petite école ou une chapelle.
Alice n’a pas eu l’air d’être surprise et a tourné son visage dans ma direction alors que ma main a pris sa nuque et attiré ses lèvres contre les miennes, elle avait la bouche entr’ouverte et nos langues qui s’attendaient se sont rencontrées immédiatement, le baiser que nous étions en train d’échanger était violent et terriblement sensuel. Alice tremblait légèrement et sa langue se lançait sans cesse à la recherche de la mienne.
J’ai posé ma main gauche sur son genou et l’ai glissée tout doucement le long de sa cuisse douce et incroyablement chaude. Ma main ètait maintenant sous sa jupe blanche, ses cuisses s’écartaient lentement au fur et à mesure de la progression de mes doigts qui sont arrivés contre sa petite culotte, juste au niveau de sa petite chatte. Mon coeur battait dans mon gland, sa culotte était brûlante et trempée, mes doigts caressaient, à travers le tissu, ses grandes lèvres qui formaient un sillon en feu, mon pouce était en contact avec la peau nue de sa cuisse qui vibrait. Je sentais que sous mes doigts sa fente se lubrifiait en abondance et qu’Alice devait être déjà prête à se faire enchatter par un doigt ou un manche, ma queue était sur le point d’exploser et nos langues étaient devenues folles.
Je ne voulais pas aller plus loin ce soir là sachant que Françoise m’attendait à la maison et qu’elle ne me connaissait que trop bien et aussi parce que l’endroit choisi n’était pas des plus discrets. Tout en continuant à lui explorer la bouche avec ma langue j’ai exercé une pression assez appuyée sur cette petite culotte avec mes doigts, cela laisserait un souvenir physique à Alice et imprégnait mes doigts de sa mouille intime.
Malgré une furieuse envie d’écarter ce tissu et de glisser au moins un doigt dans cette fente toute humide à la recherche de son clitoris j’ai retiré ma main lentement tout en continuant à caresser sa cuisse nue. Notre baiser a encore duré une petite minute, nos bouches se sont détachées et nos langues se sont séparées. Nous avons repris notre respiration et avons attendu que la tension retombe. Je lui ai donné une carte avec un numéro de téléphone sur lequel elle pourrait me contacter si jamais elle avait envie de me revoir sans Guillaume ni Françoise, elle a fait disparaître ce carton dans son sac
et, quelques secondes plus tard, je la déposais devant la maison de ses parents. Elle m’a fait un petit signe de la main et est entrée dans la maison tandis que je prenais le chemin du retour.
J’ai pris mon temps pour rentrer chez moi, je portais sans cesse mes doigts à mes narines pour humer le parfum entêtant et terriblement excitant de sa petite chatte tout en imaginant Alice probablement en train de se finir dans son lit.
Nul doute que j’allais culbuter Françoise en rentrant, qu’une petite ou grande pensée serait pour Alice et que ma giclée de ce soir lui serait dédiée, j’avais de nouveau une trique d’acier.
Le lundi suivant j’ai croisé Guillaume devant la pointeuse de l’usine, il m’a remercié pour cette délicieuse soirée, m’a prié de transmettre ses remerciements à Françoise ainsi que ceux d’Alice avec qui il avait passé un week-end torride.
J’avais un peu de remords quant à ma conduite avec Alice qui, certainement, devait déjà avoir oublié toute cette histoire, pour leur plus grand bien d’ailleurs.
Il devait être 9h20 ou 9h25 quand Alice m’a téléphoné le 13 juillet...
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